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insécurité - Page 575

  • La délinquance atteint des sommets à Paris

    Paris sombre dans la délinquance. D’année en année, le nombre de délits ne cesse d’augmenter dans la Capitale. Un sujet de préoccupation pour de nombreux Parisiens à trois mois des élections municipales.

    Paris perd de sa splendeur

    En un an, la délinquance a passé un nouveau cap dans la Capitale. Vols à la tire, cambriolages, violences contre les personnes… tous les voyants sont au rouge. De quoi faire de ce thème un enjeu majeur lors des prochaines élections municipales.

    De ville lumière à ville infréquentable, il n’y a qu’un pas. Alors que le niveau de vie moyen ne cesse d’augmenter à Paris, les conditions, elles, ne cessent de se dégrader. En effet, les chiffres révèlent que la délinquance est en hausse constante rendant la Capitale de moins en moins sûre. Le procureur de la république, Rémy Heitz, l’avoue bien volontiers, les chiffres de la délinquance depuis le 1er janvier ne sont pas bons. Comprendre : ils sont franchement mauvais. On apprend ainsi  que les vols sans violence ont augmenté de plus de 15,7% depuis le 1er janvier 2019, ce qui représente 430 faits par jours et les vols à la tire ont bondi de 35%. Même constat pour les cambriolages, +5,5% de hausse depuis le début de l’année, alors que l’année 2018 avait déjà accusé une augmentation de 14,4%.

    Enfin, les atteintes volontaires à l’intégrité physique sont en hausse de plus de 9 % depuis le mois de janvier. Cela représente désormais, quotidiennement, et en moyenne, 120 agressions et tentatives, uniquement à Paris intra-muros. Et aucun arrondissement ne semble épargné. En effet, du centre de Paris au très prisé ouest parisien en passant par les quartiers cosmopolites du nord de la Capitale, tous les indicateurs sont au rouge. Pire, les taux d’élucidations sont en chute libre. Alors qu’en 2012, près d’un fait sur trois était élucidé, le niveau a chuté à un sur quatre en 2018.

    Un constat donc accablant et les pouvoirs publics ne sont plus en mesure d’endiguer le phénomène. Selon Serge Federbusch, candidat « Aimer Paris » aux élections municipales, la responsabilité peut même être imputée à la municipalité en place. Ainsi, la délinquance et l’immigration pourraient être des enjeux majeurs en vue du prochain scrutin locale qui aura lieu dans trois mois maintenant.

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-delinquance-atteint-des-sommets-a-paris

  • Historien et politique menacés de mort : ce qu’on ne vous a pas dit sur les événements du Mans…

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    Les titres étaient sans appel et les analyses unanimes : une extrême droite violente et sanguinaire s’est déversée, samedi 14 décembre, dans les rues du Mans, a saccagé le centre-ville et même mis le feu en plusieurs endroits. Pour eux, un seul responsable : l’Action française.

    Ils étaient environ 150 manifestants au pied de la muraille du vieux Mans. Rassemblés pour commémorer la bataille du Mans, épisode sanglant de la guerre opposant la Vendée militaire aux troupes révolutionnaires. Cette bataille des 12 et 13 décembre 1793 avait entraîné la mort de 10 à 15.000 Vendéens, combattants, femmes et enfants compris. Déposée en préfecture, cette manifestation aurait dû être itinérante mais une décision préfectorale, intervenue le vendredi soir, a imposé aux organisateurs un rassemblement statique. En cause : les appels de contre-manifestation et promesses de violences émanant de « groupes antifascistes », mais pas seulement. Dans une tribune distribuée en tracts dans la ville et sur les réseaux sociaux, le Collectif antifasciste de la Sarthe, le CNT, le FSU, la Ligue des droits de l’homme, le NPA, l’UNEF et d’autres appelaient à une contre-manifestation afin de lutter contre « des organisations d’extrême droite aux méthodes fascistes en recrudescence au Mans ».

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  • Bernard-Henri Lévy n’est-il pas en partie responsable du massacre des chrétiens du Nigéria ?

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    Bernard-Henri Levy, que certains s’évertuent à qualifier de “philosophe”, a pondu il y a quelques jours un article sur le massacre des chrétiens au Nigéria.

    Quelle ne fut pas notre surprise de voir diverses officines catholiques, y compris de la Tradition, se faire les relais de cette tribune de Bernard-Henri Levy.

    Bien sûr, c’est une vérité indiscutable : les chrétiens du Nigéria sont persécutés et beaucoup ont déjà été mis à mort.

