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international - Page 1179

  • Radio Courtoisie : « Les liens entre la guerre et l’argent »

    Libre journal des lycéens, présenté par Antoine Assaf, avec la participation d’Olivier François, le 02 novembre 2013 sur Radio Courtoisie, invité: Alessandro Giraudo, chef économiste du groupe international Tradition, responsable d’un MBA finance à ISG.

     

    Quel est ce mystère qui se cache derrière la prochaine conférence de Genève? Que nous prépare le Proche-orient avec ses paradoxes ?

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    http://www.radiocourtoisie.fr/wp-login.php?redirect_to=http%3A%2F%2Fwww.radiocourtoisie.fr%2F15618%2Flibre-journal-des-lyceens-du-2-novembre-2013-chronique-du-proche-orient-complique-largent-et-la-guerre-la-banque-du-vatican%2F

     

  • L’enjeu géopolitique de la Francophonie

    Contrairement aux allégations des habituels champions du renoncement, la langue française est bien vivante dans le monde. Il n’y a guère que certaines prétendues élites parisiennes, hauts fonctionnaires, diplomates et autres hommes d’affaires, qui ont fait de la démission et de la soumission une règle de conduite pour considérer qu’il serait du meilleur chic de s’exprimer en anglais et la francophonie serait une préoccupation désuète et un combat d’arrière-garde.

    Si le français recule comme langue de travail dans le cercle, à vrai dire étroit, des organisations régionales et internationales, c’est principalement à cause de la négligence des élites précitées qui ne défendent jamais leur langue tant elles adhèrent aveuglément à une doxa européiste fondamentalement hostile aux nations et à tous les signes de souveraineté.

    Voir l’éditorial complet

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-enjeu-geopolitique-de-la

  • La chute annoncée de la Morgan Chase

    Que se passe-t-il autour de la JP Morgan Chase ? Hier toute-puissante, elle est quasi agonisante. Goldman Sachs, comme le Trésor américain, jouent avec le feu. Celui qui annonce les guerres.

    Les coups pleuvent sur la prin­cipale rivale de la ban­que Goldman-Sachs. Le dé­but de ses malheurs survint en mai 2012 dans l’affaire connue sous le nom de « la baleine de Londres ». Un des traders de la direction des investissements, Bru­no Iksil, de la banque, basée dans la City, avait pris des positions tellement importantes que cela s’était vu, qu’il s’était fait contrer par des spéculateurs avisés et que la JP Morgan avait dû abandonner ses positions en perdant 6,2 milliards de dollars.

    Des poursuites soudaines et très coûteuses
    De ce jour funeste pour elle, il semble que la banque ait perdu tous ses appuis politiques. Et des dizaines d’actions judiciaires lui ont été in­tentées, alors que les autorités de con­trôle, pour l’heure, ne se sont pas montrées particulièrement vindicatives contre le monde de la finance, si l’on excepte Madoff qui n’était qu’un petit poisson dans la piscine aux requins.

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  • Proche-Orient, la NSA écoute grâce à la complicité des dirigeants arabes

