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immigration - Page 1441

  • Ecoeurant : une immigrée explique qu’elle n’a pas besoin de payer son appartement

  • Emeute à Orléans pour soutenir l’auteur d’un feu de poubelle

    Emeute à Orléans pour soutenir l’auteur d’un feu de poubelle

    ORLEANS (NOVOpress) – Comme à Trappes il y a deux semaines, l’utopie du « vivre ensemble » sent le brûlé à Orléans (Loiret). Un adolescent de 15 ans est entre la vie et la mort après avoir tenté de mettre le feu à un conteneur de poubelles dans le quartier de La Source. Il a été retrouvé inanimé devant le conteneur, enterré dans le sol et en partie éventré par une explosion. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’ado aurait tenté de mettre le feu au conteneur à l’aide d’un produit inflammable.

     

    Après l’incident, des groupes d’individus – prétextant que l’adolescent avait été malmené par la police lors d’un contrôle au cours duquel il avait tenté de s’enfuir, deux heures avant l’incendie de poubelle – ont manifesté devant l’hôpital où il avait été conduit, puis devant le commissariat. Dans la nuit de jeudi à vendredi, deux voitures et une caravane stationnées ont été incendiées. Deux voyous ont été interpellés alors qu’ils venaient de mettre le feu à des détritus. D’autres délinquants ont également tenté d’incendier un véhicule de police stationné aux abords du commissariat.

    Crédit photo : Kmeron, via Flickr, (cc). http://fr.novopress.info

  • Trappes : Naïma Charaï (PS) veut « investir massivement dans les quartiers »

    BORDEAUX (via Infos-Bordeaux) – Le sujet des émeutes ethniques de Trappes fait couler beaucoup d’encre. Après les interrogations du député maire de Bègles, Noël Mamère (« pourquoi interpeller en plein ramadan une jeune femme voilée ? »), c’est au tour de son ancienne suppléante, Naïma Charaï, d’écrire une tribune sur le sujet dans Libération. Naïma Charaï (photo en Une) est l’actuel président de l’Acsé (Agence nationale de la cohésion sociale et l’égalité des chances), nommé par décret du Président de la République du 3 octobre 2012.

     

     

     

    Née au Maroc, Naïma Charaï est arrivée en France à l’âge de 4 ans en 1976, suite à l’application de la loi sur le regroupement familial. Elue au conseil régional d’Aquitaine, elle souhaite attribuer des « moyens supplémentaires » dans les banlieues à forte proportion d’immigrés. « Les emplois aidés sont un dispositif vertueux, multiplions les (…) Nous devons investir massivement dans les quartiers, et nous devons le faire savoir ». « Les républicains ne peuvent pas accepter que des zones urbaines entières soient perdues pour l’égalité, l’éducation et l’emploi ».

     

    Si comme le souligne Naïma Charaï, la réalité sociale de ces quartiers est « difficile », certaines zones rurales françaises, dont la pauvreté monétaire est plus importante que dans les banlieues, ne sont cependant pas le théâtre d’attaques de commissariat impliquant « entre 300 et 400 émeutiers » !

     

    Réduire les difficultés des banlieues françaises à un problème d’argent que l’on pourrait traiter par un « investissement massif » confine au déni de réalité. Entre 1989 et 2012, plus de 90 milliards d’euros ont été déversés en banlieue. Cet afflux d’argent n’a pas forcément amélioré les résultats économiques et sociaux, mais il a surtout permis d’acheter, pendant des années, la paix sociale.

    http://fr.novopress.info

  • Et après ils nous donnent des leçons de morale…

    La question n’est pas de savoir si la mesure se justifie ou non mais de montrer le double langage d’Israël. Dans les pays occidentaux les gouvernements ne peuvent bouger le petit doigt contre les clandestins sans se prendre une volée de bois vert par les politiques et autres intellectuels sionistes au nom de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. En Israël par contre, des mesures très restrictives sont prises à l’égard des immigrés non juifs.

    Lu sur afrik.com :

    Une information confirmée par la direction de l’Ichilov Medical Center à Tel-Aviv : Seuls les migrants africains ayant besoin de soins médicaux seront acceptés. Les visiteurs et autres parias africains seront refusés. Ces nouvelles instructions figurent désormais dans le règlement de l’hôpital. Pour se justifier, la direction invoque une potentielle contagion de la tuberculose à éviter.

    Cette dernière estime donc que les migrants africains sont porteurs de maladies graves et qu’il est important d’écarter tout risque. En outre, les travailleurs et réfugiés africains n’auront plus le droit de pénétrer dans l’enceinte de l’hôpital s’ils ne portent pas de badges d’identification. Quant aux parents d’enfants hospitalisés, ils n’ont aucun moyen de voir leurs progénitures s’ils n’ont pas de badge.

