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  • Des djihadistes, aidés par les Britanniques, prépareraient une attaque chimique en Syrie, pour justifier de prochaines frappes américaines

    C'est ce que suppose la Russie, qui pose ainsi un acte supplémentaire dans l'escalade des provocations Est-Ouest. On se croirait revenu quelques décennies plus tôt. Sans passion, attendons que l'avenir proche nous en dise plus.

    "Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov, a affirmé dans un communiqué ce 25 août que le groupe djihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTC, formé de membres de l'ex-branche d'al-Qaïda), qui domine à 60% les groupes rebelles réunis dans la région d'Idleb, était «en train de préparer une nouvelle provocation pour accuser le gouvernement syrien d'utiliser des armes chimiques contre la population civile».

    Ainsi, la Russie a accusé les djihadistes de préparer une attaque chimique dans la province d'Idleb pour donner «encore une raison aux forces américaines, britanniques et françaises de mener des attaques aériennes contre les forces du gouvernement syrien» (...)

    Le groupe HTC aurait, selon Moscou, fait acheminer huit réservoirs de chlore dans la ville de Jisr al-Choghour pour y «monter» une attaque. Les produits chimiques auraient ensuite été transportés vers un village à huit kilomètres de là, toujours selon les informations communiquées par la Défense russe.

    L'accusation de Moscou survient quelques jours après les déclarations de John Bolton. Le conseiller à la sécurité nationale du président américain Donald Trump avait prévenu que Washington réagirait «très fortement» si l'armée syrienne avait recours aux armes chimiques dans son offensive pour reprendre la province d'Idleb, l'un des derniers fiefs des insurgés islamistes dans le pays.

    En visite à Jérusalem le 22 août, John Bolton avait par ailleurs déclaré que Washington était «inquiet à l'idée que le président Bachar el-Assad puisse à nouveau utiliser des armes chimiques».

    «Mais que les choses soient claires : si le régime syrien emploie des armes chimiques, nous réagirons très fortement et ils feraient bien de réfléchir un bon moment avant une quelconque décision», avait-il lancé.

    Le même jour, Paris et Londres avaient joint leur voix à celle de Washington, dans un communiqué commun qui spécifiait : «Nous soulignons également notre inquiétude face à une possible (et illégale) nouvelle utilisation d'armes chimiques [...] Nous restons résolus à agir si le régime d'Assad utilise à nouveau des armes chimiques.»

    Lahire

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  • Les lynchages LGBT prouvent que les homosexualistes veulent imposer leur idéologie

    Un lynchage impressionnant vise actuellement Jean-Yves Rineau, directeur des ventes de Lactalis et ancien candidat divers droite aux élections législatives.Son crime ? Avoir rappelé laconiquement les directives de Benoît XVI sur les candidats au sacerdoce dans un tweet répondant à Mgr Ginoux, courageux évêque de Montauban, sur les nouvelles révélations relatives aux prédateurs sexuels cléricaux. On sait qu’avec l’affaire Mc Carrick (du nom de cet ancien cardinal archevêque de Washington qui semble bien avoir été lui-même un prédateur sexuel, friand de jeunes hommes) et l’énorme dossier de Pennsylvanie, l’Eglise des Etats-Unis se trouve à nouveau dans la tourmente.

    La principale différence avec la crise de 2002 tient au fait que l’on cerne mieux le problème en évitant de parler de « pédophilie dans l’Eglise » et que beaucoup d’observateurs situent enfin le problème où il se trouve en réalité : il s’agit bel et bien, très majoritairement, d’une attirance de certains clercs pour les jeunes gens, c’est-à-dire de l’éphébophilie ou de l’homosexualité et non de la pédophilie. C’est de cela que parlait Mgr Ginoux, déclarant : « Mgr Morerod a raison. Les victimes d’abord, la justice tjrs et notre repentance devant tant d’horreur. » Jean-Yves Rineau ajouta : « D’accord avec une plus une “politique” renforcée de détection de l’homosexualité. » Il n’y avait certes pas de quoi fouetter un chat. C’était ni plus ni moins que les directives de Benoît XVI sur les candidats au sacerdoce.

    Je n’ai aucune compétence en matière de discernement de vocation sacerdotale, mais il me semble assez logique, quand l’Eglise traverse une crise comme celle de 202 ou la crise actuelle, qu’elle édicte des normes sévères pour restaurer la confiance. Au passage, je note que bon nombre d’observateurs qui n’avaient pas de mots assez durs contre Benoît XVI, soupçonné de ne pas réagir assez fermement contre les prédateurs sexuels, ne disent aujourd’hui plus rien de ce genre, car il est clair que Benoît XVI a, au contraire, bataillé ferme, y compris contre de puissants protecteurs du lobby gay au sein de l’Eglise. Car l’un des problèmes majeurs que révèle l’affaire McCarrick est que le lobby gay dans l’Eglise fonctionne comme une mafia, c’est-à-dire qu’il protège les siens, aide à leur promotion jusqu’aux postes les plus élevés, et impose le silence aux autres clercs.

