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international - Page 789

  • La pente despotique de l’économie mondiale (Hubert Rodarie)

    la-pente-despotique-de-léconomie-mondiale-200x300.jpgHubert Rodarie est directeur général délégué du groupe d’assurance SMABTP et auteur de plusieurs ouvrages traitant de la situation économique et financière.

    Et si le communisme soviétique et le capitalisme libéral partageaient plus de points communs qu’on ne le pense ? C’est ce que vient constater cet ouvrage écrit par un professionnel de l’assurance, des activités d’investissement et de gestion financière.

    Le monde financier veut maîtriser les activités financières en créant des organisations où chaque individu est asservi à un ensemble de règles techniques. Ce mouvement a été appelé la « robotisation des activités financières ».

    A travers ce livre, Hubert Rodarie montre qu’il existe une volonté d’installer les déséquilibres comme moteurs de croissance. Depuis la Deuxième Guerre mondiale, le système économique a organisé des déséquilibres structurels, générateurs continuels de dettes qui ne rencontrent aucune limite. Et cette croissance continuelle de l’endettement rend vaine toute recherche de maîtrise de la qualité des emprunteurs : inévitablement vient un jour où les bornes d’une « décence commune  » selon l’expression d’Orwell viennent à être franchies, en un endroit ou un autre de la planète, et nous pouvons alors égrener ainsi les crises financières au long des dernières décennies. 

    Au final, le monde occidental se retrouve dans une situation telle que la vivait et l’analysait Zinoviev à la fin des années 1970 en Union soviétique. Le citoyen est pris dans un système qui, tel un filet, contraint sa liberté d’action.

    La pente despotique de l’économie mondiale, Hubert Rodarie, éditions Salvator, 379 pages, 22 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

    http://www.medias-presse.info/la-pente-despotique-de-leconomie-mondiale-hubert-rodarie/54462

  • Guerre en Syrie : un conflit appelé à durer ?

    PARIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Nous nous étions réjouis de la nouvelle de la récupération de Palmyre par les troupes syriennes. Voilà qu’hier, on apprend que Palmyre est encerclée de toute part par Daesh. Ce conflit terrible, qui a déjà fait plus de 260 000 morts, semble donc ne jamais devoir s’arrêter.

    Mais quel est donc l’état actuel du conflit ? Il faut savoir quels sont les principaux belligérants. La Syrie d’el‑Assad doit faire face à l’Etat islamique, mais aussi aux opposants à son régime, bénignement appelés « rebelles », qui sont souvent des dérivés d’Al‑Nosra et Al‑Qaeda. Daesh, ou état islamique on l’a compris, est l’ennemi de tout le monde. Assad est quant à lui soutenu par ses alliées, à savoir la Russie, l’Irak, l’Iran et le Liban. Les autres ennemis de Daesh, ce sont la coalition US, qui rassemble les pays européens dont la France et les pays du golfe. Cette coalition frappe Daesh, mais soutient aussi les rebelles.

    On comprend donc mieux pourquoi l’armée syrienne peine face à Daesh. « Cela fait cinq ans que le peuple syrien meurt » s’écrit Riad Hijab coordinateur de l’opposition, « Nous voulons des actes, et non plus des paroles, de la part de nos amis ». La complexité de ce conflit, dû à la multiplication toujours croissante du nombre d’acteurs, prolonge le conflit, et donc le nombre de morts et de destructions de villes.

    Pour illustrer le coup de poignard dans le dos que représentent les rebelles, il suffit de regarder les nouvelles d’hier. Un raid rebelle a tué plusieurs soldats de l’armée syrienne et enlevé des civils ; à Alep, les combats ont repris entre armée syrienne et rebelles et cela malgré la trêve.

    « Ma priorité est de régler cette crise à travers un dialogue politique » a annoncé hier le secrétaire général des Nations unies. Néanmoins, résoudre ce conflit « pourrait prendre du temps », a‑t‑il ajouté. Vladimir Poutine a pourtant dû essuyer le refus d’ajouter sur la liste noire de l’ONU certains groupes rebelles. Le paradoxe de la position américaine est saisissant.

  • Le populisme à la croisée des chemins

    Pour l’emporter, le populisme doit être social et non pas libéral. Une proposition qui ne plairait pas à tout le monde …

    Le moteur du populisme en Europe – et en France du Front national – provient historiquement du refus de l’immigration de peuplement. Ce refus se justifie aujourd’hui plus que jamais alors que le Grand Remplacement et l’Islamisation de l’Europe progressent si rapidement qu’il faut désormais être aveugle ou complice pour ne pas le constater.

