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insécurité - Page 873

  • De Robespierre à Coulibaly, les bons et les mauvais terroristes

    "[...] La Révolution Française, parce qu’elle est portée par une vision idéologique, introduit un nouveau concept de guerre. Il avait existé des conflits civilisationnels (les guerres médiques entre les cités grecques et l’empire perse, les chocs Islam-chrétienté, etc.), de simples luttes pour la prééminence politique, militaire ou économique (les conflits entre cités grecques, les luttes entre féodaux au Moyen-Age, etc.) Le projet des révolutionnaires français est plus ambitieux. Il s’agit de « régénérer l’homme », c’est-à-dire non seulement de le soumettre physiquement, ce que faisaient toutes les armées en position de force sur un territoire donné, mais de le faire adhérer à l’idéologie du vainqueur. La République en danger institutionnalise la Terreur mise en œuvre par le Comité de Salut Public à la tête duquel se trouve Robespierre. La Vendée est exterminée, les colonnes infernales ravagent le pays passant au fil de l’épée « brigands », femmes et enfants. La réaction thermidorienne met fin à la Terreur mais tout au long du XXe siècle les historiens marxistes titulaires de la chaire d’histoire de la Révolution Française à la Sorbonne (Soboul, Matthiez, Aulard…) n’auront de cesse de défendre la légitimité de la Terreur « pour sauver la Révolution ». La société française reste, aujourd’hui encore, d’une immense complaisance face au terrorisme robespierriste. Le grand lycée d’Arras porte le nom de Robespierre ainsi que de très nombreuses rues de communes de gauche (Saint-Denis- 93) comme de droite (Issy-les-Moulineaux- 92). A quand un lycée Kouachi ?

    Pol Pot procède à l’élimination de 20% de la population khmère, sous les applaudissements du quotidien Le Monde (« Un peuple en liesse accueille ses libérateurs » titrait le quotidien de référence au lendemain de l’entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh le 17 avril 1975) et meurt dans son lit vingt ans après son renversement. [...]

    Le terrorisme islamique est aujourd’hui mis au ban des sociétés démocratiques.

    Mais quelle différence y a-t-il entre guillotiner madame Michu qui « n’ayant rien fait contre la République, n’a non plus rien fait pour elle » et égorger un mécréant dont le seul tort est d’être chrétien ? Aucune !

    Une attitude schizophrénique

    L’hypocrisie politique dans laquelle nous vivons est que les actes terroristes ne sont plus appréciés en fonction de leur nature mais au regard de leur finalité. Pour la vulgate politico médiatique les attentats de l’ETA en Espagne sont légitimes, Franco régnant, mais deviennent illégitimes quand la démocratie est restaurée à Madrid. Dans un cas la police française collabore avec la police espagnole dans l’autre non.

    Cette position est intellectuellement et moralement très fragile.

    Intellectuellement le terrorisme est l’arme des faibles : un pouvoir qui se sait minoritaire ou une opposition qui n’arrive pas à prendre le dessus sur son adversaire. Le plus faible aura beau jeu de dauber sur la vertu intransigeante du plus fort si celui-ci a lui-même usé du terrorisme. Les condamnations vertueuses du terrorisme palestinien par l’état d’Israël perdent de leur crédibilité pour qui a lu la vie et les exploits de Zeev Jabotinsky et de ses émules de l’Irgoun ou du groupe Stern.Le faible qui recourait au terrorisme devient le fort qui dénonce le terrorisme des autres, ce qui est logiquement assez difficile.Il n’en reste pas moins que cette arme du faible au fort est d’une singulière efficacité car elle fait trois victimes : l’ennemi qui est éliminé, l’observateur qui est terrorisé et le complice, plus ou moins volontaire, qui est impliqué sans possibilité de retour en arrière.

    Moralement un acte est objectivement bon ou mauvais en lui-même.Tuer un innocent pour quelque raison que ce soit ne peut jamais être un acte vertueux. La conception machiavélienne, pour ne pas dire machiavélique, de la politique selon laquelle : « La fin justifie les moyens » est la négation de la justice dans l’ordre social. C’est au nom de lendemains radieux à bâtir qu’ont été perpétrés les grands massacres de l’époque contemporaine. Sous cet aspect l’islamisme est bien, comme l’écrivait Jules Monnerot, le communisme du XXI ème siècle.

    Le gouvernement français gagnerait en crédibilité et en cohérence dans sa lutte contre le terrorisme s’il commençait par jeter à bas les icônes terroristes médiatiques aujourd’hui portées au pinacle que sont Robespierre, Lénine ou le frère No1, alias Polpot."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LE CAMP DU BIEN

    Trois soldats attaqués à Nice par un forcené qui dévoile sa haine des Juifs en garde à vue. Il n’aura pas fallu longtemps à notre pays pour connaître une nouvelle attaque islamiste et antisémite.

