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international - Page 788

  • Haj Qassem Soleimani aux USA : Quittez la Syrie, sans quoi les portes de l’enfer s’ouvriront

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    Des sources bien informées affirment que le commandant du Corps des gardiens de la révolution, le brigadier général Haj Qassem Soleimani, a transmis, par l’entremise de la Russie, une missive verbale à l’intention du commandant en chef des forces américaines en Syrie, lui conseillant de retirer ses troupes jusqu’au dernier soldat, « sans quoi les portes de l’enfer s’ouvriront ».

    « Mon message au commandement militaire américain est le suivant : quand la lutte contre Daech (le groupe armé État islamique) prendra fin, la présence d’aucun soldat américain ne sera tolérée en Syrie. Je vous conseille de partir de votre propre chef, sans quoi vous serez forcés de le faire », a déclaré Soleimani à un officier russe. Soleimani a demandé au Russe responsable d’exposer la position iranienne à l’endroit des USA : leurs troupes seront considérées comme une armée d’occupation s’ils décident de rester dans le Nord-Est de la Syrie, où des Kurdes et des Arabes cohabitent.

    Les Russes ne s’opposent pas à la présence américaine et peuvent s’adapter une fois établies des lignes de démarcation pour éviter tout conflit. Mais l’Iran a une position claire et ne veut pas laisser le président syrien seul face aux forces armées américaines si elles restent sur place.

    La lettre de Soleimani aux USA énonce clairement la promesse de « mesures surprises » contre les USA : « Vous serez confrontés à des soldats et à des forces que vous n’avez jamais connus jusqu’ici en Syrie et vous quitterez le pays tôt ou tard. »

    La Russie a transmis aux USA l’intention de l’Iran de rester en Syrie tant que le président Assad le voudra, lui qui affirme avec force sa volonté de libérer l’ensemble du territoire de toutes les forces armées sans exception. La Russie a confirmé aux USA qu’elle n’avait pas l’intention d’accorder un soutien aérien à l’Iran et à ses alliés en cas d’attaque contre les forces américaines. Du point de vue de la Russie, le conflit entre l’Iran et les USA ne la concerne pas et n’est pas au centre de ses préoccupations.

    Mike Pompeo, le directeur de l’agence centrale de renseignement des USA, a dit la semaine dernière qu’il a envoyé une lettre à Soleimani, pour exprimer ses inquiétudes au sujet de l’intention de l’Iran de s’en prendre aux intérêts américains et « qu’il tiendra Soleimani et l’Iran responsables de toute attaque en Irak ».

    Mohammad Mohammadi Golpayegani, un des principaux adjoints du grand ayatollah Ali Khamenei, a confirmé que Pompeo a tenté de remettre une lettre, en précisant que « Soleimani a refusé de la lire ou de la prendre parce qu’il n’avait rien d’autre à ajouter ».

    Des sources dans la région affirment qu’il se pourrait que les groupes kurdes actifs à Hassaké et fidèles au gouvernement de Damas deviennent le fer de lance des combats contre les forces américaines. Bon nombre de ces groupes sont demeurés loyaux à la Syrie. Ils rejettent toute présence d’une force occupante sur leurs terres et toute partition du pays.

    Hassaké 2018 n’est pas sans rappeler les événements de 1983, lorsque des centaines de « marines » américains et de parachutistes français ont été tués à la suite du double attentat suicide perpétré par des islamistes à Beyrouth. La force multinationale était considérée comme hostile et non comme une force de maintien de la paix et a été poussée à quitter le Liban à la hâte à la suite de cette attaque. L’avenir pourrait bien reproduire ces événements passés.

  • Bombe dans le cœur de New-York. Attentat islamique.

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    La peur revient à New-York : une bombe a explosé à Manhattan dans le métro à côté de Time Square vers 7.30 ce matin. Trois lignes de métros ont été évacuées. Deux individus ont été arrêtés dont un Bengalis de 27 ans.

