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international - Page 732

  • Le forum de Davos contre le « populisme »

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    8782-20170120.jpgMardi, s’est ouvert à Davos, en Suisse, le traditionnel forum économique du même nom, rassemblant chaque année tout ce que notre monde compte de milliardaires et autres mondialistes pour débattre des grands problèmes de notre planète. Avec pour invité d’honneur cette année, le dictateur maoïste chinois Xi Jinping, grand persécuteur – entre autres – de chrétiens. Et pour préoccupation majeure, la lutte contre… le « populisme » !

    Certes, parmi la vingtaine de risques relevés par quelque 750 experts internationaux du monde de l’entreprise et des universités dans leur rapport Global Risks 2017, publié en prélude au Forum économique mondial, arrivent en tête « les inégalités économiques, les divisions sociales et le réchauffement climatique ». Mais derrière le thème du forum de cette année, « Leadership réceptif et responsable », les organisateurs ne cachaient pas que leur intention était de définir une stratégie pour les multinationales visant à contrer la montée du populisme dans le monde.

    Ainsi, le rapport Global Risks 2017 n’hésite-t-il pas à pointer du doigt le Brexit, l’élection de Donald Trump et l’échec du référendum de Matteo Renzi en Italie,en soulignant que les campagnes électorales de ces trois pays « ont mis en évidence le phénomène de désinformation rapide » des opinions publiques, résultant « d’une fragilisation de la confiance des populations »…

    Un souci majeur pour les milliardaires de Davos, qui soulignent « le besoin de mieux protéger nos systèmes de contrôle qualité de l’information » et dénoncent des dérives médiatiques contre lesquelles il faudra trouver une réponse. Ainsi, souligne Global Risks 2017, « les principaux facteurs de risque peuvent être endigués en créant des sociétés plus inclusives basées sur la coopération internationale et une vision à long terme ».

    Une « mondialisation plus inclusive », évoquée dans son message d’ouverture du Forum par le dictateur rouge chinois qui, il est vrai, peut s’enorgueillir d’avoir une certaine expérience dès lors qu’il s’agit de museler les peuples.

    Franck Deletraz

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 20 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Hongrie : « Suite à la victoire de Trump », le gouvernement va interdire les organisations pro-immigration financées par George Soros

    BREIZATAO – ETREBROADEL (11/01/2017) Avec l’arrivée imminente de Donald Trump à la Maison Blanche, le gouvernement hongrois a décidé d’anticiper les bouleversements politiques à venir en lançant une procédure d’interdiction des organisations subversives financées par l’un des principaux soutiens de Hillary Clinton : le milliardaire George Soros.

    Alliance Trump – Orban

    Soros, originaire de Hongrie et vivant aux USA, est connu pour financer de très nombreuses organisations subversives dont le but affiché est la destruction des nations et la création d’une gouvernance globale sous influence d’oligarques tel que Soros lui-même.

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  • OTAN, Merkel, Brexit : les boulets rouges de Donald ...

    Il n'est pas encore entré en fonction que Donald Trump a déjà fait donner l'artillerie lourde. Et, devant un journaliste anglais et un allemand (aucun français, merci le Système qui nous rend si absents, parce que inconsistants, sur la scène internationale !), on peut dire qu'il a flingué dur, le Donald, et tous azimuts ! Un vrai régal ...

