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immigration - Page 816

  • En Allemagne, l’arrivée massive de migrants a provoqué une hausse de l’antisémitisme

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    ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    «Nous faisons face à un nouveau phénomène, puisque nous avons beaucoup de réfugiés parmi lesquels il y a par exemple des personnes d’origine arabe, qui importent une autre forme d’antisémitisme dans le pays», a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel à la Channel 10, une chaîne privée israélienne.
    «Mais malheureusement, l’antisémitisme existait auparavant», s’est-elle cru obligée d’ajouter.

    Ces propos surviennent de manière tardive, alors qu’une agression antisémite a fait ressurgir il y a quelques jours le problème de l’antisémitisme d’importation

    En effet, le 17 avril, deux jeunes portant une kippa ont été agressés alors qu’ils marchaient dans un quartier huppé de Berlin. Les agresseurs étaient trois jeunes, dont l’un au moins parlait arabe, a affirmé l’une des victimes, Adam, 21 ans.

    Selon le journal Bild, le présumé agresseur principal qui vient de se livrer à la police est un réfugié syrien ayant vécu dans un centre pour migrants près de Berlin.

    La dénonciation de l’antisémitisme a même ébranlé le monde de la culture

    Oui, la principale récompense musicale allemande a été supprimée mercredi en raison d’un scandale antisémite. Depuis 15 jours, une polémique plombait le prestigieux prix ECHO après la remise de la récompense dans la catégorie de l’album hip-hop le mieux vendu aux rappeurs Kollegah et Farid Bang, des textes tels que « mon corps est aussi sculpté qu’un prisonnier d’Auschwitz » ou « fais un autre holocauste, montre-le avec un Molotov », qui ont suscité la polémique. Quelques minutes après l’annonce de la suppression de cette récompense, la maison de disque des chanteurs, BMG, annonçait rompre leur contrat. Ces annonces interviennent le jour où dans plusieurs villes d’Allemagne s’organisent des rassemblements de solidarité à la suite de l’agression de la semaine dernière

    https://fr.novopress.info/

  • Après un demi-siècle de campagnes contre l'immigration

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    Le projet de loi Asile et Immigration de Gérard Collomb a donc été voté ce 22 avril dans la nuit, et il a ainsi passé l'étape, avec deux jours de retard sur la date prévue, de la première lecture à l'Assemblée. Adopté plus difficilement encore que les autres réformes par l'actuelle majorité, ce texte fait figure de marqueur. Il reflète, en effet, une coupure profonde de l'opinion européenne.

    Pour autant que la vie parlementaire reflète effectivement le pays, les détails chiffrés du vote et du débat méritent d'être soulignés : 61 heures de paroles, dont près de 14 pour les députés de la droite et 8 pour les 17 mélenchonistes, Plus significatives encore, les défections et abstentions au sein des deux groupes macroniens battent les records : si l'on a souligné les votes hostiles au projet d'un élu LREM et d'un élu MODEM, on ne peut que s'interroger sur les refus de participer au scrutin de 99 inconditionnels théoriques du président Jupiter et de 8 parmi les 41 centristes affiliés au mouvement du maire de Pau. Sur 999 amendements déposés, 53 ont été adoptés.

    Entériné par 228 voix contre 193 contre, il s'agit donc au total du texte le plus mal voté de l'ère Macron.

    Au-délà de cette séquence législative hexagonale, on perçoit de plus en plus clairement, après un demi-siècle de campagnes, combien la question de l'immigration a pris une place centrale sur l'échiquier politique de notre Vieux Continent.

    Partout en Europe, on voit en effet se développer des campagnes de protestation contre les excès de la vague migratoire. En 2015, la chancelière Merkel commit une erreur historique. C'est elle qui a ouvert à cet égard la boîte de Pandore. Elle, qui en 2011 avait proclamé la fin du modèle multiculturel en Allemagne, avait cru pouvoir quatre ans plus tard, imposer l'ouverture aux réfugiés des frontières de l'Europe. Or, son fameux "wir schaffen das" [nous y arriverons] du 31 août aura surtout déclenché des réactions de rejet dans la plupart des pays d'Europe centrale.