    Quatre personnes ont été blessés mais aucune n’est dans un état grave. Bill De Blasio, le maire, a admis le premier ce que tout le monde pense : c’est un « attentat islamique ». La police a arrêté un suspect, Akayed Ullah, 27 ans originaire du Bangladesh qui depuis 7 ans vit aux États-Unis, et réside pour le moment à Brooklyn. Il a été transféré à l’hôpital Bellevue après que l’engin artisanal qu’il avait sur lui a explosé dans un passage piéton, le blessant. Bill Bratton, l’ex-chef de la police new-yorkaise, interviewé par la Msnbc, a expliqué que le jeune aurait provoqué l’explosion au nom de l’État islamique.

    Une photographie postée par le New-York Post montre le jeune à terre, menotté, avec des blessures et des brûlures sur le corps. Interrogé brièvement par les enquêteurs, le suspect a déclaré avoir réalisé la bombe dans les locaux de l’agence d’électricité où il travaille. Le gouverneur de New-York Andrew Cuomo a rappelé que cette ville des États-Unis est « un objectif international ».

    La décision de Donald Trump de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, a redoublé la colère des pays musulmans. Le monde mahométan gronde et le pseudo état islamique, dans une vidéo, a appelé les djihadistes à tuer les juifs. Or New-York a une forte communauté juive…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/bombe-dans-le-coeur-de-new-york-attentat-islamique/84694/

  • Nouveau livre de Bernard Lugan : Heia Safari !

    Von-Lettow-Vorbeck-600x874.jpgDe 1914 à 1918, loin des fronts d’Europe, dans l’est africain, coupés de toute possibilité de ravitaillement, et commandés par le colonel puis général Paul von Lettow-Vorbeck, quelques milliers d’Allemands et d’askaris résistèrent à 300 000 soldats britanniques, belges, sud-africains et portugais.

    Au mois de mars 1916, après deux années de victoires remportées au cri de « Heia Safari », l’arrivée de plusieurs dizaines de milliers de soldats sud-africains contraignit von Lettow-Vorbeck à changer de tactique.

    Il choisit alors celle du repli offensif, se dérobant devant des forces trop nombreuses pour les attaquer ensuite par surprise. De novembre 1917 à septembre 1918, sa retraite offensive le conduisit jusqu’au Mozambique où il enchaîna les victoires.
    Au mois de septembre 1918, alors qu’il lui restait moins de 200 Allemands et environ 2 000 askaris, le général von Lettow-Vorbeck décida d’envahir la colonie britannique de Rhodésie. Le 13 novembre, il y apprit qu’un armistice avait été signé en Europe. Il refusa de se rendre, déclarant au commandement britannique qu’il pouvait encore combattre durant deux années.
    Finalement, le 25 novembre 1918, en Rhodésie du Nord, l’actuelle Zambie, et alors que l’armistice était signé depuis 14 jours, 155 Allemands, officiers, sous-officiers, rappelés et volontaires, ainsi que 1156 askaris et 1598 porteurs se formèrent en carré face aux forces britanniques. Devant eux, le chef admiré auquel les askaris avaient donné le nom de « Bwana mukubwa ya akili mingi » (le grand homme qui peut tout).

    Rentré en Allemagne, le 1er juillet 1919, sur ordre du gouvernement, le général von Lettow-Vorbeck écrasa le soulèvement communiste à la tête d’un corps de volontaires, le « Lettow-Korps ».

    Du Kilimandjaro aux combats de Berlin, cette épopée méconnue qui mériterait d’être enseignée dans les académies militaires, est ici racontée dans un livre abondamment illustré.

    Pour commander cet ouvrage, c’est site de Bernard Lugan” rel=”noopener” target=”_blank”>ici.

    https://fr.novopress.info/

  • LE « BITCOIN », OU L’EXPLOSION DU SYSTÈME

    Marc Rousset

    1737457534.jpgRien ne sert de parler pendant des heures de la technique géniale de la « chaîne de blocs » pour justifier la valeur du « bitcoin ». Cette technique est l’arbre qui cache la forêt. Un bitcoin ne repose sur rien et ne vaut rien si ce n’est le prix auquel des imbéciles souhaitent l’acheter dans un méga-système à la Ponzi qui n’est rien d’autre qu’une répétition, au XXIe siècle, de la fameuse crise spéculative des bulbes de tulipe en Hollande au XVIIe siècle. De même qu’il est impossible d’empêcher des gens, s’ils le souhaitent, de se jeter du haut de la tour Eiffel, il n’est pas possible d’empêcher des gens de se ruiner ! La seule valeur réelle du bitcoin est la valeur marchande du brevet technologique « blockchain ».

