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immigration - Page 678

  • Boulogne-sur-Mer. Prison ferme pour deux hommes qui aidaient des migrants à traverser la Manche

    justice.jpgUn chef d’entreprise et un chauffeur de taxi ont été condamnés à des peines de prison ferme pour avoir aidé des migrants à traverser la Manche entre octobre et mars.
    Un vendeur de bateaux et un chauffeur de taxi ont été condamnés vendredi par le tribunal de Boulogne-sur-Mer, Pas-de-Calais, à des peines de 18 mois et un an de prison ferme, pour avoir aidé des migrants à traverser la Manche entre octobre et mars.
    L’enquête avait débuté en janvier, avec l’interpellation de quatre ressortissants iraniens et de deux chauffeurs de taxi sur la plage de Wimereux (Pas-de-Calais). Grâce à des témoignages, les enquêteurs avaient pu remonter jusqu’à la société Fluvialys, basée à Deûlémont (Nord).
    En mars, le même tribunal de Boulogne-sur-Mer avait condamné à des peines allant jusqu’à trois ans et demi de prison ferme cinq hommes reconnus coupables d’avoir aidé des migrants à entrer en Grande-Bretagne à bord de camions en rémunérant les chauffeurs.[...]
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  • Rioufol voit dans la Marche Pour Le Climat une manipulation : «L’immigration est au cœur de la campagne or on veut inverser les priorités»

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    Ivan Rioufol (Le Figaro) : «L’écologie n’est pas au coeur de cette campagne. Ce qui est au coeur de cette campagne, c’est l’immigration.
    Le sujet qui est au coeur des campagnes, et tous les sondages le disent, c’est l’immigration, l’insécurité, le pouvoir d’achat. L’écologie n’arrive qu’en 4ème ou 5ème position, or là aujourd’hui, on a voulu inverser les priorités (…)
    Je me méfie un peu des manipulations de ces jeunes, parfois jeunes enfants, les esprits malléables peuvent également l’être sur des questions de réchauffement climatique dont on laisse à penser qu’il annoncerait la fin du monde dans la quinzaine qui vient.»
    – CNEWS, 24 mai 2019, 17h17

    « L’écologie n’est pas au coeur de cette campagne. Ce qui est au coeur de cette campagne, c’est l’immigration. Le sujet qui est au coeur des campagnes, et tous les sondages le disent, c’est l’immigration, l’insécurité, le pouvoir d’achat. L’écologie n’arrive qu’en 4ème ou 5ème position, or là, aujourd’hui, on a voulu inverser les priorités et faire en sorte que sur ce sujet facile de l’écologie sur lequel il y a une clientèle jeune qui peut se mobiliser pour un oui ou pour un non, on a voulu faire en sorte de se sentir dans l’air du temps en flattant une opinion, mais cela me semble un artifice, bien sûr, parce qu’on sait très bien que le fait qu’il y ait beaucoup de jeunes comme ça qui défilent …
    D’abord, je me méfie un peu des manipulations de ces jeunes, parfois jeunes enfants, les esprits malléables peuvent également l’être sur des questions de réchauffement climatique dont on laisse à penser qu’il annoncerait la fin du monde dans la quinzaine qui vient, donc moi je prends beaucoup de distance avec cela.
    Mais en tout cas, il ne faut pas se plaindre qu’on n’ait pas parlé des problèmes d’Europe si à chaque fois qu’il y a un problème qui ait posé, ce soit un problème annexe, puisque le problème du réchauffement climatique est naturellement mondial, il n’est pas particulièrement européen, et il ne va pas se régler dans l’immédiat, or on fait en sorte de détourner les regards pour essayer de flatter une opinion qui n’est pas dominante et en plus qui ne vote pas, donc ça me paraît être un artifice. »

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/rioufol-voit-dans-la-marche-pour-le.html

  • Intégration suédoise : la faillite…

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    Depuis les années 1960, la Scandinavie était vantée comme cette terre favorable à l’accueil des migrants, comme la terre de l’asile par excellence, prête à accueillir tous les réfugiés, qu’ils soient politiques ou économiques.

