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international - Page 789

  • Les Panama Papers sont-ils le « coup de maître » des Etats-Unis annoncé dès mars ?

    Avec la publication des « Panama Papers », un article publié en mars dernier par le professeur à l’université de Genève Raphaël H. Cohen et signalé par l’éditeur suisse Slobodan Despot dans sa lettre hebdomadaire Antipresse prend des allures de prédiction.

    L’article, intitulé « Le coup de maître des USA », est paru le 14 mars 2016 sur le site de l’Agefi, l’Agence économique et financière, à Genève. Raphaël H. Cohen y explique que, à son « humble analyse, les Américains sont en train de déployer un plan diabolique qui va renflouer le trésor américain. La beauté du plan est que, sa finalité ne sautant pas aux yeux, la plupart des gens ne s’en méfient pas. De plus et surtout, il est presque imparable ».

    Selon l’économiste suisse, lui-même homme d’affaires, ce « plan diabolique » a déjà connu trois actes. Acte I : la signature du Facta (Foreign Account Tax Compliance Act), par lequel les grandes banques – notamment suisses – se sont engagées à livrer aux Etats-Unis les noms des citoyens américains ou simples résidents aux Etats-Unis détenant des avoirs chez elles. La première conséquence est de soumettre à l’impôt les actifs qui n’avaient pas été déclarés, la deuxième est que « ces détenteurs, n’étant plus bienvenus auprès des établissements étrangers, sont très tentés de rapatrier leurs fonds dans des banques américaines. Cela a bien sûr renforcé ces dernières en augmentant leur profitabilité tout en affaiblissant leurs concurrents étrangers ».

    Acte II : par un accord bilatéral avec la Suisse, les banques helvétiques sont désormais contraintes d’acquitter une pénalité sur les actifs des Américains qu’elles ont imprudemment hébergés depuis 2008. Ce n’est pas tant le montant des sommes recueillies par le Trésor US qui compte que le message que reçoivent toutes les banques du monde : il ne devient plus très raisonnable d’accueillir des citoyens ou résidents des Etats-Unis d’Amérique…

    L’acte III s’est joué à l’OCDE : « Tous les pays, sauf les Etats Unis, se sont engagés à mettre en œuvre la Norme d’échange automatique de renseignements relatifs aux comptes financiers en matière fiscale de l’OCDE (EAR) », sachant que « le hasard faisant bien les choses, le seul pays signataire de l’EAR qui bénéficie d’une exception au devoir de transmission est… les Etats Unis. Cela en fait la star des rares pays pouvant accueillir les actifs qui fuient les pays engagés à transmettre les informations dans le cadre de l’EAR ».

    Commentaire de Raphaël H. Cohen : « Il apparaît donc que les Américains ont, jusqu’à présent, fait un parcours sans faute. Ce sont même les seuls à tirer leurs marrons du feu en profitant d’un transfert massif d’actifs vers leurs paradis fiscaux (Delaware, Nevada, Wyoming et autres) en profitant notamment du fait que leurs institutions ne sont pas soumises à l’obligation de transmettre les informations de l’EAR. Pendant ce temps, les banquiers suisses, bientôt suivis par leurs concurrents non-américains, se consument avec moins de revenus et des charges de compliance astronomiques, auxquelles les banques américaines échappent joyeusement. »

    L’économiste suisse fait alors cette prédiction – son article, rappelons-le, a été publié le 14 mars 2016 :

    « Le prochain round consistera pour les Américains à intensifier la pression pour faire en sorte que le seul refuge vraisemblable pour les actifs non déclarés soient les banques des paradis fiscaux américains (sauf pour les Américains qui sont déjà faits comme des rats, du fait qu’ils sont déjà devenus persona non grata presque partout). Pour bétonner leur attractivité, il suffira aux Américains de répliquer les méthodes mises au point avec les Suisses et peut-être même d’en inventer de nouvelles. La clé étant évidemment de décourager les titulaires d’actifs non déclarés de les laisser ailleurs qu’aux Etats Unis. La convention de l’OCDE agit ici comme un magnifique cheval de Troie : sauf si quelques grandes puissances dessaoulent, son application aboutira à faire fuir les actifs non déclarés vers les paradis fiscaux américains. A ce stade, il n’y aura plus d’autre alternative.