    L’erreur des mouvements et partis populistes serait évidemment d’abandonner cette ligne identitaire au moment même où une part croissante de nos concitoyens comprend que l’avenir de notre civilisation est en jeu.

    Mais une erreur symétrique consisterait aussi à n’en rester qu’à ce niveau, en oubliant l’autre versant de la dissidence identitaire : la société et le social, justement.

    Un refus fondateur

    Le populisme en Europe est la forme politique prise par le refus de la disparition de leur civilisation et de leur identité par les Européens qui se sentent abandonnés par les pouvoirs publics et trahis par les oligarchiesremplacistes (1).

    Il s’agit d’un refus politiquement fondateur, comme toutes les grandes alternances politiques et intellectuelles se sont fondées de la sorte : qu’il s’agisse du refus d’une religion, du refus d’un régime, du refus d’une défaite, du refus d’une oppression ou du refus d’une injustice.

    Cependant il ne suffit pas de dénoncer le Grand Remplacement : pour le combattre efficacement il faut aussi s’interroger sur ses causes profondes, ce qui ouvre nécessairement d’autres perspectives.

    Le moteur du Grand Remplacement est d’abord idéologique

    Le Grand Remplacement n’est pas tombé du ciel en effet.

    Car il correspond au projet de l’oligarchie occidentale (2) qui a pris le pouvoir à la fin du XXe siècle en Occident et qui a mis en application son idéologie libérale/libertaire et cosmopolite. Même si ce projet a fini par lui échapper en partie sous la forme du djihadisme, l’oligarchie l’a initié, l’a encouragé et l’a entretenu.

    Le moteur du Grand Remplacement est donc d’abord idéologique, avant d’être civilisationnel, africain, musulman ou climatique.

    C’est au nom de l’idéologie libérale/libertaire que l’Occident croit que les hommes doivent circuler et s’installer librement partout, comme s’il s’agissait de marchandises. C’est pourquoi les oligarques ont détruit les frontières et les douanes qui permettaient de réguler la concurrence, ainsi que les mouvements de populations et de marchandises. Et ils ont fait cela pour le plus grand profit des entreprises mondiales. Car l’immigration permet de faire baisser les salaires et de réduire au silence les salariés autochtones.

    Au nom de cette même idéologie, tous les hommes sont désormais réputés avoir les mêmes « droits » politiques et sociaux, qu’ils soient étrangers ou citoyens d’un Etat : ce qui a permis de déconstruire la souveraineté et la démocratie en Europe occidentale et de faire exploser les régimes de protection sociale.

    Le Grand Remplacement, une dérégulation civilisationnelle

    Le Grand Remplacement n’est que l’effet le plus visible de la catastrophe culturelle, sociale et humaine provoquée partout par les oligarques occidentaux, qui depuis 30 ans exercent un pouvoir sans partage, notamment en Europe. Car le Grand Remplacement est une dérégulation civilisationnelle au même titre que la dérégulation financière, économique et sociale.

    La mondialisation n’est heureuse (3) que pour les oligarques, les bobos, les banquiers, les histrions médiatiques et les dirigeants des entreprises transnationales. Pour les autres, c’est-à-dire la majorité de la population, elle signifie désindustrialisation, chômage, précarité du travail, fin de l’ascenseur social, diminution des droits et des protections sociales, réduction des services publics, augmentation des impôts, des charges et des taxes, déflation, dépossession de son identité, inquiétude devant l’avenir.

    Car l’oligarchie n’a pas hésité à sacrifier la classe moyenne européenne sur l’autel du mondialisme, annulant en quelques années l’effet des Trente Glorieuses et un siècle de luttes sociales. Dans le même temps elle a cyniquement promu l’immigré/migrant au rang de prolétariat compassionnel de rechange : Big Other permettant de masquer l’étendue de la régression provoquée partout par les oligarques et pas seulement en Europe.

    On ne saurait oublier que le développement du mondialisme économique et financier se paye ailleurs aussi de drames sociaux et environnementaux : exode rural massif entraînant la perte de l’autonomie alimentaire, mouvements de populations dans des centres urbains surpeuplés et pollués, exploitation brutale des salariés dans les usines travaillant pour les grandes firmes mondialisées, saccage de l’environnement, etc.

