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insécurité - Page 571

  • Viols et pédophilie de masse, projets meurtriers : l’immunité totale des Nations unies et de la Banque mondiale devant la Cour suprême américaine

    Nations unies Banque mondiale immunité viols pédophilieLes organismes globalistes tels que les Nations unies ou la Banque mondiale en viennent à revendiquer une totale immunité face à toute loi nationale, étape cruciale dans l’établissement d’une dictature techno-financière planétaire. Déjà, des fonctionnaires de l’ONU et des éléments des « forces de maintien de la paix », soupçonnés de viols sur des dizaines de milliers de femmes ainsi que de pédophilie, plaident leur « immunité diplomatique ». Or de façon scandaleuse, dans un arrêt concernant la Banque mondiale dont les conséquences jurisprudentielles pourraient être considérables, un tribunal américain a jugé que ce type d’institution supranationale ne saurait être soumis à la loi nationale quel que soit le sujet, garantissant ainsi un niveau d’immunité qui va au-delà de celui accordé aux gouvernements et diplomates étrangers. Le gouvernement américain a formé un recours devant la Cour suprême, lui demandant d’inverser l’arrêt. Les juristes estiment que la décision des neuf juges, attendue pour octobre, sera d’une importance capitale.

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  • De nombreux cas de viols recensés sur l’Aquarius

    Selon RFI Afrique du 03 août 2018, la majorité des femmes embarquées sur le navire Aquariusspécialisé dans le transport illicite d’êtres humains ont été violées :

    « En deux ans d’opérations en Méditerranée, les équipes de l’ONG SOS Méditerranée ont porté assistance à 4 000 femmes, sur 27 000 personnes secourues. Des femmes qui payent un très lourd tribut lors de ces traversées. Parmi elles, beaucoup ont été victimes de violences sexuelles sur la route qui les a amenées jusqu’à la mer.

     « Etes-vous enceinte ? » C’est la question qu’Alice Gotreau a posée, inlassablement, aux femmes accueillies à bord de l’Aquarius. Sage-femme pour Médecins sans frontières, elle a travaillé sur le bateau de SOS Méditerranée à l’été 2017. « A peu près 20% des femmes que l’on récupère sont enceintes, ce qui est un nombre assez élevé », explique-t-elle. La plupart d’entre elles ont moins de trente ans, « donc à une période très, très fertile de leur vie » et surtout « voyagent seules ». C’est ça « qui est un peu difficile, parce que comment sont-elles devenues enceintes, si elles sont seules? », interroge avec pudeur la sage-femme. C’est fréquemment pendant les consultations de grossesse que ces femmes « parlent un peu de ce qu’il s’est passé ».Pour beaucoup originaires du Nigeria, de l’Erythrée ou de Côte d’Ivoire, c’est souvent en Lybie qu’elles tombent enceintes contre leur gré. « Elles sont pour la plupart, à quasiment 100%, soit des sortes d’esclaves sexuelles – elles sont prostituées – soit directement violées », raconte le président de SOS Méditerranée, Francis Vallat. « Beaucoup d’entre elles sont dans un état absolument déplorable, y compris sur le plan des blessures physiques. » « C’est elles qui subissent les tortures, qui ont la vie la plus difficile pendant le voyage. Ça commence dès leur pays d’origine, puis sur le chemin, où elles sont très souvent victimes de viols », renchérit Fabienne Lassalle, directrice adjointe de SOS Méditerranée France. La part des femmes enceintes accueillies sur l’Aquarius a doublé entre 2016 et 2017. La clinique du navire se transforme parfois en salle d’accouchement : en deux ans, cinq enfants y sont nés. Même quand ces femmes qui risquent leur vie en mer Méditerranée échappent aux violences sexuelles, elles ont « une place très difficile » pendant la traversée, alerte Fabienne Lassalle. Les hommes, « pensant les protéger plus, les placent au centre des embarcations de fortune, pour les éloigner de la mer. Or, c’est la place la plus dangereuse ». En effet, explique l’humanitaire, « elles [y] baignent dans une espèce de mélange de fioul et d’eau, qui est un ensemble absolument corrosif, qui les asphyxie. Ce sont aussi elles qui sont assises sur des planches avec des clous qui ressortent. Enfin, c’est elles qui sont les premières piétinées dès qu’il y a un mouvement de panique [et] meurent étouffées. » »

    Et le tout avec la complicité des négriers des temps modernes, qui pillent l’Afrique de ses richesses humaines pour appauvrir l’indigène européen. Remarquez, il faut bien que certains colons s’entraînent sur le navire pour ne pas perdre leur enrichissantes compétences, un peu comme lors de la Coupe du Monde 1930, les équipes de France, Belgique, Roumanie et Yougoslavie s’étaient entraînées en jouant au foot sur le pont du navire. Du moins, avant que tous les ballons ne passent par-dessus bord…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/de-nombreux-cas-de-viols-recenses-sur-laquarius/96375/

     

  • Loi contre les violences sexuelles: forte avec les faibles, faible avec les forts

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    Marlène Schiappa a accouché d'un texte brouillon

    En ne voulant fâcher personne, la secrétaire d’Etat à l’égalité homme/femme Marlène Schiappa mécontente tout le monde. Malgré quelques rares avancées positives, sa loi contre les violences sexuelles risque de criminaliser la drague sans pour autant sanctionner la montée des agressions sexuelles. 