    L’officier supérieur américain à la retraite, Tristan Ash, spécialiste de la lutte anti-terroriste, a dévoilé les dessous du «monde secret», révélant que tous les pays du Moyen-Orient, leurs présidents, leurs dirigeants et leurs partis, sont mis sur écoute d’une manière quotidienne, sans distinction entre ami ou ennemi. L’ancien officier américain a précisé que le Hezbollah est le seul parti qui ne possède pas une empreinte électronique permettant qu’il soit espionné, car il utilise son propre système de télécommunication filaire. Il précise, cependant, qu’un grand nombre de responsables du parti utilisent, bien que prudemment, du matériel de communication sans files, ce qui permet de collecter des informations pour éviter que les services de renseignements ne se retrouvent dans un noir total. Mais ces services savent que les renseignements collectés sur le Hezbollah grâce à la surveillance électronique restent en deça du niveau requis.
    M. Ash a indiqué qu’il est impossible de surveiller toutes les communications au Moyen-Orient sans la complicité des autorités locales, «qui facilitent, pour la plupart, notre mission.» «Toutefois, nous avons parfois besoin d’une équipe de travail sur le terrain pour installer du matériel de surveillance dans certains endroits ou des fréquences VHF-UHF, qui nous permettent de collecter les données nécessaires», a-t-il ajouté.
    L’ancien officier américain a révélé qu’après les attentats du 11 septembre 2001, des ordres ont été donnés pour transformer toutes les ambassades américaines dans le monde en centres d’écoute. Les missions diplomatiques ont été équipées de matériels de haute précision, de sorte que l’on retrouve, à l’intérieur de chaque chancellerie, des bases semblables à celles de la NASA.
    Et M. Ash de poursuivre: «Les gigantesques systèmes d’analyse des services de renseignements internationaux disposent d’un vaste lexique. Si, par exemple, des mots tels que missile, Israël, Hezbollah ou Al-Qaïda, ainsi qu’un grand nombre d’autres expressions, sont utilisés dans des conversations, les communications sont envoyées pour analyse et entrent dans les bases de données, avant que des recommandations ne soient émises pour décider de l’action à prendre».
    L’officier à la retraire a conclu en précisant que la surveillance électronique ne se limite pas uniquement aux questions militaires ou pour faire avorter des attentats terroristes avant qu'ils ne se produisent. Ils portent également sur l’espionnage industriel. La technologie a ainsi été utilisée pour connaitre les intentions des Arabes en matière d’économie, de pétrole et d’achat de matériel militaire.

    Gilles Munier

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFlFuyAAVZVcZunNJz.shtml

  • 27 novembre : colloque "nouvelles guerres froides : incidences sur les chrétiens"

    le site de l'AED.

    Aed

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Violente contre-attaque pro-vie à l’ONU

    Depuis plusieurs années les défenseurs de la vie ont été sur la défensive au plan international. Ils ont toutefois repoussé avec succès au fur et à mesure toutes les tentatives menées notamment par l’Amérique, la France, le Canada et un certain nombre de pays occidentaux pour faire reconnaître l’avortement et l’homosexualité comme un droit. Le nouveau est que forts des défaites que viennent de subir les tenants de la culture de mort, ils passent à la contre-offensive. (Voir notre article précédent intitulé ONU : l’échec mondial des gays).
     onu-MPI
    A l’ONU, lors d’une réunion diligentée par le quartier général de la Communication, la Russie, l’Ethiopie, la Pologne suivis par un groupe de pays africains, ont fait une déclaration tonitruante pour dire que l’avortement et l’homosexualité ne faisaient pas partie des « droits humains ». Ils ont accusé l’Organisation d’être sous la dépendance d’obsédés de soi-disant droits allégués par LGTB. La Russie n’y a pas été de main morte en accusant le Haut Commissariat des Droits humains de se faire manipuler par LGTB ; lequel considère  comme « digne de l’asile » une catégorie humaine au prétexte qu’elle refuse la promotion du mariage gay sur le plan mondial ; « ce qui aboutit inexorablement au viol des droits de l’enfant ». L’importance du sujet tenant à l’orientation sexuelle est sans proportion avec l’ensemble des problèmes lié  mondialement à l’enfance. C’est avec impudeur que le lobby gay essaye de boycotter les jeux olympiques qui doivent se dérouler à Sochi en Russie. « Ces gens-là n’ont pas leur place dans les discussions sur les droits humains ».
    Il serait possible de superposer ces affirmations avec ce qui se passe en France où Hollande s’occupe en priorité des gays tout en délaissant les problèmes économiques et prônant le « mariage pour tous » sauf pour lui.

  • L’Africano-centrisme ou l’Histoire falsifiée

    Parlant de l’Afrique noire, Victor Hugo écrivait : « Quelle terre que cette Afrique ! L’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie elle-même a son histoire ; l’Afrique n’a pas d’histoire. »

    L’auteur des "Misérables" avait-il raison ? A l’exception de l’Ethiopie et du Rwanda, l’Afrique sub-saharienne était un monde sans Etats ayant eu une profondeur historique, une continuité séculaire. Plus singulier encore, rien de ce qui a permis le progrès de l’humanité n’est sorti de l’Afrique noire. Le continent noir fut et continue d’être un continent récepteur et non concepteur.

