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international - Page 633

  • Voir plus loin: l’Ethique macronienne et l’Esprit du mondialisme

    caspar-david-friedrich.jpgEn déplacement au Danemark pour  plaider de nouveau pour plus d’Europe, plus d‘intégration, et notamment pour  l’harmonisation des régimes fiscaux, Emmanuel Macron a souhaité réagir aux propos formulés la veille par les pugnaces  Viktor Orban, Premier ministre hongrois,  et Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur italien. Nous l’évoquions hier ,  ceux-ci l’ont nommément désigné   comme étant en  Europe le chef de file de l’immigrationnisme, un des fléaux de l’idéologie mondialiste. Piqué au vif, M. Macron s’est fendu d’une formule convenue, souvent  entendue dans la bouche d’un Chirac, d’un Sarkozy, d’un Hollande, pour affirmer qu’il « ne (céderait) rien aux nationalistes et à ceux qui prônent ce discours de haine. S’ils ont voulu voir en ma personne leur opposant principal, ils ont raison. »  Provocation calculée ou non ?  Art de la petite phrase pour occuper l’actualité? Dérapage (in)contrôlée ? : M. Macron s’est livré mardi à une saillie qui a fait également réagir. Il a affirmé,  tout à sa volonté de flatter les Danois, qu’ « Il ne s’agit pas d’être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien (danois, NDLR), qui a vécu les transformations de ces dernières années, n’est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement ! Encore que ! Mais nous avons en commun cette part d’Européen qui nous unit. » Une réflexion  intéressante en ce qu’elle révèle encore une fois la pensée profonde de M Macron.   Une resucée  des vieilles attaques des progressistes  contre les Gaulois, ces indécrottables  ploucs de Français attachés à leur terroir, à leurs racines, à leur identité,  à leur mode de vie. Village gaulois qui résiste aux bienfaits du changement en marche, de la  mondialisation sauvage;  sédentaires bornés qui ne sont toujours pas convaincus des avantages du monadisme planétarien …

    Cette phrase de l’ancien de la banque Rothschild est peut-être aussi une réminiscence de la lecture, si ce n’est de Werner Sombart,   du moins de  Max Weber qui,   dans son célèbre ouvrage  « L’Ethique protestante et l’Esprit du capitalisme » (1905),  entendait  démontrer non sans quelques arguments d’ailleurs, comment ladite culture, morale,  vision du monde protestante était particulièrement  bien adaptée au système capitaliste moderne, aux bouleversements qu’il entraîne,  et expliquait la prédominance dans ce domaine des hommes d’affaires,   des pays protestants sur les pays catholiques.  Ajoutons cependant  que l’historien Fernand Braudel, entre autres,  s’est chargé   de rappeler que cet esprit capitalistique-là fut à la base dés le Moyen-Age du  commerce florissant  des  cités italiennes catholiques , à Gênes,  Venise, Florence, Padoue…

    Nous ignorons si la national-libéral Alice Weidel, présidente du groupe parlementaire au Bundestag du parti anti-immigration et eurosceptique  Alternativ für Deutschland (AfD), est de culture protestante ou catholique.  Mais ce qui est certain c’est que dans un entretien  accordé au Parisien mardi (et relayé notamment par Valeurs actuelles et le Salon beige)  elle n’a pas ménagé elle non plus le président Français : « Emmanuel Macron fait fausse route. Plus d’Europe, c’est la fausse réponse au scepticisme grandissant dans beaucoup de pays membres de l’Union européenne face à la mise sous tutelle des États par Bruxelles. Beaucoup de nations ne participeront pas aux projets de fiscalité et de budget commun ou d’armée européenne. La tentative de centraliser encore plus l’Europe en insistant sur le principe de répartition – vers un État fédéral européen – est vouée à l’échec  (…). Je pense au contraire qu’Emmanuel Macron finira par accélérer la division de l’Europe. » Et Mme Weidel d’ajouter encore : « lorsque des responsables politiques pensent au bien-être de leur propre pays et de ses citoyens, comment peut-on parler de nationalisme ? (mot particulièrement tabou Outre-Rhin, NDLR).  C’est de la démocratie, au contraire. En parlant d’épidémie contagieuse (« lèpre populiste », NDLR) , Macron ne fait pas preuve d’un grand sens de la démocratie. »