    Dans le contexte tragi-comique de cette fin de session parlementaire, sur fond d’affaire Benalla/Macron et de canicule propice à l’échauffement des esprits, le projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles ou sexistes porté par la très médiatique Marlène Schiappa a finalement été approuvé à l’Assemblée nationale.

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  • Africains, n’immigrez pas en Europe ! Encore un exemple de passeurs fournissant des réseaux d’esclaves

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    Espagne – Un réseau d’esclavage a été démantelé par les autorités espagnoles avec l’aide d’Europol (l’Interpole européen). Sept hommes ont été arrêtés en Espagne. Ils sont soupçonnés d’avoir fait entrer plus de 300 immigrés clandestins en Europe. Les sept individus arrêtés ne sont pas considérés comme des passeurs, mais comme des hommes trafiquants d’êtres humains car ils revendaient les immigrés clandestins comme esclaves en France, en Allemagne, et en Grande-Bretagne.

    Les immigrés, partis d’Afrique de l’Ouest et arrivés clandestinement en Espagne par bateau avec l’aide de passeurs, étaient immédiatement pris en charge par ce vaste réseau très organisé. Les trafiquants leur fournissaient des faux papiers et leur faisaient miroiter un Eldorado en Europe. Mais ils finissaient esclaves de réseaux qui les forçaient à la mendicité ou les plaçaient sur des chantiers.

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    Maria Buyo, porte-parole de la police espagnole, raconte : « Nos hommes ont obtenu des informations comme quoi il y avait deux personnes suspectes à un arrêt de bus de la ville de San Sebastian. Ils attendaient de transférer des étrangers jusqu’à la gare et dans notre enquête, on s’est rendu compte que plus de 300 personnes avaient traversé l’Espagne de cette manière. Les migrants étaient acheminés en train, en taxi, et en bus afin d’être acheminés vers d’autres réseaux afin d’être exploités. »

  • Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier

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    On peut décider de ne pas écouter ceux qui tirent la sonnette d’alarme : les politiques – ils instrumentalisent ! -, les journalistes – ils « fakenewsent » ! -, les intellectuels – ils échafaudent et théorisent ! -, mais les mères de famille ?

    Patricia Perez – son nom n’aurait jamais dû sortir de son heureux anonymat – n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure. Son fils qu’elle enterre, comme dans L’Office pour l’enfant mort« l’enfant frêle qui [lui] était né », devenu grand jeune homme de 26 ans. Aujourd’hui, elle « attend le soir, attend le froid, attend le noir ». Et elle attend aussi des réponses à ses interrogations qui sonnent comme un grand cri : « Notre France ne fait rien pour ses enfants. »

    La question n’est pas de savoir s’ils auront sa haine ou pas. C’est de chagrin et de désespoir qu’il s’agit. Et surtout de vérité. Invitée de « Bourdin direct » en ce jour de marche blanche grenobloise, elle rétablit les faits, pour l’honneur de son petit : ce n’est pas d’une « rixe », d’une « embrouille » ou d’une « bagarre » qu’il s’agit, mais d’un assassinat. Son fils n’était pas armé. Les autres si. Ils l’ont poignardé au cœur et ont lacéré son visage, si violemment que même le maquillage mortuaire, dans le cercueil, n’a pu le camoufler. Ce n’était pas plus une querelle, bien sûr, qu’un viol n’est une dispute amoureuse.

    « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! » Qui ? Le journaliste ne pose pas la question. Peut-être parce que la réponse serait malséante, mais qu’il serait sans doute aussi malséant, en ces circonstances, de faire brutalement taire cette mère. Le journaliste est prudent. Mieux vaut changer de sujet gentiment.

    Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier. Statistiquement, peu de chances qu’il s’agisse du mien ou du vôtre. Quoique.

    On ne devrait pas sous-estimer une mater dolorosa. Elle n’a rien à perdre. Cela s’appelle l’énergie du désespoir. L’histoire des soulèvements dans le monde est marquée par la détermination douloureuse de ces mères-là. « Nos gouvernants, nos pouvoirs publics ne font rien, Monsieur. Ils ne font rien, je suis révoltée. Combien de nos jeunes vont partir comme ça, dans la violence gratuite ? » Je serais Emmanuel Macron, je reviendrais de vacances et m’exprimerais fissa. La brûlante controverse piscine ou bord de mer attendra.