    Le Président et le Premier Ministre peuvent distribuer de bons points à nos soldats : ils sont toujours là où les situations sont tendues. Il y a quelques jours à Nice, deux des trois soldats montant la garde devant un immeuble abritant une association et une radio israelites ont été blessés par un certain Moussa Coulibaly, engagé dans le Djihad au sein de Daech. Un mois à peine après les attentats de Charlie Hebdo et la prise d’otages de l’Hyper Casher à Paris, un autre fait divers vient ternir un peu plus le climat, pour le moins tendu, entre un certain islam et les Français.

    On peut se poser la question de savoir jusqu’où les choses vont aller. Manuel Valls a beau critiquer les amalgames, la haine et autres paravents qui cachent la réalité aux Français, le pays reste dans l’alerte, comme si la France redoutait un danger interne qui ne dit pas son nom.

    On critique Houellebecq et son roman "Soumission", mais parle-t-on vraiment du livre, qui n’est somme toute qu’une fiction ? Le sujet de l’Islam est-il à ce point sensible que l’on ait même plus le droit d’ouvrir la bouche sur "l’islamisation" de la société française ? La véritable question est pourquoi le sujet reste tabou. Comme nous n’avons encore jamais vu de chrétiens avec des fusils mitrailleurs, nous sommes sans doute en droit de demander si la peur ressentie après les événements est légitime. Elle l’est certainement, après les atrocités commises à Paris et en Syrie par les djihadistes, nouveaux tortionnaires endoctrinés.

    La question cruciale est : Pourquoi avons-nous abandonné l’assimilation ? Sans doute parce qu’elle prend trop de temps, et parce que la différence est sacrée. En effet, les "Droits de l’Homme" stipulent que les hommes sont égaux en droits. Sans jamais poser la question autrement cruciale de la civilisation. On n’interdit pas aux Musulmans la construction de mosquées avec des fonds étrangers sur le sol français, mais on interdit une crèche de quelques centimètres de long au Conseil Général de la Vendée, autrefois bien défendu par M. Philippe de Villiers, qui lui ne se laissait pas intimider. On est résistant ou on ne l’est pas.

    Laisser une communauté, ouverte à tous les courants y compris les plus violents, s’installer sans droit de regard sur notre sol, c’est offrir le flanc à des menaces sans précédent. Laisser des jeunes musulmans contester une minute de silence en l’honneur des victimes de massacres atroces et inédits, c’est laisser entrer la barbarie dans nos quartiers. Cela rappelle étrangement les sifflets accompagnant la Marseillaise lors d’un fameux match France-Algérie. Quand on ne se plaît pas quelque part ...

    C’est tout le problème de la démocratie : un régime sous perfusion, faible, qui est incapable de se défendre... Car face à l’ennemi déterminé, comme jamais, ce ne sont pas des leçons de morale républicaine qui changeront la donne. La pédagogie ne sert pas à grand-chose face à des convictions millénaires. L’intégration ne peut se faire sans le travail, or le travail est parti loin de chez nous, en Chine, en Inde, en Turquie ou au Maroc. Les frontières sont ouvertes, laissant passer des milliers d’armes en provenance de l’Est. Les clandestins affluent à Calais. La situation ne peut qu’empirer tant que l’on n’aura pas réglé la question conjointe de l’immigration et des frontières.

    La France est en danger. Il n’est pas trop tard pour réagir. Qu’ajouter de plus, dans un pays qui a sapé ses racines chrétiennes, oublié son histoire, qui meurt du mondialisme et où tout est fait pour nous culpabiliser ? Le déséquilibre ne peut apporter que plus de peine et de malheur. Rassembler les Français et leur redonner confiance est de la responsabilité de tous les patriotes. Renouer avec notre Histoire est de prime importance. Le monde que l’on nous offre ne peut nous satisfaire tant il est froid, terne et abject. La France est à reconquérir, donc, POLITIQUE D’ABORD !

    Nicolas Martin http://www.actionfrancaise.net/craf/?LE-CAMP-DU-BIEN

  • Nations Unies: « des enfants vendus, crucifiés, enterrés vivants par l’Etat Islamique »

    Le Comité des droits de l’enfant, organisme des Nations unies, a publié ce matin un rapport dans lequel il affirme des enfants Irakiens seraient de plus en plus souvent utilisés par l’Etat Islamique pour commettre des attentats suicides, jouer le rôle d’informateurs ou servir de boucliers humains pour protéger des installations des bombardements de la coalition menée par les Etats-Unis. D’autres sont massacrés ou vendus comme esclaves sexuels.