    Or, en moins de trois ans, ce modèle tant vanté par la pensée unique vacille sérieusement au point d’être remis en cause par les ressortissants nationaux en personne.

    La Suède fut, pendant très longtemps, l’exemple archétypal de la terre d’accueil. Résultat : aujourd’hui, d’après les premiers sondages, 40 % des Suédois estiment que les immigrés ne devraient pas bénéficier des mêmes droits sociaux que les nationaux. De même, un cinquième des Suédois pensent que la diversité menace la culture nationale et trois Suédois sur dix déménageraient volontiers en cas d’installation d’immigrés originaires du Proche-Orient à côté de leur lieu de résidence. Ce sont là des chiffres criants de vérité révélés par le journal Le Monde, pourtant peu enclin à remettre en cause le péril migratoire.

    Rendons-nous bien compte que la Suède est l’un des pays qui a accueilli le plus d’immigrés annuellement : plus de 140.000 par an, ces trois dernières années, soit un chiffre énorme comparé proportionnellement à sa population de dix millions d’habitants.

    Inutile de souligner que soixante ans d’ouverture des frontières a des conséquences identitaires marquées sur la vie nationale. « J’ai fait le choix de ne pas vivre à l’étranger, parce que j’aime le confort d’être chez moi. Mais parfois, j’ai le sentiment de ne plus savoir où je me trouve » : cet autre exemple tiré du même article du Monde souligne à quel point le sentiment de dépossession est entier. Le témoignage sincère de cette cinquantenaire appartenant à la classe moyenne suédoise n’est pas teinté de racisme ni même de xénophobie. Il s’agit simplement d’un cri d’alarme attestant de la menace identitaire qui guette notre vieille Europe.

    À trop défendre la culture des minorités, nos pays européens respectifs risquent sérieusement d’abandonner leurs propres rêves, leurs propres idéaux et surtout leur propre identité pour faire des soi-disant apports étrangers leur modèle culturel par excellence.

    Bastien Gorse

    https://www.bvoltaire.fr/integration-suedoise-la-faillite/

  • « Pour les migrants l’argent coule à flots, pour nos armées et nos policiers, les caisses sont vides.»

    Emmanuel Macron.jpgSelon la Cour des comptes, un nouveau trou financier de 32,5 millions en 2019 pourrait s’ajouter à celui de 43 millions de 2018 ! Total 75,5 millions.
    La hausse des dépenses de personnel a été sous-estimée et il ne sera plus possible de tailler dans les dépenses d’équipements pour combler le trou.

    « Pour la Cour des comptes, la Gendarmerie, mais aussi la Police, ont surtout de très grosses difficultés à concrétiser les promesses du candidat Macron. Ce dernier avait promis 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires d’ici 2022. Pour l’armée cela représentait 500 postes supplémentaires ouverts en 2018. »

    « Or, entre revalorisations salariales et hausse des personnel, l’intendance a du mal à suivre. Selon la Cour des comptes, il a manqué en 2018 pas moins de 100 millions d’euros sur les crédits de la masse salariale de la Gendarmerie et de la Police. « De nouvelles tensions dans l’exécution des crédits de masse salariale sont donc hautement prévisibles », avertissent les magistrats financiers. »
    On le voit, armée et forces de police sont en permanence au taquet, aussi bien au plan des effectifs qu’au plan budgétaire.
    C’est inadmissible, alors que la disponibilité des soldats et des forces de police est exemplaire.
    Pour mémoire, Macron a porté le budget de l’AME, qui soigne les sans papiers à 100 % sans limitation de dépenses, à 1 milliard d’euros par an.
    Pour mémoire également, l’État et les départements ont dépensé en 2018 près de 2,5 milliards pour accueillir 40 000 mineurs isolés, dont les 2/3 sont des fraudeurs majeurs selon le Sénat.
    Pour les migrants l’argent coule à flots, pour nos armées et nos policiers, les caisses sont vides.
    Macron est bien le fossoyeur de la nation. Quand l’accueil des clandestins est prioritaire sur la défense et la protection des citoyens, c’est que la désintégration du pays n’est plus très loin.
    Jacques Guillemain pour ripostelaique.com
  • Rioufol : «Mélenchon se refuse d’aborder les problèmes d’immigration et d’Islam. Marine Le Pen a eu raison de renommer son parti “France Islamiste”»