    Les tenants du national-libéralisme se trompent

    Cela signifie qu’on ne peut pas inverser le processus remplaciste en cours en Europe si on ne remet pas en cause l’idéologie libérale/libertaire qui le sous-tend.

    Un populisme conséquent ne peut faire l’impasse sur cette question. Car la question sociale prolonge la question identitaire : l’identité c’est la nation et la nation c’est le peuple. Et à l’âge du mondialisme seuls les peuples souffrent.

    C’est pourquoi les tenants d’une nouvelle gauche (4) qui ne se soucierait pas de la question identitaire n’ont aucun avenir.

    C’est pourquoi aussi ceux qui, au sein de la droite populiste, préconisent l’adoption d’une ligne libérale et nationale se trompent d’époque.

    Le cocktail libéral/national est en effet un oxymore ou, au mieux, un malentendu politique.

    Le libéralisme conséquent, comme agent du capitalisme, tend en effet à détruire la nation, en déconstruisant tout ce qui fait obstacle à la liberté du marché. Il ne faut donc pas confondre la liberté économique qui peut effectivement s’appliquer dans l’espace national sous certaines conditions (5) avec le libéralisme, qui est une idéologie de combat contre les identités et les nations.

    Le populisme s’affirme sur le registre de la souveraineté politique des nations, toutes choses que les libéraux ont toujours exécrées. Les libéraux ne croient qu’en l’individu et en la providence des marchés. Pour eux, comme le disait Mme Thatcher, « la société n’existe pas ». Alors pourquoi voudraient-ils la sauver ?

    On ne peut donc pas être sincèrement populiste et libéral en même temps.

    Les ravages du néo-libéralisme : un remake du XIXe siècle

    Elargissons la perspective.

    La mise en œuvre des préconisations libérales/libertaires a provoqué le chaos partout au XXIe siècle, dont ne profite qu’une infime minorité de la population occidentale. Cette situation n’est pas sans rappeler les ravages sociaux advenus au XIXe siècle lors de la mise en place de l’industrialisation capitaliste en Europe.

    Ces ravages ont provoqué par réaction l’apparition du socialisme, puis au XXe siècle, du communisme en Europe. C’est pourquoi on a pu écrire que le socialisme avait été le « cri de douleur » du prolétariat (6).

    Que le socialisme et le communisme n’aient pas réussi à abolir « l’exploitation de l’homme par l’homme » ou que le communisme ait été une utopie sanglante ne doit pas faire oublier que ces mouvements ont quand même réussi à forcer le capitalisme à se montrer plus social et à corriger ses excès en Occident (7).

    Mais de nos jours le communisme est mort, les syndicats sont marginalisés et la gauche a abandonné l’héritage du socialisme pour devenir l’idiot utile du néo-capitalisme mondialisé. Cela signifie que plus personne n’est en mesure d’obliger les oligarques mondialistes à faire preuve de retenue dans leur course au profit.

    On en voit le résultat : le chaos partout.

    Le populisme, un socialisme pour notre temps ?

    Si le populisme veut s’affirmer comme une véritable réponse aux interrogations de notre temps, il ne peut donc pas faire l’impasse sur la nouvelle question sociale.

    Pour le dire autrement, le populisme doit jouer, au plan métapolitique, vis-à-vis du néo-capitalisme mondialisé, le rôle dévolu hier au socialisme vis-à-vis du capitalisme national.

    Il doit à son tour devenir le « cri de douleur » des peuples européens et se présenter comme une force alternative aux ravages de la dérégulation néo-libérale, en Europe d’abord, au plan international ensuite.

    Le populisme doit pour ce faire promouvoir une nouvelle éthique du Bien Commun et de l’Etat, en réponse à la marchandisation du monde incarnée par les oligarques mondialistes ; en réponse aussi à l’idéologie de l’individualisme absolu, destructeur de tout lien social. Le populisme doit aussi porter le retour des vertus civiques et des bonnes mœurs, conformément aux traditions européennes, contre le laxisme et le cynisme qui sont une arme aux mains de l’oligarchie.

    Le populisme : passer du refus à la révolution

    Cela implique d’annoncer et d’entreprendre une révolution culturelle et morale qui ébranle les dogmes et les oligarques dominants. Cela implique qu’une nouvelle élite politique, économique et sociale, s’avance. Cette élite existe mais elle est réduite au silence par les oligarques : il faut seulement qu’elle sorte de sa réserve.