    Le « badge de David »

    Ce précieux sésame indique que le migrant ne présente aucun risque de contamination. Sans ce badge, les maris qui accompagnent leurs épouses qui doivent accoucher ne pourront pas aller plus loin que la porte d’entrée de l’hôpital. De plus, les patientes immigrées ou réfugiées du service maternité de l’Ichilov Medical Center sont placées en isolement, ainsi que les enfants immigrés et réfugiés.

    Toutes ces précautions ségrégationnistes, qui rappellent des méthodes d’un autre temps, visent à garantir la santé et la sécurité des autres patients et du personnel.

    Une décision « purement médicale » ?

    Ce nouveau règlement a été adopté une semaine après qu’un cas de tuberculose ait été diagnostiqué sur un nouveau-né de 6 semaines dont la mère, une Erythréenne, est elle-même atteinte de la maladie, rapporte Sistadiaspora.com. La mère et l’enfant ont été isolés en soins intensifs. L’alerte a tout naturellement immédiatement été donnée et toutes les personnes qui ont été en contact avec le bébé ont été convoquées pour des dépistages et la prescription d’antibiotiques en traitement préventif. Rien de bien choquant à ce niveau-là. Mais était-ce une raison pour instaurer un accès restreint de l’hôpital à toute la communauté noire d’Israël ?

    Un représentant de l’hôpital a indiqué que cette mesure n’avait rien à voir avec la campagne raciste relayée par les médias qui présentent les Africains comme des vecteurs d’infections graves. Plus grave encore, les hôpitaux israéliens se plaignent du coût des soins qu’ils doivent apporter aux migrants. L’Ichilov Medical Center s’était déjà fait remarquer en mai dernier, lorsqu’un médecin de cet hôpital avait déclaré que trop d’enfants noirs naissaient. Ils les avaient qualifié d’ « infiltrés ».

    L’Israël avait atteint son apogée avec le scandale des stérilisations forcées. La dernière fois que des Israéliens ont tenu des propos racistes en public, c’était dans l’émission de télé-réalité locale « Big Brother ». Des candidats ont proféré des propos racistes à une autre candidate d’origine Falasha. L’Etat hébreu censé donner l’exemple en matière des droits de l’Homme étant donné l’histoire, ne cesse au contraire de cumuler les affaires de racisme.