    Mais Bernard-Henri Levy ne porte-t-il pas lui-même une lourde responsabilité dans cette situation ?

    Souvenons-nous de son rôle dans le renversement de Kadhafi dont les premiers bénéficiaires furent les diverses organisations djihadistes de type Etat Islamique. BHL fut l’un des instigateurs du chaos libyen. Grâce à ce chaos, de nombreuses organisations djihadistes ont pu s’emparer d’armes de guerre en grandes quantités.

    La prolifération de milices djihadistes en Afrique noire a largement été facilitée par le chaos libyen orchestré par les amis de Bernard-Henri Levy.

    Ensuite, Bernard-Henri Levy a encore tenté d’exporter le chaos en Syrie. Là-encore, les chrétiens d’Orient en furent les premières victimes.

    Et il faut rappeler aussi les liens étroits entre Israël – dont Bernard-Henri Levy est un laudateur inconditionnel – et différents groupes djihadistes, certains ayant même pu se faire hospitaliser en Israël après avoir été blessés en Syrie.

    Enfin, il faut visiblement rappeler à ces catholiques européens qui ont la mémoire courte que Bernard-Henri Levy s’est toujours montré un adversaire du catholicisme en France, témoignant d’ailleurs d’une grande colère lorsque sa sœur Véronique s’est convertie au catholicisme.

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    source: MPI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/12/19/bernard-henri-levy-n-est-il-pas-en-partie-responsable-du-mas-6199522.html

  • Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !

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    Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».

    La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.

    Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.

    « Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».

    https://www.bvoltaire.fr/communique-de-boulevard-voltaire-notre-journaliste-prise-a-partie-et-violentee-par-des-antifas/

  • Dans la revue l'Incorrect : François Bel-Ker : « La violence à l’égard de l’Action Française est désormais hebdomadaire »

    Après les incidents ayant eu lieu au Mans le week-end dernier et face au traitement médiatique des évènements par les médias dominants cherchant à accabler l’Action française, L’Incorrect a souhaité donner la possibilité à François Bel-Ker, Secrétaire général du mouvement, de s’exprimer sur l’affaire.

    Pouvez-vous nous donner votre version des évènements qui se sont déroulés au Mans ce week-end ?

    Samedi une commémoration en hommage aux victimes des massacres du Mans du 12 et 13 décembre 1793 était organisée au Mans. 15 000 Vendéens et Chouans furent exécutés par les révolutionnaires. Cette manifestation est organisée régulièrement par le collectif « La marche du souvenir vendéen » au sein de laquelle les militants de l’Action Française sont venus particulièrement en nombre cette année. Il y avait 150 personnes lors de cette manifestation rassemblant principalement des jeunes et des familles et les militants de l’AF étaient près de 80. Nous avons rejoint cette manifestation en notre nom propre, avec notre chef de section locale qui s’y est exprimé, de façon totalement reconnue par « la marche du souvenir vendéen » et en appelant tous les Manceaux qui le souhaitaient à rejoindre l’évènement.

    Il s’agissait donc d’une commémoration pacifique ?

    Evidemment, puisqu’il s’agit de faire mémoire ! Mais il se trouve que depuis quelques mois devant la présence importante des militants et sympathisants de l’Action Française dans les facultés ou dans les manifestations de Gilets Jaunes, un front se dresse contre nous de la part d’un collectif auto-proclamé et mal nommé « antifasciste ». Ce front était composé pour l’occasion de la CNT (Anarcho-syndicaliste), de la FSU, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, de l’UNEF. Ce collectif a appelé samedi à une contre-manifestation contre l’Action Française. Ouest-France qui a relayé cette information parle d’une centaine de manifestants d’extrême-gauche refusant que les militants d’AF « s’approprient l’héritage des chouans » (sic). C’était une contre-manifestation, à laquelle de nombreux appels à participer avaient été lancés de longue date. Je tiens à préciser que notre manifestation avait été déclarée en préfecture et autorisée par la police.

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  • Attaques antifas : Les hyènes dans la crèche, par Etienne Defay

    La bêtise et la violence de l’extrême gauche n’ont décidément plus de limites. Ce dimanche, une meute de décérébrés a attaqué la crèche vivante des enfants à Toulouse. Ce sont nos confrères de La Dépêche et d’Info Toulouse qui rapportent l’événement. En marge des manifestations contre la réforme des retraites ou des Gilets jaunes, ou des deux ensemble après tout, la place Saint-Georges accueillait comme tous les ans un spectacle de Noël joué par des enfants et des associations locales. Mais c’était compter sans la violence et la bêtise d’une soixantaine d’individus qui ont déboulé sur la place aux cris de « Nous on est anticapitalistes » ou encore « Stop aux fachos ».

