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insécurité - Page 926

  • Les amis du sinistre sioniste Fabius font couler le sang…

    Syrie, le père François Mourad a été égorgé

    Des « rebelles » ont assassiné dimanche 23 juin le franciscain François Mourad dans son couvent de Ghassanieh, près de Homs, en Syrie. Le couvent a été entièrement pillé par des hommes armés, rapporte la Custodie franciscaine de Terre sainte à Jérusalem.

    François Mourad, un religieux âgé de nationalité syrienne qui vivait en ermite, avait quitté son ermitage au début de la guerre en Syrie pour rejoindre un frère affaibli dans un couvent de la Custodie franciscaine. Il était bien connu dans la région et les tragiques circonstances de sa mort affectent particulièrement la Custodie.

    Après avoir fait son noviciat franciscain pour la Custodie à Rome, « François avait entendu un appel plus pressant du Seigneur à la vie contemplative. Appel qui trouva son accomplissement en Syrie, dont il était citoyen« , raconte le Père Halim Noujaim, Ministre régional des franciscains de Syrie. « Ses liens avec la Custodie étaient restés très forts et il venait régulièrement aider tel ou tel couvent en remplacement d’un frère ou l’autre« .

    A ce rythme, il ne restera plus un seul chrétien dans ces zones

    Les franciscains, qui militent pour instaurer la trêve et œuvrer à la réconciliation, dissuadent l’Occident de prendre des mesures susceptibles d’apporter davantage de violence et d’augmenter le nombre de morts. Pour les religieux, ce ne sont pas les armes qui sont en mesure de donner à la Syrie ce dont elle a besoin. « Je voudrais que tout le monde sache » , a insisté le Père Halim Noujaim, «qu’en soutenant les révolutionnaires, l’Occident soutient les extrémistes religieux et aide à tuer les chrétiens… A ce rythme, il ne restera plus un seul chrétien dans ces zones« , a-t-il déclaré à l’agence de presse catholique italienne SIR.

    Dans certaines zones, où sévissent des extrémistes armés, aucun déplacement, même pour des religieux, ne peut être tenu pour sûr. Pour preuve l’enlèvement par les rebelles de deux prêtres et de deux évêques, dont les franciscains sont toujours sans nouvelles depuis plusieurs mois…

    « Pourtant et en dépit des risques encourus, les frères se démultiplient pour venir au secours des populations » assure la Custodie sur leur site. « En plus des soins qu’ils apportent dans leurs dispensaires, où des religieuses franciscaines et du Rosaire travaillent avec eux, ils accueillent des déplacés dans certains couvents devenus des ‘dortoirs’. Ils distribuent de la nourriture aux réfugiés et à tous ceux qui se présentent aux portes des couvents. Ils participent financièrement à la restauration des maisons détruites des familles de leurs paroisses et aident les plus démunis. Ils servent parfois d’intermédiaires lors d’enlèvements de leurs paroissiens« .

    Cet accueil de tous vaut aux frères de la Custodie de subir régulièrement des représailles de l’un ou l’autre camp. En décembre dernier, un couvent a été bombardé ; il est depuis déserté. « La guerre a un impact négatif, mais elle a aussi amené les chrétiens de tous les rites à se rapprocher les uns les autres, à s’entraider et à prier ensemble » insistent-ils sur custodia.org. Dans des villages de la vallée de l’Oronte, en Syrie, alors que les franciscains sont les seuls religieux à être restés, ils célèbrent les sacrements pour tous les rites. Ailleurs, ils organisent des temps de prières où tous sont présents.

    Pour rappel, la présence de la Custodie en Syrie est multiséculaire. Elle y a toujours exercé sa mission de service des populations et continue dans ces temps troublés de le faire sans distinction de religions ou de partis.

    source: catho.be

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/les-amis-du-sioniste-fabius-font-couler-le-sang_99907.html#more-99907

  • La Belgique légalise le meurtre des mineurs

    La Belgique est devenue ce soir le premier pays à permettre de tuer, les enfants atteints de maladie incurable, sans limite d'âge. Les Pays-Bas disposent d'une loi comparable, mais elle ne s'applique qu'aux mineurs de 12 ans et plus. Quel pays ringard.