    Chez elle, au sein même de la coalition conservatrice sur laquelle elle s'appuie, une coupure durable la sépare en fait, depuis lors, de la CSU bavaroise. Au président de ce parti, Horst Lorenz Seehofer, elle a été contrainte de confier le ministère de l'Intérieur. Le changement correspond au passage du concept de grande coalition à deux, avec les sociaux démocrates, à celui d'un gouvernement à trois partis, CDU, SPD et CSU. Pendant 70 ans cette formation avait été plus que l'allié, une sorte de satellite, sinon de succursale, de la CDU, de référence démocrate-chrétienne. Aujourd'hui, en tant que dirigeant non pas démocrate-chrétien mais chrétien-social, Seehofer se prononce ouvertement pour "une ligne politique plus dure"(1)⇓.

    Tous les familiers de la pensée d'un La Tour du Pin, premier inspirateur de la série des grandes encycliques du catholicisme social savent, du moins je l'imagine, que celle-ci ne peut pas se confondre avec la descendance de Marc Sangnier aujourd'hui totalement digérée, en Europe, par les cercles de pouvoir(2)⇓

    De façon tout à fait naturelle, les chrétiens-sociaux de Bavière se rapprochent désormais de partis conservateurs analogues, clairement hostiles à la politique d'immigration, et à ce qu'ils considèrent comme l'islamisation de l'occident. Puissamment représentés dans l'espace germanophones, ils s'appellent en Suisse alémanique, le Schweizerische Volkspartei, connu en France sous le nom d'Union démocratique du centre, et auquel sont attachés les noms de personnalités comme Christoph Blocher ou Oskar Freysinger ; en Autriche ils sont représentés par l'ancien Österreichische Volkspartei, rebaptisé en 2017 Nouveau parti populaire. Celui-ci présidé par Sebastian Kurz, désigné en décembre 2017, à la suite d'élections victorieuses, chancelier à la tête d'un pays si longtemps dominé par la sociale-démocratie.

    Or, au plan européen, il est à noter que le Parti populaire européen, au sein duquel les conservateurs voisinent avec la mouvance démocrate-chrétienne, vient de prendre une décision clef, celle de maintenir en son sein l'appartenance du Fidesz hongrois, le parti de Viktor Orban, clairement opposé à Angela Merkel.

    La droite, en France, du moins celle qui se dit aujourd'hui republicaine, et qui l'est hélas probablement, a récemment repris ce thème du frein à la vague migratoire. Elle le fait, depuis quelques temps, sous l'impulsion de Laurent Wauquiez, dont cette ouverture représente actuellement le seul espace de perspective politique, depuis la déroute de François Fillon en 2017(3)⇓

    Ce n'est pas en France, par conséquent, que la campagne anti-immigration a pris son premier essor. En 1971 Ordre ouveau, le mouvement aux références très européennes, suscite une version française du National Front anglais, à l'enseigne de la Flamme tricolore du Mouvement Social Italien. Ce parti se lança à partir de 1972 dans l'arène électorale, où il piétina pendant quelque 10 ans. Ceci sans attacher au départ beaucoup d'importance à la campagne contre l'immigration.

    C'est en Angleterre qu'elle avait vraiment commencé, il y a maintenant un demi-siècle, en 1968. Cette année-là, en effet, ce fut le 20 avril au congrès de Birmingham du parti conservateur, que le député Enoch Powell déclara notamment : "Si je regarde vers l'avenir, je suis empli de sombres présages ; tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d'un sang abondant". De tels propos, venant du ministre de la Défense du shadow cabinet, deputé depuis 1950, provoquèrent un scandale énorme au Royaune Uni et sa mise à l'écart du parti conservateur. On s'empressant de surnommer "discours des flots de sang" cette référence à Virgile.