    http://www.contre-info.com

  • D’une colonisation l’autre. Vers la guerre civile, de Emil DARHEL

      « Une légende particulièrement tenace voudrait que la France soit une terre de mélange depuis des siècles. C’est totalement faux ».
    Entretien avec Emil Darhel à propos de son livre D’une colonisation l’autre. Vers la guerre civile… (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
    Que nous apprend votre livre ?
    Que les Français sont dans une situation particulièrement pénible : ils baignent dans le formol depuis des décennies. C’est assez confortable a priori. Ils sont gentiment bercés par le complexe médiatico-politique. Mais ce formol est un peu particulier… Au lieu de les préserver en tant que Peuple, il les fait disparaître au profit d’autres peuples. L’écrivain Renaud Camus parle de “grand remplacement”. L’expression est particulièrement bien trouvée. Mon livre veut faire sortir nos compatriotes de leur état comateux. Les informations réunies dans « D’une colonisation l’autre » concernant la démographie, la criminalité, les intentions plus ou moins assumées des partis politiques traditionnels, etc. sont jusqu’à présent et pour la plupart d’entre elles restées hors de portée du grand public. Pourtant, lorsqu’elles sont recoupées, on peut voir quel avenir se dessine pour notre pays, et il est loin d’être “désirable”, si je peux me permettre cette allusion au slogan ringard d’une candidate socialiste…
    L’actualité semble apporter de l’eau à votre moulin…
    Tout à fait : entre Houria Bouteldja, porte-parole du parti des Indigènes de la République qui nous dit que les Blancs ont tout intérêt à lécher les babouches des nouveaux arrivants car ces derniers ne se priveront pas, quand ils en auront le pouvoir, de faire payer les premiers pour toutes leurs exactions (lesquelles ? on se le demande encore !), et Rokhaya Diallo, chroniqueuse pour la télévision, qui n’y va plus par quatre chemins et qui affirme à la télévision (sur France Ô) que “lorsqu’un pays s’interroge autant sur ce qu’il a été, c’est qu’il sent qu’il est en train de changer et que le rapport de force est en train de s’infléchir”, nous ne sommes plus dans le délire paranoïaque de suprémaciste blanc…
    Reprochez-vous aux néo-français leur manque flagrant d’intégration ?
    C’est une question à double tranchant… On peut effectivement déplorer leur manque d’intégration. D’un bout à l’autre de l’échiquier politique, on ne parle que de cela en insistant sur le fait que le fameux “modèle d’intégration à la française” ne fonctionne plus. On notera d’ailleurs que, là encore, c’est la faute des Français de souche et non celle des immigrés si ces derniers ne s’intègrent pas… Mais on oublie systématiquement que ce modèle d’intégration ne peut fonctionner que si deux conditions sont remplies : il faut que les nouveaux arrivants aient la volonté de s’intégrer, mais il faut aussi et surtout que leur culture soit intégrable. Une légende particulièrement tenace voudrait que la France soit une terre de mélange depuis des siècles. C’est totalement faux. Mais les vagues récentes d’immigration de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, beaucoup plus réduites que le tsunami actuel, remplissaient ces deux conditions.
    Aujourd’hui, la grande majorité des nouveaux arrivants n’ont pas la volonté de s’intégrer, mais – et c’est beaucoup plus intéressant à mon sens – ils n’en ont pas les moyens. Leur culture est insoluble dans la nôtre. Et comme ils sont très nombreux, ils sont de plus en plus revendicatifs. Faut-il le déplorer ? Je ne crois pas. C’est plutôt une chance pour nous ; il ne pourra pas y avoir de cinquième colonne. Il y a déjà deux camps : celui de mesdemoiselles Bouteldja et Diallo, et le nôtre. Malheureusement pour les indécis, ils devront choisir.
    Vous parlez de culture. Pensez-vous à l’Islam ?
    Pas seulement, mais il est évident que l’Islam est particulièrement problématique. Le plus étonnant, c’est que l’Islam a été perçu comme une menace depuis le VIIe siècle en Europe et dès 721 en France, avec la première grande bataille de notre histoire contre les musulmans à Toulouse. Aujourd’hui, nous devrions considérer cette religion comme une chance pour nous, mais elle n’est pas comme les deux autres grandes religions monothéistes. Tout est dans Le Coran. L’Islam est un projet de société. Les progressistes ne pouvant occulter les revendications toujours plus grandes des musulmans pour modifier en profondeur notre société, ils ont inventé le concept d’Islamisme. Seulement l’Islamisme n’existe pas, il n’y a que des musulmans. Le caractère ochlocratique [du grec “Okhlos”, foule, multitude, et “kratos”, pouvoir, autorité] des populations musulmanes fait qu’elles ne peuvent absolument pas s’intégrer à une population non musulmane et qu’il ne peut y avoir que deux solutions : soit la population indigène non-musulmane résiste et combat, politiquement d’abord, puis physiquement si cela ne suffit pas, et sa terre restera le Dar Al Kufr, “domaine des incroyants”, soit elle cède et sombre dans le Dar Al Islam, “la maison de la soumission”. Pour le moment, nous sommes dans le Dar al Harb, “domaine de la guerre”. C’est pour le moment un conflit de basse intensité, mais cela reste une guerre…
    Justement, la probabilité d’une guerre civile, que vous semblez anticiper, est-elle vraiment envisageable ?
    J’aimerais préciser que ce que je crains n’est pas ce que je souhaite. Mais effectivement, je pense que le contexte économique actuel ne fait qu’augmenter ce risque. Il n’y a qu’à voir la situation des immigrés en Grèce aujourd’hui… La plupart des Occidentaux n’ont pas vraiment de conscience nationale : “Peu importe ce qui se passe dans mon pays tant que ma vie personnelle n’en est pas affectée”. Quand ils ne manquent de rien, ils balaient les discours qui risqueraient de gâcher leur plaisir. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui les Français s’accrochent encore aux programmes à la fois lénifiants et grotesques des candidats socialistes qui promettent de mettre au pas les marchés financiers, de créer des millions d’emplois aidés et d’abaisser l’âge légal de départ à la retraite… Les électeurs veulent y croire et sont prêts à ne pas accorder d’importance au reste du programme du Parti socialiste, c’est-à-dire le droit de vote des étrangers, les régularisations massives et le “changement de civilisation” cher à Madame Aubry… Quand le réel aura frappé, tout cela sera oublié. Certains en feront forcément les frais. Mais il n’est pas trop tard, et il suffit que certaines décisions soient prises pour que la disparition de notre civilisation soit évitée, et sans aucune violence.¢
    D’une colonisation l’autre, Emil Darhel, Éditions L’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux », dirigée par Philippe Randa, 130 pages, 18 euros.

  • Cambridge: une employée de cantine scolaire licenciée pour avoir servi par erreur du porc à une élève musulmane

    Lu sur Fdesouche :

    • L’employée de cantine d’une école primaire limogée au motif d’avoir servi accidentellement du porc à une fillette musulmane
    • Alison Waldock agée de 51 ans a présenté ses excuses pour son erreur dès que l’erreur ait été constatée
    • Elle a dit qu’il lui était difficile de garder traçabilité de tous les desiderata alimentaires de plus de 40 élèves à partir des listes qui lui ont été fournies.
    • Mais en dépit de 11 années de travail en tant que cantinière , elle a néanmoins été licenciée de l’école primaire de Cambridge

    Alison Waldock, 51 ans, a donné du Gammon (l’équivalent de la souris d’agneau pour le porc) à une fillette de sept ans après que celle-ci ait montré du doigt son choix de plat sur les menus de la cantine.