    Comme pour illustrer cette réalité mafieuse, le lobby LGBT s’est rué sur Jean-Yves Rineau, et harcèle son entreprise, Lactalis, pour obtenir sa mise à pied. Est-il besoin de signaler que Jean-Yves Rineau s’est exprimé à titre personnel, sur son compte personnel, et que c’est un prodigieux abus que de le menacer pour cela dans sa vie professionnelle ? Mais la « gaystapo » ne s’embarrasse pas de distinctions aussi primitives que celle qui sépare la vie publique de la vie privée. Pour la secte homosexualiste, tout doit être public.

    Ce totalitarisme menace d’abord les homosexuels eux-mêmes, dont l’immense majorité préférerait vivre discrètement, et qui sont en permanence soumis à un chantage au « coming out ». Et désormais, comme la terreur règne dans la prétendue communauté gay (qui n’existe pas et qui est le fruit de l’imagination terroriste des homosexualistes), on s’attaque aux « hétéros ». J’ignore si Lactalis va céder. Mais je puis d’ores et déjà dire ceci. Ce lynchage est la preuve éclatante que, contrairement au baratin de propagande que nous avions entendu lors des débats sur la loi Taubira, les homosexualistes ne veulent absolument pas l’égalité des droits (qui était déjà acquise aux homosexuels depuis fort longtemps), mais veulent imposer à tous leur idéologie. Il ne s’agissait pas, comme le disaient les discours lyriques de ce temps de « donner de nouveaux droits à certains, sans en retirer à quiconque » ; il s’agissait bel et bien de supprimer les libertés de tous les citoyens qui auraient le mauvais goût de ne pas applaudir au coup de force.

    En particulier, il s’agissait de faire taire la principale puissance de résistance spirituelle en Europe, l’Eglise catholique. Car, aussi affaiblie qu’elle soit dans notre pauvre Europe occidentale, l’Eglise catholique, ayant reçu de son divin Fondateur une anthropologie et une morale sûres, continue à être l’empêcheuse de tourner en rond pour les puissants du moment, les nationaux-socialistes ou les marxistes-léninistes jadis, les relativistes fanatiques aujourd’hui.

    Il est remarquable d’ailleurs que Jean-Yves Rineau soit attaqué sur un sujet concernant l’organisation de l’Eglise catholique. On voit mal en quoi les sectaires, qui détestent cette dernière, seraient concernés. Je doute que les dirigeants d’Act up ou les amis de Pierre Bergé, laïcistes exaltés, rêvent du sacerdoce ! Seulement voilà, si les directives de Benoît XVI sont appliquées, l’Eglise sera, demain plus encore qu’aujourd’hui, la citadelle d’où viendront les déclarations les plus nettes sur la nature humaine. Et cela est d’autant plus insupportable que nos adversaires savent bien, eux, que l’Eglise a raison. Il faut donc d’urgence la faire taire.

    Il faut s’attendre à un difficile affrontement avec cette « gaystapo » dans les années qui viennent. Mais nous ne sommes tout de même pas tout à fait dépourvus de moyens. Je peux clairement annoncer que, si Lactalis cède aux pressions, cela lui coûtera très cher. Nous serons des milliers à cesser d’acheter leurs produits. Et nous sommes un tantinet plus nombreux que les homosexualistes : les puissances économiques les ont jusqu’à présent caressés et flattés parce que leur poids dans les médias en faisait des « leaders d’opinion » et que les braves gens ne résistaient point. Mais ce temps-là s’éloigne. Plus personne ne lit les journaux et le poids du lobby gay dépasse dorénavant difficilement le périphérique. Quant à l’inertie des braves gens, ne comptez plus trop sur nous. Vous vouliez du « nouveau monde » ? Eh bien, soit, allons-y, mais je doute qu’il ressemble à vos fantasmes !