    Jusque-là les campagnes anti-immigration avaient été menées par des groupements britanniques radicaux. L'un d'entre eux en 1967 était parvenu à surclasser les autres, sous l'appellation de National Front, un temps sous la sulfureuse direction de feu John Tyndall (1934-2005).

    Ce n'est pas la campagne moralisante qui interrompit l'essor du National Front au Royaume Uni. Si pendant toute la période de 11 ans, de 1979 à 1990, où Thatcher a gouverné la Grande Bretagne, la prospérité, que ce pays avait retrouvée, attira encore des centaines de milliers d'immigrants, son Nationality Act de 1981 a tout de même mis fin à l'attribution automatique de la citoyenneté britannique aux ressortissants ressortissants des 53 pays du Commonwealth britannique(4)⇓

    C'est cela et non la diabolisation qui a fait reculer le National Front et le réduire à une dimension groupusculaire.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    1. cf. son entretien donné au Spiegel daté du 21 avril : "Seehofer pour un cours plus dur"
    2. cf. Vers un ordre social chrétien 
    3. cf. l'entretien de Robert Ménard avec Yves Thréard sur le site du Figaro"Wauquiez ne gagnera jamais seul"
    4. cf. "Le Legs pragmatique de Margaret Thatcher notre chronique du 20 avril 2013. 

    Lien FB de l'insolent

    http://www.insolent.fr/

  • 1er mai à Nice : Estrosi fédère toutes les gauches contre le FN, par Pierre Malpouge

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    Christian Estrosi, le maire de Nice, qui avait été élu en tant que chef de la droite locale, ne décolère pas. Ce qui le met hors de lui, c’est que le Front national ait choisi de tenir à Nice cette année son meeting national du 1er mai. Lui, qui dans ces jeunes années manifestait sous la bannière du FN, ne supporte pas la venue de Marine Le Pen qui, aux côtés de certains de ses partenaires européens – notamment l’Italien Matteo Salvini (Ligue), le Belge Vlaams Belang ou encore les membres du FPÖ autrichien –, doit participer au meeting du Mouvement pour l’Europe des nations et des libertés (MENL) sur « ses » terres.

    Ce rassemblement annoncé des droites nationales européennes doit marquer « l’affirmation d’un même engagement pour la défense de l’identité et de la souveraineté des nations ». Christian Estrosi l’a qualifié, dans une tribune publiée dans Le Monde de mardi, de « rassemblement de haine et d’exclusion visant à instrumentaliser cette fête en une action de propagande partisane extrémiste, ce qui constitue en soi une provocation que nous condamnons ».

    Cette tribune, signée par plus de 370 « personnalités » – dont l’ancien ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon, l’écrivain Van Cauwelaert ou encore l’acteur metteur en scène Charles Berling –, est appuyée de fait par une foule d’organisations, de partis, groupuscules et syndicats de gauche et d’extrême gauche (voir dans les brèves la liste non exhaustive de ces organisations). Les pétitionnaires, pour leur part, s’efforcent de condamner l’initiative du Front national au nom d’une vision que l’on pourrait qualifier de droite : « Nous qui aimons la France et son message, nous qui aimons Nice et son histoire. » Mais au nom de cette vision ils considèrent que « le sens vrai du 1er Mai [est] dénaturé par le Front national et ses sulfureux amis », qui pourraient « gâcher ce moment de partage » et « générer des troubles à l’ordre public ».