    Ivan Rioufol (Le Figaro) analyse les faibles intentions de vote pour la France Insoumise : «Mélenchon a très bien discerné l’état d’insurrection de la société, il l’avait vu depuis longtemps comme l’avait vu Marine Le Pen quand elle parlait de la “Société des Oubliés” (…) mais Mélenchon, lui, s’est refusé à aborder les problèmes centraux d’immigration, de communautarisme, d’Islam. Non seulement il ne les a pas abordés, mais il les a flattés en allant dans leurs sens (…) Marine Le Pen a eu raison (de dire “France Insoumise” = “France Islamiste”), elle met le doigt sur ce que je viens de vous décrire.»
    – CNEWS, 24 mai 2019, 17h32

    « Mélenchon n’a vu que d’un oeil. Il a très bien discerné l’état d’insurrection de la société, ça il l’avait vu depuis longtemps comme l’avait vu Marine Le Pen quand elle parlait de la “Société des Oubliés”. Tous les deux avaient le même discours qui s’adressait à cette France périphérique, à cette France oubliée, à cette France des Gilets Jaunes – les Gilets Jaunes n’étaient pas toute cette France périphérique mais ils en ont été le symbole – donc Mélenchon et Le Pen, de ce point de vue là parlaient d’un même langage et c’était parfois très similaire, étonnamment similaire, mais on a bien vu que Mélenchon, lui, s’est refusé à aborder les problèmes qui sont centraux dont j’ai parlé tout-à-l’heure, c’est-à-dire les problèmes d’immigration, les problèmes de communautarisme, les problèmes d’Islam. Non seulement il ne les a pas abordés, mais il les a flattés en allant dans leurs sens, il suffit de lire son programme qui est un programme de mon point de vue complètement éthéré et complètement aberrant de vouloir absolument aller dans le sens de la flatterie des communautarismes, de la flatterie allant dans le communautarisme, de la flatterie de l’Islam politique, et donc dans la flatterie de l’Islamisme. Et donc il est là, il s’est fourvoyé en brouillant son image de Républicain laïque pour donner corps aujourd’hui à des revendications identitaires. »

    Sur le fait que Marine Le Pen ait renommé “France Insoumise” en “France Islamiste” : « C’est un propos très polémique, mais elle a raison, c’est-à-dire qu’elle met le doigt sur ce que je viens de vous décrire, de cette dérive qui de mon point de vue est une dérive en effet électoraliste et qui va vers une sorte d’acquiescement à une idéologie, l’idéologie islamiste, qui est une idéologie qui est en tout incompatible avec la démocratie. Donc c’est une erreur fondamentale que paie Mélenchon, et je pense que les électeurs s’en aperçoivent, sinon il n’y a aucune raison qu’il ait ce score-là. »

    http://www.fdesouche.com/1212029-rioufol-melenchon-se-refuse-daborder-les-problemes-dimmigration-et-dislam-marine-le-pen-a-eu-raison-de-renommer-son-parti-france-islamiste

  • L’Europe peut-elle encore échapper au Grand Remplacement ?

    Jean-Yves Le Gallou prenait la parole le 18 mai 2019 aux États-Unis, au Congrès d’American Renaissance, à l’invitation de Jared Taylor. Voici le texte de son intervention.
    Le peuplement européen d’origine est resté stable pendant 5000 ans
    .