    Guillaume de Thieulloy

    Directeur du Salon beige

    Le Salon Beige

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  • L’inquiétante vision du monde des élites progressistes et la mission de la droite

    Par Jean-Claude Pacitto*

    Dans un remarquable ouvrage consacré à l’évolution du parti démocrate américain, Pourquoi les riches votent à gauche, Thomas Frank pose une question et surtout y répond : comment des partis qui prétendaient défendre les intérêts des catégories populaires et moyennes sont-ils devenus, à partir des années 80, les porte-parole des catégories sinon privilégiées, du moins fort éloignées de leur sociologie première ? Car ce que dit Thomas Frank du parti démocrate pourrait être généralisé à tous les partis sociaux- démocrates européens, et notamment au PS français. À compter des années 90, les catégories populaires ont commencé à déserter ces formations.

    Thomas Frank nous décrit les causes politiques et organisationnelles de cette mutation. Si, aux États-Unis, le parti démocrate avait toujours attiré les intellectuels, il va, au début des années 90, devenir le porte-parole de la « classe professionnelle ». Comme le PS français, le parti démocrate va se muer en parti des élites, avec un fort pourcentage de cadres et d’adhérents issus des grandes universités. Ces nouveaux bataillons du parti partagent un postulat : les études supérieures qu’ils ont accomplies leur confèrent le droit d’imposer à la société américaine leur vision du monde et leurs choix.

    Évoluant dans les secteurs de la nouvelle économie ou dans des secteurs souvent protégés de la concurrence mondiale, les élites progressistes - à l’instar de John Sperling qui publie en 2004 un livre qui est tout un programme The Great Divide. Retro Versus Metro America – considèrent qu’il y a d’un côté le vieux monde (industrie d’extraction, agriculture) et de l’autre le nouveau monde, celui des nouvelles technologies, de la banque et des avancées sociétales. D’un côté, un monde ringard et fermé car peuplé de non-diplômés, condamné à tomber dans les oubliettes de l’histoire ; de l’autre, le monde ouvert et branché des diplômés.

    À la même époque, en France, think-tanks et économistes proches du PS dissertaient sur l’avènement d’une société sans usines. On connaît la conséquence : le tragique abandon de notre industrie. Lorsque Hillary Clinton traita les électeurs de Trump de «ramassis de minables » lors de la présidentielle, elle était cohérente avec cette vision du monde. De même, le mépris à peine voilé des élites socialistes envers la France périphérique, peuplée de « beaufs et de racistes » ne doit pas étonner, il est la conséquence de cette représentation de la société. Le vieux monde est aussi celui des vieilles croyances auxquelles sont rattachées les religions.

    Ainsi, le catholicisme, qui cumule l’ancienneté et une morale jugée « outdated », est devenu la cible de ces nouvelles élites. Très souvent, en matière spirituelle, l’élite progressiste adhère à une sorte de New Age. Un bouddhisme bricolé et peu exigeant est devenu la religion de substitution pour nombre de dirigeants de la nouvelle économie, le cas Steve Jobs en témoignait.

    Thomas Frank développe également un point très important : la fusion, au début des années 2000, des élites intellectuelles et économiques. Désormais, les nouveaux capitalistes, à de rares exceptions près, soutiennent en masse le parti démocrate. Si cette question est largement taboue en France, on y ferait les mêmes constats. Le progressisme de certains essayistes à la mode est très proche de celui des élites progressistes américaines. Cette vision d’un monde nomade où le salut de chacun dépend de sa faculté à « s’empoweriser » (sic) et à capter, mieux que les autres, les ressources disponibles est le cœur de l’idéologie progressiste. Dans cette vision, il n’y a plus de place pour la quiétude et l’enracinement.

    La valeur de l’individu est mesurée à l’aune de sa propension à bouger et à changer de métier. Le nouveau monde est un monde de gens qui gagnent. Le statut du perdant dans la vision progressiste du monde est celui d’un individu qui n’a pas su saisir sa chance et qui a résisté à l’injonction du changement. Cela explique le paradoxe que les gouvernements de gauche sont souvent plus impitoyables avec les perdants de la mondialisation que ceux de droite. Le « yes we can » tant loué d’Obama n’est pas, comme on l’a cru souvent, une seule injonction volontariste visant à fixer une nouvelle frontière mais une obligation qui ne se discute pas. Si vous ne pouvez pas, c’est que vous êtes un incapable, donc un perdant, et que vous ne méritez pas de faire partie du nouveau monde.