    Sens de la démocratie bafoué par la prédominance des lobbies financiers  de tout poil et qui expliquerait la démission de Nicolas Hulot, son ras-le-bol d’être court-circuité dans ses vœux et ses prises de décision. Le site d’Europe 1 s’en est fait l’écho ,  « dix ONG écologistes » ont  interpellé  Emmanuel Macron « sur la question de la transition écologique et lui demandent de changer de cap. » « Cette démission surprise  est le symptôme d’une immense incompréhension »,  « la transition écologique n’est ni une promenade de santé ni un supplément d’âme pour politiciens sans imagination. »

    Sur son blogue Ivan Rioufol a taclé aussi bien le gouvernement que M. Hulot et a  fait état de quelques avis que nous partageons… et que le Front National avait déjà formulé dans une  publication parue… en 1978 ! :  « S’il est un ennemi de l’écologie, c’est le progressisme dont se réclament les idéologues VertsUne écologie bien comprise est d’abord une démarche conservatrice : celle qui vise à protéger les ressources, les espèces, les paysages. Le progressisme n’aime pas la limite. Il reste dans une fuite en avant qui légitime le bétonnage des sols, l’urbanisation à outrance, l’agression des sites. »

    M. Rioufol affirme en outre  que « c’est pour amadouer Hulot que Macron a avalisé le programme off-shore des éoliennes. Des sites maritimes superbes risquent demain d’être défigurés par des champs d’éoliennes de 200 mètres de haut qui viendront saccager des horizons maritimes, comme entre Noirmoutier et l’île d’Yeu (62 éoliennes de 202 mètres chacune, sur 112 km2, à 11 km des côtes). L’écologiste Antoine Waechter parle, à propos du développement de l’éolien terrestre, d’une escroquerie intellectuelle et politique et dénonce les spéculateurs du vent. Hulot n’est pas l’écolo que l’on croit. »

    La position des nationaux sur cette question  écologique  est assez invariante depuis des décennies. Bruno Gollnisch l’a souvent dit l’écologie, au sens le plus noble du terme, thématique classée  historiquement à droite, voire réactionnaire, mais  préemptée, détournée,  défigurée, manipulée par la gauche et le gauchisme depuis l’après-guerre est,  doit  être au cœur de la réflexion d’un mouvement  national digne de ce nom.

    « Le patrimoine de la France s’incarne dans un peuple et dans une civilisation, mais aussi dans un terroir, avec ses paysages, sa faune et sa flore. Il y a une cohérence complète, un  lien évident entre la défense de l’identité nationale et celle de notre environnement. Les valeurs portées par les nationaux, notre  refus de la marchandisation du monde,  font de nous  par essence des  écologistes véritables, l’écologie étant la défense de l’harmonie entre la nature et l’activité humaine. » Or,  « le matérialisme a détruit cette harmonie avec son cortège de ravages:   pollution de l’air, de l’eau, des sols; une agriculture vouée au productivisme ; des conditions d’élevage effrayantes, le mépris de la vie animale; la transformation de certains villages en cités dortoirs; la volonté d’étendre l’immigration à des communes jusqu’à présent préservées; la remise en cause par Bruxelles des libertés traditionnelles; la construction de grands ensemble sans âme et criminogène par les technocrates et les grands groupes du BTP, bailleurs de fonds des partis du Système ; la prolifération de grandes zones commerciales… »

    Ce modèle-là est lui aussi  rejeté par les Français et est aussi surement voué à l’échec,  à la catastrophe   que l’Europe hos-sol et liberticide voulue par M. Macron.  Encore s’agit-il de pouvoir sauter du train à temps avant le déraillement.  Ou de modifier rapidement l’aiguillage.

    https://gollnisch.com/2018/08/30/voir-plus-loin-lethique-macronienne-et-lesprit-du-mondialisme/

  • La France attaquera la Syrie!

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    Il y a quelque chose de malsain dans le discours du président français prononcé devant les ambassadeurs de France en poste à l’étranger : Emmanuel Macron prépare l’opinion française à l’entrée en guerre de la France en Syrie, ce qui risque de placer la France et le peuple français, jamais consulté sur des dossiers de défense nationale face à la Russie et à l’Iran.

    La première frappe tripartite USA/France/Grande-Bretagne contre le territoire syrien en avril dernier a été un fiasco, la frappe à venir ne devrait pas l’être. D’où le discours du président américaniste de la France qui met en garde contre un possible massacre à Idlib.

    Le président français, Emmanuel Macron, a déclaré aujourd’hui, lors de sa rencontre avec les ambassadeurs français à l’étranger, que « le maintien de Bachar Assad en Syrie serait une erreur funeste ». Adepte de « dans le même temps », il a aussitôt ajouté que la solution en Syrie est « politique » mais elle implique de « renfoncer » la pression sur le gouvernement syrien. Le président est allé même jusqu’à « attendre beaucoup de la Russie et de la Turquie ».