    Seule une minorité de députés - chrétiens-démocrates, quelques libéraux et droite flamande du Vlaams Belang - ont voté contre le texte.

    L'euthanasie est légale depuis 2002 en Belgique. Il n'aura fallu que 12 ans de plus pour en arriver là. Si la France suivait le même chemin, sous la pression de l'ADMD, nul doute que les enfants y passeront un jour.

    Michel Janva

  • Urgent : pétition à signer avant le 27 février 2014

    C'est probablement un des plus terrifiants tueurs en série de France.
    Son ADN a été retrouvé sur le pantalon ensanglanté d'une de ses victimes.
    Tout le monde sait qui il est, où il habite. Un psychiatre l'a qualifié de « psychopathe violent et pervers ». Il pourrait récidiver à tout instant.
    Mais il reste en liberté. La Justice ne peut rien faire pour l'arrêter.
    A moins que vous ne signiez la pétition ci-jointe AVANT LE 27 février 2014 !!!
    Cher lecteur,

    Je suis Laurence Havel, Secrétaire nationale de l'Institut pour la Justice, la plus grande association française de défense des victimes.
    Cet appel est le plus important jamais envoyé par notre association. Nous avons besoin de vous, de votre signature, avant le 27 février 2014.
    Le multirécidiviste Jacques Maire, qui fut :

      placé en foyer à l'âge de 10 ans pour agression sexuelle sur sa propre sœur ;

      incarcéré une dizaine de fois pour coups et blessures, vols, outrages et conduite en état d'ivresse ;

      condamné en 2006 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir enlevé et séquestré Odile Busset et assassiné et dépecé Nelly Haderer...