    Le chef d’établissement a repéré l’erreur et est intervenu avant que la fillette ne mange la totalité de sa viande qui est interdit de par sa religion.

     

    Mais les parents de la fillette ont été informé de l’erreur et ont porté plainte contre l’entreprise de restauration qui fournit les plats à l’école.

    Mlle Waldock a été suspendue de toutes ses fonctions et a été licenciée pour faute grave.

    Mlle Waldock a déclaré hier qu’elle avait fait une erreur non-intentionnelle qui a été rejetée bien qu’elle ait supplié ses employeurs de lui laisser garder son emploi.
    « L’école ainsi que la société de restauration font de moi un bouc émissaire » a ajouté cette mère de deux enfants.
    « J’adorais mon travail et je n’avais jamais eu de problèmes auparavant »

    L’erreur s’est passée à l’école primaire de la Reine Edith à Cambridge où la proportion d’élèves issus de minorités ethniques est « bien supérieure à la moyenne » selon le dernier rapport Ofsted. Le site internet de l’école informe également que les familles des élèves parlent plus de 28 langues.

    Mlle Waldock confirme que l’élève avait effectivement demandé de la viande. « J’ai demandé : Tu veux du Gammon?  Et elle a répondu « oui » alors je lui ai servi dit-elle. »

    « Il y a certes une liste de tendances alimentaires mais les élèves ne portent pas de badges ou d’autocollants et nous ne pouvons les connaître tous par coeur. Je respecte toutes les croyances, les religions des enfants ainsi que les choix de repas. C’était juste une erreur. Je pense qu’être virée pour ça est vraiment très sévère. »

    Les parents de la jeune fille Zahid et Rumana Darr ont affirmé que l’école leur ait dit que Mlle Waldock n’était pas directement concernée par l’erreur (rejetant l’erreur sur la société de restauration)

    Mme Darr 33 ans a déclaré: « L’employée de cantine ne se souciait guère des impératifs de son travail »

    Mais Mlle Waldock a répondu : « Ce n’est pas vrai. Si je voyais les parents aujourd’hui, je leur dirais que je suis vraiment désolée de ce qui est arrivé »

    Un groupe de militants musulmans a déclaré que «virer une employée de cantine pour voir servi par inadvertance de la viande de porc est toutefois une sanction excessive»

    Le Groupe communautaire Muslims4UK dit également que la majorité des parents musulmans se montrent «compréhensifs» vis à vis de l’erreur accidentelle.

    Le responsable de l’UKIP Nigel Farage a promis de prendre fait et cause pour Mlle Waldock.

    « Je suis sincèrement désolé pour elle. Si elle avait servi du Gammon à un végétarien aurait-elle été virée? Je ne le crois pas. »

    http://www.contre-info.com

  • « Affolement à Saint-Germain-en-Laye » : les musulmans veulent imposer une mosquée

    <em>« Affolement à Saint-Germain-en-Laye »</em> : les musulmans veulent imposer une mosquée

    SAINT-GERMAIN-EN-LAYE (NOVOpress) – Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines. Ville résidentielle chic, lieu symbolique de l’Histoire française avec la Sainte-Chapelle de saint Louis, un château prestigieux Renaissance (photo) où Heni II est né, un parc magnifique très prisé des Franciliens. Ces derniers devront-ils contempler aussi une mosquée d’ici quelques mois ? C’est fort possible. Le Parisien note un « affolement à Saint-Germain-en-Laye. Les habitants du quartier résidentiel de Saint-Léger craignent l’implantation d’une mosquée à proximité de chez eux », peut-on lire le 31 juillet.

    « Leur inquiétude est survenue récemment après avoir appris que l’association musulmane Mosaïque envisageait d’acquérir une propriété, située rue Saint-Léger, afin d’en faire un lieu de prière. La vente doit être conclue début août », annonce Le Parisien. Il y a quelques jours, Riposte laïque s’inquiétait déjà des manœuvres de la mairie pour faciliter cette implantation et rappelait les mots tenus l’année dernière par le responsable de l’association musulmane : « Nous avons des droits et nous les prendrons ». Une mosquée dans un haut lieu de l’identité française ? Cette nouvelle poussée de l’islamisation passe très mal à Saint-Germain-en-Laye.