    « Nous avons des informations selon lesquelles des enfants, en particulier des enfants déficients mentaux, sont utilisés comme kamikazes, très probablement sans qu’ils s’en rendent compte », a-elle poursuivi. « Une vidéo diffusée (sur internet) montre de très jeunes enfants, d’environ huit ans et moins, qui sont entraînés pour devenir des enfants soldats ».

    Le comité des Nations unies, dans son rapport, dénonce « l’assassinat systématique d’enfants appartenant à des minorités religieuses ou ethniques par des membres de l’organisation de l’Etat islamique, y compris plusieurs cas d’exécutions de masse de garçons, ainsi que des décapitations, des crucifixions et des ensevelissements d’enfants vivants ».

    L’Etat islamique est également responsable de violences sexuelles systématiques et notamment d’enlèvement et d’asservissement sexuel d’enfants : « Les enfants de minorités ont été capturés dans nombre d’endroits, vendus sur des marchés avec sur eux des étiquettes portant des prix, ils ont été vendus comme esclaves ».

    « Nous sommes vraiment très préoccupés par la torture et le meurtre de ces enfants, en particulier ceux qui appartiennent à des minorités, mais pas seulement », a de son côté déclaré Renate Winter, experte appartenant au comité. Les enfants yézidis et chrétiens, issus des familles chassées de la plaine de Ninive en juin et août dernier font évidemment largement partie des victimes…

    Pendant que le sacro-saint « Progrès » propose des enfants « à trois parents »fabriqués en laboratoires, les islamistes ne cessent de repousser les limites de l’horreur. Diagonale diabolique.

    http://www.contre-info.com/nations-unies-des-enfants-vendus-crucifies-enterres-vivants-par-letat-islamique#more-36662

  • Nouvelle fatwa contre Charlie Hebdo : encore la faute à Zemmour ?

    L’ancien ministre pakistanais Ghulam Ahmad Bilour vient de mettre à prix – pour 175.000 € — la tête du propriétaire de Charlie Hebdo.

    Le Pakistan est un charmant pays issu de l’empire des Indes britanniques. Il est né en 1947 dans un bain de sang, sous l’impulsion du leader indien musulman Muhammad Ali Jinnah, dont l’intransigeance a eu raison des efforts désespérés du dernier vice-roi des Indes pour maintenir l’unité du sous-continent. Pays allié des États-Unis qui en ont fait une pièce maîtresse de leur dispositif au Moyen-Orient, cette république islamique – et accessoirement puissance nucléaire — instable et fanatique est une véritable poudrière musulmane dans une zone hautement stratégique du globe.

    On connaissait un peu ce pays pour diverses raisons : le nombre d’immigrés pakistanais qu’on croise à Londres, sa situation de base arrière des talibans pendant la guerre d’Afghanistan, ses grottes hospitalières qui abritent généreusement trafiquants et terroristes de tout poil.

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  • Pas assez de policiers pour traiter tous les djihadistes ?

    Quelques heures après l’agression au couteau de trois militaires à Nice, et moins d’un mois après les attentats de Paris, le juge antiterroriste Marc Trévidic était l’invité de Ruth Elkrief, mardi 3 février à 19 heures.”On a repéré tellement de djihadistes, qu’on a pas assez d’OPJ [officiers de police judiciaire] pour les arrêter”, a-t-il notamment déclaré.

    Le juge antiterroriste a également indiqué que la France fait face à “deux dangers aujourd’hui: l’attentat très organisé, et le jihad pulsionnel, a expliqué le juge d’instruction au pôle antiterroriste du tribunal de grande instance de Paris. En un mois, on a vu les deux à l’œuvre”.

    http://fr.novopress.info/

  • La CEDH oblige la France à héberger des terroristes étrangers, aux frais de l'Etat

    D'après le Figaro (via), neuf islamistes sont, à l'heure actuelle, assignés à résidence dans nos campagnes, aux frais de l'Etat, qui ne peut les expulser. Un régime qu'a connu Djamel Beghal, le mentor des frères Kouachi et de leur complice Coulibaly, avant qu'il ne retourne en prison. En cause ? La cour européenne des droits de l'homme :

    "C’est le sort réservé à ceux qui, d’origine étrangère, sont frappés d’une interdiction définitive du territoire français mais ne peuvent être expulsés. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qu’ils saisissent, fait en effet barrage à une extradition vers leur pays en évoquant des risques de torture. C’est alors l’impasse. La France, qui ne peut se débarrasser de ceux qu’elle bannit, les installe dans des bourgades isolées, avec interdiction pour eux d’en sortir et obligation de pointer quatre fois par jour à la gendarmerie."

    Dans le village où a été hébergé Beghal,

    "on parle d’une facture mensuelle de 3000 euros. «Voilà ce que coûtait ce terroriste chaque mois!»"

