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international - Page 1305

  • Les Français ne condamnent pas la peine de mort…la France oui – par Manuel Gomez

     « La France condamne l’exécution survenue aujourd’hui au Japon de trois détenus. Ces exécutions vont à l’encontre de l’évolution mondiale en faveur de l’abolition de ce châtiment inhumain et dont la valeur dissuasive n’a jamais été établie ».
    Le Japon a procédé en 2012 à des exécutions capitales et s’est attiré ainsi la réprobation des « donneurs de leçons » français, par l’intermédiaire du ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius (France diplomatie). Ce châtiment est-il plus inhumain que celui qu’ont fait subir à leurs victimes ces trois monstres exécutés ?
     Yasuaki Uwabe a poignardé au hasard, en 1999, des passagers d’une gare ferroviaire. Bilan 5 morts et 10 blessés.
     Tomoyuki Furusawa a tué ses beaux-parents et le fils de 12 ans de sa femme, qui l’avait quitté parce qu’elle n’en pouvait plus d’être battue.
     Le dernier condamné à mort exécuté, un homme de 44 ans, avait violé et assassiné sauvagement en 2004 une petite fille de 7 ans, puis avait pris des photos du corps et les avait envoyé aux parents accompagnées du message suivant : « Maintenant je vais venir prendre votre deuxième enfant et le tuer aussi. »(cf. Le monde du 21.02.2013)

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Y a-t-il trop d’avions dans le ciel ?

    L’Union européenne prévoit que le nombre d’avions aura doublé d’ici 2020. Notre planète peut-elle supporter une telle augmentation ? Si elle n’est responsable que de 2 % du total mondial des émissions de CO2, l’aviation commerciale sait qu’il va falloir faire mieux.

     

    Identifiez les couloirs aériens au dessus de chez vous – flightradar24.com

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Conférence de Frédéric Lordon et Fabien Danesi

    Le 22 février 2013, la galerie VivoEquidem recevait Frédéric Lordon qui s’est entretenu avec Fabien Danesi lors de la conférence “Les paysages affectifs du capitalisme contemporain”.

  • Napolitano apprend le respect aux Allemands

    Le président italien Giorgio Napolitano, en visite en Allemagne, a annulé le dîner prévu hier soir avec Peer Steinbrück, le candidat social-démocrate à la chancellerie.

    Pourtant Napolitano est lui aussi un homme de gauche, ancien communiste. Mais il est le président italien, et il n’admet pas qu’on traite de clowns les personnalités politiques de son pays, aussi contestées ou contestables soient-elles. Or c’est ce qu’a fait Peer Steinbrück en déplorant les scores de Beppe Grillo et Silvio Berlusconi.

    « Nous avons un profond respect pour l’Allemagne, a déclaré Napolitano, et évidemment nous exigeons que notre pays soit également respecté. »

    Cela me fait penser aux ministres tchèques défendant avec panache Vaclav Klaus devant le Parlement européen alors qu’ils n’étaient pas sur sa ligne anti-UE.

    Quant à Peer Steinbrück, c’est aussi l’homme de gauche qui avait essayé de cacher qu’il donnait des conférences grassement payées dans des réunions organisées par des banques, qui affirma que jamais il ne boirait un vin à 5€ la bouteille, et que le salaire du chancelier allemand est trop bas… Si le parti social-démocrate voulait se suicider, c’est cet homme-là qu’il choisirait pour être candidat face à Angela Merkel.

    Ah bon, c’est le cas ? C’est étrange…

    Le blog d’Yves Daoudal

  • Inquiétudes sur la fin des restrictions aux frontières dans l’Union Européenne

    BRUXELLES (NOVOpress via Bulletin de réinformation) La date du 1er janvier 2014 avait été fixée par l’Union européenne comme date limite d’application des restrictions aux frontières pour les travailleurs en provenance de la Roumanie et de la Bulgarie.

    Depuis l’entrée de ces pays dans l’Union européenne, les autres pays membres étaient autorisés à appliquer aux ressortissants de ces pays les dispositions prévues en matière d’immigration pour les pays extracommunautaires. Malgré cette « régulation » aux frontières, plus de trois millions de Roumains ont déjà quitté la Roumanie pour des pays de l’Union européenne depuis 2007, comme l’a souligné le Premier ministre roumain Victor Ponta dans un entretien accordé au Times ce lundi.

    Pourtant de nombreux pays européens s’inquiètent à l’approche de cette date

    L’Allemagne, la Belgique et le Royaume‑Uni, ont à nouveau exprimé leurs inquiétudes face aux conséquences d’une telle mesure. Selon l’étude menée par l’organisme Migration Watch 50.000 Roumains et Bulgares pourraient quitter chaque année leur pays. Suite à ces interrogations, Bruxelles a cependant réaffirmé qu’une complète liberté de mouvement serait garantie dès le 1er janvier 2014 aux Roumains et aux Bulgares. De plus, à cette occasion, la commission européenne a redéfini l’ouverture à l’Est comme  « Une grande chance pour l’Europe ».