    1. L'OTAN « obsolète » : propos qu'il avait déjà tenu, et que nous avions salué, mais qu'il redit, avec plus de force encore ; elle a été conçue il y a très longtemps, pour une menace qui n'existe plus (la toujours redoutée invasion soviétique de l'Europe de l'Ouest par les chars du Pacte de Varsovie) alors qu'elle est totalement inadaptée au terrorisme islamiste actuel.
    2. La politique Merkel « absolument catastrophique » : « Je pense qu'elle a commis une erreur absolument catastrophique, à savoir accepter tous ces illégaux... Et personne ne sait même d'où ils viennent. Aussi, je pense qu'elle a fait une erreur catastrophique, une très grave erreur »

    Mais Donald Trump a aussi accusé l'Allemagne - à juste titre - de dominer l'Union européenne : « Vous regardez l'Union européenne... c'est en gros un instrument pour l'Allemagne. C'est la raison pour laquelle je pense que le Royaume-Uni a eu bien raison d'en sortir... »

    3. Le Brexit : un succès : car les peuples, dit le nouveau président, ont besoin de protection, d'identité, de frontières. Si la Grande-Bretagne n'avait pas été tenue d'accueillir tant d'étrangers, explique-t-il, le rejet de l'immigration massive n'aurait pas fait « passer » le Brexit. Et d'autres pays suivront, annonce-t-il...

    Ces propos, d'une fermeté nouvelle et bienvenue, appelleront seulement deux commentaires de notre part :

    • La seule pauvre, très pauvre réponse d'Angela Merkel et de François Hollande - l'un et l'autre terriblement vexés... - a été d'en appeler à « l’union » à l’unité » des Européens ! Mais, justement, ils ne sont d'accord sur quasiment rien, les Européens, ils sont même plus divisés que jamais, et empêtrés dans des institutions paralysantes qui les empêchent de toute façon d’avancer ; et puis, d'avancer vers où ? vers quoi ?... Vers l'adhésion de la Turquie, par exemple ?
    • Mais, surtout, et en ce qui concerne la France, Donald a d'un seul coup fait de nombreux orphelins : que vont devenir nos atlantistes et américanolâtres ? Ils ont bonne mine, maintenant, eux qui aimaient tant se cacher derrière « le parapluie américain » pour oublier le devoir qui est le leur d'assumer et de prolonger l'héritage reçu des siècles ! Aussi douillettement que lâchement - c'est si confortable le renoncement... - ils avaient délégué aux USA leur avenir collectif et, pensaient-ils, sa protection. Plus besoin de vrai budget militaire, on pouvait dépenser l'argent ailleurs !... Dans leurs têtes, ils n'étaient plus Français, ils ne « pensaient plus Français ». Que vont-ils faire, que vont-ils dire, maintenant ? Au moins, cette inconscience-là, elle est morte, et bien morte : qui s'en plaindra ? Certainement pas nous !...
    Atlantistes de tous les pays, américanolâtres de partout, faites provisions de mouchoirs en papier et sortez-les, il ne vous reste que vos yeux pour pleurer... ! 
  • Vladimir Poutine - Ceux qui ont commandité le dossier contre Trump sont «pire que des prostituées»

  • L’année de tous les dangers

    1715160180.jpgPascal Gauchon Directeur de Conflits

    États-Unis et Royaume-Uni font penser à ces jumeaux qui, séparés à la naissance, vivent des existences différentes et pourtant parallèles, connaissant aux mêmes âges les mêmes bonheurs et les mêmes coups du sort comme s’ils restaient connectés par un lien invisible. États-Unis et Royaume-Uni se sont séparés il y a plus de 200 ans. Pourtant ils suivent des cycles identiques.

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les idées et les partis progressistes dominent des deux côtés de l’Atlantique. L’américain Truman continue le New Deal mis en place par Roosevelt dans les années 1930, le britannique Attlee instaure le Welfare State. Face à eux, conservateurs et républicains restent passifs, comme à l’époque où Roosevelt appelait son concurrent Dewey le candidat me too – moi aussi – car il ne pouvait avancer la moindre idée originale. Quand ils reviennent au pouvoir dans les années 1950, Eisenhower à Washington et Mac Millan à Londres, ils se contentent d’agir en honnêtes gestionnaires du système inventé par leurs adversaires. Ils assistent impuissants à son approfondissement au milieu des années 1960 avec le président Johnson et le Premier ministre Wilson. Nixon et Heath tentent de réagir, mais échouent tous deux au début des années 1970.