    est aujourd'hui en liberté, et vit dans la commune de Charmes, près de Nancy.
    La greffière du tribunal avait en effet oublié de parapher des pages de son procès. La Cour de Cassation a donc annulé sa condamnation pour « vice de forme » !
    Non seulement ses condamnations ont été annulées, mais le tribunal, qui l'a rejugé et a décidé de l'acquitter au « bénéfice du doute, » lui a accordé une indemnité de 200 000 euros pour « détention injustifiée » !
    Oui, 200 000 euros. L'équivalent de plus de 10 ans de salaire pour la moyenne des Français.
    Aujourd'hui, des analyses montrent avec certitude que c'est bien l'ADN de Jacques Maire qui se trouve sur le pantalon de Nelly Haderer, assassinée et dépecée.
    Mais la Justice ne peut plus rien faire car la loi actuelle interdit de rejuger une personne qui a déjà été acquittée.
    Heureusement, des députés courageux ont décidé de changer ça. Une mission parlementaire a été montée à l'automne sur la révision des procès. Une proposition de loi va être débattue à l'Assemblée nationale le 27 février prochain.
    Le rapporteur de cette mission, le député et ancien magistrat Georges Fenech, soutient un amendement qui permettrait de rouvrir le procès et de renvoyer Jacques Maire derrière les barreaux.Il a d'ailleurs déclaré :
    " On ne peut pas dire aux familles de victimes : Circulez, il n'y a rien à voir ! Un innocent en prison, c'est une idée insupportable et un trouble à l'ordre public. Mais à l'inverse, qu'un coupable d'un viol ou d'un assassinat, dont on a la preuve de la culpabilité, soit en liberté, c'en est un aussi. J'ai donc l'intention de déposer un amendement pour réparer l'injustice envers les victimes que représente un coupable en liberté. " (Le JDD, le 2 février 2014).
    Christiane Taubira hésite. Elle n'a pas fermé la porte. Mais elle attend de voir si le public se mobilise en faveur de cette loi.
    C'est pourquoi je vous demande de toute urgence de signer et m'aider à faire massivement signer la pétition ci-dessous, pour l'amendement de Georges Fenech.
    Aujourd'hui, la loi ne permet de rouvrir un procès que s'il s'agit de libérer un condamné.
    Mais quand c'est le contraire, quand c'est un criminel injustement acquitté qui est en liberté, la loi française interdit de rouvrir le procès. Y compris lorsqu'on trouve les preuves les plus accablantes de sa culpabilité !
    Dans le cas de Jacques Maire, c'est son ADN qui a été retrouvé sur le pantalon de la victime. Mais comme la découverte a été faite après son acquittement, et après qu'il eut reçu 200 000 euros d'indemnité, il a la garantie de pouvoir rester définitivement en liberté et de garder ses 200 000 euros !!
    Comme l'a expliqué dans la presse Bruno Haderer, le frère de l'une des victimes :
    « Il pourrait même crier haut et fort que c'est lui qu'on ne pourrait plus rien faire. ». (Le Parisien, le 31 janvier 2014).
    Et c'est exact, dans l'état actuel de la loi française.
    Mais nous pouvons faire cesser cette odieuse injustice le 27 février 2014. Il nous suffit de déclencher une grande mobilisation populaire, comme nous l'avons si souvent fait par le passé.
    Confronté à la même absurdité, le Royaume-Uni ou les Pays-Bas ont échangé leur loi. Là-bas, tout le monde trouve normal de rejuger un criminel acquitté, si on trouve la preuve qu'il y a eu une erreur judiciaire.
    Chez nous, l'erreur judiciaire ne joue que dans un sens : pour libérer des condamnés, comme dans le cas par exemple de Patrick Dils, qui avait avoué avoir tué et violé deux enfants à Montigny-les-Metz. Condamné à perpétuité, son affaire a été rejugée parce qu'un tueur, Francis Heaulme, se trouvait dans les environs au moment des faits, ce qui a jeté un doute sur sa culpabilité.
    Il a donc été libéré, au bénéfice du doute lui aussi. Mais dans l'autre sens, quand il n'y a aucun doute sur l'identité d'un assassin, mais que l'acquittement a déjà été prononcé, on ne peut plus rien faire !
    Et on laisse en liberté un serial-killer en puissance, au nez et à la barbe des enfants et des parents de ses victimes, avec bien sûr le risque potentiel qu'il commette d'autres crimes.
    C'est un scandale absolu, aussi bien sur le plan juridique, sur le plan moral que sur le plan de la simple logique.
    Mais nous avons aujourd'hui une occasion concrète de faire changer cela.
    S'il vous plaît, signez dès maintenant cette pétition et transmettez notre appel à tous vos contacts, vos collègues, vos proches, vos amis et votre famille.
    Chaque voix supplémentaire augmente les chances de faire basculer Christiane Taubira et tous les députés du bon côté.
    Nelly Haderer était une femme de 22 ans, maman de deux enfants. On a retrouvé sa jambe à Dombasle-sur-Meurthe, plus des morceaux de son corps et un couteau de cuisine ensanglanté. Sa dépouille dépecée était un peu plus loin, les mains coupées.
    Aujourd'hui, l'ADN du tueur a été formellement identifié. « Il est acquis qu'un coupable a été acquitté dans le meurtre de Nelly Haderer », a déclaré l'ancien haut magistrat Philippe Bilger.
    Et nous laisserions un tueur en série en liberté ? Et nous laisserions passer la chance de changer enfin la loi, le 27 février 2014 ? Et nous garantirions la même tranquilité à tous les autres criminels injustement acquittés, qui continueraient à jouir d'une totale impunité ??
    Non, s'il vous plaît, ne laissez pas continuer en France cette injustice abominable. Il n'est pas si courant d'avoir une occasion de faire passer une loi qui va dans le bon sens.
    Je compte sur vous pour nous aider à la saisir. Cela ne vous coûtera rien, et, comme nous l'avons toujours fait, vous avez la garantie que vos données resteront strictement confidentielles et sécurisées.
    Signez et faites signer la pétition de l'Institut pour la Justice.
    Je vous remercie par avance.
    Laurence Havel
    Secrétaire nationale

  • L’action de Christiane Taubira est demeurée somptueusement verbale !

    Entretien avec Philippe Bilger

    L’indépendance de la justice est un terme devenu mantra. Jusqu’à quel point cette même justice peut-elle être indépendante vis-à-vis du pouvoir politique ?