    Les nouveaux alliés d’Estrosi

    Un « moment de partage », mais pas avec tous les Français. Pas avec ceux qui dénoncent notamment la politique asile-immigration du gouvernement, ceci au mépris de la démocratie et des électeurs niçois qui ont largement voté pour Marine Le Pen lors des dernières présidentielles (près de 40 % des voix). Christian Estrosi craint sans doute de perdre son fauteuil lors des municipales de 2020. A l’évidence il espère ainsi s’attirer, en compensation, les bonnes grâces de ceux qui pourraient être ses alliés de demain, c’est-à-dire de ceux qui défileront contre le FN le 1er mai, et sont susceptibles de créer des violences, comme il est spécialement fréquent dans les manifestations où l’extrême gauche est présente. Des violences encouragées, et couvertes d’avance par le maire de Nice, qui désormais n’a plus grand-chose à voir avec la droite, même modérée, ni même avec le centre.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 26 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • L’IMPOSSIBLE RENOUVEAU THÉOLOGIQUE DE L’ISLAM DE FRANCE

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    Plusieurs centaines de personnalités ont dénoncé, dans une tribune publiée par Le Parisien-Aujourd’hui, le dimanche 22 avril, « l’antisémitisme musulman », un « nouvel antisémitisme » qui provoquerait « une épuration ethnique à bas bruit ».

    Cette tribune propose aux musulmans d’épurer le Coran des passages appelant au meurtre des juifs et des chrétiens. Pour faire contrecoup, et à l’initiative de Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, une trentaine d’imams « intégrés » ont signé une tribune contre l’antisémitisme et le terrorisme. Tareq Oubrou, lié aux Frères musulmans des « Musulmans de France » (nouveau nom de l’UOIF), par son appartenance à son conseil théologique, estime qu’il faut une nouvelle lecture des passages du Coran, et non découper celui-ci.

    Sur ce dernier point, il a raison : le Coran est un et indivisible, c’est la révélation suprême et on ne peut pas en expurger certains passages. Par contre, il dit aussi que l’on ne peut pas être musulman et antisémite ! Curieuse affirmation alors que les passages du Coran sur ce sujet sont assez explicites.

    Cette algarade a l’avantage de mettre en exergue, une fois de plus, le fossé existant entre la volonté politique de nos gouvernants de créer un islam de France, grâce à un renouveau théologique typiquement français, et la réalité de la situation de notre pays. Les coups de boutoir de l’islam radical continuent et cette idéologie religieuse gagne du terrain dans les zones de non-droit devant la léthargie des représentants de l’islam en France, noyautés par l’étranger et qui se drapent dans une critique exacerbée d’une islamophobie qu’ils fantasment. J’écrivais, en 2015, que la dégradation sécuritaire due au terrorisme djihadiste et la crise identitaire que connaît notre pays nécessitaient que la communauté musulmane française s’interroge sur les initiatives à prendre afin de s’exonérer et se démarquer des crimes commis au nom de l’islam par ces terroristes. Nous n’avons pas progressé d’un pouce, au contraire.

    L’apparition d’un islam de France, volonté encore affirmée par Emmanuel Macron, apparaît de plus en plus comme un vœu pieux, une alternative improbable. La possibilité juridique existe pourtant. En effet, il existe dans le Coran une troisième source du droit après le Coran et la Sunna ; il s’agit de l’« idjma ». L’institution est coranique. Elle puise son fondement dans le verset IV-115, duquel on déduit que tout ce qui a l’approbation générale des adeptes de l’islam est donc juste et doit être obligatoirement reconnu. Un hadith est même plus précis : « Ma communauté ne tombera jamais d’accord sur une erreur. » La doctrine de l’idjma, combattue par les califes des premiers siècles après l’Hégire qui vont chercher à restreindre son étendue, aboutit finalement, au VIesiècle de l’hégire, à une synthèse selon laquelle l’accord des théologiens juristes qualifiés (mudjtahid) appartenant à une même génération est nécessaire. Mais qui sont-ils, aujourd’hui ? Et encore, il faut attendre la disparition de leur génération pour que l’idjma soit définitivement établi. Les sunnites admettent tous ce principe, les chiites sont plus divisés. Comme il n’y a plus de mudjtahid après le XXe siècle, il paraît donc illusoire de le réveiller aujourd’hui. Je pensais, il y a quelques années, que les recommandations d’un « Conseil de l’idjma » français pourraient faire renaître ainsi cette source du droit de façon moderne, démocratique et laïque. Je ne crois plus dans cette possibilité, compte tenu de la radicalisation de la situation évoquée plus haut.