    1) Le peuplement de l’Europe, tel qu’il est resté sans changement jusqu’au milieu du XXe siècle, remonte à 5000 ans. Lorsque le peuple européen d’origine a entrepris sa dispersion : en quittant les steppes pontiques vers l’est et la Sibérie, vers le sud, la Perse et l’Inde, et surtout vers l’ouest c’est-à-dire l’Europe.

    Les hommes et les femmes de la civilisation de la céramique cordée ont occupé progressivement l’Europe occidentale. Une terre vide d’hommes pour l’essentiel à l’exception d’un petit nombre de chasseurs-cueilleurs du néolithique auxquels les conquérants indo-européens se sont unis.

    Là est le fondement ethnique du peuple européen.

    Là est aussi l’origine de sa civilisation. De ses langues – slaves, germaniques, celtiques, romanes – toutes dérivant d’une origine commune. De leur vocabulaire, de leur syntaxe. Là est aussi la source d’une cosmogonie partagée. Et d’une organisation sociale structurée autour de la hiérarchisation et de la distinction des fonctions de souveraineté (magico-religieuse) de défense (extérieure et intérieure) et de production et de reproduction. Et d’une conception du monde fondée sur la représentation et sur l’incarnation comme sur le respect dû aux femmes.

    2) Pour protéger cet espace les Européens ont dû lutter contre le monde extérieur. Il y eut la lutte de l’Orient contre l’Occident. Avec la victoire des libertés grecques contre l’empire perse. La victoire de la raison romaine face à Carthage. La victoire des Romains et de leurs alliés barbares face aux hordes hunniques venus d’Asie. Puis durant quatorze siècles la chrétienté et l’islam s’affrontèrent à travers la Reconquista de la péninsule ibérique, les Croisades et la lutte contre le Grand Turc.

    3) Mais ces conflits incessants n’ont pas changé la substance de la population européenne. Ce qu’on appelle les Grandes invasions- du IVe au IXe siècle – ont certes renforcé l’apport germanique et nordique dans le centre et le sud de l’Europe mais sans changer fondamentalement la substance de l’Europe. A l’intérieur de l’espace européen le peuplement est resté européen. La Horde d’or a marqué de son empreinte la Russie mais les Mongols n’ont laissé aucune trace à l’ouest de l’Europe. Les invasions arabes n’ont que très peu modifiés le peuplement des rives de la Méditerranée. Les traces de gènes subsahariens qui en sont les marqueurs sont quasiment absents d’Europe sauf sur certaines côtes du sud de l’Espagne, de la Sicile ou de Calabre.

    4) Bref le peuplement de l’Europe est resté exclusivement européen jusqu’en 1960. A partir de là tout a basculé. Les Européens se sont retirés d’Afrique et du monde indo-pakistanais. Mais le monde africain et musulman a commencé à migrer vers l’Europe.

    Ce sont les ex-puissances coloniales qui ont été les premières concernées : France, Grande Bretagne, Belgique, Pays-Bas suivis par l’Allemagne et les pays du nord de l’Europe, la Scandinavie et l’Irlande. On peut distinguer les contours d’une Europe envahie. En voici les causes.

    L’Europe envahie : l’Europe de l’ouest et du nord

    5) L’immigration est voulue par de puissantes forces économiques et idéologiques. Le patronat a toujours soutenu l’immigration dans laquelle il voit un moyen efficace de peser à la baisse sur les salaires. De leur côté beaucoup d’immigrés espèrent mieux vivre dans les pays européens que chez eux : soit en y trouvant des emplois et/ou en y accédant à des régimes sociaux généreux.

    Ces logiques économiques sont servies par l’idéologie dominante fondée sur le socle des droits de l’homme. Chacun individu d’où qu’il vienne et quelle que soit sa nationalité est censé disposer des mêmes droits. Tout homme indépendamment de ses origines – nationales, ethniques, culturelles, religieuses, civilisationnelles est censé être « remplaçable ».

    C’est ce que l’écrivain français Renaud Camus nomme le « remplacisme global ».