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/patricia-perez-nous-met-en-garde-son-enfant-nest-pas-le-premier-il-ne-sera-pas-le-dernier/

  • La République tchèque finance la police aux frontières de Bosnie-Herzégovine pour bloquer l’immigration

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    N1 HINA / Ambassade tchèque en Bosnie-Herzégovine. Les autorités de Bosnie-Herzégovine feront tout pour protéger leurs frontières de l’immigration illégale, a déclaré mardi à Sarajevo le Ministre de la Sécurité, en recevant une donation tchèque d’un million d’euros, destinée à renforcer la police aux frontières, avant d’ajouter que Sarajevo comptait sur l’aide des pays voisins et sur une participation plus décisive de l’Union Européenne.

    Le Ministre Dragan Mektic a fait cette déclaration suite à la signature d’un accord avec l’ambassadeur tchèque en Bosnie-Herzégovine, Jakub Skalnik. Ce don de la République Tchèque doit aider à l’acquisition d’équipements destinés à la Police des frontières de Bosnie-Herzégovine, qui fait face à une lourde tâche dans la surveillance de ses frontières avec la Serbie et le Monténégro, à travers lesquelles arrivent quotidiennement, depuis le début de l’année, des dizaines d’immigrés illégaux.

    Ce financement permettra l’achat d’équipement technique des policiers aux frontières, caméras thermiques sophistiquées, drones équipés de caméras et appareils de détection de présence à bord des véhicules, a précisé Mektic.

    10.000 immigrés illégaux ont franchi la frontière bosniaque depuis le début de l’année. Généralement, ils tentent de poursuivre leur route vers la Croatie et ensuite vers l’Europe de l’ouest.

    Aucun des immigrés illégaux n’a obtenu l’asile en Bosnie-Herzégovine, ni ne devrait l’obtenir, car il s’agit de personnes qui ont quitté leur pays pour des motifs exclusivement économiques, a affirmé le ministre.

    « Ceci est un problème européen qui nécessite une solution européenne. La Bosnie-Herzégovine ne peut pas la trouver seule, mais elle participera à une solution commune« , a déclaré Mektic en soulignant que 80% des migrations illégales sur la route depuis la Turquie étaient dans les mains du crime organisé.

    http://www.medias-presse.info/la-republique-tcheque-finance-la-police-aux-frontieres-de-bosnie-herzegovine-pour-bloquer-limmigration/96311/

  • Meurtre d’Adrien Perez : le grand silence des bien-pensants !

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    Jean-Pierre Fabre Bernadac

    Boulevard Voltaire cliquez ici

    Du sang, des larmes et le silence, ce silence assourdissant de la bien-pensance qui équivaut à un crachat sur la dépouille d’un jeune homme.

    Mais commençons par le début : Adrien Perez, pour son anniversaire, samedi soir 28 juillet, invite des amis à faire la fête au Phénix, une discothèque de Meylan (Isère). Dans l’établissement, trois « jeunes », issus des banlieues à risque qui foisonnent autour de Grenoble, se font remarquer en adressant à la jeune femme du groupe gestes et remarques déplacés. La réaction immédiate des copains provoque un premier incident sans gravité. Mais vers 5 h 30, à la sortie des fêtards, nos racailles remettent cela. Une rixe éclate sur le parking, les trois malfrats brandissent des armes blanches. Adrien, frappé en plein cœur, meurt sur le coup, un de ses amis est grièvement blessé d’un coup de couteau qui lui perfore un poumon. Heureusement pour les enquêteurs, la scène a été filmée par des caméras de vidéosurveillance. Le lendemain matin, deux frères, Younes et Yanis El Habib, se livrent à la gendarmerie. Un troisième individu, arrêté, est lui aussi mis en examen.

    Dans une interview accordée au Dauphiné libéré, les parents d’Adrien se disent révoltés par ce drame :

    « Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible… C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés. Comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque avec des couteaux ? »

    Effondré, le père conclura par ces mots : « En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie, je ne pardonnerai jamais. »

    Voilà, dans toute sa barbarie, le récit de ce drame. Encore une fois, pour ce type de meurtriers, le relatif silence de la presse est de rigueur. Aujourd’hui, j’ai décidé d’exprimer ma colère contre la multitude de ces agressions commises par des bandes ethnicisées et aussi ma honte face à ce deux poids deux mesures.

    Honte à France 3 Rhône-Alpes, qui retient surtout que le papa ne veut pas être catalogué comme « raciste » et ne désire pas « que les politiques récupèrent cette affaire ».