    La menace de la révolution socialiste a imposé au capitalisme européen la conscience sociale qui lui manquait.

    La perspective d’une révolution populiste doit produire le même effet vis-à-vis du néo-capitalisme mondialisé.

    C’est à cette condition que le populisme deviendra vraiment populaire. C’est à cette condition qu’il deviendra majoritaire.

    Michel Geoffroy, 10/05/2016

    Notes :

    1. Selon l’expression de l’écrivain Renaud Camus.
    2. Voir le livre de Jean-Yves Le Gallou : Immigration : la catastrophe/ Que faire ? Via Romana, 2016.
    3. Selon l’expression de Dominique Strauss-Kahn.
    4. Genre Mélanchon.
    5. Comme cela a été le cas dans le passé européen.
    6. Jaurès, Histoire socialiste.
    7. Ce qui d’ailleurs explique l’envolée occidentale après la seconde guerre mondiale : la loi du profit étant associée à une politique sociale dynamique (social-démocratie ou sécurité sociale) ou par des salaires élevés (fordisme).

    Relire du même auteur :

    Lettre à mes frères oligarques (1)
    Lettre à mes frères oligarques (2)
    Les oligarques écrivent aux oligarques
    La fin programmée des oligarques

    http://www.polemia.com/le-populisme-a-la-croisee-des-chemins/

  • Journal du Vendredi 13 Mai 2016 : Société / Verdun sans Black M : la victoire des Français

  • Rappel : La France a payé 58 millions de dollars à Al-Qaïda depuis 2008

    Selon une enquête du New York Times du 29 juillet 2014, Al Quaïda a reçu depuis 2008, plus de 125 millions de dollars !!! Quoi ? Comment ? Et oui, 125 millions de dollars récoltés uniquement grâce aux rançons payés par les occidentaux pour obtenir la libération de leurs otages. 
    Toujours selon cette enquête, la France est le principal pourvoyeur de fonds de l’organisation terroriste. Elle aurait versé à elle seule 58 millions de dollars. Ces sommes, toujours selon le New York Times seraient versées directement par l’état ou alors par des intermédiaires comme Areva ou les pays amis du golf, au premier rang desquels le Qatar. 
    Dans cet article, Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des États-Unis au Mali dénonce : « Les Européens ont beaucoup de comptes à rendre. Ils mènent une politique hypocrite. Ils paient des rançons et ensuite nient les avoir payées. Le danger n’est pas seulement que ça fait grandir le mouvement terroriste, c’est aussi que ça rend tous nos citoyens vulnérables ». Déclaration effroyablement prémonitoire. Le 13 septembre 2014, très énervé par l’exécution de 3 otages anglo-saxons, Barack Obama lui-même confirme: « Le président français, François Hollande, dit que son pays ne paie pas de rançons aux terroristes, alors qu’en réalité, il le fait »
    Dimanche, la plupart des dirigeants européens vont venir verser des larmes de crocodile sur les morts provoqués par des mouvements terroristes qu’ils ont largement contribué à financer. François Hollande, accusé par Obama de payer des rançons aux terroristes sera à la tête de cette grande marche contre… le terrorisme. Comprenne qui pourra. 
    Inconséquence ou incompétence ? 
    Quoi que… Cette fois, ce n’est pas seulement une minute de silence qu’on va nous demander, mais plutôt 2 ans et demi de silence, le temps d’arriver aux prochaines élections. Avec un « Patriot Act » à la française si besoin. Hollande n’est pas plus bête que Bush et les français ne sont pas plus intelligents que les américains. 
    Nous sommes tous des charlots. 
    Vive la République, Vive la France, Vive l’hypocrisie
    Source

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 3/3

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 2/3

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 1/3

  • Projets radicaux pour détruire les banlieues blanches aux États-Unis

    Le ministre américain du Logement, Julian Castro, dont il se murmure qu’il pourrait être le colistier d’Hillary Clinton à la présidentielle, prépare le relancement d’un programme de logement qui cherche à forcer la présence de non-blancs dans les banlieues blanches à travers les États-Unis.

    Le plan implique des subsides étatiques spéciaux detinés à aider les « pauvres urbains » à payer des locations plus chères dans les zones aisés, tout en nommant des agents immobliers gouvernement appelés « conseillers en mobilité » pour acheter des logements dans ces quartiers.

