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I MEDIA S03E44 Alep, propagande de guerre : Ci-gît la vérité.
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GéoPôles N°10 La France face à la nouvelle géopolitique du monde actuel avec Bernard Antony
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Qui a laissé Daech regrouper 5.000 djihadistes près de Palmyre… en passant inaperçus?
Après avoir regroupé leurs forces, plus de 5000 djihadistes, dont certains en provenance de Mossoul, sont entrés dans Palmyre en utilisant des voitures piégées et des kamikazes. Le directeur de l'Institut des études stratégiques de Damas dévoile à Sputnik à qui sont les satellites et le matériel militaire qui leur ont permis d'entrer dans la ville.
Plus de 5 000 djihadistes, avançant dans trois directions, du nord, de l'est et du sud, sont entrés dans Palmyre, une cité reprise à Daech en mars 2016. La manœuvre de djihadistes est devenue possible notamment parce que les frappes de la coalition sur Raqqa ont été suspendues cette semaine.À l'heure actuelle, l'armée syrienne se trouve près de la ville, les forces gouvernementales ayant également réussi à évacuer la plupart des civils de Palmyre et se regrouper. Les troupes syriennes mènent en ce moment des combats défensifs et dans les heures qui viennent l’armée va passer à la contre-attaque, raconte à Sputnik le Dr Taleb Ibrahim, directeur adjoint de l'Institut des études stratégiques de Damas.
Même si la plupart des civils ont été évacués par l’armée gouvernementale, il reste selon ses estimations entre 300 et 500 personnes sur place.
D’où viennent ces 5 000 djihadistes?
Les terroristes se sont réunis près de Palmyre en provenance de lieux différents, y compris de Mossoul, une ville qui n'a d’ailleurs pas encore été reprise par la coalition menée par les États-Unis alors même qu'ils projetaient d'y lever le drapeau du vainqueur le 8 novembre, jour de l’élection américaine, et l'envisagent maintenant pour le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump. Du coup, détail intéressant pour les terroristes s’abritant dans Palmyre, la coalition a ouvert un corridor grâce auquel ils se sont retrouvés… justement dans Palmyre.
Quant à l’attaque, elle a été soudaine selon le spécialiste. Près de 5 000 combattants de Daech sont entrés dans la ville et l’armée syrienne s'est montrée incapable de repousser l’attaque tout de suite, toutes ses forces étant centrées sur Alep.
Mais le facteur principal de la défaite a été, selon Taleb Ibrahim, la stratégie de Daech: les djihadistes l’appellent « l’attaque des frelons ». Au début, ils forment de petits groupes pour ensuite entamer des séries d’attaques jusqu’à ce qu’ils prennent le contrôle de l’armée.
Mais alors que Daech est confronté à au moins deux grandes offensives dans Mossoul, au nord de l’Irak et à Raqqa, la « capitale » des terroristes en Syrie, d’où viennent ces 5 000 combattants ?
« Je crois que Daech coopère avec le renseignement. Il y a quelques jours seulement, ils n'auraient pas pu organiser une telle offensive. Tout le monde sait que les Forces démocratiques syriennes s’apprêtaient à attaquer Raqqa. Alors, ils ont organisé une rencontre avec les représentants des États-Unis pour discuter d'un plan d’action. Et soudain, tout a été annulé et Daech a reçu le feu vert pour la prendre Palmyre.Et d’ajouter: « Je pense que l'attaque contre Raqqa a été annulée suite à l’ordre de quelqu'un au sein des services de renseignement américain ou du Moyen-Orient ».
« Entre 4 et 5 000 personnes ainsi que des centaines de chars et de matériel militaire ont été impliqués dans l’offensive. Mais c’était impossible à faire, car des avions, des satellites et d'autres outils d'observation de la coalition se trouvaient à Raqqa. Comment les combattant de Daech ont-ils réussi à passer inaperçus? Je suis sûr que Daech coopère avec la CIA et d'autres agences de renseignement au Moyen-Orient », conclut le directeur adjoint de l'Institut des études stratégiques de Damas.Sourcehttp://www.oragesdacier.info/2016/12/qui-laisse-daech-regrouper-5000.htmlLien permanent Catégories : actualité, géopolitique, international, islamisme, magouille et compagnie 0 commentaire -
Livre Libre - G.Collard / Alain Paucard : Manuel de résistance à l'art contemporain
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Irak : de la chute de Saddam Hussein à l’Etat islamique
Depuis la chute de Saddam Hussein en 2003, l’Irak a été traversée par de nombreuses crises qui ont menacé son existence. De l’intervention américaine à l’Etat Islamique, en passant par les guerres confessionnelles, ce pays a dû faire face depuis plus de 13 ans à de nombreux défis. Comment expliquer cette succession d’évènements cruciaux pour l’avenir de l’Irak et la stabilité du Moyen-Orient ? Georges Malbrunot, Karim Pakzad, et Wassim Nasr apportent des éléments de réponse.
Source : Bycome
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Quand l’Algérie expulse ses clandestins d’Afrique noire, ça déménage !
14/12/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Selon l’hebdomadaire Minute, quand l’Algérie expulse ses clandestins nigériens, ça déménage ! « En septembre dernier, le ministre algérien de l’Intérieur et des Collectivités locales avait été tout fier d’annoncer, devant le Conseil de la nation – l’équivalent de notre Sénat – que plus de 17 016 immigrés clandestins nigériens avaient été jusqu’à présent rapatriés “volontairement“ et que c’était… un bon début. Il avait annoncé qu’une nouvelle “opération de rapatriement“ allait viser les Sénégalais et les Guinéens. Ce qui a commencé. Le mois suivant, 1 500 Sénégalais étaient expulsés d’Algérie ainsi que 370 Guinéens. Des expulsions médiatisées et effectuées, toujours, “sur demande des pays d’origine (sic) et dans le cadre d’une nouvelle politique migratoire“. En août, 400 Maliens avaient été rapatriés à Bamako.