    Certains ont même fait irruption sur scène devant les yeux des petits dont certains se sont mis à pleurer, abasourdis par cette violence inexplicable. Heureusement la scène, si elle avait de quoi scandaliser toute personne douée de raison, n’a pas fait de blessés.

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  • [VIDÉO] Crèche vivante attaquée à Toulouse : « Quand il s’agit de nos racines, c’est silence radio » – Jean Messiha (RN)

    Crèche vivante attaquée à Toulouse :
    « Il y a quelques semaines, on a su nous montrer ce gamin éploré dans un Conseil général avec sa mère en forme de madone, et tout le monde s’est ému. Là, la crèche était faite par des enfants, pas une télé n’en a parlé.
    Si cela avait été un lieu de culte musulman, ou un lieu cultuel d’une autre religion, tout le progressisme se serait indigné. Là, il s’agit de nos propres racines, c’est silence radio, aucun progressiste n’a réagi ! »
    Jean Messiha (RN) sur CNews

    Article sur l’attaque de la crèche de Toulouse : ici

     
  • Autriche : attentats déjoués au marché de Noël, 3 Tchétchènes arrêtés

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    Les forces de l’ordre ont neutralisé trois hommes qui projetaient des tueries au marché de Noël à Vienne.
    Les autorités autrichiennes ont déjoué un projet d’attentats, dont l’un devait toucher un marché de Noël à Vienne, selon l’agence de presse autrichienne APA. Trois hommes, d’origine tchétchène, seraient impliqués dans cette affaire.

    Le parquet en charge de l’enquête n’était pas joignable lundi. Le chef du réseau, âgé de 24 ans, était influencé par l’idéologie de l’EI, a ajouté APA.

    Ce jeune homme, repéré après une dénonciation anonyme, était déjà en prison après deux tentatives de rejoindre la Syrie et l’EI. Il communiquait avec ses deux complices présumés à l’aide d’un téléphone portable, en violation des règles de la prison, poursuit APA. Ses comparses, âgés de 25 et de 31 ans, ont été incarcérés à la fin de la semaine dernière.

    Le chef du réseau aurait eu l’intention de s’en prendre au marché de Noël devant la cathédrale Saint Stéphane dans le centre de Vienne, entre Noël et le Nouvel An. D’autres cibles potentielles auraient pu être Salzbourg (ouest), mais aussi des villes en Allemagne, en France et au Luxembourg, toujours d’après l’agence autrichienne.

    (afp/nxp)

    Source: 24 Heures

    https://www.alterinfo.ch/2019/12/17/autriche-attentats-dejoues-au-marche-de-noel-3-tchetchenes-arretes/

  • Affaire Méric : l’appel de Dufour et Morillo renvoyé en avril 2020

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    Aristide Leucate

    Article publié dans le quotidien Présent cliquez ici

    « Courroye est l'incarnation de la porosité entre le parquet et le pouvoir », dixit Marianne (26 juin 2010). Décidément, la session de la Cour d’appel d’assises d’Evry démarre sous les plus funestes auspices. La présence de Philippe Courroye comme avocat général dans l’appel d’Esteban Morillo et Samuel Dufour, condamnés en 2018, respectivement à 11 ans et 7 ans de réclusion criminelle pour la mort accidentelle, le 5 juin 2013, du jeune « antifa » Clément Méric, n’est pas faite pour rasséréner la défense. L’on peut légitimement craindre, en effet, que l’ajustice prévaudra. « Magistrat contesté dans la profession » (Le Point, 6 juillet 2010), sa déontologie sera suffisamment prise en défaut pour que le dossier Bettencourt soit dépaysé vers le tribunal de Bordeaux en novembre 2010.

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  • Selon le ministère italien de l’Intérieur, les migrants sont responsables de 42 % des viols dans le pays

    Breizh Info – Le chiffre est gigantesque si on le rapporte à la population italienne dans son ensemble. En Italie, 42 % des viols sont le faits de migrants, d’immigrés, selon le ministère italien de l’Intérieur. Une proportion qui ne cesse d’augmenter. 42 % de viols et violences faites aux femmes évitables donc, s’il n y avait pas ou beaucoup moins d’immigrés. C’est le quotidien Il Giornale qui a repris l’information.

    Les statistiques démontrent également que les femmes italiennes sont bien plus sujettes à être victimes de harcèlement sexuel et d’agressions sexuelles que les femmes étrangères.

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