    Quand l’étau se sera resserré autour de ceux qui ont encore des actifs non déclarés en dehors des Etats-Unis et que l’essentiel de ces actifs seront hébergés aux USA, bien sûr dans des banques essentiellement américaines, l’heure sera venue pour le coup de grâce : faire en sorte que les détenteurs étrangers d’actifs hébergés aux USA deviennent des… sujets fiscaux américains. Ceci permettra évidemment de les taxer et de toucher le jackpot. »

    http://fr.novopress.info/

  • Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…

    Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici

    Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?

    D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.

    De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !

    En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.

    Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.

    Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !

    Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.

    Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !

    Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.

    Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.

    Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !

    Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !

    Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)

    Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’Amérique en quête d’un nouveau visage (article paru dans L’Action Française n°2929 du 07 avril 2016)

    Pressé de "réassurer" ses alliés européens, Pologne en tête, Washington vient de confirmer qu’il déploierait, l’année prochaine, une brigade blindée à la frontière orientale de l’Otan. Sous la houlette d’un Donald Trump, chantre d’une Amérique plus isolationniste, peut-être la Maison-Blanche sera-t-elle plus réticente à répondre ainsi aux sollicitations des capitales européennes. Autrement dit, sans bouleverser la donne internationale, peut-être son élection contribuerait-elle à infléchir la politique des États-Unis. Au risque de placer les États européens face à leurs responsabilités ? On n’en est pas encore là, quoique le président tchèque se soit honoré, dernièrement, d’esquisser un rapprochement avec Pékin, au motif que son pays, par la faute de son précédent gouvernement, « succombait trop à la pression des États-Unis et de l’Union européenne ». En tout cas, la campagne en cours ne saurait nous indifférer : soucieux des intérêts de la seule France, nous n’en avons pas moins conscience que le destin de la puissance américaine ne sera pas sans incidence sue celle-ci.

    Chez les démocrates, la situation paraît relativement claire : Hillary Clinton, soixante-neuf ans, la "dame trois ex" (ex-first lady, ex-sénateur, ex-secrétaire d’État) a 90 % de chances de remporter ces primaires et d’être déclarée championne du parti de l’âne pour l’élection présidentielle du 8 novembre prochain. Son rival, Bernie Sanders, soixante-quatorze ans, sénateur du Vermont, qui lui a servi de faire-valoir depuis février, sera remercié pour ses bons et loyaux services le moment venu. Au parti de l’éléphant, en revanche, les choses semblent beaucoup plus compliquées. Deux raisons font de ces primaires républicaines un scénario à suspense sans précédent dans les annales américaines. D’abord, un parti anémié, conformiste, coupé de sa base comme des réalités, qui s’efforce depuis des années de gérer ses crises internes sans idées et sans ressort. Ensuite, un candidat sorti d’ailleurs, sans mandat électoral, sans expérience politique, qui a eu la géniale intuition de bousculer tous les usages afin d’occuper le seul créneau réellement porteur : la défense de la classe moyenne blanche.

    Le double visage de Donald Trump

    Ce candidat, c’est Donald Trump. Crinière blonde et teint brique : une soixantaine massive, tonitruante et impulsive qui met en scène son propre personnage. En fait, deux personnages. Le premier est celui de la presse à sensation : l’empereur de l’immobilier, le géant des casinos, le magicien de la télé-réalité. C’est l’homme aux trois mariages, aux résidences somptueuses, aux dix milliards de dollars, aux cinq cent cinquante deux entreprises, aux milliers d’employés. C’est l’homme de Big Apple (une série télévisée NDLR), un mélange de cabotinage extravagant et d’audace calculée. C’est l’homme de tous les risques, de tous les retournements, de toutes les acrobaties. Trump peut être aussi convaincant qu’imprévisible, aussi odieux que charmant. Mais il existe un autre homme en lui, plus fin, plus subtil, plus tacticien : celui qui a mis son flair d’affairiste au service d’une aventure électorale. De même que Trump sait renifler un contrat juteux, il a senti un peuple aux abois. Il lui a parlé. Il a ouvert ses plaies pour y appliquer un baume. Il a écouté ses doléances et perçu ses frustrations. Il a palpé son angoisse et partagé son amertume. Trump en père justicier. [....]