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les huiles de la police parisienne sont en GAV

    L’affaire Rocancourt est au coeur de ce nouveau scandale pour la police judiciaire parisienne. Outre le patron de la PJ parisienne, Bernard Petit et de son directeur de cabinet, Richard Atlan, l’ancien dirigeant de l’UNSA police, Joachin Masanet ainsi qu’un membre des oeuvres sociales de la police sont en garde à vue.

    C’est un nouveau tremblement de terre pour la police judiciaire parisienne. L’Inspection générale de la police nationale, la police des polices, a perquisitionné mardi matin les bureaux de la Direction de la police judiciaire parisienne. Au total, quatre policiers et anciens policiers sont en garde à vue. Outre le patron du 36 quai des Orfèvres, Bernard Petit, figurent son directeur de cabinet Richard Atlan, l’ancien responsable du syndicat UNsa-Police Joaquin Masanet ainsi qu’un membre de l’Association Nationale d’Action Sociale (Anas) des personnels de la police nationale.

    Lire la suite sur Le Figaro.fr

    http://www.contre-info.com/

  • Le pilote jordanien, brûlé vif dans une cage par l’État islamique

    L’État islamique a revendiqué l’exécution sommaire et barbare du pilote jordanien qu’il avait pris en otage fin décembre 2014. Dans une vidéo diffusée mardi, les images montrent un homme portant une combinaison orange enfermé dans une cage, et des flammes qui consument ses vêtements jusqu’à ce qu’il devienne une boule de feu.

    L’armée jordanienne a promis de venger sa mort.

    http://fr.novopress.info/

  • "Comment se fabriquent les terroristes ?"

    Extrait de l'éditorial d'Eric Letty dans le nouveau numéro de Monde et Vie :

    "Pour fabriquer un futur terroriste, la recette est simple. Prenez un gamin de huit ans, prénommé Ahmed, grandi dans un de ces quartiers de banlieue qui constituent des zones de non-France, probablement insupportable, aimant jouer au dur, se bagarrer et défier l’autorité. Surtout, de famille musulmane « très pratiquante. » Organisez dans son école, au lendemain des attentats que l’on sait, une minute de silence à la mémoire des victimes, en insistant sur la mort de caricaturistes connus pour avoir insulté sa religion. S’il vient à déclarer « Je ne suis pas Charlie, je suis avec les terroristes », faites en sorte que la direction de l’école, conformément aux instructions données par le ministère, signale « l’incident » aux services de protection de l’enfance, qui ouvriront une enquête sur sa famille et transmettront à leur tour l’information aux services de police. Ceux-ci convoqueront alors le vaurien au commissariat, pour lui reprocher – en présence de son avocat… – de s’être livré à « l’apologie d’actes de terrorisme ». C’est prêt : vous avez tous les ingrédients d’un cocktail du genre molotov, qui deviendra explosif dans une dizaine d’années.
                N’étant pas socialiste, je n’ai pas l’habitude de rejeter sur la société la responsabilité des exactions commises par les voyous, comme le fait si bien Christiane Taubira ; mais la responsabilité des périls qui menacent notre pays n’incombe pas aux enfants de huit ans. Les vrais coupables doivent être recherchés au plus haut niveau de l’Etat et de la classe politique : parmi ceux qui, depuis cinquante ans, ont sciemment travaillé au remplacement de population en encourageant l’immigration de masse, alors qu’au même moment la légalisation de l’avortement privait notre pays de 200 000 enfants par an ; or, le gouvernement actuel poursuit sur la même voie.
                Parmi ceux, aussi, qui n’ont eu de cesse de dresser le procès de la France et de dénigrer son histoire, en dissuadant ainsi les nouveaux venus de s’assimiler à cette nation de « salauds » et en les persuadant que notre pays a une dette envers eux. C’est cette politique que conduit encore François Hollande, par exemple en inaugurant le musée de l’histoire de l’immigration, symboliquement installé dans les locaux de l’ancien musée des colonies."[...]

    (la suite )

    Marie Bethanie

  • Jean-François Copé a été mis en examen

    L'ancien président de l'UMP a été mis en examen pour "abus de confiance" dans l'enquête sur les pénalités infligées à l'ex-chef de l'État Nicolas Sarkozy. Ces dernières avaient été réglées par l'UMP, à l'époque présidée par Jean-François Copé, alors que l'ancien candidat aurait dû s'en acquitter personnellement.

    Il s'agit de la seconde mise en examen dans ce dossier, après celle de l'ex-trésorière de l'UMP Catherine Vautrin, également pour "abus de confiance".

    Oui mais l'UMP, c'est un parti "républicain". C'est cela les "valeurs de la République".

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html