    A priori, ce n’est pas un avis partagé par les Britanniques qui ont vu en moins de dix ans l’arrivée massive de « Roumains » (en fait, des Roms) sur leur île

    Face à ce constat, le Premier ministre David Cameron a fait de la lutte contre l’immigration l’une de ses priorités. Le gouvernement britannique a souligné les problèmes engendrés par l’immigration liés au logement, à l’insécurité mais aussi au déficit public. Il étudie actuellement un projet de loi qui permettrait de limiter l’accès des nouveaux arrivants aux allocations sociales. En France, peu de voix se sont élevées pour exprimer de telles inquiétudes. Pourtant, selon le quotidien Le Monde, les « Roumains » font partie depuis 2007 des dix nationalités obtenant le plus de titres de séjour français.

    http://fr.novopress.info/

  • Qu'est-ce que l'homophobie ? Tout ce qui critique le lobby gay…

    Carlos Leon Moya est un homme de gauche, sympathisant du marxisme-léninisme, favorable à la cause gay. Il est aussi politologue à l'ex-Université pontificale catholique du Pérou (qui entre-temps a perdu son label catholique). Et il vient de s'offrir, dans les colonnes du quotidien péruvien Diario 16, une tribune qui accuse le Mouvement homosexuel de Lima (MHOL) de traiter « tout ce qui est critique à son égard d'homophobe ».

    « Sa nécessaire agressivité frise un dangereux sectarisme. Ils considèrent leurs actions comme les seules appropriées, même lorsqu'elles sont assez osées », explique-t-il.

    Le MHOL avait organisé samedi une manifestation près de la cathédrale, cette « Eglise catholique qui nie les droits » des homosexuels : ils n'avaient pu accéder à la place protégée par des barrières tandis que, regrette Moya, des catholiques conservateurs purent manifester librement sur la place.

    En fait : échaudé par des débordements l'an dernier, des catholiques s'étaient retrouvés sur le parvis de la cathédrale pour prier pacifiquement et empêcher toute attaque contre l'édifice. Quant à la manif du MHOL, C'était un « kiss-in » avec des militantes déguisées en religieuses.

    Moya regrette la répression qui a accueilli la manifestation du MHOL – mais il s'insurge. Leur manifestation était-elle opportune ? Politiquement payante ? De nature à les rendre sympathiques ? Et de souligner que certains sympathisants avaient demandé que l'événement fût remis à plus tard dans un contexte électoral où certaines actions des pro-gay pouvaient causer du tort à la mairesse de gauche de Lima.

    Le MHOL sort alors la grosse artillerie. La gauche l'avait trahi. Le cynisme l'avait emporté au nom des intérêts électoralistes. Homophobie ! Les droits des homosexuels n'attendent pas, ne se remettent pas à plus tard : homophobie ! « Si quelqu'un souligne le prix que pourront coûter leurs actions, comme l'isolement ou l'éloignement d'une base qui peut être scandalisée par leur comportement, on les accuse encore d'homophobie. (…) Comme s'il fallait toujours les soutenir parce qu'ils ne se trompent jamais. Ils  traitent tous ceux qui les critiquent d'homophobes. C'est un évident et vulgaire abus du concept d'homophobie : tu me demandes de retarder un événement, c'est homophobe ; tu critiques ceux qui font scandale : homophobe ; les élections d'intéressent davantage, c'est homophobe ; tu es gay mais tu te caches : tu es encore homophobe. »

    Nous n'allons pas nous intéresser davantage à cette querelle interne. Elle aura du moins le mérite de montrer que pour le lobby gay, le mot « homophobie » est une arme de destruction de l'adversaire, qu'il soit proche ou lointain, et quelles que soient ses motivations. « On tombe ainsi dans une victimisation excessive, quasi pathologique », assure Carlos Leon Moya.

    Notez qu'en France toute critique et surtout toute action contre un événement « LGBT » est évidemment « homophobe » et forcément d'« extrême droite ». Il nous manque un politologue marxiste-léniniste pour dénoncer cette « victimisation excessive, quasi pathologique » !

    http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/

  • Beppe Grillo : un révélateur de la réaction populiste ?

    Dans son ouvrage très récent intitulé « Eloge du populisme », le philosophe Vincent Coussedière a écrit que le peuple est entré en résistance (il parle du peuple français, mais il en va de même en Italie), ce qui peut surprendre mais le succès fulgurant de Beppe Grillo aux élections italiennes de ce week-end n’est-il pas une illustration lumineuse de cette affirmation ? Il est permis de le penser.