     

    Vaste question. Je crois néanmoins qu’il est possible d’avoir des magistrats indépendants du pouvoir politique. Et la plus élémentaire des honnêtetés intellectuelles me conduit à affirmer que cette situation s’est considérablement améliorée depuis l’élection de François Hollande. En tant que magistrat honoraire et citoyen que j’espère éclairé, je confirme que le suivi des affaires politico-judiciaires se fait de manière plus indépendante que sous le mandat de Nicolas Sarkozy. Les magistrats ont une plus grande liberté pour instruire les affaires sensibles. La magistrature est traitée également avec plus de courtoisie et de respect. C’est à mettre au crédit de Christiane Taubira. Après, reste l’éternel dilemme : faire la synthèse entre la loi de Créon et celle d’Antigone… Pour finir, je rappellerai juste que les juges ont à éviter ces deux écueils que sont la solitude arrogante et la soumission déplorable.

     

    Christiane Taubira exige que toutes les « affaires sensibles » remontent à la Chancellerie. Simple mesure administrative ou mise au pas des procureurs ?

    Cela signifie seulement que le garde des Sceaux s’intéresse aux affaires sensibles et tient à être informé des procédures en cours. Rien de neuf sous le soleil et rien qui n’ait été la règle sous les précédents gouvernements, de gauche comme de droite.

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  • Dans Valeurs Actuelles : EXCLUSIF. Le rapport des RG qui dit la vérité sur les événements de Rennes

     

    Rédigé par les ex-RG, la SDIG (Sous-direction de l’information générale) de Rennes, le rapport confidentiel que Valeurs actuelles a pu consulter met en lumière les informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher.

     

    Les faits

    Samedi dernier à Rennes entre 600 et 700 militants de gauche ont saccagé tout un quartier de la ville en protestation contre la tenue d’un meeting du Rassemblement Bleu Marine.

    Le rapport de police commence : « le 8 février 2014 en fin d’après-midi, la DDSP 35 (Direction Départementale de la Sécurité Publique, NDLR) mettait en place un dispositif renforcé de sécurisation en raison du risque d’une action de militants d’extrême gauche. Et ledit dispositif est impressionnant, à la hauteur de la gravité des événements : « le service d’ordre engageait 2 compagnies de CRS, 1 escadron de gendarmerie, soit plus de 250 policiers et gendarmes ».

    Les militants de gauche attaquent un poste de Police et tentent d’y mettre le feu

    Le rapport se poursuit ainsi : « vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du « Rassemblement bleu marine » (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…) ». Le document rapporte ensuite qu’« un véhicule était incendié ».

    La riposte des forces de l’ordre

    La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence : « au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis ».

    La réponse judiciaire : les casseurs sont relâchés [...]

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  • Rennes : les 4 miliciens antifas ont été relâchés

    Les quatre personnes interpellées samedi soir à Rennes lors de la manifestation violente contre une réunion du Front national ont été relâchées.

    Des policiers avaient été atteints par des jets de pavés, avant de faire usage de gaz lacrymogènes et d’un canon à eau.
    antifa
    Dans un communiqué, le maire PS de Rennes, Daniel Delaveau, a condamné ces violences, tout en portant la responsabilité sur le FN (sic), qui aurait choisi la provocation en organisant la réunion dans un lieu symbolique des luttes sociales à Rennes…

    « Le Front national, qui n’est pas un parti comme les autres, a choisi de tenir un meeting salle de la Cité, avec le sens de la provocation dont il est coutumier. Ses mensonges et son esprit polémique ne sauraient duper personne ».

    Jacques Bompard pose 2 questions écrites au ministre de l’Intérieur et du désordre :
    « M. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur les violences perpétrées par des groupuscules d’extrême gauche à Rennes le samedi 8 février 2014. Ces groupes violents d’extrême gauche dénommés anti-fas ont pris prétexte de l’organisation d’une réunion publique du Front National dans le cadre de la campagne pour l’élection municipale de Rennes pour ravager le centre-ville de Rennes. Il semble que la violence soit autorisée et légitime aux yeux de Monsieur le ministre de l’intérieur lorsqu’elle est le fait de groupes d’extrême gauche, alors même qu’il organise de véritables rafles de manifestants pacifiques lorsqu’il s’agit d’opposants à la politique gouvernementale, que ce soit lors des nombreuses Manif Pour Tous ou lors du Jour de Colère du 26 janvier 2014. A Rennes, des voitures ont été brûlées, des vitrines saccagées, des pavés et des bouteilles ont été jetées sur les forces de l’ordre, dont cinq membres ont été blessés. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l’intérieur de condamner enfin les groupuscules d’extrême gauche et de mettre fin à l’impunité dont ils jouissent actuellement, et lui demande combien de personnes ont été placées en garde à vue lors de ces incidents de Rennes. »