    Crédit photo : chenevier via Flickr (cc). http://fr.novopress.info

  • L'immigration en question

    L'époque actuelle est celle de la mondialisation. Tout le monde sait cela mais n'a pas encore conscience que cela a changé la perception et le rôle de l'immigration. Les entreprises délocalisent là où la main d' œuvre est la moins chère. Les multinationales, négriers des temps modernes, ont compris cela depuis longtemps et savent très bien que les immigrés sont donc moins chers chez eux plutôt que chez nous. Tout immigré, lorsqu'il entre en France ou en Europe, bénéficie du système social en place et devient par le fait même trop cher, en tout cas beaucoup plus cher que celui qui est resté sur place. Il n'y a donc plus aucun intérêt économique (en admettant qu'il y en ait eu) pour un pays comme la France de faire venir une main d'œuvre massive non qualifiée comme on continue de le faire. De plus, les entreprises qui ne délocalisent pas pour rester compétitives licencient la main d' œuvre non qualifiée en automatisant, et font donc appel à une main-d'œuvre plus qualifiée. Les immigrés n'intéressent donc plus les négriers puisqu'ils délocalisent. On a donc voulu substituer au vieux slogan éculé : « Les immigrés font le travail que les Français ne veulent pas faire » un slogan tout aussi creux : « Les immigrés font le travail que les Français ne peuvent pas faire », comme si les Français étaient trop bêtes pour faire certains travaux ou le pouvoir politique trop stupide pour anticiper les besoins professionnels de la France.
    A propos de l'immigration pour des raisons idéologiques, on a dit tout et le contraire de tout pour la faire accepter par les Français. Actuellement, en France, entrent les «bac moins 5» et sortent les «bac plus 5» comme l'écrivait Nicolas Baverez dans son livre La France qui tombe.
    La politique se faisant malheureusement à coups de slogans, certains répètent celui-ci : « Les immigrés paieront les caisses de retraite », alors que plus de 90 % des immigrés qui entrent en France sont à la charge de la collectivité et sans emploi. Comment peuvent-ils participer aux caisses de retraite ? Tout cela représente des sommes considérables qui pourraient être utilisées pour autre chose (recherche, investissement...).
    La politique de l'immigration massive a été décidée dans les années 60 pour peser sur les salaires. D'autres pays avaient déjà fait un autre choix puisque comme le souligne Paul Lambert, le Japon par exemple avait pratiqué l'immigration zéro forçant le patronat japonais à moderniser l'appareil productif et ne pas recourir à la facilité de l'appel à l'immigration. Le résultat a été celui-ci : le Japon, qui dans les années 50, avait une économie inférieure à la nôtre, nous a surpassés dans l'absolu. Sans immigration, par sa modernisation, le Japon a connu des taux de croissance de 10 % l'an. Cet exemple montre que des choix politiques autres sont toujours possibles. ( ... )
    La survie du peuple français est liée plus que jamais à sa survie économique.
    Patrice Gros-Suaudau
    (courrier des lecteurs de National Hebdo)

  • Délinquance et immigration : Le laxisme a un coût (arch 2009)

    LA VIDÉO montrant quatre Jeunes agressant un blondinet aux cris de « sale Français » a été largement évoquée dans notre dernier n°. Mais revenons un instant sur cette affaire pour en analyser la seule dimension économique.
    « Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus, au-dessus d'eux, l'autorité de personne, alors c'est là, en toute jeunesse et en toute beauté, le début de la tyrannie. » (Platon). Ces sages paroles résonnent d'une tonalité cruelle à l'heure où des bandes ethniques tiennent en laisse une masse hébétée, atone, qui courbe l'échine devant des "incivilités" qui, en d'autres temps, auraient mené leurs auteurs devant des instances autrement plus musclées que nos hésitants tribunaux. Il est à noter que, bien entendu, les agresseurs ne risquent en réalité pas grand-chose, ce qui explique que - sous couvert d'anonymat - de nombreux conducteurs d'autobus aient témoigné sur diverses radios (Europe Un ou RTL notamment) : de telles agressions de Français deviennent le lot quotidien de populations vivant sous le joug de bandes d'encapuchonnés triomphants, voilà les faits constatés, quotidiennement par les agents de la RATP. Il est également à noter que si ces terreurs étaient arrêtées et aussitôt fusillées pour l'exemple, les agressions cesseraient mystérieusement dans les quinze jours. Mais c'est un autre débat que ne résoudra pas le numéro de va-t'en guerre, auquel Nicolas Sarkozy s'est livré mardi à Nice où il a prétendu régler le problèmes des bandes - ou plutôt des gangs.

