En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cette violente agression a eu lieu peu après 17 heures, dans la rue de Douai, située dans le quartier Moulins. Selon les premiers éléments, un homme a poignardé cette jeune femme qui rentrait dans son immeuble, sans raison apparente. La victime aurait reçu quatre coups de couteau, d’après la même source. (…)
Une jeune Africaine réduite en esclavage par la promesse d’un emploi dans un pays européen, c’est une histoire somme toute assez banale en ces temps de Grand Remplacement. Le fait divers serait même passé inaperçu si l’accusée n’était pas une juge de l’ONU et qu’elle n’illustrait pas encore une fois l’hypocrisie de certains défenseurs des droits de l’homme.
Ce vendredi 21 mars 2025 un jeune homme, vraisemblablement sans domicile fixe, a attaqué deux jeunes en sortant une machette devant le lycée Cezanne à Aix, vers 12h40. Il aurait d’abord demandé à une lycéenne s’il pouvait entrer dans l’établissement puisqu’il ne possédait pas la carte du lycée Cezanne avant de repartir et traverser le passage clouté. (…)
« L’instruction est enfin terminée… Mon agresseur va être jugé devant la cour criminelle. » Ce 20 mars, Claire Geronimi est mitigée. D’un côté, la jeune femme se dit « soulagée de voir que son dossier avance ». Seize mois après le terrible viol qu’elle a subi, dans le hall de son immeuble, elle vient d’apprendre que son agresseur présumé, un clandestin sous OQTF, allait être renvoyé devant une cour criminelle pour viols commis sous la menace d’une arme et viols en concours avec un ou plusieurs autres viols commis sur d’autres victimes. De l’autre, explique-t-elle, « c’est frustrant de voir qu’il faut autant de temps pour boucler une instruction alors que le suspect avait avoué les faits ». Si aucune date de procès n’a, pour l’heure, été fixée - au grand dam de Claire -, l’enquête a déjà permis d’éclairer le profil très inquiétant du suspect.
Trois hauts responsables ukrainiens sont derrière l'organisation des attaques de drones sur les régions russes, a indiqué ce 21 mars le Comité russe d'enquête:
Selon Le Parisien, le 19 mars 2025, un élève du lycée René-Cassin, situé dans le 16ᵉ arrondissement de Paris, a été agressé par un individu armé d’un sabre.
Quand la communication prend le pas sur la compétence, ça produit une forfanterie qui s’étale en forme d’action du pouvoir. Macron n’est ni un chef d’État ni un chef de guerre. Sa seule préoccupation, occuper l’espace, quitte à brasser de l’air ou à y mentir. Chacune de ses interventions est un satisfecit de son œuvre, quand il ne va pas jusqu’à s’attribuer les lauriers des autres, comme lorsqu’il se félicite des tractations de paix auxquelles il n’a pas participé, et pour lesquelles on ne lui a même pas demandé son avis. Sa dernière saillie est ce livret de crise qu’il s’apprête à diffuser à chaque français, histoire de nous faire croire qu’il a tout prévu, que tout est sous contrôle. Si la farce du COVID pouvait laisser planer l’incertitude quant aux bienfaits des mesures envisagées, là, le doute n’est plus permis. Quelques pages d’une hallucinante inutilité, et d’une vacuité qui en dit long sur la maîtrise du sujet. Le clou est ce passage, aura-t-il l’intelligence de l’enlever avant parution, où il préconise de fermer les portes en cas d’attaque nucléaire ! Ce livret coûterait la bagatelle de six millions d’Euros.
Cette semaine dans "I-Média", Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur l’évacuation de 450 clandestins du Théâtre de la Gaîté Lyrique après trois mois de dérive et de pression de l’extrême gauche.
Je reçois régulièrement des e-mails provenant d’organisations et de sites patriotes, comme pas mal d’entre vous je suppose. Et ce matin, l’un d’eux a particulièrement attiré mon attention par son contenu dévoilant la couardise homicide de l’ultragauche. J’avoue être passé à côté de cette nouvelle qui dit combien notre pays doit se débarrasser de l’ultragauche terroriste.
ENTRETIEN. La maire de Romans-sur-Isère dénonce la « réécriture » de l’attaque de Crépol et avertit contre le communautarisme religieux qui « gangrène progressivement notre pays ».