    Tout ceci constitue la base de la doxa de l’Europe envahie qui s’impose par la propagande médiatique et la tyrannie des juges baptisée « Etat de droit ». Le tout sur fond de repentance et de culpabilisation pour le passé guerrier, colonial et esclavagiste des Européens !

    Tous ceux – hommes politiques ou journalistes – qui se sont opposés à cela ont été diabolisés.

    Les conséquences en sont terrifiantes.

    6) Le nord et l’ouest de l’Europe sont envahis par une immigration massive venue d’Afrique et du monde arabo-musulman. En France plus de 20% de la population n’est plus ni d’origine, ni de civilisation européenne. Pire 38% des nouveaux nés sont dépistés à la drépanocytose, dépistage réservé aux nouveaux nés dont les 2 parents lorsqu’ils sont connus, ne sont pas d’origine européenne. Ce chiffre atteint même 70% en région parisienne. Vous avez bien entendu 70% dans la région de Paris.

    En Grande Bretagne 9% de la population est né dans un pays non européen (chiffre qui ne prend en compte ni la deuxième, ni la troisième génération). Selon le think tank Migration watch, la population britannique augmentera de 10 millions dans les 25 prochaines années du fait des futurs migrants et de leurs descendants. Depuis 2016, Sadik Khan, le maire de Londres, est un musulman proche des fondamentalistes. Des gangs pakistanais font régner la terreur dans le nord-ouest de l’Angleterre. D’où Enoch Powell avait lancé son cri d’alarme dans un célèbre discours prononcé à Birmingham le 20 avril 1968. Un discours prémonitoire qui avait ruiné la carrière de cet homme politique conservateur le plus brillant de sa génération.

    L’Allemagne a accueilli en 2015, 1 500 000 immigrants. Deux ans auparavant Thilo Sarrazin, ancien ministre des finances socialistes de Berlin et membre démissionné de la Bundesbank, avait publié un livre choc : « l’Allemagne disparaît ».

    Thilo Sarrazin observait que depuis 1960 les naissances d’Allemands de souche avaient diminué de 70%. Parallèlement le nombre d’immigrés n’a cessé d’augmenter. Chez les moins de 20 ans le tiers des habitants de l’Allemagne est en lien avec l’immigration.

    Une situation comparable se retrouve en Belgique at aux Pays-Bas. A titre d’exemple la population européenne d’origine est devenue minoritaire dans les deux plus grands ports d’Europe, Anvers et Rotterdam.

    La Scandinavie est aussi touchée : alors qu’il n’y avait pratiquement pas d’immigrés en Suède, il y a 30 ans, aujourd’hui 25% de la population est issu du monde non européen.

    Le Grand Remplacement dénoncé par l’écrivain français Renaud Camus est en cours dans tout le nord et l’ouest de l’Europe.

    Les pays menacés par l’invasion : les pays riverains de la méditerranée et les Balkans

    7) À l’exception de la France, les pays riverains de la Méditerranée – Grèce, Italie, Espagne – ont longtemps été épargnés par l’immigration pour trois raisons.

    • Ils sont longtemps restés des pays d’émigration à main d’œuvre abondante.
    • Avec des structures familiales et claniques puissantes et plutôt fermées.
    • Avec des États-providence moins attractifs pour les étrangers que ceux des pays du nord.

    8) Mais la pression migratoire s’est brusquement aggravée à partir des années 2005/2010.

    Les guerres occidentales en Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Libye ont provoqué des déplacements de population. Et mis à bas des Etats qui protégeaient leurs frontières. L’Europe a été assaillie : depuis la Turquie vers la Grèce et les Balkans ; puis depuis la Libye et le Maroc vers l’Italie et l’Espagne.

    Ces assauts ont été accompagnés d’une prise de conscience en Italie et en Espagne. En Italie la Ligue du nord vole de succès électoral en succès électoral depuis que son leader Matteo Salvini montre en tant que ministre de l’Intérieur sa poigne contre l’immigration. En Espagne le parti national et identitaire VOX émerge du néant. Il a lancé sa campagne pour les élections européennes du 23 au 26 mai 2019 depuis Covadonga où les envahisseurs musulmans furent arrêtés en 722.