    Alors, que nous reste-t-il comme espoir ? Emmanuel Macron veut donner un coup de pouce à l’islam de France pour le transformer. Il retarde de plus en plus ses propositions sur ce sujet. On comprend le doute. En cas d’échec – ce qui sera vraisemblablement le cas -, il faudra en tirer toutes les conséquences et la puissance publique devra s’imposer afin de faire changer la soumission de camp. Une loi sur la laïcité s’imposera et l’islam devra s’y soumettre.

    http://www.bvoltaire.fr/limpossible-renouveau-theologique-de-lislam-de-france/

  • Les 4 Vérités saluent l’action de Génération identitaire : “Merci à ces jeunes militants d’avoir forcé l’État à faire son travail !”

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    Si l’on avait le moindre doute sur la portée du « en même temps » macronien, en matière d’immigration, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb s’est chargé de lever ce doute.

    D’abord, parce que la loi qu’il vient de faire voter à l’Assemblée est si visiblement un enfumage qu’il est impossible – sauf à des gauchistes fanatiques – d’y voir la moindre parcelle de fermeté.

    Bien au contraire, le regroupement familial, principale source de l’immigration légale, y est considérablement élargi, puisque, désormais, les fameux soi-disant « mineurs isolés » peuvent faire venir leurs parents, leurs frères et sœurs, et les enfants de ces derniers.

    Sans, naturellement, que quiconque s’interroge sur la capacité de tout ce beau monde à subvenir à ses besoins. C’est gratuit, l’État paiera !

    Mais le summum du pseudo-centrisme et réel gauchisme a été atteint quand le ministre a renvoyé dos à dos « extrémistes de droite et de gauche » qui avaient manifesté dans les Hautes-Alpes le week-end dernier.

    En effet, Génération identitaire a déployé des banderoles au col de l’Échelle, par où passent bon nombre d’immigrés clandestins en provenance d’Italie.

    Aux dires mêmes du ministre, cette manifestation s’est déroulée dans le calme.

    Le lendemain, « en réponse », des extrémistes de gauche ont entrepris de faire franchir illégalement la frontière, au col de Montgenèvre, à une trentaine d’immigrés et se sont heurtés aux forces de l’ordre.

    Mettre sur le même plan une manifestation calme visant à faire respecter la loi et une manifestation violente promouvant le viol de la loi, voilà donc le sens du « en même temps » de nos vaillants gouvernants !

    Le plus fort, c’est qu’il s’est trouvé des journalistes pour relayer les « éléments de langage » des gauchistes, sans la moindre prise de distance critique, sur le « deux poids, deux mesures » du gouvernement et des forces de l’ordre.

    Mais, s’il y a injustice, elle est en sens inverse.

    Ce qui est profondément injuste, ce n’est pas de traiter différemment le respect et l’irrespect de la loi, c’est, au contraire, de les renvoyer dos à dos.

    Malgré ce naufrage idéologique du gouvernement, il y a tout de même matière à se réjouir.

    La conséquence de ces manifestations, c’est que le ministre a envoyé des renforts dans les Hautes-Alpes. On peut espérer que, pendant quelques jours, le nombre d’immigrés illégaux dans cette zone va diminuer.

    L’action de Génération Identitaire n’aura ainsi pas été vaine.

    Merci à ces jeunes militants d’avoir forcé l’État à faire son travail !

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

  • Zoom : Une famille française, broyée financièrement, à la rue ?

  • Immigration : Les clandestins hors de contrôle - Journal du Mardi 24 Avril 2018

  • Campagne électorale en belgique : le candidat musulman refuse de serrer la main aux candidates et de les regarder

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Belgique : L’attitude provocante du fondateur du parti ISLAM sur un plateau télé

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    Redouane Ahrouch, candidat lors de la campagne électoral des communales et invité pour l’occasion, a refusé d’être maquillé par une femme avant d’entrer sur le plateau et a tout le long des échanges, refusé de regarder dans les yeux les femmes présentes sur le plateau.