    INVASION ET RAPINES
    Comment le pouvoir en place a-t-il ces dernière années lutté contre la criminalité dans les banlieues ?
    Tout d'abord, il faut dire que l'immigration, que cela plaise ou non, est en soi pathogène : une étude officielle, fondée sur les documents de la DCSP et de la DCPJ en 2004, estimait que 60 à 70 % des délinquants étaient issus de l'immigration récente, et de « confession musulmane ». Selon cette même étude: « Au 1er janvier 2004, les étrangers représentaient 12 241 détenus dans les prisons françaises, sur une population carcérale de 55 355 personnes ». Depuis, la proportion de délinquants issus de l'immigration a encore augmenté (50 à 80 % de musulmans dans les prisons franciliennes). Comment expliquer la délinquance spécifiquement liée à l'immigration, phénomène constaté dans la plus part des pays européens ? Selon le docteur Patrick Huerre, expert auprès des tribunaux, c'est le contexte familial et social qui en réalité prévaut : ainsi montre-t-il, au terme de quinze ans de diagnostics effectués sur les viols et agressions sexuelles en réunion, que 52 % des agresseurs étaient d'origine maghrébine, et 20 % issus de l'Afrique noire.
    Mais surtout, la plupart des délinquants étaient en échec scolaire, et dans des familles éclatées, caractéristiques d'une assimilation ratée. Pour des raisons économiques liées au prix de l'immobilier en centre-ville, les immigrés vivent souvent dans des banlieues qui se paupérisent et se transforment en ghettos où peu à peu le non-droit règne. Plus l'immigration est importante, plus ces zones s'étendent, fort logiquement.
    Il existe aujourd'hui des centaines de cités dans toute la France où ni police, ni services sociaux, ni même services d'urgence (pompiers, Samu, etc.) ne peuvent plus pénétrer. L'accumulation par strates de populations analphabètes, non intégrées, parlant mal ou pas notre langue, désœuvrées et sans emploi, a créé des conditions de vie précaires qui mènent les deuxième et troisième générations à la délinquance, Les Jeunes qui peuplent ces cités sont pris en charge par ce qu'on nomme pudiquement l'économie parallèle, soit le trafic de drogues, les vols, et autres, le tout sous la coupe de bandes organisées, selon un schéma bien connu des services de police, Et la réponse quasi unique des gouvernants au problème posé a été depuis trente ans des subventions, encore des subventions, ou la création à jet continu d'organismes étatiques divers, ce qui est idiot sur le plan économique, mais surtout pervers : la ville rieuse où chacun vit en harmonie ne reçoit aucune aide gouvernementale, quand la cité hantée par des bandes racistes va connaître une pluie d'argent public. Plus la délinquance sévit, plus le maire et son équipe seront récompensés ! Sans parler, en outre, des pratiques tribales maghrébo-africaines qui s'y déroulent : lors d'une conférence de presse tenue le 13 mars dernier, la sous-ministre Valérie Létard a rappelé - sans proposer aucune solution - que la France comptait près de 55 000 femmes excisées et 70 000 femmes mariées de force chaque année !
    Nous allons montrer que depuis trois décennies, les gouvernements fi' ont tenté de résoudre la violence, le trafic, les braquages, et le racket dans les banlieues que par la création de dizaines de comités Théodule, ou via l'injection d'argent public à fonds perdus: vacances, centres culturels, MJC, terrains de foot, équipement divers, souvent saccagés l'année même de leur édification. N'aurait-il pas été plus judicieux, par exemple, de conditionner ces investissements au retour préalable de la paix civile ? Par peur de choquer les bobos du VIe, des quartiers entiers de la périphérie (mais aussi, de plus en plus souvent, certains quartiers des métropoles où abondent les HLM) ont été progressivement abandonnées, malgré les subventions démentes dont ils ont été l'incessant objet. Quant à la malheureuse population honnête, et souvent modeste, qui ne peut en déménager par manque de moyens, elle est devenue l'otage de criminels, dans l'indifférence des élites verbeuses qui sollicitent nos suffrages avec leurs remèdes à la Docteur Knock.