    9) Dans les Balkans – Serbie, Croatie, Bulgarie, Roumanie, Macédoine – sont aussi menacés par l’invasion migratoire moins comme pays d’accueil que comme pays de passage. Avec le risque de voir une partie des populations immigrées restées bloquées chez eux.

    Les pays qui résistent à l’invasion : l’Europe de l’est

    10) En 2015, le premier ministre hongrois, Victor Orban, a pris une décision historique : bloquer sa frontière avec la Serbie pour marquer un coup d’arrêt à l’invasion migratoire. Une décision qui a choqué les principaux dirigeants européens. Et qui pourtant ne faisaient qu’appliquer les accords de Shengen supprimant les contrôles aux frontières intérieures entre pays européens mais exigeant de chaque pays le contrôle de ses frontières extérieures.

    Orban a réuni autour de cette politique de fermeté face à l’invasion migratoire les pays d’Europe centrale réunis dans le groupe de Visegrad : Tchéquie, Slovaquie, Pologne et Hongrie.

    C’est là comme en ex-Allemagne de l’est, que se trouve l’Europe préservée.

    11) Les raisons en sont nombreuses. Jusqu’en 1989/1990 ces pays étaient dans l’orbite du communisme soviétique. D’où un phénomène de glaciation économique et morale.

    Glaciation économique qui s’est traduit par un retard de développement ; et aujourd’hui encore par des salaires plus bas qui rendent moins nécessaire pour le patronat l’appel à une main d’œuvre immigrée bon marché.

    Glaciation morale avec le repli sur des structures traditionnelles – église, familles, valeurs – pour échapper à l’emprise de l’Etat communiste. Et dans le même temps mise à l’abri de l’individualisme capitaliste et des méfaits de la société libérale-libertaire.

    Tout ceci a permis le maintien de la mémoire historique et culturelle : une mémoire marquée par deux siècles de lutte contre l’envahisseur turc et le souvenir de la bataille de Vienne en 1683.

    Un autre phénomène doit être pris en compte : les élites de l’est sont mentalement différentes de celle de l’ouest.

    A l’ouest les élites politiques et administratives ont été déculturées par le relativisme moral et broyées par le politiquement correct. Ne survivent que des hommes et des femmes sans conviction et sans saveur.

    A l’est les élites politiques restent encore issus de la sélection post soviétique : des hommes et des femmes qui ont connu l’adversité, voire la prison. Et qui font encore de la politique par conviction.

    12) Il y a donc une formidable bataille idéologique et politique à l’intérieur de l’Europe. Entre les élites gouvernementales de l’est et les élites de l’ouest. Entre les oligarques de l’est et de l’ouest et les peuples.

    De l’issue de cette bataille dépend l’avenir de l’Europe : européenne ou submergée.

    Quel avenir pour l’Europe : européenne ou submergée ?

    13) Voici les raisons d’être inquiet :

    La simple extrapolation des courbes de naissance conduit à craindre qu’entre 2025 et 2040 plus de la moitié des naissances dans « l’Europe envahie » (le nord et l’ouest de l’Europe) ne soient plus d’origine Européenne.

    Cela, c’est pour la démographie mais la situation politique est aussi préoccupante.

    Les hommes politiques qui se sont élevés contre l’immigration ont été assassinés comme le néerlandais Pym Fortuyn ou diabolisés comme le britannique Enoch Powell, le Français Jean-Marie Le Pen, l’Autrichien Jörg Haider où plus près de nous l’italien Mateo Salvini ou le hongrois Victor Orban.

    La diabolisation est une technique incapacitante majeure : elle rend impossible la description du phénomène d’invasion migratoire dans toute son ampleur ; elle isole ceux qui en sont l’objet et limite, voire interdit, leur accès aux médias ; elle ralentit la progression et freine, voire rend impossible l’action.