    Il justifie ces écarts à la politesse élémentaire occidentale en expliquant que ce sont ses valeurs qui lui imposent cette conduite.

    Il a de plus expliqué qu’il voulait instaurer une charria occidentale ainsi propose-t-il comme mesure concrète de séparer les hommes et les femmes dans le bus.

    https://fr.novopress.info/

  • Une loi asile-immigration très xénophile, par Francis Bergeron

    « La solidarité est-elle un délit ? » Non, bien évidemment. La solidarité, la fraternité, l’amour de son prochain, ne sont heureusement pas des délits. Mais vous l’avez bien compris, il s’agit d’une fausse question. Car qu’est-ce qu’un délit ? C’est un acte contraire à la loi. Aider des délinquants est un délit. En conséquence la solidarité avec des islamistes, avec des fraudeurs fiscaux, etc., est un délit. Et c’est un délit, aussi, que d’aider les filières d’immigration clandestine. Mais lorsque le journal Le Monde (en date du 22 avril) pose cette question, ce n’est pas innocent. Il s’agit d’utiliser une figure dialectique classique, celle de la culpabilisation : des passeurs aident des migrants clandestins ? C’est un acte de solidarité. La solidarité est-elle un délit ? Non. Donc les passeurs ne sont pas des délinquants. Tel est le raisonnement du Monde. Tel est le raisonnement de la gauche. Et telle a été, pour finir, l’analyse des députés, qui ont voté cet amendement, puis la loi elle-même dimanche soir.

    Les députés LREM avaient perdu la bataille des mots, en acceptant de débattre d’un soi-disant « délit de solidarité ». Ils ont donc introduit un assouplissement dans la loi, qui l’a vidée de toute pertinence. Dorénavant en effet les personnes qui aident les réseaux d’introduction de clandestins – sous réserve qu’elles n’en tirent pas une contrepartie pécuniaire – ne pourront plus être poursuivies. L’aide juridique, linguistique, sociale, l’hébergement, la restauration, les soins médicaux, et d’une façon générale, dit le nouveau texte, tout ce qui assurera une vie digne et décente aux clandestins, est légalisé par la nouvelle loi. C’est la victoire de tous les passeurs, de toutes les associations qui, par idéologie, militent pour le grand remplacement.

    Cette disposition ruine ce que le projet de loi pouvait avoir d’utile. C’est un texte qui fera désormais de Cédric Herrou, le passeur clandestin des Alpes-Maritimes, traître aux intérêts de son pays, une sorte de « juste », digne du Nobel de la paix !

    Les députés du Front national, dans un communiqué, évoquent une « loi hypocrite et inique », « une loi qui favorisera un peu plus une immigration incontrôlée qui déstabilisera un peu plus une république déjà bien abîmée par 30 ans de laxisme politique ».

    Loi de préférence non-nationale

    Ce qui a eu l’effet de faire perdre son sang-froid à Nicole Belloubet, le ministre de la Justice, qui accusé le FN de « déstabiliser l’ensemble de notre système républicain ».

    Mais qui déstabilise le système ? La vraie menace contre le pays n’est évidemment pas l’expression et le vote d’une poignée d’élus FN. C’est cette grave dérive du projet de loi devenu loi.

    On comprend que les gouvernements successifs ne s’attaquent que par petites touches à cette question de l’immigration, par peur de « faire le jeu du Front national », de « libérer dans les urnes les populismes ». Mais la loi votée dimanche peu avant minuit par 228 voix pour, 139 contre, 24 abstentions, crée, par le jeu des amendements, un dispositif globalement pire que la situation antérieure, et qui ne peut que rendre impossible le travail de la police des frontières, augmenter l’appel d’air, la pression migratoire.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/