    Cette réalité insupportable aux nationalistes africains des années 1950-1960 fut combattue par Cheick Anta Diop, autodidacte aussi brouillon que prolifique. A la faveur des indépendances, ce barde africain fut propulsé à la tête du prestigieux Institut français d’Afrique noire, dont le siège était à Dakar.

    Dans ce cadre privilégié, et grâce aux crédits français, il élabora de pseudo-théories scientifiques tolérées durant trois décennies par le microcosme africaniste décérébré par l’anticolonialisme et couché devant l’idéologie dominante. Prudents caméléons, presque tous les Africanistes français vivaient dans la terreur de risquer l’accusation de racisme s’ils avaient simplement osé dire tout haut ce qu’ils pensaient tout bas, à savoir que les thèses du Cheick Anta Diop n’étaient rien de plus que des élucubrations de griot.

    Le postulat de Diop est, en effet, sans nuances : les Egyptiens ont tout inventé et la Grèce, puis Rome, sont les héritières de l’Egypte. Or, les Egyptiens étaient des Noirs. Conclusion : les Noirs sont donc les créateurs de la Civilisation de l’Antiquité classique.

    Timidement, les linguistes tentèrent d’expliquer, avec humilité, qu’entre l’Egyptien ancien et le Grec, les liens étaient aussi évidents qu’entre un pommier et un baril de clous et que le simple rapprochement de sens ne prouvait pas un apparentement linguistique. Dans le cas contraire, l’existence du lac Kasba au Canada aurait permis à Diop d’affirmer que le Bey d’Alger taquinait le goujon à l’ouest de la baie d’Hudson...

    Avec toutes les précautions, les Egyptologues risquèrent timidement une remarque de bon sens : les Egyptiens n’étaient pas des Noirs, ainsi que les milliers de momies mises au jour en apportent la preuve. Certes, la Nubie fut, durant certaines périodes tardives, une dépendance de l’Egypte, mais cela ne veut pas dire pour autant que les Nubiens aient peuplé la moyenne et la basse vallée du Nil.

    Un énorme complot

    Calembredaines, affirmait le "savant africain" car l’Egyptologie constitue un énorme complot contre la race noire. Et comment, demanderez-vous ? Mais tout simplement parce que les Egyptologues détruisirent systématiquement les momies noires pour ne garder que les blanches. CQFD ! Cette entreprise de falsification de l’histoire aurait pu en rester au niveau de l’anecdote. Elle aurait, à la limite, pu être étudiée dans nos universités comme un cas d’école d’idéologie appliquée à l’histoire par un autodidacte obnubilé par sa théorie et ignorant de l’ensemble d’une matière assimilée dominée.

    Or, elle est devenue l’Histoire officielle. Dans l’ "Histoire de l’Afrique" de l’Unesco, tome II, édité en 1980, Cheick Anta Diop développe, en effet, longuement ses fantasmes historico-racistes, à peine contredit par les Egyptologues avec lesquels il débat. A aucun moment, dans cette monumentale histoire éditée dans toutes les langues du monde, aucun spécialiste n’ose écrire ce qu’il faut penser des affirmations de Cheick Anta Diop, tant le tiers-mondisme dominant exerce une dictature intellectuelle interdisant toute critique. Les théories de Cheick Anta Diop furent reprises et amplifiées aux USA ; dans les universités noires, elles furent à la base du courant Africano-centriste. Pauvres USA ! La juxtaposition de ses peuples et de leurs cultures fait que désormais chaque minorité raciale y enseigne sa propre vision de l’histoire.

    Les Noirs, qui ont leurs universités et leurs professeurs, apprennent donc que l’Afrique noire, mère de la Civilisation et qui a tout inventé, fut non seulement pillée par les Blancs qui ont bâti leur puissance sur son pillage, mais encore stoppée dans son "merveilleux" élan par la colonisation qui l’empêcha d’atteindre la phase suivante de son évolution créatrice.

    Or l’Africano-centrisme des Noirs américains a pour soubassement les affirmations de Cheick Anta Diop. En Afrique même, les écoliers et les étudiants sont formés dans le même moule. Comment pourraient-ils mettre en doute cette histoire officielle puisque l’UNESCO lui a donné sa caution scientifique ? Comment ne pas la prendre pour "argent comptant" quand, au Cameroun et ailleurs, les professeurs d’histoire présentent Cheick Anta Diop comme "le plus éminent égyptologue actuel".