    Notre philosophe défend l’idée selon laquelle le populisme n’a pas de contenu idéologique universel et ne se limite pas à un style (le recours à un chef charismatique pour lutter contre les élites en place) mais correspond à une réaction d’un peuple menacé dans sa sécurité matérielle, physique et culturelle par les décisions d’une oligarchie politique indifférente à ses volontés. Cette réaction populiste n’est ni révolutionnaire, ni anarchiste, ni fasciste ; elle est au contraire fondamentalement conservatrice et à la recherche de vrais chefs  (il ressort d’un récent sondage que 87% des Français souhaitent avoir de « vrais chefs susceptibles de remettre de l’ordre dans le pays », exit 1968 ?) mettant en œuvre une politique conforme aux vœux de la majorité.

    La réaction populiste ne correspond donc pas à l’espoir d’un grand soir révolutionnaire, ni au rejet des institutions républicaines et démocratiques, ni à un rêve de dictature comme le pensent les médias aux ordres du grand capital mais elle est une aspiration à la conservation de tout ce qui constituait le cadre de l’existence populaire avant l’entreprise de démolition des institutions, des traditions, de la culture, du mode de vie… menée par l’oligarchie libérale mondialisée. Cette réaction se traduit par un démocratisme absolu  aspiration aux pratiques de démocratie directe) et un républicanisme irréprochable (les citoyens ne veulent pas être dominés par une oligarchie tyrannique et étrangère à leurs préoccupations). Si cette réaction populiste tend à promouvoir de vrais chefs, ce n’est pas dans le but de suspendre les institutions républicaines et démocratiques mais dans le but de les confier à une élite organique n’ayant qu’un seul objectif : la recherche d’un bien commun pour la communauté des citoyens dans son ensemble. Cette réaction populiste est de fait un mouvement de rejet des organisations et des hommes liés au système libéral mondial, ce qui provoque de très visibles réactions de haine de leur part.

    Vincent Coussedière explique que la réaction populiste ne se ramène nullement à la démagogie ( le peuple ne veut pas être flatté, il veut être dirigé par des chefs qui l’écoutent ) comme laissent à l’entendre les perroquets médiatiques de façon récurrente, ni à l’enfermement dans une identité unidimensionnelle (comme la race ou la classe) ; la réaction populiste n’est ni néo-nazie ni néo-communiste et l’anti-immigrationnisme massif qu’elle manifeste n’est pas raciste, il est une forme de résistance à une invasion démographique orchestrée par des dirigeants politiques félons ; invasion démographique qui se traduit comme toutes les invasions démographiques par une destruction de la culture et de la sociabilité des autochtones; cf  C. Caldwell ) ; c’est un mouvement qui vise à préserver l’être ensemble d’un peuple entraîné dans un mouvement de destruction de tous ses repères et de toute sa sociabilité. Pour simplifier, on peut dire que les Français ont la nostalgie de la France  d’avant (c’était mieux avant !), celle des années cinquante à soixante-dix, qui furent, il est vrai de douces années malgré la guerre d’Algérie et les évènements de 1968.

    Nous étions encore entre nous (l’immigration de peuplement n’avait pas encore commencé son œuvre de destruction  de l’homogénéité des communautés populaires) , les institutions donnaient, grosso modo, une satisfaction largement partagée et les élites n’étaient pas encore gagnées par ce que Coussedière appelle le gaucho-européisme, synthèse du néo-libéralisme et du gauchisme soixante-huitard dont la figure de proue est l’ineffable Cohn-Bendit.

    A propos des gaucho-européistes, ceux-ci viennent de recevoir une gifle spectaculaire de la part du peuple italien ; les 10% obtenus par Mario Monti, l’homme de la Commission européenne et de Goldman Sachs, concrétisent le rejet de la camarilla au service de la finance qui préside aux destinées de l’actuelle Union européenne. Vincent Coussedière fait remarquer que le mouvement de réaction populiste est l’objet de tentatives de récupération de la part de ceux qu’ils appellent les entrepreneurs identitaires ( il entend par là, les politiciens qui cherchent à promouvoir une identité déterminée par la seule classe sociale ou par le seul narcissisme nationaliste) lesquels échoueront, selon lui, parce que cette réaction n’est ni égalitariste, ni nationaliste (au sens du narcissisme chauvin) mais profondément conservatrice ce qui implique la volonté de conservation de la personnalité collective du peuple, c’est à dire aussi du républicanisme et des pratiques démocratiques. Cette réaction populiste est par contre hostile au gaucho-européisme libéral qui veut broyer toutes les communautés pour ne laisser subsister que des individus esseulés et désengagés de toute appartenance et imposer une « gouvernance » qui est le mot politiquement correct servant à désigner la dictature des représentants de la Nouvelle Classe mondiale.

    François Arondel pour Novopress Breizf  http://fr.novopress.info

  • Revue de presse économique de Pierre Jovanovic (27/02/2013)

    Émission diffusée sur Radio Ici et Maintenant le 27 février 2013

    Nouveau : écouter l’émission au format mp3