    Cette technologie, qui s’est affranchie de l’intervention étatique, a pour garant seulement un algorithme et repose sur la seule valeur que lui donne la masse des acheteurs du bitcoin. Son créateur est inconnu et il a jeté la clef au fond du puits après la conception de la chaîne de blocs. Ne sont capables de créer des bitcoins que ceux qui disposent d’une capacité de calcul avec des fermes d’ordinateurs, avec la capacité technique pour les émettre.

    Certains technocrates évoquent la loi de Metcalfe comme quoi la valeur d’un réseau est proportionnelle au carré du nombre de ses utilisateurs. Ce qu’ils oublient, c’est que cent fois zéro, cela fait toujours zéro ! Mais ils confondent, en fait, valeur du réseau des utilisateurs du bitcoin et valeur du bitcoin. Un deuxième arbre technocratique vient ainsi s’ajouter à l’arbre technologique pour cacher la forêt du néant et du vide absolu bitcoin.

    La valeur du bitcoin repose, en réalité, sur la confiance que lui donnent des imbéciles, des spéculateurs et des mafieux. Le bitcoin n’est adossé à aucune autorité centrale et il est probable que les États lui tordront un jour le cou. Le Maroc, après la Chine et le Vietnam, est le dernier État qui vient d’interdire purement et simplement le bitcoin.

    Le bitcoin, créé le 3 janvier 2009, a connu un cours ultra-volatile en dessous des 20 dollars jusqu’à son véritable envol en 2013, avec en moyenne une explosion de bulle chaque année. Le bitcoin, qui vient d’atteindre 14.000 dollars, est en train de monter jusqu’au ciel. Certains s’en réjouissent alors qu’il est, en fait, le signe annonciateur d’un krach pire que 1929 et de l’apocalypse économique, politique, civilisationnelle qui nous menace.
    Les politiques monétaires irresponsables, l’hyper-endettement des États, des entreprises et des particuliers dans la plupart des pays du monde (Chine, Japon, pays émergents inclus), contrairement à 1929, où les problèmes se cantonnaient essentiellement à l’Europe et aux États-Unis, les chiffres réels de chômage, cachés en France ou aux États-Unis, de 20 %, les ratios catastrophiques des banques italiennes, le déficit public et commercial américain, le dollar attaqué par la Chine comme devise principale des contrats pétroliers : tout cela sent plus l’apocalypse qu’un simple krach à venir. En cas de faillite de l’État et d’un taux de chômage réel à 40 %, les banlieues de non-droit pourraient se conduire en France comme à Saint-Martin après l’ouragan.

    En 1913, la dette totale des États-Unis s’élevait à 39 milliards de dollars. Aujourd’hui, elle se situe à 70.000 milliards de dollars, soit 1.800 fois plus. Les taux d’intérêt sont aujourd’hui à 1,5 % aux États-Unis ; demain, ils atteindront immanquablement 15-20 %. Et si le Dow Jones a chuté de 90 % entre 1929 et 1932, le NASDAQ a décliné de 80 % entre 2000 et 2002. Le Dow Jones, qui était à 1.000 en 1982, se situe aujourd’hui autour de 23.400.

    Il est probable que, lors du prochain krach, une impression monétaire illimitée se produira et que le monde ressemblera à l’Allemagne en 1923, avec les devises dollar et euro qui vaudront zéro. Le seul vrai bitcoin naturel depuis Nabuchodonosor, l’or, lui, vaudra alors 15.000 ou 80.000 dollars, soit bien plus que le bitcoin actuel des hommes. C’est l’or qui remplacera le bitcoin, et non pas le bitcoin qui remplacera l’or.

    2017 12 01 PUB SITE 2.jpg http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Un français, agent de la Russie, passe aux aveux !