    Dès lors la droite – appelons-la ainsi – se radicalise et adopte un programme libéral en opposition totale avec les idées progressistes. Elle accède au pouvoir en 1979-1980 : Thatcher et Reagan se réclament d’une idéologie de rupture et jettent les fondements d’un autre modèle à base de libéralisation et de mondialisation. Dorénavant ce sont les hommes de gauche qui deviennent les candidats me too et qui se contentent du rôle d’honnêtes gestionnaires du capitalisme libéral, Bill Clinton et Barack Obama comme Tony Blair.

    Le synchronisme est presque parfait. On peut l’expliquer par l’imprégnation d’une même philosophie politique qui doit plus à Locke qu’à Rousseau ; comme des jumeaux, les pays anglo-saxons ont la même hérédité. Ils partagent aussi la même addiction à la finance et au commerce qui les prédispose à suivre des politiques comparables.

    Il existe un cycle politique anglo-saxon. Sous l’influence de son voisin du Sud, le Canada en ressent les effets, parfois avec un certain retard : Stephan Harper, un clone de George W. Bush, devient Premier ministre en 2006 et Justin Trudeau, qui imite Obama, arrive au pouvoir en 2015. Plus éloignées, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont elles aussi affectées.

    Héritier de l’Angleterre impériale, le monde anglo-saxon forme un bloc que la géopolitique étudie peu. Le Brexit en juin et l’élection de Donald Trump en novembre le confirment. La plupart des experts se sont montrés incapables de prédire et même de pressentir les deux événements. Ils s’interrogent aujourd’hui sur leur signification – la révolte du peuple d’en bas, le rejet de l’establishment, le refus de la mondialisation, la réaffirmation des identités nationales. Un nouveau paradigme émergerait et l’onde de choc pourrait submerger l’ensemble des pays occidentaux – beaucoup s’en inquiètent. Comme après 1945, comme après 1980, les modèles venus du monde anglo-saxon ne sont-ils pas destinés à être copiés ailleurs ?

    Il est trop tôt pour trancher. Le Brexit n’est pas encore acté et ses adversaires cherchent à le vider de sa substance. On ne sait pas grand-chose des intentions de Donald Trump et rien ne dit que l’establishment républicain ne parviendra pas à le récupérer. Les votes de 2016 sont-ils un baroud d’honneur, dans ce cas la mondialisation, la banalisation des nations et la sécession de l’élite mondialisée reprendront leur cours ? Ou bien le monde prendra-t-il un cours opposé ?

    Beaucoup dépendra sans doute de la détermination de Théresa May et de Donald Trump. Qu’ils mollissent et leur électorat, une nouvelle fois déçu, retournera à l’abstention. Il est pourtant une vertu que l’on doit reconnaître aux peuples anglo-saxons et qu’ils ont démontrée au long de leur histoire : la ténacité. Les États-Unis de Trump et le Royaume-Uni de May en feront-ils preuve ?

    Conflits n°12, en vente en kiosques.

    Site de Conflits cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Journal du Mercredi 18 Janvier 2017 : UE / Antonio Tajani élu au perchoir de Strasbourg

  • Richard Labévière - Terrorisme face cachée de la mondialisation

  • Donald et « le Bon Dieu » ...

    Ne sont pas - encore - prises en compte ici les déclarations révolutionnaires de Donald Trump, le weekend dernier, sur le Brexit, la politique catastrophique d'Angela Merkel en matière de migrants, de surcroit les responsabilités économiques de l'Allemagne dans l'échec prévisible de l'Union Européenne, sur l'OTAN, obsolète et trop coûteux ... Etc.  