    Alain Froment, chercheur à l’ORSTOM, vient donc de rendre un immense service à la rigueur scientifique en publiant dans la revue "Cahiers d’Etudes africaines", n° 121-122, une mise au point définitive intitulée : "Origine et évolution de l’homme dans la pensée de Cheick Anta Diop : une analyse critique".

    De cette article, dont le sous-titre pourrait être "Epitaphe pour un mensonge politico-historique", l’on peut extraire cette citation qui résume toute la question : « Cheick Anta Diop a discrédité la recherche africaine par l’insuffisance de sa méthodologie, ses conclusions hâtives et la subordination des préoccupations scientifiques à celles de l’idéologie (...) De sérieuses lacunes bibliographiques et l’absence de recours à des procédés statistiques objectifs, la préférence allant au choix orienté de photographies et de radicaux sémantiques, jettent des doutes sur ses qualités scientifiques. Cependant, il est devenu une telle figure emblématique du nationalisme africain qu’on considère, en Afrique, comme très malvenu de mettre en doute ses travaux. »

    par Bernard Lugan

    http://www.francecourtoise.info

  • La France et l’Europe muettes devant les crimes antichrétiens perpétrés en Syrie

    Alors que la France et l’Europe, à la remorque de la politique étrangère américaine, apportent leur soutien aux milices anti-Assad constituées des pires groupes armés islamistes, voici un communiqué qui mérite d’être lu :


    Sadad (Agence Fides) – « Ce qui a eu lieu à Sadad constitue le plus grave et le plus important massacre de chrétiens ayant eu lieu en Syrie depuis deux ans et demi ». Tels sont les termes péremptoires dans lesquels l’Archevêque Selwanos Boutros Alnemeh, métropolite syro-orthodoxe d’Homs et Hama, illustre à Fides le bilan tragique concernant la petite ville chrétienne de Sadad, envahie par les milices islamistes voici une semaine puis reprise par l’armée syrienne. « Les civils innocents, martyrisés sans aucun motif, sont au nombre de 45 et parmi eux se trouvent plusieurs femmes et enfants, nombre desquels ont été jetés dans des fosses communes. D’autres civils ont été menacés et terrorisés. Les blessés sont au nombre de 30 alors que les personnes portées disparues sont encore au nombre de 10. Pendant une semaine, 1.500 familles ont été tenues en otage et utilisées comme boucliers humains. Parmi eux se trouvaient des enfants, des personnes âgées, des jeunes, hommes et femmes. Certains d’entre eux se sont enfuis à pieds, parcourant les 8 Km qui séparent Sadad d’Al-Hafer pour y trouver refuge. Environ 2.500 familles se sont enfuies de Sadad suite à l’irruption des groupes armés, portant avec elles seulement les vêtements qu’elles portaient. Aujourd’hui, il s’agit d’évacués qui sont dispersés entre Damas, Homs, Fayrouza, Zaydal, Maskane, et Al-Fhayle ».
    L’archevêque continue, en manifestant toute son amertume : « En ville, l’énergie électrique, l’eau et le téléphone font complètement défaut. Toutes les maisons de Sadad ont été cambriolées et les propriétés saccagées. Les églises sont endommagées et profanées, privées de livres antiques et de mobilier précieux, recouvertes de graffitis hostiles au Christianisme. Les écoles, les édifices gouvernementaux et communaux ont été détruits tout comme le bureau de poste, l’hôpital et la clinique. Les enfants de Sadad se sont vus voler leur avenir. De nombreuses maisons ne pourront pas même être reconstruites ».
    « Ce qui est arrivé à Sadad – affirme-t-il – constitue le plus grand massacre de chrétiens en Syrie et le deuxième dans tout le Moyen-Orient après celui perpétré dans l’église Notre-Dame du Salut en Irak en 2010 ».
    L’archevêque Selwanos Boutros Alnemeh conclut : « Nous avons appelé au secours le monde mais personne ne nous a écoutés. Où est la conscience chrétienne ? Où est la conscience humaine ? Où sont mes frères ? Je pense à toutes les personnes souffrantes, qui se trouvent aujourd’hui dans le deuil et dans la gêne : j’ai la gorge nouée et mon cœur saigne pour ce qui est arrivé dans mon archidiocèse. Quel sera notre avenir ? Nous demandons à tous de prier pour nous ».
    Sadad est une petite ville de 15.000 habitants, en majorité chrétiens syro-orthodoxe, située à 160 Km au nord de Damas. Elle compte 14 églises et un monastère comprenant quatre prêtres. La ville était restée jusqu’à présent en dehors du conflit. (PA) (Agence Fides 31/10/2013)

