
Chaque jour ou presque, le ministre Darmanin se vante sur Twitter de l’expulsion d’un ou deux étrangers, parfois trois, généralement coupables de violences. Exemples :
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Chaque jour ou presque, le ministre Darmanin se vante sur Twitter de l’expulsion d’un ou deux étrangers, parfois trois, généralement coupables de violences. Exemples :
Extrait de la tribune d’Eric Zemmour publiée par le JDD :
“(…) À l’instar des chefs d’État des pays arabes qui craignent la désapprobation de leur « rue » lorsqu’ils normalisent leurs relations avec Israël, Emmanuel Macron a peur, lui aussi, de sa « rue arabe » (…)Macron sait qu’il est à la tête de deux peuples. Deux peuples qui n’arrivent plus à vivre ensemble. Deux peuples, dont l’un doit fuir sans cesse les agressions d’une fraction de plus en plus violente de l’autre, pas seulement les attentats perpétrés aux cris de « Allah Akbar », mais ce véritable djihad du quotidien que subissent les Français : insultes, coups, vols, viols, attaques au couteau, trafic de drogue, meurtres.
Yves Thréard
Cinq jours après la mort de Nahel, jeune Franco-Algérien de 17 ans, tué à Nanterre par un policier fin juin, la France avait déjà été mise sens dessus dessous, saccagée nuit après nuit. Dans une partie de la population, les accusations fusaient : contre les violences policières, les flics racistes, les cités abandonnées, les discriminations, les injustices... Cinq jours après la mort de Thomas, jeune villageois de 16 ans poignardé à la fin d’une soirée dimanche à Crépol, dans la Drôme, l’émotion est vive, mais sa mère ne crie pas vengeance juchée sur la plateforme d’un camion, et le pays n’est pas défiguré par des casseurs. Pour lui, pas de minute de silence observée à l’Assemblée nationale.
La France est priée par l'Europe d'accueillir des migrants. Toujours plus de migrants.
Une générosité forcée qui pèse d'un poids très lourd sur le territoire. Cette fois, c'est une université française qui est au pied du mur. Et n'en peut plus d'assumer une mission qui n'est pas la sienne. On prend les mêmes et on recommence ! Ce lundi 21 novembre, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a ainsi ordonné l’expulsion d’une centaine de sans-papiers squattant le bâtiment 4R3 de l'université Paul-Sabatier de la ville rose.
Ainsi donc, ce mercredi, c'est à Romans-sur-Isère qu'aura lieu une marche blanche organisée par la famille de Thomas, assassiné à Crépol. C'est dans ce chef-lieu de canton situé à 17 kilomètres des lieux du drame que Thomas allait au lycée et jouait au rugby, et c'est peut-être - selon toute vraisemblance - de là, aussi, que venaient certains, au moins, de ses agresseurs. Une petite ville de 33.000 habitants qui, comme bien d'autres en France, se gangrène, rongée par les violences, l'insécurité et l'immigration.