    La montée en puissance des partis populistes découle largement de cette mutation de la gauche et le succès de Trump résulte aussi de la prise en compte de cette réalité. À rebours de l’élite  du parti républicain qui pensait que tout se joue dans le domaine du combat culturel, Trump avait compris qu’il fallait aussi réinvestir le domaine économique avec des propositions susceptibles d’intéresser les « retros », telles que la réindustrialisation des États-Unis. Or en ce domaine la droite classique européenne reste souvent inaudible. Le « big business », à qui elle fait toujours les yeux doux, est désormais acquis aux thèses progressistes. Si la droite n’est pas capable de formuler un discours offensif en direction des « retros » (ouvriers, catégories moyennes, dirigeants de PME et bourgeoisie dite conservatrice), bref tous ceux que les progressistes vouent aux poubelles de l’histoire, la droite disparaîtra. C’est un front interclassiste qu’elle doit susciter, celui des gens qui évoluent dans le monde réel et qui ne veulent pas de l’univers que nous promettent les élites progressistes. Cela nécessite d’articuler intelligemment le culturel à l’économique. La droite en est-elle capable ?

    (*) Maître de conférence HDR en sciences de gestion à l’université Paris-Est.

    (Source, Le Figaro 25/08/2018)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Poutine remet les pendules à l'heure : c'est l'OTAN qui se rapproche de la Russie et non l'inverse

    6a00d83451619c69e2022ad365bb38200c-300wi.jpgLa carte ci-contre se suffirait à elle-même si le mauvais esprit anti-russe n'était pas de mise : 

    Moscou n’avance pas ses contingents militaires vers les frontières des pays de l’Otan, bien au contraire, c’est infrastructure de l’Alliance qui se rapproche des frontières de la Russie, a souligné Vladimir Poutine.

    Intervenant à l’issue de sa rencontre avec le Président finnois Sauli Niinistö, Vladimir Poutine a évalué le rapprochement de l’infrastructure de l’Otan et des boucliers antimissiles américains des frontières russes.

    Nous n’avançons pas nos contingents militaires loin de nos frontières vers les pays de l'Otan, c’est l'infrastructure militaire de l'Otan qui approche nos frontières, le nombre d’effectifs et de matériels militaires à proximité de nos frontières augmente, des exercices militaires se tiennent de plus en plus fréquemment», a-t-il indiqué.

    Ces actions de l’Alliance et des États-Unis obligent la Russie à réagir d’une manière adéquate et à renforcer ses frontières.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/poutine-remet-les-pendules-%C3%A0-lheure-cest-lotan-qui-se-rapproche-de-la-russie-et-non-linverse.html

  • Electrification de l’Afrique : encore loin du compte…

    monde_eclairage-768x236.jpg

    Selon la revue The Economist, l’accès très restreint de l’Afrique à l’électricité est toujours un problème. A l’heure où le monde vit à l’ère d’Internet, l’Afrique voit encore plus de la moitié de sa population n’ayant pas encore accès à l’électricité. Alors que l’Asie a décollé économiquement, l’Afrique peine encore, comme exclue des grands mouvements mondiaux (sauf nous exporter son surplus démographique). Voici l’état des lieux :

    • Plus de 75 % de la population sans accès à l’électricité : Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, République Démocratique du Congo, Ethiopie, Gambie, Guinée, Kenya, Liberia, Madagascar, Malawi, Mauritanie, Niger, Ouganda, Rwanda, Sierra Leone, Somalie, Soudan du Sud, Tanzanie, Tchad
    • Plus de 50 % sans accès à l’électricité : Angola, Bénin, Cap Vert, Comores, Congo, Côte d’Ivoire, Djibouti, Erythrée, Guinée Bissau, Lesotho, Mali, Mozambique, Namibie, Nigeria, Soudan, Swaziland, Togo, Zambie, Zimbabwe,
    • Plus de 25 % sans accès à l’électricité : Botswana, Cameroun, Gabon, Ghana, Guinée Equatoriale et Sénégal.
    • Moins de 25 % sans accès à l’électricité : Afrique du Sud, Algérie, Egypte, Libye, Maroc, Ile Maurice, Seychelles et Tunisie.
    • Chiffres inconnus : Sahara occidental et Sao Tome & Principe.

    L’indice de couverture des réseaux mobiles n’offre que des données très partielles

    • Plus de 60 % : Afrique du Sud (68 %)
    • Plus de 50 % : Kenya (59 %), Zimbabwe (58 %), Congo (58 %), Côte d’Ivoire (53 %),
    • Plus de 40 % : Mozambique (47 %), Nigeria (45%), Tanzanie (42 %), Sierra Leone (42 %), Ouganda (41 %), Cameroun (40 %),
    • Plus de 30 % : Togo (38 %), Ethiopie (34 %), Angola (31 %)
    • Plus de 20 % : République Démocratique du Congo (26 %), Centrafrique (22 %)

    En ce qui concerne la couverture en réseaux Internet, c’est évidemment des résultats corrélés, avec seulement trois pays ayant plus de 50 % de réseau, hors DOM bien évidemment.