    Ainsi, deux mois après avoir dit que la destitution de Bachar Assad n’était pas une condition préalable à la participation de la France dans les discussions sur la Syrie, le président français, dont le suivisme envers les États-Unis et le président français opère un virage de 180 pourcent, exigeant la tête du président légitime syrien. Et le président d’ajouter : »Il n’appartient pas à la France de désigner les futurs dirigeants de la Syrie (…) mais c’est notre devoir et notre intérêt de nous assurer que le peuple syrien sera bien en situation de le faire ».

     » Ces deux mots « devoir » et « intérêt » sonnent faux dans la bouche du président français qui revendique très clairement le droit d’imposer au peuple syrien un cadre dans lequel il devra faire son choix. La question est la suivante : le peuple français est-il d’accord avec le bellicisme de son président?, s’interroge l’analyste des questions internationale, Mahdi Mohammadi.

    Mais le casus belli français n’en est pas resté là :

    «Quand le régime syrien a bombardé sa population avec des armes chimiques, nous avons frappé plusieurs de ses installations dans la nuit du 13 au 14 avril dernier avec nos alliés britannique et américain, et nous continuerons à agir ainsi en cas d’utilisation avérée de ces armes», a menacé Macron.

    En effet, cette frappe qui a eu lieu dans la nuit du 13 au 14 avril s’est avérée un fiasco total mais la France l’a revendiquée haut et fort.

    Le bombardement a été mené au prétexte d’une opération visant à éliminer les armes chimiques présumées de l’État syrien, suite à l’attaque chimique qui aurait été perpétrée le 7 avril à Douma, près de Damas, selon les pays occidentaux. Cette accusation a été démentie à l’épreuve des faits après que des supposées victimes eurent reconnu avoir été recrutées pour « mettre en scène une attaque chimique » devant les caméras.

    Que fait donc la France?

    Pour la deuxième fois en l’espace de moins d’un an, la « Macronie » s’aligne sur la politique belliciste des États-Unis sans que la France ait le moindre intérêt à en tirer. En avril, les États-Unis n’avaient pas encore décidé de se retirer de l’accord nucléaire iranien et de décréter des sanctions extraterritoriales contre l’Europe en général et contre la France en particulier. C’est pourtant le cas, désormais, et on se demande pourquoi Emmanuel Macron s’obstine à suivre la ligne tracée par Washington en Syrie. En avril, il n’y avait pas encore des taxes douaniers sur l’aluminium et l’acier européen. Mais aujourd’hui ces textes existent bel et bien et font souffrir la France. La France se tire-t-elle dans ses pattes en voulant attaquer la Syrie? le oui l’emporte largement sur le non, ajoute l’analyste.

    En juin dernier, le Président français avait pourtant déclaré qu’il ne faisait plus de la destitution de Assad une condition préalable à la participation de la France dans les discussions sur la Syrie. Le chef d’État français avait alors précisé que le président syrien était un ennemi du peuple syrien, mais pas de la France, expliquant que la priorité de Paris était un engagement total à combattre les groupes terroristes.

    L’analyste iranien estime que le virage français en Syrie est directement lié au récent voyage du conseiller pour la sécurité US, John Bolton à Tel-Aviv et des accords passés avec les Israéliens :  » La France de Macron a dit à plus d’une reprise se sentir engagée par les intérêts d’Israël. L’attaque euro-amériocaine à venir contre la Syrie est en partie destinée à récompenser la défaite israélienne au sud de la Syrie. La France s’en mêle puisqu’elle est fortement influencée par les lobbystes israéliens « .

    source:http://parstoday.com/fr/news/middle_east-i70054-la_france_attaquera_la_syrie!

    https://reseauinternational.net/la-france-attaquera-la-syrie/

  • John McCain : son véritable bilan de guerre au Viêt Nam

    arton51989-632b7.jpgAlors que le sénateur John McCain est tellement présent dans les journaux en raison de ses critiques acerbes des positions de Donald Trump en matière de politique étrangère, quelques personnes ont suggéré de republier mon article datant de quelques années explorant le dossier militaire très incertain de McCain.

    Compte tenu de la couverture médiatique massive des allégations plutôt fantaisistes selon lesquelles les Russes font chanter Trump, peut-être que des ressources similaires devraient être consacrées à enquêter sur un cas de chantage beaucoup plus plausible, et qui est beaucoup mieux documenté.

    Bien que la mémoire sur cette affaire se soit évanouie ces dernières années, pendant la plus grande partie de la seconde moitié du XXe siècle, le nom de Tokyo Rose se classa très haut dans notre conscience populaire, probablement après Benedict Arnold comme synonyme de trahison américaine en temps de guerre. L’histoire d’Iva Ikuko Toguri avait fait les manchettes de la presse nationale. La jeune femme, américano-japonaise, qui a passé ses années de guerre à diffuser de la musique populaire, avec la propagande ennemie, à nos troupes souffrant sur le théâtre de la guerre du Pacifique, était bien connue de tous, et son procès pour trahison, après la guerre, l’a dépouillée de sa citoyenneté et l’a condamnée à une longue peine de prison.

    Les faits historiques réels semblent avoir été quelque peu différents du mythe populaire. Au lieu d’une seule Tokyo Rose, il y avait en fait plusieurs femmes diffusant ce genre d’émissions − Mme Toguri n’étant même pas la première − et leur identité a fusionné dans l’esprit des combattants GI’s américains. Mais elle fut la seule jugée et punie, bien que son propre commentaire à la radio ait été presque totalement inoffensif. La situation d’une jeune femme, née en Amérique, prise au piège, seule, lors d’une visite familiale, derrière les lignes ennemies, par l’éclatement soudain de la guerre était évidemment difficile, et accepter, en désespoir de cause, un emploi comme annonceur de musique en langue anglaise ne correspond pas à la notion habituelle de trahison. En effet, après sa libération de la prison fédérale, elle a évité la déportation et a passé le reste de sa vie à gérer tranquillement une épicerie à Chicago. Le Japon d’après-guerre devint bientôt notre allié le plus proche en Asie et, une fois les passions de la guerre suffisamment refroidies, elle fut finalement graciée par le président Gerald Ford et sa nationalité américaine fut rétablie.

    Malgré ces circonstances extrêmement atténuantes, dans le cas particulier de Mme Toguri, nous ne devrions pas être trop surpris par le dur traitement imposé par l’Amérique à la pauvre femme à son retour du Japon. Tous les pays normaux punissent impitoyablement la trahison et les traîtres, et ces termes sont souvent définis de façon extensive à la suite d’une guerre acharnée. Peut-être que dans un monde à l’envers, genre Monty Python, les traîtres de guerre recevraient des médailles, seraient fêtés à la Maison-Blanche, et deviendraient des héros nationaux, mais tout pays réel qui permettrait une telle folie prendrait sûrement le chemin de l’oubli. Si l’action de Tokyo Rose, en temps de guerre, l’avait lancée dans une carrière politique américaine réussie et lui avait presque donné la présidence, nous saurions avec certitude qu’un ennemi cruel avait dopé notre approvisionnement national en eau avec du LSD.

    L’ascension politique du sénateur John McCain m’amène à soupçonner que dans les années 1970, un ennemi cruel avait dopé notre approvisionnement national en eau avec du LSD.

    Mes premiers souvenirs de John McCain sont vagues. Je pense qu’il est apparu pour la première fois au milieu des années 1980, peut-être après 1982 lorsqu’il a remporté un siège au Congrès en Arizona ou plus probablement lorsqu’il a été élu au sénat en 1986 prenant le siège du sénateur américain Barry Goldwater, l’icône démocrate prenant sa retraite.

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  • Censure sur le moteur de recherche Google ?

    Dans une série de tweets, le président américain a déclaré que les résultats d'une recherche sur le célèbre moteur de recherche à partir des termes «Trump» et «actualités» faisaient apparaître uniquement les médias qu'il désigne sous le nom de «fake news» et non les sites conservateurs.

    «Ils TRUQUENT les résultats, pour moi et les autres». «C'est une situation très grave - qui sera corrigée!».

    «96% des résultats [...] proviennent de médias nationaux de gauche, très dangereux». «Google et d'autres suppriment les voix des conservateurs et cachent les informations et les nouvelles qui sont bonnes. Ils contrôlent ce que nous pouvons et ne pouvons pas voir.»

    Une déclaration qui semble confirmée ici et  (en anglais):

    Capture d’écran 2018-08-29 à 07.34.16

    Google a démenti ces accusations de partialité politique en soulignant que son moteur de recherche «ne classe jamais les résultats de recherche pour manipuler une opinion politique».

    «La recherche n'est pas utilisée pour défendre un programme politique et nous n'orientons pas nos résultats en fonction d'une quelconque idéologie politique». «Notre but est de nous assurer que les utilisateurs qui tapent une recherche dans la fenêtre Google Recherche reçoivent le résultat le plus pertinent en quelques secondes».

    «Google, Twitter et Facebook naviguent vraiment en eaux très troubles et ils doivent faire attention», a déclaré Donald Trump.

    «C'est injuste pour une grande partie de la population». «Vous ne pouvez pas faire ça aux gens, vous ne pouvez pas!». «Nous recevons des milliers et des milliers de plaintes».

    De leurs côtés, Twitter continue sa censure, tout comme Youtube.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Planned Parenthood a dissimulé le viol d’adolescentes

    6a00d83451619c69e2022ad3ac6606200b-250wi.pngLe Planning familial Américain (Planned Parenthoodest au cœur d’un scandale, avec l’argent public et le silence des institutions :

    "Mais les pro-vie Américains sont tenaces. Suite à une campagne intense de Live Action, mené par l’excellente Lila Rose, des Républicains se sont mobilisés. En juin dernier, 56 membres du Congrès se sont réunis devant le Capitole des États-Unis pour attirer l’attention sur le scandale et exiger que le Département de la santé et des services sociaux enquête sur les actions de Planned Parenthood.

    Cela fait suite à la campagne d’une grande organisation pro-vie Américaine, Live Action, qui a lancé une grande série de vidéos détaillant comment le planning familial US a permis, par son silence, de nombreuses agressions sexuelles.

    La série « Aiding Abusers » s’appuie sur des reportages, des témoignages oculaires et des vidéos d’infiltration pour exposer la volonté des employés de Planned Parenthood à avorter des filles de douze ans sans signaler de viol ou d’infraction à la loi. Cela permet aux hommes qui ont amené les filles pour les rendez-vous de les ramener à la maison et de continuer à les maltraiter.

    La dernière vidéo, « Prosecution« , est centrée sur une interview de Brian Hurley, un avocat qui a porté deux affaires civiles contre Planned Parenthood Southwest Ohio pour avoir prétendument dissimulé le viol d’adolescentes. Hurley révèle que la principale tactique de l’organisation consistait à éviter de tenter de mener des poursuites, « trop longues et coûteuses« .

    « Le Planning familial a activement participé à des activités illégales, en vendant les parties du corps des bébés avortés en échange de profit« , a déclaré Abby Johnson, ex-défenseur de l’avortement et directrice du Planning familial, qui milite désormais pour la vie. « Ils ont menti aux femmes pour lesquelles ils prétendent se battre. Je l’ai vu de première main quand je travaillais pour le géant de l’avortement et pourtant, ils réussissent toujours à obtenir plus d’un demi-milliard de dollars par an en recettes fiscales. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le krach, tout le monde y pense sans en parler de peur de déclencher les foudres divines.

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    Marc Rousset

    Le krach, tout le monde y pense sans en parler de peur de déclencher les foudres divines. Tel le furet du bois joli, certains le voient poindre à la moindre alerte sur la devise turque, sur les fausses déclarations officielles rassurantes au sujet de la Grèce, à la moindre hausse des taux d’intérêt et du « spread » italien par rapport au taux allemand. Ce n’est pas pour rien, non plus, que les autorités chinoises obligent le groupe HNA à se délester de 50 milliards de dollars d’achats d’actifs à l’étranger ces dernières années (Pierre et Vacances, Hilton, Radisson…) tout comme les groupes Fosun (Club Med), Wanda (immobilier, parcs d’attractions) et Anhang (assurances).

    Le krach d’un système mondial surendetté repoussant sans cesse les faillites à venir en empruntant davantage, en maintenant artificiellement les taux d’intérêt à la baisse (pressions actuelles de Trump sur la Fed) et en pratiquant une politique monétaire laxiste (USA, BCE, Japon, Grande-Bretagne), aura bien lieu, mais où et quand dans un premier temps ? Personne ne le sait… Il est, par contre, possible d’imaginer ce qui se passera après le krach.

    Nous vivons actuellement les derniers moments du système du dollar roi qui s’est installé sournoisement, diamétralement opposé au système sécurisant et conservateur de l’étalon-or qui a duré jusqu’en 1914, malheureusement enterré suite aux nécessités de financer les dépenses exponentielles de la Première Guerre mondiale alors en cours.

    De 1914 à 1944, l’or s’est moins déplacé physiquement, mais il gardait malgré tout son rôle salvateur d’étalon puisque, par exemple, la Réserve fédérale américaine était tenue de garder dans ses coffres une quantité d’or correspondant au minimum à 40 % de la monnaie en circulation.

    En 1945, à Bretton Woods, les États-Unis ont imposé le dollar pour remplacer partiellement l’étalon-or en partant du principe que le monde entier avait soif de dollars et en décidant d’abaisser à 25 % au lieu de 40 % la couverture or physique détenue à Fort Knox. En 1965 et 1968, l’Amérique a décidé de se libérer de la contrainte minimum or des 25 %. Et, en 1971 – ce qui a été le pot aux roses et le début du dérèglement du système financier international, dont nous voyons aujourd’hui les catastrophiques conséquences -, Nixon décida tout simplement, unilatéralement, du fait du prince, que le dollar ne serait plus convertible en or, ce qui revenait à remplacer totalement l’étalon-or par l’étalon-dollar dans le monde.

    Est apparu alors un système où les capitaux du monde entier étaient appelés à circuler librement avec des taux de change flottant au jour le jour entre les monnaies, la devise de référence principale étant le dollar, mais sans aucun arrimage à un étalon universel et physique.

    Tant que le krach et la catastrophe à venir n’ont pas encore eu lieu, personne ne se hasarde à demander, bien évidemment, le rétablissement immédiat de l’étalon-or, conscient que cela briserait tout net, immédiatement, la croissance comme une subite douche glacée après un bain laxiste brûlant, avec une terrible récession à la clé.

    En revanche, après le krach, une fois les agents économiques ruinés, il faudra tout reconstruire de zéro. Il est alors très probable que nous vivrons dans un monde sans libre-échange mondialiste, avec des zones autarciques protectionnistes autocentrées et un commerce international réduit au strict échange des produits indispensables à l’importation car non présents ou impossibles à produire dans une zone autarcique (USA, Chine, Russie, Europe de l’Ouest, Japon).

    Apparaîtront, alors, quelques grandes devises internationales correspondant à chaque zone autarcique convertibles en or (euro, yuan, dollar, yen). Ce jour-là, les partisans de l’or, les « cocus » du système actuel ne profitant pas des bulles boursières et immobilières, tiendront leur revanche avec la montée à la verticale du prix de l’or, ce qui fut le cas de l’Allemagne en 1923, mais ce sera une bien maigre et triste consolation au milieu des ruines épouvantables d’un système économique explosé, de la misère sociale, du malheur humain, avec de gigantesques et imprévisibles conséquences politiques et géopolitiques à la clé.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’immigration de peuplement conduit à une catastrophe civilisationnelle

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    Article initialement paru le 25 juin dernier. L’oligarchie ne cesse de nous vanter les avantages de l’immigration et les mérites des immigrés. M. Macron n’a-t-il pas souligné leurs « qualifications remarquables » et la nécessité d’en accueillir davantage ? Chacun sait pourtant que la réalité est tout autre. Car l’immigration est massive, elle ne s’assimile pas, elle provoque un éclatement territorial et culturel et mène à l’islamisation de notre pays. Bref, elle change la France et conduit les Français à ne plus se sentir chez eux dans leur propre pays. L’immigration de peuplement est peut-être une chance pour les immigrés, mais c’est une catastrophe pour la France et pour l’Europe.

    L’immigration a changé brutalement la France

    L’immigration de peuplement a commencé dans les années soixante-dix lorsque le grand patronat a fait pression sur le gouvernement pour autoriser le regroupement familial afin d’obtenir une main-d’œuvre abondante et peu exigeante. Mais, en ouvrant ainsi les portes à l’immigration de peuplement, le Système n’a pas rendu la France plus prospère, plus forte ou plus jeune, il a seulement changé la France. Changé ses mœurs, changé sa physionomie, changé sa population et changé sa religion. Il suffit de parcourir les rues de nos villes ou de regarder des photographies des années soixante-dix pour s’en rendre compte. Et seuls ceux qui n’aiment pas la France, ceux qui la réduisent à une idéologie politique ou à une ligne de compte, peuvent s’en réjouir. Pour les autres, il s’agit d’un bouleversement traumatisant et d’une grande brutalité, car c’est en moins de trente ans que la France a changé, un phénomène sans précédent dans l’histoire moderne.

    L’importance de la présence immigrée est occultée ou minimisée

    Or, le phénomène se poursuit à un rythme extrêmement élevé. Aujourd’hui, la pression migratoire est si forte qu’on ne sait pas exactement combien d’immigrants ont fait souche en France et combien y séjournent actuellement. Selon l’Insee, 25% des bébés nés en 2016 dans notre pays avaient au moins un parent né à l’étranger.
    Mais les chiffres officiels sont faussés, d’abord en raison de l’interdiction des statistiques ethniques, ensuite à cause de l’immigration irrégulière, laquelle a connu une progression spectaculaire depuis 2015 avec ce que l’on nomme la « crise des migrants ». Les données sur l’immigration sont également truquées par l’effet du droit du sol et des naturalisations massives qui ont ainsi fabriqué des Français de papier à la chaîne, lesquels n’ont aucun lien réel avec notre pays, sinon leur présence sur notre territoire.
    La manipulation est d’ailleurs poussée si loin que les membres de l’oligarchie et leurs soutiens osent prétendre sans rire que l’immigration n’augmente pas. Il est vrai qu’ils n’utilisent pas les transports urbains, qu’ils ne vivent pas en banlieue et ne mettent pas leurs enfants dans les écoles publiques ! Pour autant, ils ne peuvent ignorer les faits et, s’ils se livrent à un tel déni de réalité, c’est pour minimiser leur propre responsabilité dans la catastrophe.

    L’assimilation est impossible, le Vivre ensemble une fiction

    En dépit de l’occultation des chiffres, force est en effet de constater qu’en raison de sa masse, l’immigration de peuplement a empêché toute assimilation. De fait, les immigrants sont trop nombreux pour pouvoir se diluer dans la population, et cela d’autant plus qu’ils se concentrent dans les zones urbaines. Les technologies modernes de communication leur permettent par ailleurs d’entretenir des liens étroits avec leur pays d’origine, ce qui les aident à conserver leur identité et donc à ignorer celle du pays qui les accueille. L’immigration de masse a dès lors débouché sur le communautarisme, un phénomène que l’on retrouve pour les mêmes raisons dans tous les pays occidentaux.
    Face à cette situation, l’oligarchie a inventé le concept du « Vivre ensemble » et en vante assidument les vertus. Mais ce mot d’ordre ne correspond à aucune réalité concrète : les autochtones refusent de vivre avec les migrants selon un phénomène déjà connu dans les pays anglo-saxons sous le nom de white flight. Quant aux migrants, ils veulent seulement vivre en France comme ils vivent chez eux, c’est-à-dire selon leur culture africaine ou leur religion musulmane. Certains « jeunes » des banlieues de l’immigration ont même repris à leur compte le slogan identitaire « on est chez nous », pour bien montrer qu’ils entendent se constituer en société différente de celle de la France, une France que certains font d’ailleurs profession de vouloir « niquer » au son du rap.

    L’immigration provoque un éclatement territorial et culturel

    Dès lors, ce sont des territoires entiers qui sortent de l’orbite nationale pour abriter des populations, une culture et des normes qui n’ont plus rien de français. On recenserait officiellement dans notre pays mille trois cents « quartiers sensibles », plus de six cents « zones de non-droit » et près d’une centaine de Molenbeek (par référence à la banlieue bruxelloise pépinière de terroristes islamistes). L’actualité a en outre montré qu’il fallait y ajouter les « no-go zones » de certaines villes, où les femmes non voilées risquent le harcèlement. Autant de territoires où, contrairement à l’expression trompeuse de « zones de non-droit », s’impose en réalité un droit clanique, mafieux et religieux, en tout cas une autre civilisation que celle des Français.
    L’immigration de peuplement a ainsi multiplié la création d‘enclaves étrangères qui viennent miter le territoire national avec une logique de sécession de fait. Un processus que la « politique de la ville », la coûteuse panacée du Système, n’a pas été capable d’enrayer.

    L’immigration a entraîné l’islamisation qui a apporté l’islamisme

    Les conséquences dramatiques de cette immigration de peuplement ne se limitent cependant pas à cet éclatement territorial et culturel, car, comme le rappelle la démographe Michèle Tribalat, l’immigration de peuplement a entrainé l’islamisation. Et l’islamisation a apporté l’islamisme et sa haine de l’Occident. La catastrophe migratoire est donc d’ampleur géométrique.
    Avant les vagues d’immigration de la fin du XXe siècle, l’islam restait confidentiel en France comme en Europe (à l’exception des Balkans) et ne posait aucun problème particulier. Aujourd’hui, il serait en passe de devenir la seconde religion dans notre pays et, en raison de sa forte natalité, l’importance de la population musulmane ne cesse de croître indépendamment même de l’immigration. Aujourd’hui, en Seine-Saint-Denis, la majorité des habitants est ainsi de religion musulmane.
    Or, l’islam n’est pas une religion comme les autres. Non seulement elle est étrangère à notre culture, mais elle impose un mode vie bien particulier. La pression pour que la société française se conforme aux commandements de l’islam ne cesse donc d’augmenter et de modifier en conséquence la physionomie de notre pays ainsi confronté à un antagonisme civilisationnel de grande ampleur.

    Les Français de plus en plus indésirables en France

    Comment dès lors s’étonner que nos concitoyens soient de plus en plus nombreux à exprimer leur inquiétude de ne plus se sentir chez eux ? Les sondages en témoignent mais les oligarques méprisent ce sentiment et y voient la marque infâmante du « racisme ». Il s’agit pourtant des conséquences fatales de la catastrophe migratoire qu’ils ont délibérément provoquée. Un désastre dont ils semblent se satisfaire puisque, loin de chercher à l’enrayer, ils consacrent tous leurs efforts à le faire accepter de gré ou de force par les Français.
    En tout cas, tel est le sens des campagnes incessantes qu’ils lancent pour une meilleure représentation des « minorités » ethniques et pour la réduction symétrique de la place réservée aux personnes « perçues comme blanches » ( pour reprendre la terminologie officielle). Tel est aussi l’objet de la mise en place d’une discrimination prétendument « positive » au seul profit des personnes issues de l’immigration. À cela s’ajoute le fait que les familles immigrées, ayant plus d’enfants et présentant un taux d’activité inférieur au reste de la population, se trouvent de facto prioritaires dans l’octroi des prestations sociales. Autant de réalités qui renforcent les Français d’origine dans la conviction qu’ils ne sont plus les bienvenus dans leur propre pays et qu’ils pourraient bien être « remplacés » par d’autres.
    Une catastrophe civilisationnelle qu’il est encore possible d’empêcher mais plus pour longtemps.

    Ligne droite 25/08/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Alastair Rae via wikimedia cc

    https://www.polemia.com/immigration-peuplement-catastrophe-civilisationnelle-rediff/

  • Un coupe-gorge nommé France – Journal du lundi 27 août 2018

    Insécurité / Un coupe-gorge nommé France
    C’est la bêbête qui monte qui monte ! Les violences gratuites n’en finissent plus d’augmenter. Avec plus d’un millier par jour, l’insécurité apparaît de plus en plus comme un fléau impossible à juguler…

    Économie / La rançon de la retraite

    International / Le belliciste Mc Cain a enfin rendu les armes
    L’ancien candidat à la présidence américaine John McCain est mort… celui qui avait affronté Barack Obama était le symbole d’un parti républicain belliciste et aligné sur une vision du monde proche des néoconservateurs.

    Actualité en bref

    Lien dailymotion


    Lien rutube

    https://www.tvlibertes.com/

  • Peine de mort pour les pédophiles en Inde : deux violeurs d’une fillette de huit ans seront exécutés

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    Inde – Loin des convenances laxistes de l’Europe, deux hommes de 20 et 24 ans ont été condamnés a mort pour le viol collectif d’une fillette de 8 ans, qui a suscité une vive émotion dans le pays et entraîné des manifestations de colère.

    Le jugement est l’un des premiers à être prononcé en vertu d’une nouvelle loi permettant l’accélération des procédures judiciaires et de la peine de mort pour les viols d’enfants. Au moment des faits il y a deux mois, des foules de manifestants avaient défilé aux cris de « mort aux violeurs ! » après l’agression de la fillette, qui est toujours à l’hôpital dans un état critique. Les violeurs l’avaient attendue devant son école à Mandsaur, dans l’État de Madhya Pradesh (centre), pour l’emmener dans un endroit isolé, la violer et lacérer son cou, la laissant pour morte. Elle a eu la vie sauve grâce à des habitants qui l’ont conduite d’urgence à l’hôpital.

    Suite aux vives protestations autour de cas précédents, l’Inde a rendu le viol d’enfant jusqu’à l’âge de huit ans punissable de la peine de mort. La dernière exécution pour viol dans le pays date d’il y a 14 ans à Kolkata, dans l’est de l’Inde. Dhananjay Chatterjee, gardien d’un bâtiment, avait été pendu pour le viol et le meurtre d’une jeune fille de 18 ans en 1990.

    Près de 40.000 plaintes pour violences sexuelles ont été déposées en 2016, certaines associations soupçonnant que ce chiffre ne soit que la partie émergée de l’iceberg. Le viol collectif et meurtre d’une étudiante dans un bus de Delhi en 2012 avait entraîné des manifestations dans tout le pays et mis en évidence l’omniprésence des violences sexuelles en Inde.

    http://www.medias-presse.info/peine-de-mort-pour-les-pedophiles-en-inde-deux-violeurs-dune-fillette-de-huit-ans-seront-executes/97045/