    TU M'AGRESSES ? MERCI !
    Voici quelques étapes de cette course à l'échalote. Juin 1983 : création du Conseil national de prévention de la délinquance (CNPD). La loi du 22 juin inscrit le droit au logement parmi les droits fondamentaux ... Novembre 1983 : lancement de la mission Banlieue 89, sous la houlette des architectes Roland Castro et Michel Cantal-Dupart, pour « lutter contre l'enclavement des quartiers défavorisés ». Juin 1984 : création du Comité interministériel pour les villes (CIV) et du Fonds social urbain (FSU), en liaison avec le programme gouvernemental « Mieux vivre dans la ville ». Février 1985 : circulaire du Premier ministre qui met en place les « contrats d'action de prévention pour la sécurité dans la ville » (CAPS). Octobre 1988 : création d'un Conseil national des villes (CNV), d'un Comité interministériel des villes et du développement social urbain (ClV), et d'une Délégation interministérielle à la ville et au développement social urbain (DIV), qui reprend les activités de Banlieue 89 : quatre cents quartiers en difficulté sont recensés. Janvier 1989 : démarrage du « dixième plan gouvernemental » : 400 conventions DSQ (développement social des quartiers) sont signées. La Caisse des dépôts et consignations (CDC) lance le Programme développement solidarité (PDS) en faveur des quartiers. Novembre 1989 : circulaire sur la politique de prévention de la délinquance ; création de l'Institut des hautes études de la sécurité intérieure (IHESI). Mars 1991 : émeutes dans la cité des Indes, à Sartrouville ; création d'un « Comité d'évaluation de la politique de la ville ». Mai 1991 : violents incidents au Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie; création de la section « violences urbaines » aux Renseignements généraux (RG) ; début de l'opération « Quartiers lumières ». Jumet 1991: loi d'orientation pour la ville (LOV), dite aussi « loi anti-ghettos ». Le gouvernement définit les premiers grands projets urbains (GPU) en faveur de quartiers situés en banlieue parisienne, ainsi qu'à Vénissieux, Marseille, Roubaix et Tourcoing. Septembre : création du service national ville (SNV), dans le cadre duquel des appelés du contingent seront affectés dans les quartiers jugés sensibles. Mai 1992 : circulaire du ministère de l'intérieur sur les plans locaux de sécurité (PLS), qui prévoient l'accroissement de la présence policière dans les banlieues. Juillet 1993 : le gouvernement annonce la mise en place d'un « plan de relance pour la ville ». Février 1994: création d'un « Fonds interministériel d'intervention pour la politique de la ville » (FIV) Mai 94 : circulaire gouvernementale relative à la « politique de prévention de la délinquance et de lutte contre l'insécurité en milieu urbain » ; discours de Mme Veil (ministre) devant le Conseil national pour l'intégration des populations immigrées (Cnipi). Juin 1994 : mise en place des 214 contrats de ville concernant 750 communes et 1 300 quartiers ; lancement du programme Européen Urban (1994-1999) en faveur des quartiers défavorisés - 8 sites français sont sélectionnés. Janvier 1996 : le Premier ministre Alain Juppé annonce un « pacte de relance pour la ville » axé sur le développement économique et l'emploi. Mai 1996 : création des emplois de ville, qui concernent les jeunes de quartiers âgés de 18 à 25 ans (ils seront remplacés l'année suivante par les emplois-jeunes). Novembre 1996 : la loi sur la mise en œuvre du pacte de relance pour la ville institue 750 zones urbaines sensibles (ZUS). Le gouvernement crée également des zones franches urbaines (ZFU) afin d'attirer les entreprises dans certains quartiers en difficulté grâce à des exonérations fiscales et sociales. Juin 1998 : assises nationales des ZEP à Rouen ; le comité interministériel des villes (CIV) définit les priorités du gouvernement en matière de politique urbaine l'accent est mis notamment sur les notions de pacte républicain et de cohésion sociale. Mars 1999 : le ministre de l'Intérieur Chevènement signe une circulaire visant à renforcer la lutte contre les violences urbaines. Décembre 1999 : le CIV entérine le programme gouvernemental de rénovation urbaine et de solidarité ; 50 grands projets de ville (GPV) sont créés, et 30 opérations de renouvellement urbain (ORU)sont engagées. Décembre 2000 : promulgation de la loi sur la solidarité et le renouvellement urbain (SRU), qui soumet à un prélèvement les communes comptant moins de 20 % de logements sociaux ; circulaire gouvernementale portant création d'un fonds de revitalisation économique (FRE), destiné à relancer les activités dans les quartiers. Octobre 2001 : Le ClV décide de consacrer près de 10 milliards de francs de subventions nouvelles d'ici à 2006, d'accorder 25 milliards de francs de prêts à taux réduit en faveur des personnes vivant dans les quartiers difficiles et d'accélérer les démolitions de barres HLM. Novembre 2001 : loi relative à la lutte contre les discriminations. Le FAS devient le Fasild (Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations). Juillet 2002 : décret relatif aux dispositifs territoriaux de sécurité et de coopération pour la prévention et la lutte contre la délinquance ; les conseils communaux de prévention de la délinquance (CCPD) sont remplacés par les conseils locaux de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD). Janvier 2003 : M. Borloo rend publique la liste des 41 nouvelles zones franches urbaines (ZFU) qui verront le jour en janvier 2004. Mars 2003 : promulgation de la loi pour la sécurité intérieure (LSI), qui renforce considérablement les moyens de la police judiciaire et élargit les pouvoirs de contrôle par le croisement et l'extension des fichiers d'infractions ou d"'incivilités" (parmi lesquelles on trouve les rassemblements dans les halls d'immeubles). Août 2003 : loi d'orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine, dite loi Borloo, consacrée à la « lutte contre les inégalités sociales et territoriales ». Novembre 2003 : lancement du Programme national de rénovation urbaine (PNRU) et de l'Agence nationale de rénovation urbaine (ANRU) ; installation de l'Observatoire national de la délinquance (OND). Octobre 2004 : installation de l'Observatoire national des zones urbaines sensibles (ZUS) au sein de la Délégation interministérielle à la ville (DlV). Janvier 2005 : promulgation de la loi relative à la programmation pour la « cohésion sociale ».
    On pourrait continuer ainsi des pages durant. Des milliards d'euros de subventions absurdes ont été déversés dans le tonneau des Danaïdes qu'est l'immigration à robinets ouverts.
    Epargnons au lecteur - qui a déjà forgé son opinion sur ces questions - la litanie des initiatives récentes sarko-fillonesques, aussi plates que ce qui précède, et avec des résultats semblables. Les délinquants se rient des mollassons ; en revanche, ils craindraient probablement ceux qui leur rendraient la politesse à coup de pied dans le fondement.
    Hélas, l'électeur semble s'accommoder fort bien d'être traité en paria dans sa propre maison. A lire les résultats invariables de l'UMPS aux élections, il ne semble pas que le temps du Karcher, promis par le faux dur Sarko, soit pour demain.
    Aussi est-il logique, au fond, que le tabassage de Français soit désormais la règle, passé minuit.
    Grégoire DUHAMEL. RIVAROL 2009