    • Plus de 80 % : Mayotte, La Réunion
    • Plus de 50 % : Seychelles (58 %), Maroc (57,5 %), Afrique du Sud (52 %),
    • Plus de 40 % : Tunisie (48 %), Nigeria (46 %), Kenya (45 %), Cap Vert (42,5 %), Ile Maurice (42,5 %)
    • Plus de 30 % : Egypte (33 %).
    • Plus de 20 % : Ghana (28,5 %), Swaziland (28 %), Soudan (26,5 %), Sao Tome & Principe (25,5 %), Sénégal (23,5 %), Angola (23 %), Côte d’Ivoire (22 %), Botswana (21,5 %), Libye (21 %), Zimbabwe (21 %), Guinée Equatoriale (21 %), Lesotho (20,5 %).
    • Plus de 10 % : Algérie (19,5 %), Ouganda (19 %), Zambie (19 %), Cameroun (18 %), Soudan du Sud (17 %), Mauritanie (17 %), Gambie (17 %), Namibie (15,5 %), Rwanda (12,5 %), Mali (12 %), Djibouti (11,5 %), Gabon (10 %), Burkina Faso (10 %).
    • Moins de 10 % : Liberia (8,5 %), Congo (7,5 %), Togo (7,5 %), Comores (7,5 %), Malawi (6,5 %), Mozambique (6,5 %), Bénin (5,5 %), Tanzanie (5,5 %), Centrafrique (4,5 %), Madagascar (4,5 %), Ethiopie (4 %), République Démocratique du Congo (4 %), Guinée-Bissau (3,5 %), Tchad (2,5 %), Sierra Leone (2,5 %), Niger (2 %), Guinée (2 %), Somalie (1,5 %), Burundi (1,5 %), Erythrée (1 %).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/electrification-de-lafrique-encore-loin-du-compte/96813/

  • Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme (5e partie)

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 207 – août 2018)

    Le présent article, publié en plusieurs parties au cours de l’été, se propose de montrer que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire présente toutes les caractéristiques du totalitarisme. La première partie a traité le point suivant : « Un système où l’idéologie prédomine ». La deuxième : « Un système de pouvoir qui permet de contrôler les principales organisations et institutions »La troisième : « La propagande omniprésente ». La quatrième : « Neutraliser la société et pourchasser les dissidents ». Voici la cinquième et avant-dernière :

    • Contrôler et formater les esprits 

    C’est sa cinquième caractéristique. Le Système ne cherche pas seulement à maintenir la population dans une position de docilité et de résignation, ce qui est le cas également des régimes tyranniques ou simplement autoritaires : il cherche en plus à obtenir que tous les individus adhèrent à l’idéologie du Système, et en deviennent à leur tour les relais et les propagandistes. Un système autoritaire se contente de la docilité et est indifférent à ce que les gens pensent réellement pourvu qu’ils se taisent : un totalitarisme attend que chacun devienne l’un de ses agents. Comme on l’a vu plus haut, le Système considère que ses valeurs incarnent le Bien : il convient donc de les faire partager et adopter par tous.

    Formater les esprits pour les conduire à adopter les valeurs

    Les différents moyens de contrôle de la société qui ont été évoqués plus avant, tels que la propagande et la novlangue, ne sont pas seulement destinés à assurer le pouvoir du Système : ils ont aussi pour objectif d’opérer un formatage de la pensée. En outre le Système a mis en place toute une mobilisation collective pour conduire chacun à adhérer aux valeurs. Le cadre scolaire est un lieu privilégié. On y multiplie les médiateurs, les délégués de classe, les journées thématiques centrées sur les valeurs du Système : lutte contre le racisme, contre les discriminations, pour le respect, pour l’égalité des genres, pour l’aide aux pays pauvres… Il s’agit d’aboutir à ce que chaque élève se transforme en agent de propagande.

    Le Système a également mis en place des centres de redressement de la pensée. Les centres de déradicalisation ne concernent pour l’instant que les islamistes : mais on peut imaginer que le Système pense à les étendre à l’extrême-droite le moment venu. Dans le même esprit les stages de récupération de points du permis de conduire visent également à rectifier les pensées déviantes. De même les entreprises participent activement au formatage des esprits en multipliant les stages de formation et les séminaires professionnels consacrés à la célébration des valeurs du Système, telles que la diversité, la non discrimination et la laïcité…