    Avez-vous écouté la première Conférence de presse du « président élu » ? Si oui, vous l'avez entendu, si non, on vous le dit ici : au cours de cette longue mais jamais ennuyeuse prestation, celui qui n'est pas encore Président des Etats-Unis a évoqué deux fois Dieu. Et, lors de son installation officielle à la Maison Blanche, le 2O janvier prochain (date de la prise de fonction effective du Président des USA depuis 1937) il lancera son premier - et surement pas dernier - « God bless America » officiel, « Que Dieu bénisse l'Amérique... ». Rituel immuable...

    En 2009, lorsque Barack Obama fut élu, il appela également la bénédiction de Dieu sur lui-même et sur l'Amérique. Il se trouva que, à Moscou, au même moment (le premier février 2009 pour être précis, soit douze jours plus tard), le nouveau Patriarche Kyrill était intronisé. Et, pour l'occasion, Poutine et Medvedev côte à côte, avec leurs épouses et l'ensemble du gouvernement, se signèrent respectueusement, et prièrent eux aussi, à l'unisson de l'assemblée.

    A l'époque, nous n'avions pas manqué de relever ces deux faits, et d'opposer l'orgueilleuse nouvelle religion républicaine de notre Système - avec son laïcisme agressif déguisé en laïcité, qui interdit de parler de Dieu, se prenant lui-même pour Dieu - à ce qui se fait partout, dans le monde. Notre quotidien n'avait que deux ans (il fut fondé en 2007, le 28 février), il en aura dix dans un peu plus d'un mois. On pourra lire la courte note que nous avions consacrée à l'évènement : y-a-t-il quelque chose à changer ? A ajouter ? 

    Note à lire dans Lafautearousseau ...

    Il y a ceux qui se reconnaissent une autorité supérieure, et il y a l'orgueilleuse « République française » ...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • D’une allégeance l’autre

    Hier, la veille de la présentation ce mardi par le Premier ministre britannique Theresa May de sa feuille de route pour quitter l’UE, Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, présentait à Paris ses vœux à la presse. Une occasion de répondre aux propos (souhaits ?) de Donald Trump sur l’avenir de l’Europe de Bruxelles (voir notre  article publié hier), M. Moscovici anticipant des relations « certainement rock and roll » avec le nouveau président des Etats-Unis. « Je ne crois pas », a-t-il dit,  «que des commentaires qui en quelque sorte valorisent la division de l’Union, y compris en prévoyant de futurs départs, soient le meilleur départ dans les relations euro-atlantiques (avec l’administration Trump) ». L’ex-ministre français de l’Economie et des Finances a cependant essayé de faire bonne figure en affirmant ne pas être  « inquiet » sur la solidité  de l’échafaudage bruxellois : « je crois que cette idée qu’il va y avoir une contagion du Brexit est un fantasme, un mauvais fantasme », « le Brexit est regrettable (…) il est problématique et on attendrait de nos amis américains qu’ils ne s’en réjouissent pas ».

    Les patriotes, les souverainistes eux ne pleureront pas le départ du militant antinational et socialiste allemand Martin Schulz de la présidence du Parlement européen. Sur boulevard voltaire, Gabriel Robin souligne justement que  «dans un entretien d’adieu, Martin Schulz ne cache pas sa volonté d’étouffer les nations, voire de les nier. Il y déclare, notamment (…) que le Parlement et la Commission (européenne) devraient s’allier plus étroitement pour faire triompher une vision supranationale, c’est-à-dire une techno-administration post-démocratique mettant en échec les exécutifs élus des États membres. Il est tout de même sidérant de constater qu’un homme puisse à ce point mépriser les peuples souverains. S’il était tout à fait libre d’imposer ses volontés, Martin Schulz interdirait, probablement, les référendums et les partis  populistes  en Europe. »

    Populistes qui  participeront aujourd’hui, comme leurs autres collègues députés, à l’élection du successeur de M. Schulz. Au terme d’une règle non écrite, droite et gauche se partageaient jusqu’alors  tacitement  les présidences mais cette fois, les ententes entre blocs politiques européistes n’ont pas été possibles et six candidats sont en lice.  Ce qui pourrait rendre indispensable le recours aux quatre tours de scrutin  qui avaient été nécessaires en 1982, pour la toute première élection à la présidence du PE, du socialiste  danois Pieter Dankert.