    Honte au juge des libertés et de la détention qui, pour le troisième suspect mis en examen, n’a pas suivi les réquisitions du parquet et l’a laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

    Honte à tous ces médias « mainstream » qui se répandent en écrits haineux contre les gendarmes dans l’affaire Adama Traoré, mort suite à son interpellation, mais qui refusent de consacrer une ligne au meurtre d’Adrien.

    Honte à cet ancien président de la République qui se rend au chevet de Théo Luhaka, un menteur et un délinquant, mais ne daigne pas envoyer un simple message à la famille de la jeune victime.

    Honte à ces artistes qui, comme le comédien Omar Sy, soutiennent les crapules si elles sont de couleur mais n’ont pas un mot pour un Perez.

    Honte au Figaro qui détaille le jet, en Italie, d’un œuf en voiture contre Daisy Osakue, athlète d’origine nigériane, en concluant que l’Italie est face à une série d’agressions racistes (ce qui serait faux) mais est resté muet jusqu’à ce matin sur le crime de Meylan.

    Honte, enfin, à Macron, qui a félicité à l’Élysée Mamoudou Gassama et l’a naturalisé mais n’a fait aucune allusion à la bravoure du jeune Grenoblois.

    Pour ma part, je vais mettre un mot sur le site Libra Memoria et envoyer une étoile.

  • HARCÈLEMENT DE RUE ET PROTECTION DES MINEURS : LA MASCARADE SCHIAPPA

  • Portés disparus à l'Elysée : 32 oeuvres et 625 meubles

    La Cour des comptes rend public aujourd'hui son rapport sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République. Une partie a tout particulièrement attiré notre attention : celle relative au patrimoine mobilier des résidences de la présidence. Intitulé relativement sobrement en jargon administratif, "des récolements très tardifs et l’absence de cadre juridique pour le patrimoine", les faits évoqués sont proprement hallucinants.
    On y apprend que 32 oeuvres appartenant aux musées nationaux et 625 meubles du Mobilier national ont "disparu", c'est-à-dire qu'ils ont été prêtés à la présidence et qu'aujourd'hui elles ont disparu des salons de l'Elysée.
    "L’absence de récolements disponibles à jour ne permet pas de savoir celles de ces « disparitions » qui sont récentes et celles qui sont plus (voire très) anciennes", précise la Cour des comptes.
    L'inventaire n'ayant pas été réalisé depuis plusieurs années (2012 pour être exact), le bilan pourrait être encore plus salé. D'autres oeuvres se sont peut-être "égarées" entre temps.
    La Rue Cambon regrette par ailleurs que le bilan des "récolements", c'est-à-dire des inventaires, ne soit publié que des années après leur réalisation.
    Par exemple, avant son départ de l'Elysée en 2012, Nicolas Sarkozy et son équipe ont fait un "état des lieux", mais les résultats de celui-ci ne seront disponibles ... qu'à l'automne 2014, soit plus de deux ans après sa réalisation.  
    Enfin, la Cour des comptes s'inquiète qu'aucun encadrement juridique n'existe sur le mobilier des résidences présidentielles.
    "Les objets dont elle demande à bénéficier ne constituent pas, comme c’est le cas pour tous les autres bénéficiaires publics, des « dépôts », mais des « envois », que le Président et ses collaborateurs peuvent en principe solliciter sans limite et sans conditions formalisées, selon un dispositif qui est l’héritier direct du Garde-meuble et du service de la Maison du roi", explique-t-elle. De vieux restes monarchiques somme toute. 
    Vous pouvez télécharger l'ensemble du rapport ici .

  • Immigration et trafic d'êtres humains : le nouvel esclavagisme

    Un vaste réseau d'esclavagisme moderne vient de tomber entre l'Espagne et la France : plus de 350 immigrés clandestins, en provenance d'Afrique de l'Ouest, ont été acheminés principalement en France ces derniers mois par l'intermédiaire d'une filière qui vient d'être démantelée par la police espagnole. Les enquêteurs ont ainsi fait tomber un réseau particulièrement bien organisé qui revendait ces migrants à d'autres organisations criminelles.

    Les trafiquants promettaient l'eldorado français à des hommes du Mali, du Sénégal, de Côte d'Ivoire ou de Guinée mais très vite, le piège se refermait sur les candidats au départ. Les trafiquants leur fournissaient de faux papiers, organisaient leur transfert jusqu'en Espagne par de petits bateaux, mais au moment d'arriver enfin en France, les clandestins étaient revendus à d'autres réseaux.

    Ensuite, des gens en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, vont acheter quatre, cinq, sept personnes africaines et ils les envoient devant les portes des églises, des supermarchés pour mendier ou bien ils les font travailler dans des écuries.

    Evidemment, les immigrationnistes, qu'ils soient politiciens, associations, clercs, se rendent complices de ces trafics d'être humains en appelant à l'accueil systématique de ces immigrés.

    Michel Janva

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