    La technique de la vaccination

    Mais le principal moyen de formatage des esprits sont les situations de fait que le Système créée, laisse se créer et encourage, en particulier la délinquance massive impunie et l’immigration massive : ces situations de fait ont pour objectif et pour effet d’aboutir à ce que la population de Français moyens finissent par les considérer comme le cadre de vie normal. Mieux encore il s’agit de faire en sorte que les Français moyens, qui subissent depuis 50 ans l’immigration de masse et l’impunité des délinquants, perdent jusqu’au souvenir du temps où la délinquance était résiduelle et la population constituée quasi exclusivement de blancs. Le Système a procédé en quelque sorte par la technique de la vaccination. Les changements voulus par le Système, à commencer par le changement de population, ont été introduits à dose modérée et de façon progressive. Dans un premier temps la population a toléré ces changements parce qu’ils étaient limités. Puis elle les a acceptés bien qu’ils soient devenus massifs, parce qu’elle a été comme vaccinée, et qu’elle considère la nouvelle situation comme la norme. Une large fraction de la population, qui s’accroît au fur et à mesure que celle-ci se renouvelle, n’a désormais aucunement conscience de ce qu’une société différente a pu exister.

    La double pensée

    Un dernier élément est caractéristique de la nature totalitaire du Système. Les supporteurs du Système sont tous ou presque installés dans ce qu’Orwell dénomme le système de « double-pensée ». La double-pensée consiste, pour les agents et supporteurs du système totalitaire, à être persuadés du bien-fondé de deux affirmations pourtant évidemment contradictoires. Par exemple les immigrationnistes sont convaincus que l’immigration est une chance. Mais ils savent aussi qu’elle a de graves conséquences négatives, dont ils vont chercher à se protéger pour eux-mêmes. Par exemple ils vont choisir un quartier ou une école pour leurs enfants où il n’y a pas ou peu d’immigrés. Une partie des partisans du Système sont simplement des cyniques et des hypocrites et ne croient pas eux-mêmes à la pertinence de leur discours immigrationniste. D’autres en revanche, et ils sont nombreux, sont installés dans la double-pensée. Tout en cherchant à s’en protéger, ils pensent réellement que l’immigration est souhaitable. Ils résolvent cette contradiction manifeste par un raisonnement qui renvoie la responsabilité sur les adversaires du Système. Si l’immigration présente de graves inconvénients dont ils doivent se protéger, c’est, pensent-ils, parce que la politique d’immigration n’est pas conduite de façon satisfaisante par la faute des ennemis du Système. « Du fait de la pression que les Français moyens racistes exercent sur les politiques, nous n’aidons pas suffisamment les pays que fuient les immigrés. Par leur faute également, nous ne consacrons pas des moyens suffisants à l’intégration des immigrés. Par leur faute, les immigrés sont concentrés dans des ghettos au lieu d’être répartis harmonieusement sur le territoire. Par leur faute, du fait de leur racisme, de leur xénophobie, de leur égoïsme, les immigrés se sentent mal accueillis et développent à notre égard rancœur, frustration et colère… ». Ce raisonnement permet de lever la contradiction et de s’installer dans la double-pensée : l’abolition des frontières et la libre installation des immigrés sont des objectifs souhaitables ; quant aux graves inconvénients du processus, ils sont de la responsabilité des ennemis du Système.

    On rencontrait le même phénomène avec le communisme. Les agents de propagande communistes savaient que les chiffres de production industrielle dont ils se gargarisaient n’existaient que sur le papier. Ils estimaient pourtant légitime de diffuser les mensonges officiels : si les chiffres de production n’étaient pas atteints c’était en effet en raison des menées hostiles des pays capitalistes. Les échecs du communisme étaient à mettre au compte de l’insuffisance du communisme.

    On relèvera aujourd’hui que les agents de propagande de l’UE tiennent le même raisonnement. C’est, selon eux, parce qu’elle est insuffisamment intégrée, qu’il n’y a pas de budget commun, de gouvernement économique commun ou de défense commune, que l’Europe ne rencontre pas l’adhésion des citoyens. « Si l’Europe ne fonctionne pas toujours de façon satisfaisante c’est qu’il n’y a pas assez d’Europe, par la faute des populistes eurosceptiques ». Ce mode de raisonnement fondé sur la double-pensée, à la fois malhonnête et délirant, est caractéristique de la pensée totalitaire.

    **

    A suivre la sixième et dernière partie : « Le Système souhaite et organise l’invasion migratoire de son propre territoire »

  • La Libye refuse d'accueillir les "migrants" secourus dans ses eaux territoriales par... l'Italie

    Libye à respecter le droit ?

    "Le gouvernement libyen d'union nationale (GNA) refusera d'accueillir environ 170 migrants bloqués sur un navire italien après avoir quitté les côtes libyennes, a indiqué le chef de la diplomatie Mohamad Siala. Cette déclaration intervient après des menaces répétées de Rome de renvoyer ces migrants en Libye.