    Philippe Maine

    Correspondant aux États-Unis

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Amerique-en-quete-d-un-nouveau

  • La désinformation

    La manipulation de l’information par les groupes de pression dominants n’a jamais été aussi massive et efficace.

    La manipulation de l’information par les groupes de pression dominants n’a jamais été aussi massive et efficace. Malgré l’apparente diversité des médias, il n’y a plus guère de journaux d’opinion, mais des organes concurrents, dépendant de leurs financeurs directs ou indirects et employant des journalistes formés dans le même moule. C’est donc la ressemblance qui l’emporte sur la différence. Ce sont donc les mêmes événements qui vont être mis en exergue, et les mêmes qui vont être passés sous silence, la même fausse nouvelle qui sera publiée, et oubliée quand son démenti, lui, n’aura pas l’honneur de la presse. J’en ai fait l’expérience : lynché pour avoir rappelé qu’il n’y avait pas eu de déportation d’homosexuels en France durant la Seconde Guerre mondiale, je n’ai guère entendu les médias se racheter lorsqu’ils ont « appris » que j’avais raison. Le silence le plus total a régné lorsque Eva Joly a été condamnée pour m’avoir traité de négationniste.

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  • LA PROCHAINE CRISE FINANCIÈRE SE RÉGLERA SUR VOTRE DOS, VOICI COMMENT

    On ne connaît pas la date de la prochaine crise financière internationale, bien sûr, mais on sait exactement comment elle va se régler : par la ponction des comptes bancaires. Désormais les choses sont claires. Nous avons parlé à plusieurs reprises de la directive européenne BRRD (Bank Recovery and Resolution Directive) qui permet aux banques en situation de faillite de se renflouer en puisant directement dans les comptes de leurs clients. C’est légal en Europe depuis le 1er janvier 2016. Plus récemment nous apprenions que les Etats-Unis s’engageaient sur la même voie au moment où la Fed abandonnait un de ses mandats originaux de 1913, celui de « prêteur de dernier ressort », des banques en difficulté, justement. Dernièrement, c’est le Canada qui a adopté ce même type de procédure en instaurant un régime de recapitalisation interne des banques.

    Il s’agit d’un véritable mouvement de fond. D’autres pays ont peut être déjà adopté ces procédures d’urgence sans que les médias s’en soient fait l’écho. Nombre de pays émergents en difficulté, comme la Chine ou le Brésil, vont certainement étudier de près ces législations pour s’en inspirer. Pour le Japon, endetté à hauteur de 250% de son PIB, il s’agit désormais du seul moyen d’apurer sa dette tout en évitant l’effondrement économique.

    Car l’avantage déterminant de ce nouveau procédé est bien celui-ci : éliminer les créances pourries et un endettement insoutenable, sans provoquer d’effondrement du système financier, et donc de toute l’économie. Précédemment, c’est-à-dire pendant l’entre-deux-guerres ou immédiatement après la Deuxième Guerre mondiale, c’est par une vague d’inflation ou même d’hyperinflation que les Etats se débarrassaient de leurs dettes, en ruinant au passage les épargnants, et en provoquant également des faillites bancaires.

    Aujourd’hui, compte tenu de la place prise par le système financier et du poids des banques systémiques, un tel scénario déboucherait sur un effondrement économique comparable à la crise de 1929. Voici à quoi servent les lois instituant les ponctions des comptes bancaires : organiser la faillite et la remise sur pied des banques en difficulté, en l’espace de quelques jours et dans un cadre légal, sans que l’économie réelle ne soit trop durement affectée. Au passage, l’épargnant y aura perdu tout ou partie de ses économies, mais le gouvernement et les médias lui expliqueront que « pour éviter un krach économique majeur, et que vous perdiez ainsi toute votre épargne, on va vous en ponctionner 50% », sous-entendu « estimez-vous heureux, ça pourrait être pire ». Le plancher de 100.000 euros – présenté aujourd’hui comme une protection – aura été allègrement enfoncé, tout le monde aura été touché étant donné que le « Fonds européen de garantie des dépôts » peine à se mettre en place, et qu’il sera de toute façon sous-dimensionné (43 milliards d’euros, pour toute l’Europe, une blague).