    Voilà à quoi mène la politique internationale de François Hollande et d’Obama qui appuient les islamistes en Syrie.

  • Hier le Kosovo, demain la France ?

    Voici le Libre Journal de Grégoire Boucher, diffusé en direct aujourd'hui à midi sur Radio Courtoisie, avec Nikola Mirkovic auteur de l'ouvrage "Le martyre du Kosovo". Au programme aussi, la contestation des Bonnets Rouges :
    http://www.youtube.com/watch?v=cggUcat_KZU
    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Des milliers de terroristes fuient la Syrie pour regagner la Tunisie

    Selon la TV syrienne, ils seraient 17000 djihadistes Tunisiens à rebrousser chemin. Direction, la Tunisie, l’un des premiers pays exportateurs de terroristes vers la Syrie. En langage postal, cela s’appelle retour à l’expéditeur. La télévision syrienne cite plusieurs rapports et spécialistes, notamment le président de l’association tunisienne des études stratégiques et politiques de sécurité globale, Nacer Ben Soltana.
    Selon nos propres sources sécuritaires, en réalité, les 17000 djihadistes dont parle la télévision syrienne et qui se dirigent au pays de la « révolution du jasmin », ne sont pas tous des Tunisiens. Il y en a près de 9000, et les autres 8000 sont de nationalités différentes dont principalement des Libyens (6000), des Jordaniens ( ?), des Bosniaques ( ?), des Tchétchènes ( ?), des Palestiniens ( ?) et des Saoudiens ( ?).
    Ces derniers sont tous des criminels condamnés à la peine de mort que les autorités saoudiennes avaient amnistiés par Fatwa, en échange du djihad en Syrie. Sur les 9000 supposés Tunisiens, il y a au moins un millier d’étrangers à qui les usurpateurs du pouvoir en Tunisie ont accordé des cartes d’identités et des passeports tunisiens, soit à partir de Tunis, soit à partir de nos différents consulats dans le monde. Il y a également des binationaux, des Tunisiens qui ont aussi la nationalité française, belge, allemande, britannique, canadienne et australienne. Ils craignent de revenir chez eux, d’où ils sont d’ailleurs partis, parce qu’ils savent ce qui les attends aux pays des droits de l’homme. La Tunisie est donc pour eux le pays idéal pour se recycler ou pour reprendre leurs activités criminelles.
    Tout ce beau monde de fanatiques, de dégénérés et d’égorgeurs compte donc affluer vers la Tunisie, qui a été déclarée par Al-Qaïda et sa ramification maghrébine AQMI, terre de Djihad. Ayman al-Zaouahiri l’avait clairement dit dans son message de juin 2012, et Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, l’avait réitéré en mai 2013, à la suite de l’interdiction du congrès d’Ansar al-Charia qui devait se dérouler à Kairouan, le 19 mai 2013. On retrouve d’ailleurs les mêmes nationalités parmi les 150 terroristes qui ont récemment tués sept agents de la Garde nationale dans le gouvernorat de Sidi Bouzid et qui ont déjà opéré à Goubellat.
    Ces terroristes reviennent d’où ils sont partis et par le même itinéraire : frontières turque et irakienne, avions ou bateaux en destination de Benghazi et de Tripoli, frontière tuniso-libyennes, qui est devenue une passoire. Leur nombre, toutes nationalités confondues, dépasserait même les 17000. C’est que la terre de djihad en Syrie est devenue pour eux un enfer. Depuis près d’un mois, l’armée arabe syrienne a déclenché une grande offensive, éradiquant les islamo-fascistes par milliers et libérant plusieurs régions et localités qui étaient tombées sous le contrôle de ces mercenaires du Qatar, d’Arabie Saoudite, de la Turquie et de certains pays occidentaux.