    Le Groupe des Verts/Alliance libre européenne (ALE) présente ainsi  Jean Lambert ; le Groupe confédéral de la Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique (GUE/NGL), Eleonora Forenza; le groupe Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen (S&D) , Gianni Pitella ;  le groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ADLE),  Guy Verhofstadt;  le Parti populaire européen (PPE),  Antonio Tajani;  le groupe des Conservateurs et réformistes européens (ECR),  Helga Stevens;  le groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL) coprésidé par Marine Le Pen, le député roumain  et ingénieur  Laurențiu Rebega qui a rejoint ENL en juillet 2015.

    Le blogue les yeux  du monde rappelle que  Martin Schulz,  «conscient de la forte montée des courants eurosceptiques dans les institutions européennes aux élections de 2014, a été l’artisan de la coalition entre la droite et la gauche européennes visant à faire barrage aux partis populistes et conservateurs. Suite à un accord signé entre le PPE et le S&D, Martin Schulz est reconduit à la Présidence du Parlement européen, laissant Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne. Le PPE semble aujourd’hui accepter difficilement le départ de Schulz, élu en 2014 contre un engagement des S&D à soutenir un candidat PPE pour les élections de janvier 2017. Manfred Weber, Président du groupe PPE appelle Schulz à respecter l’accord sur lequel il s’était engagé. Réponse de la gauche, en la personne de Gianni Pitella, Président du groupe S&D au Parlement :  Nous n’accepterons jamais un monopole du PPE, une des trois présidences doit revenir à la famille socialiste . Avec Juncker à la tête de la Commission et Donald Tusk à la tête du Conseil européen, la victoire d’un candidat PPE à la tête du perchoir marquerait un contrôle total de la droite sur les institutions européennes.»

    En l’espèce affirme Bruno Gollnisch, au-delà cette petite tambouille peu appétissante, derrière les  apparences , c’est bien le monopole des pro-bruxellois, de gauche ou de droite, qui est remis en cause par l’émergence des formations nationales ces dernières années. Il est d’ailleurs très éclairant que les représentants de l’oligarchie, politique, économique, médiatique qui œuvrent pour une poursuite de l’intégration-soumission à Bruxelles, militent pareillement pour notre inféodation à d’autres structures supranationales contraignantes. Tout se tient.

    François Hollande, à quelques heures de l’ouverture du très mondialiste Forum économique de Davos, a ainsi lui aussi fait entendre la petite musique progressiste, antisouverainiste habituelle. Le prétexte en a été sa remise de la légion d’honneur à Jane Hartley,  ambassadrice américaine (sur le départ), une non francophone nommée  à ce poste par Barack Obama  en 2014 pour la remercier  notamment de ses très importantes contributions  financières au Parti démocrate.  M. Hollande a ainsi tenu à répliquer hier à Donald Trump: « Je vous l’affirme ici, l’Europe sera toujours prête à poursuivre la coopération transatlantique (…). Elle n’a pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu’elle à a faire ». D’une allégeance l’autre, le plus impopulaire des présidents de la Vème république a également confirmé , comme François Fillon et Emmanuel Macron, son souhait de rester sous la tutelle d’une Alliance atlantique, remise aujourd’hui en question  par  le président élu américain. «(L’OTAN) ne sera obsolète que lorsque les menaces le seront devenues elles aussi » a psalmodié M. Hollande.  Menaces que le bras armé du Nouvel ordre mondial a puissamment contribué à renforcer et à propager. Une manière  aussi de dire que le retour à une France libre et indépendante  sera toujours reporté sine die avec un Président issu du Système.  

    https://gollnisch.com/2017/01/17/dune-allegeance-lautre/