    Outre la ruine des épargnants, le problème est que cette procédure consistant à se servir dans l’épargne des particuliers et des PME ne règlera rien sur le fond : les déficits publics et la course à la dette reprendront de plus belle, les banques systémiques (« too big to fail« ) seront toujours aussi instables, et une fois passé le répit apporté par cet apurement géant, quelques années plus tard, il faudra recommencer. Mais de cette façon, le système « Etats surendettés-banques systémiques » se sauve lui-même et peut continuer sa vie, tel un éléphant dans un magasin de porcelaine. 
    Philippe Herlin dans Goldbroker

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/la-prochaine-crise-financiere-se-reglera-sur-votre-dos-voici-comment_157286.html#more-157286

  • Sans être entièrement conspirationniste

    Face à l'affaire des "Panama Papers", j'avoue qu'il m'est difficile de croire à la pureté intégrale de la démarche de cent et quelques grands journaux.

    On nous dit que, coopérant dans le plus grand secret, ils auraient obtenu, on ne sait d'ailleurs comment, les archives d'un cabinet juridique privé dans la république de Panama. Hum ?

    Où mène leur piste nous n'en savons rien à ce jour. Sinon probablement à un plus grand resserrement des mailles fiscalistes dans le monde entier. Avec cette curiosité tout de même que la fiscalité n'est pas uniforme dans le monde.

    Quand on met sur le même plan des comptes off-shores du président du Soudan et de ceux de gens qui, en Europe occidentale disposent d'autres moyens, moins opaques, d'opérer des transactions ou d'intervenir sur les marchés on parle de réalités absolument différentes.

    N'ayant jamais ni acheté ni vendu de contrats d'impresario de football, je crois cependant difficile d'échapper à des circuits financiers imposés par les opérateurs.

    Oui les États ont le droit de se prémunir contre les contribuables qui fraudent leurs législations légitimes et pertinentes, lorsque celles-ci subviennent aux besoins des nations. Mais ce droit lui-même ne saurait s’exercer que dans certaines limites. Surtout quand on mesure la part bien faible, dans un pays comme la France, des dépenses régaliennes indispensables effectives et la part monstrueuse des dépenses démagogiques dans l'intérêt des décideurs, technocrates ou accapareurs.

    Restons donc vigilants dans cette affaire au contenu liberticide probable.

    Mme Lagarde, par exemple, à la tête de sa technocratie mondiale, détournée de ses objectifs statutaires, ne manque pas d'aplomb quand elle se propose d'étendre encore l'intervention du FMI. L'embryon de gouvernance mondiale ne recule devant rien. C'est peut-Être de ce côté-là qu'il faudrait demander de meilleures investigations.

    http://www.insolent.fr/

  • Journal du Jeudi 07 Avril 2016 : Politique / Emmanuel Macron en ordre de marche

  • « Panama Papers » : la riposte de Poutine

    La Russie vit décidément à l’heure des décrets salvateurs. Vladimir Poutine a annoncé qu’il allait déclassifier de nombreuses archives portant des « noms très intéressants » et signer le décret dans la foulée.

    Ces fameux Panama Papers qui n’en finissent plus de faire couler de l’encre ont été accueillis sans broncher par des centaines de médias mondialistes. Ceux qui ont reçu des subventions de la Fondation Soros et de la Fondation MacArthur, leurs propriétaires, et autres parties impliquées pensaient qu’ils participaient à une chasse à la bête. Sans s’en rendre compte, ils étaient en pleine partie de ping-pong, tant était grande leur naïveté. Ils ont diffusé ces documents dans 80 pays via 400 journalistes grassement stipendiés. Seulement voilà, la liste comprend une personne du Foreign Intelligence Service of the Russian Federation (CBP en russe) et plusieurs centaines de membres de la Direction générale des renseignements (GRU) de l’État-Major des Forces Armées russes. Et ils vont être punis, pas eux, mais leurs patrons.

    Le président russe a décidé de frapper en déclassifiant des documents s’étalant entre 1930 et 1989. En ajoutant calmement : « Pour autant que j’en sache, selon les informations fournies par les agences chargées des archives, ces documents font état de noms très intéressants, des documents qui surprendront la société… » Il va y en avoir des cadavres politiques dans notre Vieille Europe…

    Une agression qui se transforme en vraie souricière…

    http://www.fort-russ.com/2016/04/putin-to-declassify-documents-that-bear.html