    Ces mercenaires vont renforcer les rangs des islamo-terroristes locaux ou frontaliers, comme les cellules dormantes d’Al-Qaïda, les djihadistes d’Ansar al-Charia, le Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), le groupe El-Mourabitounes, dirigé par le sanguinaire Mokhtar Belmokhtar et directement lié à Al-Qaïda, ainsi que de certains membres des ligues de protection de la révolution, ces miliciens qui sont pour la plupart des repris de justice. A ces différents groupes terroristes, il faudrait ajouter entre 200 et 250 palestiniens du Hamas, présents sur le sol tunisien depuis juin 2011. Ils sont éparpillés dans trois gouvernorats : le gouvernorat de Tataouine, celui de Bizerte et celui de Tunis. Ces terroristes que le gouvernement usurpateur fait passer pour des étudiants, ont apporté leur savoir-faire en matière de réalisation de tunnels et d’aménagement de caches d’armes et d’explosif, dont les forces de police ont découvert quelques uns récemment.
    La Tunisie va ainsi subir l’effet boomerang de la politique criminelle que Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki ont adopté dès novembre 2011 pour déstabiliser la Syrie. Heureux d'usurper le pouvoir grâce à l'argent qatari et au soutien américain, ces deux pantins se sont cru autorisés d'exporter leur racaille terroriste en Syrie et de s'immiscer dans les affaires intérieures de l'Egypte, plutôt que de s'occuper des problèmes économiques et sociaux des Tunisiens. C’est en effet avec l’accord implicite du chef des Frères musulmans tunisiens et de son valet de Carthage que tous les réseaux, à la fois terroristes et mafieux, se sont mis en place en Tunisie. Les deux principaux organisateurs de ces réseaux financés au départ par Qatar Charity, sont le tunisien Saïd Ferjani et le libyen Abdelhakim Belhadj. Plusieurs centaines de jeunes Tunisiens ont été victimes d’endoctrinement au Djihad, ou plus simplement piégés par l’eldorado européen. Beaucoup se faisaient effectivement passer pour des djihadistes, afin qu’une fois en Turquie, ils puissent y rester, ou entrer clandestinement en Europe. Les organisateurs de ce réseau de recrutement de djihadistes pour la Syrie sont tous des membres d'Ennahda et des activistes d'Ansar al-Charia. L'un d'eux, Abdelhafidh Bazdouri, vient d'être arrêté, le 27 octobre dernier, à Sidi Bouzid, la cellule mère de la "révolution du jasmin", devenue la cellule cancéreuse du salafisme et du djihadisme. Un d'arrêté, sur des centaines laissés en liberté !
    C’est probablement en réaction à cette vague islamo-terroriste que quatre pays du Maghreb et du Sahel (Tunisie, Algérie, Mali, Niger), discrètement soutenus par les Etats-Unis, la France et l’Allemagne, viennent de lancer « la plus grande opération anti-terroriste après l’offensive française au Mali », selon le quotidien algérien Al-khabar, qui parle de « 8000 soldats et agents de la sûreté qui ont été déployés aux confins de la Tunisie, de l’Algérie, au nord du Mali ainsi qu’au nord ouest du Niger ». (Al-Khabar du 28 octobre 2013). L’opération a eu pour point départ la levée du niveau d’alerte à son seuil maximal le 22 octobre dernier.
    Si le terrorisme islamiste était aussi facilement déracinable, les Américains l’auraient vaincu en Afghanistan et en Irak. Les Tunisiens vont devoir donc se préparer au pire et pour quelques années encore. Il sera d’autant plus difficile d'éradiquer que les inspirateurs et complices de ces terroristes sont à l’assemblée constituante, à la tête du gouvernement et à la présidence de la République. Comme l'a écrit Mondher Thabet sur sa page facebook, "Tout va dans le sens d'une intervention US dans la région". Devinez pourquoi ?
    Source : http://www.tunisie-secret.com/Des-milliers-de-terroristes-fuient-la-Syrie-pour-regagner-la-Tunisie-video_a668.html
    http://www.oragesdacier.info/2013/11/des-milliers-de-terroristes-fuient-la.html