    « M. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur l’attaque subie par la librairie Facta dans le neuvième arrondissement de Paris, vandalisée pour la deuxième fois en moins de trois mois. Cette librairie a été vandalisée en marge d’une manifestation d’extrême gauche autorisée par la préfecture de police. Cette manifestation entendait protester contre la montée de la droite. Monsieur le ministre de l’intérieur a condamné de prétendues violences lors de la dispersion de la manifestation du 26 janvier 2014 organisée par le collectif Jour de Colère  » alors même qu’il n’y a eu à déplorer, lors de cette manifestation, ni voiture brûlée, ni vitrine brisée. Le saccage d’une librairie n’est pas un acte anodin. Il s’agit d’une atteinte à la culture qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Jacques Bompard est surpris que Monsieur le ministre de l’intérieur, si prompt à dénoncer des violences imaginaires lors de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier et qui avait alors décidé d’arrêter sans motif plusieurs e 250 manifestants pacifiques, n’ait toujours pas condamné les violences en marge de la manifestation d’extrême gauche du 9 février et que les forces de l’ordre n’aient procédé à aucune interpellation malgré cette attaque d’une librairie. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l’intérieur d’agir contre les milices d’extrême gauche qui font régner la terreur et vandalisent régulièrement les centre-ville de Paris ou d’autres grandes villes, au lieu de s’acharner contre les manifestations pacifiques de La Manif pour Tous ou de Jour de Colère qui, en seize mois, n’ont donné lieux à aucune violence réelle puisqu’on ne dénombre ni vitrine brisée, ni voiture brûlée, ni commerce saccagé, leur seul tort étant de s’opposer à la politique du gouvernement socialiste. »
    Michel Janva dans Le Salon Beige

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/rennes-les-4-miliciens-antifas-ont-ete-relaches_99368.html#more-99368

  • L’Education nationale française pourrit par la tête !