    D’après un article du New York Post intitulé « La dernière action d’Obama est de forcer les banlieues à être moins blanches et moins riches » (en), Castro de prévoit de redémarrer le programme de section 8, bien qu’un programme semblable testé il y a quelques années à Dallas ait provoqué un déplacement de la criminalité violente vers les quartiers aisés.

    Ce programme fait parti d’un « grand projet pour déségréguer de force les centre-villes et intégrer les banlieues », écrit le New York Post.

    Le mois dernier, Castro a menacé les propriétaires des banlieues de discrimination s’ils refusent des locataires section 8 dotés d’un casier judicaire.

    L’an dernier, il a aussi mis en place une nouvelle réglementation – « Poursuivre Positivement le Logement Équitable » – qui met sous pression tous les comtés de banlieue, pour toucher des subventions fédérales afin de changer les lois de zonages locales pour bâtir davantage de logements sociaux.

    Les propriétaires de tels logements ont maintenant pour obligation d’accepter les bénéficiaires de la section 8.

    Il est prévu que Castro finisse cette nouvelle réglementation, connue sous le nom de « Locations Équitables au [prix du] Marché des Petites Zones » cet octobre, dans les derniers moments de la présidence Obama.

    Les limites d’allocations locatives sont actuellement définies par zone métropolitaine, ce qui rend les payements assez faible. Avec le nouveau projet, elles seraient établies par code postal.

    Par exemple, le loyer équitable pour un studio à New York est d’environ 1250 dollars, ce qui ne couvrirait pas les frais locatifs des zones les plus riches du Comté de Westchester, comme Mamaroneck, « où Castro et ses sociologues veulent agressivement réinstaller des bénéficiaires de la setion 8 », indique le New York Post.

    Dans les zones les plus chères, le projet de Castro – qui ne nécessite pas d’approbation du parlement – ferait plus que doubler les allocations, tout en couvrant les charges.

    Dans le même temps, il entend réduire les aides pour ceux qui choisissent de rester dans les zones urbaines pauvres, comme Brooklyn. Donc les bénéficiaires de la section 8 ne seront pas seulement attirés dans les banlieues, ils y seront aussi poussés.

    « Nous voulons utiliser nos allocations de choix de logement pour garantir que nous n’avons pas une concentration de pauvreté et l’aggrégation de minorités raciales dans une partie de la vile, la partie pauvre de la ville », a déclaré le chef de l’HUD, ajoutant qu’il essaye de défaire le « résultat de politiques et pratiques discriminatoires dans le passé, et parfois même maintenant ».

    Une version préliminaire des nouvelles règles anticipe que plus de 350.000 bénéficiaires de la section 8 seront initialement réinstallés sous ce nouveau programme. Sous la présidence Obama, le nombre total de foyers touchant une aide au logement s’est accru à plus de 2,2 millions.

    Le document argue que ces allocations plus importantes permettront aux familles urbaines pauvres de « déménager dans des endroits qui ont potentiellement un meilleur accès aux emplois, aux transports, aux services et à l’éducation ».

    La théorie est que leur offrir davantage d’argent pour déménager dans des banlieues aisées va « améliorer leur situation ».

    Mais comme le New York Post l’a signalé, les propres études du ministère du Logement prouvent que cette théorie ne correspond pas à la réalité.

    En 1994, le président Bill Clinton avait lancé un programme semblable intitulé « Déménager vers l’Opportunité », qui a déplacé des milliers de noirs vers des maisons de plus haute qualité dans des quartiers plus sûrs et plus ségrégués racialement dans plusieurs comtés à travers le pays.

    L’expérience de 15 ans a été un échec total : une étude de 2011 financée par le ministère du Logement a découvert que les adultes ayant utilisé les bons de section 8 les plus généreux n’ont pas obtenu de meilleurs emplois ni ne sont sortis de la dépendance à l’aide publique.

    En fait, davantage ont eu recours aux bons alimentaires. Et leurs enfants n’ont pas fait mieux dans leurs nouvelles écoles.

    Pire, la criminalité les a tout simplement suivi dans leurs nouveaux quartiers plus sûrs, ruinant la qualité de vie des résidents existants.

    « Les hommes […] ont été arrêtés plus souvent que ceux dans le groupe de contrôle, principalement pour des vols », a découvert l’étude.

    Dubuque en Iowa a par exemple reçu un afflux de bénéficiaires de bons venant de Chicago – et a un problème de criminalité depuis lors. Une étude récente a directement établi le lien entre la criminalité à Dubuque et la vague de logements section 8.