    6a00d83451619c69e201bb09ded9e1970d-800wi.pngIl s'agit d'Alexandre Latsa, qui tient l'excellent blog Dissonance. Nous le laissons expliquer son forfait lui-même, c'est ici.

    en voici la conclusion:

    Alors que DISSONANCE fête ces 10 ans, je tiens à donner quelques chiffres.

    DISSONANCE c’est 10 ans d’écriture, 1.621 articles, des articles traduits et republiés, en 12 langues (français, russe, anglaisallemandarabeItalienEspagnolPortugaisslovaquegrechongrois, roumain), 3 livres en 4 langues et 21.000 tweets.

    Une certitude est née : grâce a Internet, la propagande des médias Mainstream PEUT être combattue et même vaincue, il suffit d’y travailler.

    C’est pour ça que la vérité a pu éclater en Ukraine et que cela n’a pas été le cas pour la Serbie au cours de la dernière décennie du 20ieme siècle et le pays a servi de laboratoire. Car à cette époque la, il n’y avait pas internet pour permettre aux serbes d’être défendus.

    L’avenir?

    DISSONANCE ne fermera pas même si le rythme de publication sera sans doute plus faible qu’avant car the job is done comme disent nos partenaires américains !

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'Iran en train de s'imposer au Moyen-Orient au détriment de l'Arabie Saoudite

    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Les forces chiite Houthis sont en voie de prendre le contrôle complet du Yémen. Elles en éliminent progressivement les représentants du gouvernement se disant légitime de Sanaa, la capitale. Elles devraient prochainement la conquérir entièrement, ainsi qu'une partie de plus en plus étendue des provinces stratégiques du sud du pays.

    Elles viennent d'annoncer la mort de l'ancien président, Ali Abdallah Saleh, tué dans des affrontements à Sanaa. Celui-ci était leur allié, jusqu'au moment où il s'était enfui pour leur échapper et s'était réfugié en Arabie saoudite.Il suffit de regarder une carte du Yémen pour comprendre l'intérêt stratégique du pays au profit de celui qui le contrôle. Il commande très largement le trafic maritime dense qui circule en Mer Rouge à partir ou vers le canal de Suez.

    C'est la raison pour laquelle l'Arabie saoudite, avec le soutien des Etats-Unis, s'efforce depuis des mois d'en éliminer les Houthis, tribus chiites du nord du pays, en guerre contre le gouvernement officiel, allié depuis le début des pétro-monarchies sunnites. En fait, elle a surtout bombardé les populations, détruit les cultures vivrières et engendré les morts, les famines et les épidémies qui dévastent actuellement le Yémen

    Or l'Iran est en train de s'imposer comme puissance dominante au Moyen-Orient. Son objectif est de remplacer dans ce rôle l'Arabie Saoudite. Il n'est donc pas étonnant qu'elle ait décidé depuis le début de soutenir les rebelles Houthis. Bien qu'elle s'en défende, elle l'a fait en leur fournissant des armes et semble-t-il quelques contingents de combattants. Cette perspective était insupportable pour Ryad. L'Arabie avait donc décidé d'attaquer les positions Houthis avec notamment des moyens aériens considérables et des armes modernes acquis aux Etats-Unis. Mais les Saoudiens sont de piètres miliaires. Ils n'ont jamais réussi à se débarrasser des Houthis.
    Ils ne réussiront pas davantage aujourd'hui, autant que l'on puisse le pronostiquer, à les empêcher de s'emparer de la partie utile du Yemen. Les efforts impuissants de l'héritier du trône saoudien Mohammad bin Salman, le montrent amplement. 

    L'ennui est que, comme indiqué, ce sera inévitablement l'Iran qui profitera de cette impuissance, au détriment de l'Arabie saoudite. L'Iran vient de déclarer, par la voix de son président Hassan Rohani, que les Yéménites vainqueurs allaient faire regretter leurs actions aux "agresseurs", dans une allusion à l'Arabie saoudite. 