    Il y a deux périodes bénies dans la vie où le sexe nous fout la paix, la vieillesse (enfin je l’espère, je n’y suis pas encore arrivé, mais je fais des progrès notables)… et l’enfance.
    Quand j’étais enfant, avant que le traumatisme de la puberté ne m’atteigne, je courais derrière un ballon, je montais aux arbres, je mettais des claques à mon frère qui me les rendait avec beaucoup d’allégresse, je lisais tout ce qui me tombait sous la main en n’en comprenant pas la moitié, bref c’était le bonheur total surtout pendant les vacances qui duraient une éternité. Le seul point noir dans ma vie étant qu’il fallait aller à l’école pour y être enfermé dans le but tout à fait incompréhensible d’essayer de m’apprendre quelque chose. L’avantage de l’école était qu’aux récréations, je retrouvais toute une série de copains et que l’on pouvait se mettre des claques, grimper aux arbres, courir derrière un ballon (voir plus haut).
    Pour plus de détails sur ma petite enfance, relire « Le Petit Nicolas » de Sempé et Goscinny, ou « Le château de ma mère » de Marcel Pagnol.
    De l’autre côté de la rue, il y avait une autre école, réservée à une autre sorte d’enfants, habillées différemment, qui en général terminaient la journée aussi propres qu’elles l’avaient commencée et dont on nous disait qu’elles s’appelaient « des filles ». Je savais que cette autre sorte d’enfants existait puisque j’avais deux grandes sœurs plus âgées que moi à la maison, mais dans l’ensemble les relations entre les deux écoles étaient ténues et les invitations croisées dans les goûters d’anniversaire assez rares en ces temps anciens. Mais je peux assurer le lecteur que s’il y avait une chose qui ne nous préoccupait pas, c’était « le sexe ». En fait, la puberté commençant à roder, l’un de mes copains me raconta un jour sous le sceau du secret comment cela se passait entre un homme et une femme. Je sortis de cette conversation complètement certain que mon copain racontait n’importe quoi pour se rendre intéressant.
    Etait-ce bien ? Etait-ce mal ? Je n’en sais rien, mais en tout cas je ne changerais pas mon enfance pour celle des petits garçons ou des petites filles actuels (ou devrais-je écrire actuelles ? Grave question, après tout le masculin doit-il toujours grammaticalement l’emporter sur le féminin ?).
    Et avoir une enfance heureuse est de loin le plus beau cadeau que des adultes puissent faire à un enfant.
    En effet, dans « la fabrique de crétins » qu’est devenue l’Education nationale, une série d’obsédés sexuels et de pédophiles enragés a, à l’évidence, pris le pouvoir au ministère et veut à tout prix « informer » les pauvres gamins sur ce qui sera sans aucun doute la grand histoire de leur vie, le sexe. Le fait qu’une grande partie de nos enfants arrivent en sixième en ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter ne les préoccupe guère en revanche.
    L’essentiel c’est d’être certain, vraiment certain, qu’à 12 ans aucun d’entre eux n’ignore rien de l’homosexualité, du kamasutra et de tous ces choix qui s’offrent à eux. Certes, on a les priorités qu’on peut… Et cette volonté de ne rien laisser ignorer aux enfants des « choses de la vie « , je l’assimile à de la pédophilie éducationnelle.
    Qu’est-ce donc que la pédophilie, la vraie ?
    Apparemment un certain nombre d’adultes ne supportent pas cet « âge de l’innocence » et cherchent à imposer leurs fantasmes sexuels à ces innocents. Et les petites victimes en sortent abîmées à jamais. Et cela est monstrueux.
    La pédophilie éducationnelle est bien sûr différente. La relation physique n’est pas le but recherché. L’idée ici est d’introduire dans l’esprit de l’enfant des informations appartenant au monde des adultes de façon à ne rien lui laisser ignorer de ce qui l’attend plus tard.
    Mais l’horrible chose est que l’enfant n’est pas équipé physiquement pour « traiter » cette information. Etre mis au courant de faits sur lesquels on n’a aucune prise ne peut être que générateur d’angoisses et de troubles.
    Ce que les pédophiles font souffrir au corps des enfants, les pédophiles « éducationnels » le font souffrir à leur esprit. Et cela est monstrueux également, comme le Christ nous le dit, sans ambages : « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer. » Mathieu 18.6.
    Mais qui donc sont ces pédophiles éducationnels ?
    Aussi curieux que cela paraisse, ce ne sont pour ainsi dire jamais des enseignants « du terrain ». Ils ne voient que fort rarement un enfant. Les enfants ne les intéressent pas. Ce qui les passionne, c’est de transformer la nature profonde de ceux que leurs parents sont bien forcés de leur confier, leurs enfants.
    Ce sont la plupart du temps des « intellectuels », des politiques, des syndicalistes appartenant à l’administration de l’Education nationale, des « chercheurs » à l’Université ou au CNRS, qui vont de comité Théodule en comité Théodule, de congrès international en congrès international où ils retrouvent ceux qui pensent comme eux et où l’on parle non pas d’éducation ou d’enseignement, mais de « changer la nature humaine », ambition totalitaire par excellence, qui a déjà fait des centaines de millions de morts depuis le XVIIIe siècle où cette idée bizarre est apparue pour la première fois.
    Parler de liberté en envoyant ceux qui ne sont pas d’accord au goulag a toujours été la caractéristique de ceux qui veulent faire le bonheur du genre humain en changeant la nature de l’homme.
    Nos pédophiles éducationnels font donc partie d’une longue lignée « de gauche », qui commence avec les massacres de la Convention pour se terminer avec le Cambodge ou la Corée du Nord, en passant par Marx, Staline…
    Il est rare que nos pédophiles aient des enfants eux-mêmes, et s’ils en ont , comme l’illustre Bourdieu qui a écrit de multiples livres sur l’école comme moyen de transmission du pouvoir par la classe dominante, ils les font inscrire à Henri IV à Paris, la matrice de l’élite par excellence, ce que ce lycée ne pouvait lui refuser puisqu’il était professeur au Collège de France.
    Leur dieu philosophique est Rousseau, qui a beaucoup écrit sur l’éducation à donner aux enfants, tout en abandonnant ceux qu’il avait fait à sa domestique aux bons soins de l’assistance publique, alors gérée par l’Eglise catholique, dont il disait le plus grand mal. Faire des enfants, les abandonner, dire du mal de ceux qui les ont recueillis tout en écrivant des traités sur l’éducation, on comprend que la gauche adore Rousseau. Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais…
    Quelle est la solution va me demander le lecteur ? Elle est simple. Comme le dit le proverbe chinois, « le poisson pourrit toujours par la tête ».
    Et donc quand une structure est centralisée, si des forces mauvaises en prennent le contrôle, le pouvoir immense que permet cette centralisation peut créer des dégâts gigantesques, comme on l’a vu avec l’Union soviétique, l’Allemagne nazie, et maintenant avec l’Education nationale française.
    Partons de deux constatations :
    1. La tête de notre système éducatif est pourrie comme jamais.
    2. La changer est impossible politiquement.
    Il faut donc non pas couper cette tête, mais en faire une tête parmi d’autres et créer de très nombreuses autres têtes pour permettre de vraies expériences. Il faut donc décentraliser notre Education nationale pour que ces gens en perdent le contrôle et rendre le contrôle du système éducatif à ceux qui ont des enfants, c’est-à-dire aux parents, par l’intermédiaire du chèque éducation comme cela a été le cas en Suède qui a fort bien réussi cette transformation.
    Et les parents pourront, s’ils le veulent, mettre leurs enfants dans les écoles qui suivront les idées de mes pédophiles éducationnels. Je ne doute pas de leur succès.
    Charles Gave
    http://francelibre.tumblr.com/post/76312404816/leducation-nationale-francaise-pourrit-par-la-tete#.Uvn2AfYsRXY