  • L’antiracisme français sous perfusion mondialiste

    Créée par Georges Soros, l’Open Society Foundations possède un fonds pour mettre un frein à la xénophobie et à la montée des discriminations en Europe [1] . Selon elle, la hausse des attitudes racistes et discriminatoires en Europe serait favorisée par la crise économique. Parmi les exemples, sont évidemment mentionnés le racisme culturel, l’antisémitisme, l’afrophobie et l’islamophobie. Rien pour le Français de souche catholique, étrangement. Sans doute un oubli. Mais si la crise économique est la cause de cette xénophobie, ne serait-il pas plus judicieux de s’attaquer en priorité à ce problème ?

    Le « Fonds d’Open Society pour arrêter la xénophobie », lancé en 2011, se propose donc d’investir dans des projets ou programmes, voire dans des associations dans une limite de 30 % de leur budget, afin de lutter contre ces graves dérives totalitaires. Il s’agit avant tout de soutenir les organismes protecteurs des minorités, la majorité ayant en démocratie toujours tort, c’est bien connu. Par contre, il n’est jamais dit en quoi ces associations représentent réellement lesdites minorités. « Toute association fera l’objet d’une attention particulière, afin de s’assurer qu’elle n’adopte pas une approche « top-down » de la représentation des intérêts des minorités », nous précise l’aperçu du programme dans une novlangue indigeste.

    En France, le CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) a par exemple reçu entre 5 000 et 20 000 euros pour une campagne en vue d’obtenir des réparations pour l’esclavage. Le Président de la République, en citant Aimé Césaire, leur a gentiment répondu que tout l’or du monde ne mettrait pas fin à cet outrage [2]. Fin de non-recevoir pour le CRAN. Même en matière d’antiracisme, il existe donc des différences de traitement. Ce qui est bon pour les uns ne l’est pas nécessairement pour les autres. L’association a aussi reçu entre 20 000 et 75 000 euros pour la création d’un baromètre des villes dans leur lutte contre le racisme.

    Autre antenne antiraciste financée par le fonds de l’Open Society Foundations : Les Indivisibles, association fondée par Rokhaya Diallo, young leader à la French American Foundation. On se souvient de son débat sur Arte face à Éric Zemmour au cours duquel elle a nié l’existence des races, semblant ainsi ignorer la différence entre race et espèce [3] . L’objet de cette association est explicite : « Les Indivisibles sont un groupe de militants dont le but est de déconstruire, notamment grâce à l’humour et l’ironie, les préjugés ethno-raciaux et en premier lieu, celui qui nie ou dévalorise l’identité française des Français non-blancs. » Subsides obtenus afin de développer ses outils de communication.

    Le Fonds d’Open Society pour arrêter la xénophobie a aussi financé un projet de la Cimade, dotée du slogan mielleux « L’humanité passe par l’autre », en vue de favoriser l’image des immigrés auprès des populations locales. Il s’est aussi intéressé à l’association Graines de France, qui a d’autres partenaires intéressants comme l’ambassade américaine, la Fondapol (think tank français libéral) ou encore Terra Nova [4] connu pour sa réflexion sur le vote bobo [5]. Il est à noter que Will Burns, un proche d’Obama, avait accepté en 2011 d’entrer au conseil d’administration de l’association [6].

    Promouvoir l’immigration massive en période de crise économique afin de faire pression à la baisse sur les salaires des nationaux permet à la fois de rester compétitif dans une économie ouverte, où tous les instruments souverains comme la monnaie ou le budget ont disparu, mais aussi de porter atteinte à la cohésion nationale. Soutenir l’antiracisme le plus primaire, visant à culpabiliser en permanence la population d’accueil, contribue à générer l’effet inverse, à savoir plus de racisme envers des allogènes refusant de s’assimiler au nom du droit à la différence. En clair, deux buts qui n’ont rien de philanthropiques malgré les beaux principes de façade. Rien d’étonnant : lorsque Georges Soros soutient un projet, la méfiance est de mise.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr