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international - Page 734

  • Alep. La grande désinformation des médias autour des « massacres » et autres « atrocités »

    Yann Vallérie Breizh Info cliquez ici

    Les troupes de Bachar El Assad et leurs alliés vient de remporter une victoire majeure en libérant Alep, deuxième ville la plus peuplée de Syrie, des islamistes. Une libération rendue possible grâce à l’aide apportée par la Russie et l’Iran, tandis que le rôle joué par les puissances occidentales (politiques et médiatiques) – France en tête – semblait à ce jour toujours aussi ambigu.

    Le 13 décembre, dans un article du Huffington Post, qui titrait « Les trois types de messages d’Alep qui montrent que des civils sont exécutés », le lecteur avait l’impression que les forces de Bachar el Assad s’étaient livrées à un massacre en libérant Alep. Idem pour France 24 avec « Alep : le dernier appel des condamnés » ou L’Obs, toujours dans la mesure : « Alep : « c’est Srebrenica qui parle. Impuissance » ».

    Le gouvernement français – qui a armé, épaulé les rebelles islamistes en Syrie depuis 2011 et notamment Al Nosra – est immédiatement monté au créneau : « Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, a indiqué dans un communiqué publié mardi 12 décembre, que ses services disposaient « de nombreuses allégations d’exactions commises par les forces favorables au régime de Bachar Al Assad » à Alep, en Syrie. » pouvait-on lire ici. « De nombreuses allégations d’exactions (…) nous parviennent : assassinats de sang-froid de familles entières au motif qu’elles seraient proches de l’opposition, exécutions sommaires, notamment de femmes et d’enfants, personnes brûlées vives dans leurs maisons, poursuite du ciblage systématique des hôpitaux, de leur personnel et de leurs patients », détaille Jean-Marc Ayrault. Pour le ministre des Affaires étrangères, « de telles atrocités révoltent les consciences. Plus que jamais, il y a urgence à faire cesser les hostilités à Alep. Les soutiens du régime, à commencer par la Russie, ne peuvent pas laisser faire et admettre cette logique de vengeance et de terreur systématique sans prendre le risque d’en être complices » conclut Jean-Marc Ayrault.

    Bernard Cazeneuve, Premier ministre au bilan contesté en tant que ministre de l’Intérieur en France, n’a pas eu peur de déclarer : « Ces atrocités qui peuvent être constitutives de crimes de guerre, voire de crimes contre l’humanité, sont commises avec un cynisme et une inhumanité inouïs. Jamais nous n’accepterons, au nom d’un prétendu réalisme, de nous allier aujourd’hui avec les responsables du martyre d’Alep. » en pointant du doigt le régime syrien en place.

    Des déclarations qui interviennent alors que même le secrétaire général de l’ONU, Baan Ki Moon, via Stéphane Dujarric, son porte-parole, a expliqué que : « les Nations unies ne peuvent vérifier de manière indépendante ces informations » à propos des massacres tout en rappelant que « Les Nations unies soulignent l’obligation pour toutes les parties sur le terrain de protéger les civils en se conformant aux règles humanitaires internationales. C’est en particulier la responsabilité du gouvernement syrien et de ses alliés ».

    Une journaliste démonte en deux minutes les mensonges médiatiques

    Rupert Colville, porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme, expliquait lui dans la foulée – et malgré les interrogation officielle de l’ONU – que l’exécution de 82 civils avait eu lieu et « se baser sur des témoignages concordants et des sources fiables » sans rapporter la preuve de ce qu’il affirmait.

    Comme depuis 2011 les fameuses « sources » sont en réalité l’Observatoire Syrien des droits de l’homme (une officine tenue par une personne d’obédience salafiste basée en Angleterre depuis le début du conflit) ou des militants anti régime d’Assad, qui n’ont cessé de désinformer sur ce qui se passait réellement en Syrie. A les entendre depuis 2011 la population aurait été fondamentalement opposée à Bachar El Assad, ce qui n’est absolument pas, dans les faits, prouvé.

    « Lors d’une conférence de presse ayant pour thème «Contre la propagande et le changement de régime en Syrie», dans le cadre d’une rencontre de l’ONU, la journaliste canadienne Eva Bartlett est interrogée par son collègue norvégien du journal Aftenposten. Il cherchait à comprendre comment elle pouvait accuser les médias grand public de mensonges sur la situation en Syrie. Deux minutes ont suffi à Eva Bartlett pour faire voler en éclats le mythe de la crédibilité des soi-disant «médias de qualité». peut on lire sur le site Russia Today cliquez là.

    Les journalistes de Breizh-info qui ont pu voyager en Syrie durant ces années – à la différence de la plupart des médias français – s’en sont d’ailleurs parfaitement rendus compte . (voir les épisodes de notre reportage cliquez ici).

    Alors que s’est-il passé réellement à Alep ? Difficile de le savoir, car comme dans n’importe quelle guerre, chacun joue sa partition ; ainsi, le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov. a déclaré que « des équipes de tournage spéciales des terroristes ont filmé les vidéos dénonçant les prétendus bombardements russes , exécutions et autres atrocités à Alep ». Pas vraiment le même langage que celui de M. Cazeneuve, le poids politique de la France au Proche-Orient par rapport à la Russie étant équivalent à celui d’un nain.

    M. Konachenkov accuse par ailleurs : « Tous les appels dramatiques à protéger les 250 000 civils encerclés à Alep, qui ont été émis par certains représentants des autorités britanniques et leurs collègues français, ne sont que des propos russophobes . Nos collègues occidentaux et les organisations internationales ont laissé sans réponse les appels de Moscou à envoyer l’aide humanitaire qu’ils avaient promise aux civils ayant échappé aux terroristes à Alep .Or personne à Londres, à Paris, à Berlin ou à Washington n’a jusqu’ici jamais craint d’envoyer l’aide dans les quartiers est d’Alep alors qu’ils étaient contrôlés par les terroristes ».

    « influencer l’opinion publique plutôt qu’informer »

    Pour Christian Harbulot, Directeur de l’École de Guerre Économique (EGE), la couverture médiatique de la libération d’Alep en France serait une une sorte de « danse de Saint-Guy » des journalistes français : « Nous assistons hélas à un concert de protestations qui relèvent plus de l’intention d’influencer l’opinion publique que le devoir d’informer l’opinion publique française.Pour un certain nombre d’acteurs dans le monde occidental, une victoire de l’armée syrienne appuyée par la Russie à Alep est une défaite en termes d’image. Cela remet en cause toute une procédure diplomatique qui a été suivie depuis un certain nombre d’années, à laquelle la France a participé et qui consistait à mettre en priorité le renversement du régime d’Assad quitte à s’allier avec différentes forces qui hélas s’avèrent plus proches du terrorisme que démocratiques.»

    Thierry Mariani, proche de François Fillon et député Les Républicains, a lui aussi un tout autre discours que celui du gouvernement français – dont la diplomatie à l’International depuis 5 ans est à l’image de la décision de François Hollande de ne pas se représenter . «Ceux qui combattent le terrorisme devraient se féliciter de la reprise d’Alep. On passe notre temps à dire que nous sommes en guerre contre le terrorisme. Alors nous devrions nous féliciter du recul des terroristes. C’est un risque en moins pour nous».» a-t-il déclaré, prenant des précautions par rapport aux rumeurs de massacres à Alep : «On n’en sait rien, la première victime d’une guerre, c’est la vérité».

    Des propos tempérés contrastant largement avec l’hystérie constatée sur les réseaux sociaux, dernier bastion (pour avoir un écho international) des opposants à Bachar El Assad, parfois alliés aux islamistes les plus sanguinaires, et « sources » privilégiées, depuis 2011, de médias français s’étant largement alignés sur ce qui relève presque de la haine anti Assad de MM. Hollande, Fabius, Ayrault …Rappelons qu’en 2012, Laurent Fabius, alors ministre des Affaires étrangères et chef de la diplomatie française, avait déclaré que « Bachar el Assad ne mériterait pas d’être sur terre ». Quatre années après, et alors que la victoire en Syrie de M. Assad se profile, ces mots sonnent aujourd’hui comme une faute grave, politique et diplomatique.

    Enfin par ailleurs, un des principaux concernés, Bachar el Asssad – dont les propos sont systématiquement passés sous silence par la presse subventionnée en France, a déclaré lors d’une interview donnée à Russia Today : «Si nous libérons Alep, les politiques occidentaux et les médias mainstream s’inquiéteront alors du sort des civils, alors qu’ils ne s’en préoccupent pas lorsque la situation inverse se produit, lorsque les terroristes tuent des civils et s’emparent de Palmyre.»

    La cité antique est en effet largement menacée par les islamistes aujourd’hui.

    Pour conclure, il suffit d’observer le traitement médiatique entre la bataille de Mossoul, cité elle aussi entièrement ravagée par les frappes de la coalition occidentale contre Daesh (avec son lot de civils tués) et la bataille d’Alep – tout comme les enjeux diplomatiques différents, pour s’interroger, lourdement, sur les manipulations visant une nouvelle fois l’opinion publique dans cette guerre en Syrie.

  • Les Brigandes au Donbass : Reportage sur une guerre pour la Liberté (R.B. VI - Décembre 2016)

  • Poutine disposé à rencontrer Trump

    Vladimir Poutine se dit prêt à rencontrer Donald Trump à tout moment mais précise aujourd'hui dans un entretien accordé à des médias japonais qu'il serait préférable que le président élu des Etats-Unis forme d'abord son administration.

    Le président russe et son futur homologue américain se sont déjà entretenus par téléphone depuis l'élection de Trump. Leurs équipes ont fait savoir qu'ils s'étaient engagés à dialoguer et à travailler à une "collaboration constructive".

    http://www.bvoltaire.fr/actu/poutine-dispose-a-rencontrer-trump

  • Reportage avec les forces spéciales irakiennes au coeur de la bataille de Mossoul

    C’est un document exceptionnel : les équipes de France 24 ont pu filmer un assaut donné par les forces spéciales irakiennes contre les jihadistes de l’organisation État islamique (EI) pour reprendre le quartier d’al-Tamim, dans l’est de Mossoul.

    La bataille de Mossoul ne fait que commencer.

    http://www.contre-info.com/

  • Journal du mardi 13 décembre 2016 - International / Alep libérée, Palmyre perdue !

  • ALEP LIBÉRÉE PAR L'ARMÉE SYRIENNE DU PRÉSIDENT BACHAR

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    Selon nos informations, les derniers ilots terroristes d'Alep, soutenus par les mondialistes anéricano-européo-saoudiens, ont été libérés cette nuit par l'armée syrienne fidèle au Président Bachar El-Assad. Dans toute la ville les scènes de liesses populaires se multiplient pour acclamer les libérateurs.

    Cette victoire que nous saluons est un vrai camouflé pour l'idéologie dominante et ses larbins parmi lesquels, une fois de plus hélas, la France s'est piteusement rangée...

    Un jour viendra où les nations européennes devront remercier la Syrie baasiste pour sa détermination et son courage face à l'ennemi islamiste.

    Synthèse nationale

    Lire Pourquoi la Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Alep libérée de la vermine islamiste

    Après 4 années et demi de combats acharnés, Damas vient d’annoncer la reprise complète de la ville d’Alep aux rebelles islamistes. Les habitants de la partie ouest d’Alep laissent éclater leur joie…

    http://www.contre-info.com/

  • La campagne d’Hillary Clinton a été la plus chère de l’histoire américaine

    Une somme colossale, pour un échec cuisant. La campagne présidentielle de la candidate démocrate Hillary Clinton a coûté la somme record de 1,2 milliard de dollars, rapporte le New York Post, relayé par RTL, soit le double de celle de Donald Trump, qui a dépensé 600 millions pour arriver jusqu’à la victoire.

    Ce chiffre impressionnant, qui additionne toutes les dépenses du camp démocrate dans cette course à la Maison Blanche, en fait la campagne électorale la plus coûteuse de l’histoire politique des Etats-Unis.

    Seuls 839.000 dollars restants 

    Le New York Post précise que la campagne Clinton a dépensé 131,8 millions de dollars (près de 124 millions d’euros), pendant les dernières semaines avant l’élection, se retrouvant avec 839.000 dollars restants entre les mains, au 28 novembre. Le magnat de l’immobilier, lui, a dépensé 94.5 millions de dollars entre les 20 octobre et 28 novembre, pour terminer avec 7,6 millions restants.

    Fait historique dans une campagne américaine: le milliardaire a investi 66 millions de dollars issus de ses deniers personnels dans cette campagne.

    Source

    http://www.contre-info.com/la-campagne-dhillary-clinton-a-ete-la-plus-chere-de-lhistoire-americaine

     

  • La grande tricherie mise à découvert à Alep

    Lorsque les terroristes se révèlent être des mercenaires à la solde de la coalition internationale, la lutte contre les terroristes prend un tout autre sens.

    Déjà, certains milieux, à l’affût d’informations de sources crédibles, avaient dénoncé des liens directs de Washington et de la Coalition internationale avec les terroristes. Ces informations, prises au sérieux par beaucoup d’autres intervenants, avaient amplement circulé sur le Net, mais de là à convaincre le grand public qu’il en était bien ainsi, ce n’était pas encore chose faite.

    Ce qui se passe présentement à Alep, ville de 1 693 603 habitants, met à découvert cette grande mise en scène d’une coalition internationale qui se proclame contre le terrorisme tout en l’alimentant, le soutenant et l’orientant militairement.

    Les derniers évènements de la confrontation des forces gouvernementales syriennes et de ses alliés contre ces terroristes qui utilisent la population locale comme bouclier humain mettent en évidence ces liens étroits qui existent entre ces terroristes et Washington.

    De fait, pendant que l’armée arabe syrienne et ses alliés combattent fermement ces terroristes, Washington et la presse qui en est l’écho transforment ces combats contre ces terroristes en combats contre les civils et le peuple syrien. Voici ce qu’écrit le journaliste – analyste, Bill Van Auken, sous le titre Le New York Times exprime la fureur de Washington sur la débâcle en Syrie.

    « Les troupes syriennes, soutenues par les combattants du Hezbollah du Liban et les milices chiites d’Irak, ont réussi à envahir près de la moitié de la partie orientale d’Alep, que les « rebelles », une coalition des milices dominée par la filiale syrienne d’Al-Qaïda, le Front al-Nosra, avait tenue pendant plus de quatre ans. »

    La consolidation du contrôle gouvernemental sur l’ensemble d’Alep, désormais presque universellement reconnue comme inévitable, priverait ces forces, soutenues par les Américains de leur dernier bastion urbain, et placerait tous les principaux centres de population de la Syrie sous le contrôle du gouvernement.

    Pour le Times, c’est vraiment un choc. Depuis que le président Barack Obama a déclaré en 2011 que« Assad doit partir », et que la CIA et le Pentagone, travaillant avec les dictatures monarchiques les plus réactionnaires au Moyen-Orient – Arabie Saoudite, Qatar, Émirats Arabes Unis – afin de fournir des armes et de l’argent pour soutenir les mercenaires djihadistes, le Times, « le journal de référence » des États-Unis, a fonctionné comme le principal propagandiste pour un changement de régime en Syrie.

    À Alep-Est, tandis que les combattants islamistes reculent, les civils-otages peuvent enfin fuir les violents combats et rejoindre des camps d’accueil… mis en place par le «régime». Cherchez l’erreur. Mais les médias meanstream, eux, persistent.

    Autant les médias se portaient à la défense de ces pauvres civils, cibles perpétuelles des attaques des forces armées gouvernementales, autant leur libération et hébergement dans des milieux sécurisés par ce même gouvernement est passé sous-silence. Ce sont plutôt ces pauvres terroristes qui les préoccupent, lesquels doivent laisser la place aux forces légitimes du gouvernement syrien. Tout indique que Assad, contrairement à ce dont les forces de la coalition internationale rêvaient, ne partira pas. Tout indique également que le peuple, enfin libéré de ces terroristes, dans cette région d’Alep, s’en réjouit pleinement.

    Le vent vient de tourner et ces terroristes qui faisaient la pluie et le beau temps dans cette partie d’Alep, se retrouvent pris au piège d’une coalition internationale de l’armée gouvernementale syrienne qui avance d’un pas ferme vers la reprise des espaces occupées par ces terroristes. Ce qui devient une bonne nouvelle pour ceux qui souhaitent la libération de cette partie d’Alep, sous contrôle des terroristes, devient une mauvaise nouvelle pour ceux qui se présentent pour les défenseurs des populations civiles tout en soutenant ces terroristes confrontés à une défaite inévitable. Une fois que nous savons que ces terroristes sont des leurs au service de la cause visant le départ du président Bachar Al Assad, nous pouvons comprendre qu’ils souhaitent les sauver de l’extermination qui les attend.

    C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre le représentant des Nations Unies, Staffan de Mistura, qui exhorte les combattants d’Al-Nosra à quitter au plus vite Alep. Il faut également comprendre dans ce même contexte les dernières propositions de Washington présentées à la Russie pour faciliter l’évacuation des terroristes d’Alep.

    « «Jusqu’à maintenant, tous les pourparlers entre la Russie et les Etats-Unis sur la Syrie butaient contre l’intention des Américains de mettre en œuvre des dispositions qui auraient pu faire sortir les combattants du Front al-Cham qui contrôle les combattants dans la partie non-libérée d’Alep-est. Pourtant, les propositions faites par Kerry maintenant sont conformes aux approches des experts russes», a déclaré Sergueï Lavrov à Rome le 3 décembre après la rencontre avec son homologue américain. »

    Ce n’est toutefois pas chose faite, puisqu’on annonce à l’instant même des attaques de la population civile avec des lance-roquettes de la part de la dénommée armée libre, soutenue et financée par Washington.

    « L’Armée syrienne libre (ASL, opposition) a attaqué aux lance-roquettes multiples le quartier de Salah-al-Din à Alep, a annoncé dimanche le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie. »

    Vladimir Poutine, dans sa récente intervention devant les parlementaires russes a dénoncé avec force l’usage que font certains états des groupements terroristes pour atteindre leurs objectifs de changement de régime.

    « La Russie s’oppose catégoriquement à l’utilisation d’organisations terroristes par des États pour atteindre leurs buts politiques, idéologiques et autres. Moscou condamne le terrorisme sous toutes ses formes et croit que l’acte terroriste ne peut être justifié par des motifs idéologiques, politiques, religieux, raciaux, ni par n’importe quels autres. »

    Si Barack Obama se plaint de la désinformation, il ne peut que s’en prendre à lui-même qui l’alimente par des mensonges toujours de plus en plus gros. Il est au cœur d’un immense système fondé sur le mensonge et qu’il entretient à travers sa présidence.

    La guerre pour la vérité fait lever les boucliers de la censure qui ne cesse de se multiplier dans les médias, dans les agences gouvernementales, dans les réseaux sociaux. Tout récemment, l’Union Européenne a émis une résolution visant à limiter l’accès des réseaux à l’information russe.

    Ce que nous reprochions à l’ex URSS est ce que l’Occident applique au niveau de l’information, c’est à dire la censure la plus stricte.

    Source  | 4 décembre 2016

    http://www.voxnr.com/7036/la-grande-tricherie-mise-a-decouvert-a-alep