    Beaucoup de partis politiques identitaires en ont été victimes et ont souffert de la mise en place d’un « cordon sanitaire » les tenant à l’écart du pouvoir comme le Front National en France, le VlaamsBlok en Belgique, l’AFD en Allemagne, les Démocrates suédois. Démocrates suédois que les partis institutionnels ont exclu par principe du pouvoir jusqu’en …2025.

    Et là où ces partis nationaux et identitaires ont été associés au pouvoir – Finlande, Danemark, Autriche – leurs résultats pratiques ont été beaucoup trop modestes.

    Quant à l’ensemble du système culturel, médiatique et judiciaire il roule pour le Grand Remplacement ethnique et civilisationnel.

    C’est préoccupant. Très préoccupant.

    14) Pourtant il y a aussi des raisons d’être optimiste :

    Il y a désormais des partis nationaux et identitaires dans tous les pays de l’union européenne à l’exception de 2 sur 27 d’entre-eux, l’Irlande et le Portugal

    Ces partis sont en progression électorale partout ; lorsque je siégeais au Parlement européen nous étions 13 – 11 français, 2 flamands – dans la prochaine assemblée européenne il y aura probablement de 200 à 240 députés dissidents de l’immigrationnisme.

    Certes pas de quoi construire une majorité dans une assemble de plus de 700 membres mais de quoi changer le rapport de force voire d’établir une minorité de blocage.

    Et il y a au moins un homme d’état en Europe qui a une vision complète des enjeux : c’est le Hongrois Orban dont la ligne politique et claire, la défense de l’identité européenne et chrétienne.

    « L’histoire est le lieu de l’inattendu » : la condition d’un renversement radical

    Alors quelle sera l’issue ? L’Europe peut-elle encore rester européenne ? L’analyse froide ne conduit pas à l’optimisme.

    Une triple course de vitesse est engagée.

    Entre les courbes démographiques d’une natalité européenne en déclin et d’une surfécondité africaine et arabo-musulmane, y compris chez les immigrés déjà présents en Europe.

    Entre le caractère potentiellement inexorable du différentiel démographique entre populations et la prise de conscience des Européens et leur possible réveil.

    Entre la révolte croissante des populistes européens et la normalisation idéologique des élites urbaines y compris à l’est.

    Mais cette froide analyse ne doit pas faire oublier que « l’histoire est le lieu de l’inattendu » selon l’essayiste Dominique Venner. Un inattendu qui peut rendre possible un renversement radical, oui radical, de l’idéologie dominante. En faisant passer au premier plan le droit des peuples à l’identité et loin derrière les droits individuels de l’homme. En balayant la repentance (au titre de la seconde guerre mondiale, de la colonisation, de l’esclavage) et en retrouvant la fierté de leur mémoire. En rendant possible la remigration et la reconquête de leur territoire par les Européens.

    Le réveil européen

    C’est le même Dominique Venner qui écrivait dans « Le choc de l’histoire », deux ans avant son geste sacrificiel à Notre Dame de Paris :

    « tout montre selon moi [que les Européens] seront contraints d’affronter à l’avenir des défis immenses et des catastrophes redoutables qui ne sont pas seulement celles de l’immigration. Dans ces épreuves, l’occasion leur sera donnée de renaître et de se retrouver eux-mêmes. Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? Je l’ignore. Mais de ce réveil je ne doute pas. »

    Jean-Yves Le Gallou

    https://www.polemia.com/leurope-peut-elle-encore-echapper-au-grand-remplacement/

  • Pays-Bas – Démission du Secrétaire d’Etat qui avait minimisé les chiffres de la criminalité parmi les demandeurs d’asile

    Pays-Bas – Mark Harbers, secrétaire d’Etat néerlandais à la Justice et à la Sécurité, dont le portefeuille ministériel englobait l’Asile et la Migration, a annoncé mardi sa démission pour avoir minimisé les chiffres sur la criminalité parmi les immigrés demandeurs d’asile.