    "Soit l'Europe commence à défendre sérieusement ses frontières et partage l'accueil des immigrés, soit nous commencerons à les ramener dans les ports d'où ils sont partis", a écrit mardi sur Twitter le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini. Il avait déjà proféré les mêmes menaces dimanche. Ce serait une "mesure injuste et illégale", a réagi le ministre libyen des Affaires étrangères dans un communiqué publié tard hier soir, soulignant que son pays accueillait déjà plus de 700.000 migrants, la plupart originaires d'Afrique sub-saharienne. Selon lui, les migrants secourus en Méditerranée doivent être rapatriés "dans leur pays d'origine". "La Libye est uniquement un pays de passage qui n'a que trop enduré", a-t-il indiqué, appelant la communauté internationale à "assumer ses responsabilités".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Poutine valse à Vienne et négocie ses exportations de gaz avec Merkel malgré les menaces de Trump

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    3034693255.pngPar Antoine de Lacoste

    Les dernières visites européennes de Vladimir Poutine ont fait couler beaucoup d’encre.

    Le Président russe s’est d’abord rendu à Vienne le 18 août au mariage de la Ministre autrichienne des affaires étrangères, Karin Kneissl. Le jeune chancelier conservateur (ÖVP) Sebastian Kurz était présent ainsi que le vice-chancelier Strache (FPÖ) et de nombreux ministres. Le secrétaire général de l’OPEP, le nigérian Mohamed Barkindo, faisait également partie des invités.

    Poutine prononça un discours dans un allemand impeccable, valsa avec la mariée et laissa ses accompagnateurs cosaques animer la soirée.

    Les réactions ne se sont guère fait attendre. Une partie de la classe politique et de la presse autrichiennes vitupéra pour dénoncer une soi-disant rupture de la traditionnelle neutralité autrichienne. Et l’Ukraine, toujours en pointe dans l’escalade russophobe, annonça qu’elle rejetait dorénavant la médiation autrichienne dans la crise du Donetz. Tous oublient sans doute que c’est la droite (avec toutes ses composantes) qui a remporté les dernières élections en Autriche et que le nouveau chancelier a clairement appelé l’Union européenne à lever ses sanctions contre la Russie.

    On ne savait d’ailleurs pas que ces sanctions s’appliquaient également aux mariages !

    1326515730.jpgLe président russe était déjà loin de tout cela car le soir même il rencontrait Angela Merkel pour un long entretien en tête à tête. Aucun communiqué n’a été diffusé ensuite mais on sait quels sont les points qui furent abordés : la reconstruction de la Syrie (Poutine réclame une aide financière de l’Europe), l’accord nucléaire en Iran (que les deux partenaires veulent sauver malgré Trump) et surtout le projet de transit gazier Nord Stream 2.

    Actuellement, les exportations de gaz russe vers l’Allemagne passent en Mer Baltique par Nord Stream 1 inauguré en 2011. Elles assurent 40% de l’approvisionnement allemand et 30 % de celui de la France.

    L’Allemagne qui aura de plus en plus de besoins en gaz compte tenu de la fin programmée de son programme nucléaire, souhaite augmenter ses importations de Russie. Elle est donc un partenaire résolu de Nord Stream 2 qui doublera les capacités de Nord Stream1. Les travaux ont commencé en mai et devraient s’achever début 2020.

    Mais les Américains ne l’entendent pas ainsi et font une pression très forte sur l’Europe pour que ce projet n’aboutisse pas. Le prétexte est l’indépendance gazière de l’Europe qui ne doit pas trop dépendre du méchant russe (touchante sollicitude américaine …). La vraie raison est le surplus de gaz liquéfié américain que seule l’Europe pourrait absorber. Mais à un prix nettement plus élevé que le gaz russe…

    Le Congrès américain n’y est pas allé par quatre chemins : il a voté une loi permettant des sanctions contre toute entreprise européenne participant à la construction ou au financement du projet ! Trump a confirmé cette position et prévient que ses décrets d’application durciront encore les sanctions.

    Mais l’Allemagne n’entend pas céder à la menace et plusieurs dirigeants européens ont protesté contre l’ingérence américaine.

    Pour une fois que l’on pourra soutenir Merkel ...  