  • Les milices antifas s'en prennent à une librairie parisienne

    67886_588698804542859_1187992041_nCe dimanche 9 février, une manifestation des antifas était autorisée par la préfecture de police de Paris. La librairie a été attaquée vers 16h, les deux grandes vitres sont brisées en dépit d'une grille et d'un rideau de fer. Coût : environ 4 000 euros. La nouvelle porte blindée a résisté. 

    Cette librairie, tenue par Emmanuel Ratier, avait déjà été attaquée (bris de glace, peinture rouge avec compresseur, 900 livres détruits) dans la nuit du 8 au 9 décembre 2013.

    Pas un mot sur cette attaque dans les gros médias alors que les journalistes étaient présents.  

    Michel Janva

  • L’antifascisme n’est pas passé !

    Nous sommes quand même encore en démocratie.

    « Ce n’est pas que je sois raciste, mais… » On sait que cette déclaration liminaire prélude bien souvent à la démonstration plus ou moins éclatante de son contraire. Il en est de même du « Je suis démocrate, mais… »

    Je suis démocrate, mais je pense que certains partis devraient être interdits… Je suis démocrate, mais je pense que certaines opinions ne devraient pas avoir droit de cité… Je suis démocrate, donc partisan du pluralisme, mais d’un pluralisme limité au cercle des gens fréquentables… Je suis démocrate, mais je trouve normal que le service public de la radio et de la télévision soit fermé à Alain de Benoist… Je suis démocrate, mais je ne comprends pas qu’Alain Finkielkraut, Éric Zemmour, Élisabeth Lévy, Ivan Rioufol aient accès tout comme d’autres aux micros, aux tribunes, aux plateaux… Je suis démocrate et j’accepte tous les débats, excepté ceux où pourraient figurer les gens que j’ai inscrits sur ma liste noire… Je suis démocrate, mais je dénonce ceux qui osent employer l’expression « Français de souche »… Je suis démocrate, mais dans certaines limites, à partir desquelles je ne suis plus démocrate.

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