    La critique fait suite à la publication d’un rapport à la Chambre basse sur la criminalité des demandeurs d’asile. Ce rapport manipulait la présentation des chiffres : si des infractions comme le vol à l’étalage étaient bien mentionnées de manière spécifique, des crimes plus graves tels que les agressions sexuelles, meurtres ou homicides involontaires avaient été regroupés dans la catégorie « autres », rendant impossible toute analyse objective de la criminalité issue des demandeurs d’asile. Selon le journal Telegraaf, le rapport du Secrétaire d’Etat dissimulait ainsi 79 crimes sexuels, 51 agressions graves et 31 accusations de meurtre ou de tentative d’homicide.

    Lors d’un débat houleux à la Chambre basse mardi soir, Mark Harbers, membre du parti libéral (PVV) du Premier ministre Mark Rutte, a annoncé qu’il allait présenter sa démission au roi Willem-Alexander. Le souverain a accepté cette démission « sur proposition du Premier ministre », a indiqué le cabinet royal dans un communiqué.

    https://www.medias-presse.info/pays-bas-demission-du-secretaire-detat-qui-avait-minimise-les-chiffres-de-la-criminalite-parmi-les-demandeurs-dasile/108762/

  • Macron inverse le regroupement familial : Désormais les « mineurs » clandestins pourront faire venir leur famille selon la Loi Asile et Immigration

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    Il fut mis en place sous la présidence de Valérie Giscard d’Estaing, le gouvernement Chirac autorise ainsi le regroupement familial sous plusieurs conditions (durée de résidence, ressources, logement, ordre public, santé). 
    Cette décision est actée par un décret du 29 avril 1976 signé par le Premier ministre Jacques Chirac.
    Il avait donc pour objectif de permettre aux travailleurs étrangers de faire venir leur famille.
    Aujourd’hui, Emmanuel Macron et le gouvernement d’Edouard Philippe inversent dangereusement cette notion de regroupement familial. 
    Plus besoin d’être un travailleur avec un titre de séjour en règle. 
    Il suffit d’être clandestin sans titre de séjour et même être mineur pour faire venir sa famille. 
    La notion de famille a même été étendue aux frères et soeurs…
    Macron a donc totalement inversé l’objectif du regroupement familial qui était de permettre aux seuls travailleurs en règle d’en bénéficier pour en faire un « aspirateur à migrant ». 
    Il suffit qu’une famille envoie l’un de ses enfants en France pour que toute les famille puisse venir, frères et soeurs inclus…
    Décryptage de la loi « asile-immigration » du gouvernement Philippe par Jean-Paul Gourévitch sur Radio courtoisie en mai 2019. 
    A leur majorité, les « mineurs isolés » clandestins pourront faire jouir du regroupement familial leur famille restée au pays. 
    Un des points méconnus de cette loi.

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  • SUBMERSION MIGRATOIRE EN FRANCE ET EN EUROPE : STOP OU ENCORE ?

  • 254 terroristes libérés dans les trois ans

    254 terroristes libérés dans les trois ans

    En France, 510 personnes sont actuellement détenues pour terrorisme islamiste. Plus de la moitié d’entre elles devraient être libérés d’ici 2022. Le ministre de la Justice Nicole Belloubet indique :

    « D’ici la fin 2021, 107 personnes seront libérées et en 2022 nous en aurons 147 ».

    Et elle essaie de nous rassurer en précisant que les détenus feront l’objet d’un suivi « extrêmement sérieux par les services de renseignement » après leur sortie et qu’une section spécialisée sera chargée de « réfléchir aux modalités de sortie de prison ». Il paraît que nous sommes en guerre contre le terrorisme…

    Outre les 510 détenus pour terrorisme islamiste, Nicolle Belloubet estime à 943 le nombre de prisonniers de droit commun potentiellement radicalisés.

    https://www.lesalonbeige.fr/254-terroristes-liberes-dans-les-trois-ans/