    Le ministère du Logement a alors décidé qu’il fallait non pas arrêter le programme, mais le rendre plus agressif. Ils ont conclu qu’ils pourraient obtenir le résultat désiré s’ils plaçaient les pauvres urbains dans des zones encores plus aisées.

    Le ministère du Logement a testé cette nouvelle théorie à Dallas, avec des résultats désastreux.

    À partir de 2012, l’agence a rendu plus intéressant les bons de section 8, et a orienté ses bénéficiaires de centre-ville [ndt : les centre-villes américains sont colonisés par les non-blancs, et de ce fait, pauvres] aux comtés éloigns entourant Dalas.

    Tandis que les locations financées par le gouvernement se répartissaient dans toutes l’aire métropolotaine de Dallas, la criminalité a fait de même.

    Dallas a désormais l’un des taux d’homicide les plus élevés des États-Unis, et a récemment fait appel aux troupes de l’État pour aider la police à le contrôler.

    Pour la première fois, la criminalité violente s’est déplacée vers les communauts du Nord de la ville. Les trois banlieues qui ont vu le plus de transferts de section 8 – Frisco, Plano et McKinney – ont subi des pics sans précédent de viols, d’agressions et de cambriolages.

    Castro veut désormais déployer ce programme à l’échel du pays. Bientôt, il donnera aux bénéficiaires de section 8 l’argent pour payer une location où ils veulent – et s’ils ne veulent pas déménager, il va leur faire une offre qu’ils ne pourront pas refuser, indique le New York Post.

    Ironiquement, la ville natale d’Hillary Clinton, Chappaqua, combat contre les logements section 8 à cause de leurs rapports à la drogue, à la criminalité et à d’autres problèmes.


    Caelum non animum mutant qui trans mare currunt. « De ciel mais non d’esprit changent ceux qui franchissent la mer », écrivait Horace il y a deux millénaires.

    On le voit bien avec les « migrants » qui franchissent la Méditerranée pour arriver en Europe, mais on le voit tout autant avec tous ces non-blancs déplacés dans des quartiers de blancs : ils ne se transforment pas soudain en blancs. Les causes profondes de leurs problèmes sont raciales.

    Que le gouvernement Obama persiste avec ce projet en dépit des essais catastrophiques démontre au-delà de tout doute raisonnable que l’objectif n’est pas d’améliorer les conditions de vie des non-blancs, mais de dégrader celles des blancs et de faire en sorte qu’il n’y ait pas un seul endroit qui soit entièrement blanc. Pas une ville, pas un quartier qui soit autorisé à rester entièrement blanc.

    L’objectif est très clair : c’est la destruction de la race blanche.

    Le côté positif, c’est qu’une action aussi brutale et dénuée d’ambiguité ne pourra qu’ouvrir les yeux de centaines de milliers de blancs.

    Traduction de l’article de New Observer.

    http://www.blancheurope.com/2016/05/11/projets-radicaux-detruire-banlieues-blanches-aux-etats-unis/

  • Facebook pas si neutre que cela aux Etats Unis

    ETATS-UNIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : L’existence d’un système informatique très largement répandu et opaque peut menacer la liberté d’information. Un ancien employé de Facebook aux Etats‑Unis a en effet témoigné de manipulations de l’algorithme qui détermine le choix des articles de journaux relayés comme « populaires » par le site américain.

    Selon le site américain Gizmodo, « les employés de Facebook supprimaient régulièrement de la section “Populaire” du site des articles d’actualité concernant le Parti républicain américain ». Des employés de Facebook ont empêché des articles d’apparaître dans ce fil d’actualités, alors même que ces articles faisaient partie des plus partagés sur le réseau social.

    Imposer des valeurs éditoriales humaines à une liste déterminée par un algorithme n’est pas une mauvaise chose en soi, mais elle est à l’opposé de ce qu’affirme officiellement la compagnie, qui assure que cette liste n’est composée que « de sujets populaires sur Facebook ».

    Vivement critiqué par le Parti républicain, qui craint que cette sélection ne finisse par influer sur le choix des électeurs pour l’élection présidentielle américaine, le réseau social fondé par Mark Zuckerberg a affirmé avoir mené une enquête sans trouver trace d’une quelconque manipulation.

    http://fr.novopress.info/200943/facebook-pas-neutre-cela-aux-etats-unis/