« Le 1er décembre, raconte Minute, la police algéroise a interpellé des centaines de clandestins dans des conditions pour le moins rudes. Regroupés dans un camp à Zeralda, dans la banlieue d’Alger, ils ont été embarqués dans des bus, qui les conduits dans le sud de l’Algérie, à Tamanrasset – 2000 kilomètres tout de même –, d’où ils ont été expulsés vers le Niger. Et plus loin si nécessaire, puisqu’en vertu d’accords de coopération, le Niger a accepté de laisser passer les bus du gouvernement algérien vers l’Afrique de l’Ouest. Pas moins de 1400 personnes étaient concernées. »
« Si cette “chasse aux Noirs“ a été condamnée par la presse algérienne et la presse internationale, poursuit Minute, en Algérie, elle a reçu le soutien de Farouk Ksentini. Cet avocat, soutien du pouvoir, est président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme. Il s’est réjoui de l’expulsion de ces clandestins. Pour lui, “la présence des migrants et des réfugiés africains dans plusieurs localités du pays peut causer des problèmes aux Algériens“. Et d’ajouter, avec une colossale finesse : « Cette présence expose les Algériens au risque de la propagation du sida ainsi que d’autres maladies sexuellement transmissibles » ! Tollé général ! Et loin de s’excuser, l’avocat en a rajouté une couche dans la presse : “Je ne suis pas raciste mais… les migrants subsahariens n’ont pas d’avenir en Algérie.“ »
Commentaire de Saida Benhabylès, présidente du Croissant-Rouge, rapporté par l’hebdomadaire : « L’opération de rapatriement que nous avons menée a touché uniquement les ressortissants de nationalité nigérienne. L’Algérie répond à une demande du gouvernement du Niger. Ce dernier a demandé de rapatrier ses ressortissants pour différentes raisons, par exemple l’existence de réseaux criminels nigériens qui exploitaient ces personnes. Sinon, il n’est nullement question d’une opération d’expulsion. »
Commentaire de Minute :
« Renvoyer des gens dans leur patrie n’est donc pas les expulser. Et les amener gentiment à remigrer ? Pour la dialectique, il y a aussi à apprendre de ce côté-là… »
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ONU : une journaliste démonte la rhétorique des médias traditionnels sur la Syrie
La démonstration a eu lieu lors d'une conférence de presse ayant pour thème «Contre la propagande et le changement de régime en Syrie», organisée par la Mission permanente de la République syrienne auprès de l’ONU. Etaient invités à y participer les journalistes et activistes internationaux. Parmi les participants, la journaliste canadienne Eva Bartlett, qui s'est plusieurs fois rendue en Syrie depuis 2014, et avait passé auparavant quelques années à Gaza, travaillant à recueillir les témoignages directs des habitants de ces régions au centre de conflits.
Lors de la conférence, Eva Bartlett est soudain interrogée par son collègue norvégien du journal Aftenposten. Il cherchait à comprendre comment elle pouvait accuser les médias grand public de mensonges sur la situation en Syrie. Deux minutes ont suffi à Eva Bartlett pour faire voler en éclats le mythe de la crédibilité des soi-disant «médias de qualité».
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Alep : Les médias français se mobilisent pour Al Qaeda
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Syrie : les rebelles capitulent et évacuent Alep
Acculés, les rebelles d’Alep ont accepté un accord de cessez-le-feu avec les forces loyalistes qui leur permet de quitter la ville avec leurs armes.
LES COMBATTANTS rebelles d’Alep-Est ont fini par plier. Après quatre semaines de combats, soumis aux pilonnages de l’artillerie et à des bombardements intensifs de l’aviation russe, les insurgés avaient perdu tout espoir de résister militairement plus longtemps à l’offensive des forces loyalistes. Ils ont accepté, ce mardi d’évacuer les derniers quartiers qu’ils contrôlaient encore, en échange d’un sauf-conduit. L’accord, annoncé mardi soir, a été conclu sous la houlette de la Russie et de la Turquie, soutiens respectifs du régime de Bachar al-Assad et de la rébellion. Le cessez-le-feu est entré en vigueur dès ce mardi soir, et les premières évacuations sont prévues pendant la nuit. Les civils et les blessés devraient être évacués en premier, suivis par les combattants rebelles, qui seront autorisés à conserver leurs armes individuelles. Les civils et les blessés devaient être évacués en premier, suivis par les combattants rebelles, qui seront autorisés à conserver leurs armes individuelles. Ils pourront ensuite choisir d’aller dans les parties de la province d’Alep encore aux mains de la rébellion ou bien vers la province d’Idlib, dans le Nord, tenue par une coalition de groupes djihadistes.
Ahrar al-Cham, autre influent groupe rebelle islamiste, a confirmé l’accord d’évacuation en précisant que les civils puis les rebelles seraient transportés en bus vers ces régions. Cette évacuation met un terme à une bataille longue de six ans pour le contrôle de la deuxième ville de Syrie, qui avait commencé en juillet 2012 avec l’entrée des rebelles dans les quartiers Est de l’agglomération.[....]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Syrie-les-rebelles-capitulent-et
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Libération d’Alep : ce que les télévisions européennes ne montrent pas