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • GoFundMe bloque les paiements faits à Robert Spencer, dénonciateur de l’islamisme

    GoFundMe bloque paiements Robert Spencer islamisme
    Fin connaisseur de l’islam et de l’islamisme, dénonciateur du djihad, Robert Spencer est dans le collimateur des sites de paiement en ligne qui ont institué une censure de fait à son encontre, avec l’objectif évident de le priver de ses revenus. Spencer vient de révéler que la plateforme de financement participatif GoFundMe a annulé et rembourse sans explication les versements qui lui sont faits par les internautes pour soutenir son combat pour l’information juste sur le terrorisme islamique et les avancées musulmanes.
    Tout a commencé avec des démarches similaires de la part d’un autre service de paiement en ligne supposément neutre. Alors que Robert Spencer venait de mettre en place une campagne de levée de fonds en vue de financer la mise en place d’un nouveau studio video, le site de « crowd-funding » Patreon l’avait averti la semaine dernière de sa décision de fermer son compte.

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  • Schémas africains et schémas parisiens

    6a00d8341c715453ef022ad3ab17d6200b-320wi.jpgPlusieurs lecteurs s’interrogent directement ou indirectement, toujours amicalement : comment peut-on assimiler sans excès polémique la situation de la France à celles de pays comme le Venezuela, le Zimbabwe, etc.

    Les Échos du 21 août nous rappellent en effet la chute inouïe, l'effondrement de la révolution bolivarienne sur le simple terrain de sa monnaie. Six millions de bolivares pour un dollar, titre ainsi le journal économique : "La révolution chaviste, note-t-il, poursuit son glorieux chemin au Venezuela où le Bolivar vient d'être dévalué de 95 %. Il faut désormais 6 millions de bolivares pour acheter un dollar."

    Or, souligne, un correspondant couramment pertinent, "une autre analogie, après la Russie et le Venezuela, pourrait être l'Afrique du Sud. Qui vient de décider de suivre la glorieuse voie socialiste et antiraciste du Zimbabwe, laquelle l'a mené. où l'on sait. Le gouvernement de Pretoria a décidé de confisquer les terres des fermiers blancs, ce qui conduira immanquablement, comme au Zimbabwe, à la misère et à la famine. Mais l'idéologie de gauche sera sauve. Et ce sera plus que jamais la faute des Blancs."

    Toutes les apparences séparent ces perspectives africaines ou latino-américaines de la situation, et de l'évolution de la France. Aujourd'hui par exemple, Mediapart s'étrangle parce que le maire macronien de Besançon vient de publier des arrêtés anti-mendicités applicables dans certaines rues de sa belle et bonne ville jusqu'au 30 septembre. Pour la majorité du lectorat du site d'Edwy Plenel, on ne doutera pas qu'il se convainc lui-même d'une dérive droitière et bourgeoise de l’Hexagone. Nous assisterions ainsi, atterrés j'en suis sûr, à un rejet abominable des sans-abri, des migrants et des punks à chiens. J'avoue être tenté, quand je prends le métro parisien, ou même quand je me promène dans mon quartier assurément bourgeois, par une impression inverse. J’éprouve même le sentiment que, s’il y a du racisme en France, il ne vient pas nécessairement des Blancs, et que s’agissant d’actes ou de réactions qualifiés de racistes à l’endroit des Africains et des Arabes on leur découvre des auteurs parmi les gens du voyage. Ainsi Paul Valéry n'avait-il pas tort qui voyait deux dangers menaçant le monde : l’ordre et le désordre.

    La vraie question qui se pose devient dès lors celle des accaparements révolutionnaires et/ou fiscalistes. Opérés, de Caracas à Paris, en passant par l'Afrique australe, ils transfèrent la propriété, des mains de ceux qui la font fructifier, vers celles des camarades de lutte d'hier, c'est-à-dire des copains et des coquins d'aujourd'hui. Lesquels la stérilisent. Les gauchistes de tous poils en Europe ont ceci en commun avec les anciens guérilleros marxistes léninistes d'Afrique, ceux du Zanu-Pf comme, maintenant ceux de l'ANC, en Afrique du sud, que Mandela avait eu l'intelligence de faire plus ou moins patienter. Et auxquels Ramaphosa promet, comme hier Mugabe au Zimbabwe, les terres fécondées par les fermiers blancs.

    Bien sûr le Maduro reste inimitable. Spectaculaire, il paraît imbattable sur le terrain de la ruine. Pour le moment. Nous disposons donc d'un [petit] répit, à condition de faire bien comprendre à nos compatriotes que le pire peut arriver. Citons ici un seul exemple, qui commence à être perçu pour sa vraie valeur : le rôle d'une Hidalgo maire de Paris et de son entourage impunément communiste qui va dans ce sens. Encore une ou deux mandatures municipales et ces gens auront ruiné une des plus belles et des plus riches villes du monde comme la démagogie bolivarienne a ruiné le pays détenteur des plus abondantes réserves pétrolières. La chose est plus avancée qu'on voudrait le croire.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/