    L'axe chiite

    Mais si l'Iran est en train de cerner l'Arabie par le sud, elle est depuis bien plus longtemps en bonne voie pour le faire par le nord. Elle est l'élément le plus actif de la coalition politico-militaire dit « axe chiite » qui est en train de se former et qui réunira l'Iran, la Syrie et une partie de l'Irak. L'objectif, comme nous l'avons souvent relaté ici, est non seulement d'affirmer les Chiites en face des Sunnites, mais d'éliminer du Moyen-Orient l'influence et les intérêts américains. Nul n'ignore en effet que depuis plus de 15 ans, ce sont les politiques désastreuses de Washington qui ont provoqué de nombreux conflits et des centaine de millions de morts.

    L'Iran est d'autant plus motivée aujourd'hui pour jouer un rôle déterminant au sein de l'axe chiite que le président américain affirme en toutes circonstances que l'Iran est un ennemi organique des Etats-Unis et doit donc être rapidement détruite. Pour ce faire, il semble compter en premier lieu sur l'Arabie saoudite. Un des premiers objectifs de l' « axe chiite » en cours de mise en place sera donc, même s'il s'en défende, de neutraliser une Arabie alliée de Washington.

    La Russie, pour sa part, a toujours encouragé l' « axe chiite », notamment à travers Damas et dans une moindre mesure Téhéran. Il est en effet vital pour elle de résister aux efforts américains qui cherchent à l'éliminer de la région, et notamment de ses bases en Syrie.

    Mais peut-on craindre qu'elle profite des échecs de Ryad pour prendre des postures beaucoup plus agressives à l'égard de la coalition militaire américano-arabe, et au profit de Téhéran. Cela ne semble pas être dans le caractère de Vladimir Poutine, qui a toujours préféré les négociations. Au Moyen-Orient, certes, il n'acceptera jamais de se voir éliminer au profit de Washington, avec l'appui des Saoudiens. Cependant, il continue à entretenir différents types de dialogues avec ceux-ci. On ne doit sans doute pas, à Moscou, renoncer à la perspective de relations apaisées avec les monarchies sunnites.  

  • Jérusalem, capitale d’Israël : où est le problème ?

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    Bernard Plouvier

    Au Nord de la Judée, sur quelques plateaux rocheux, existait il y a quatre millénaires un bourg fortifié, celui des antiques Jébuséens, dont le grand homme mythique était Melchisédech.

    Le fortin du Mont Moriah fut pris d’assaut à la fin du 11esiècle avant J.-C. par les sicaires d’un chef de guerre, unificateur de quelques tribus d’hébreux, le sieur David, tributaire du pharaon de son temps. On imagine les tueries, le pillage et les viols qui ont suivi.

    Rien n’a changé en trois millénaires. Les Juifs ont choisi pour capitale de Judée la cité de Jérusalem, où Moïse, le créateur de Yavhé, n’avait jamais traîné ses sandales.

    Jésus de Nazareth y est venu prier et prêcher dans le Temple rebâti sur l’ordre du métis de Juive et d’Édomite (variante : Iduméen), Hérode le Grand, soutenu par Pompée puis par Marc-Antoine. Le plus beau des fils des hommes fut même crucifié sur le Mont Golgotha (où Adam était réputé enterré).

    Après une énième révolte juive, Hadrien, qui à la différence de Titus n’aimait pas les femmes et ne se souciait pas de prendre un giton juif, fit niveler en partie le site de Jérusalem et, pour avoir la paix, en chassa les Juifs.

    Mahomet, l’inventeur d’Allah, calqué sur la divinité hébraïque, le racisme matrimonial et le séparatisme forcené en moins, ne s’est intéressé qu’à La Mecque, après avoir été chassé de Médine. Mais ses califes ont voulu annexer Jérusalem, que les chrétiens ont voulu reprendre. Il s’en est suivi trois siècles de guerres, de massacres, puis l’occupation ottomane, synonyme d’immobilisme et de paresse, fit entrer la région dans un état de quasi-néant.

    Durant la seconde moitié du XIXe siècle, des milliardaires juifs de France et de Grande-Bretagne, effrayés de l’afflux de Juifs d’Europe centrale et orientale, achetèrent des terres aux seigneurs turcs de Palestine pour y implanter des foyers agricoles juifs. Ils n’eurent guère de succès.

    Là-dessus, un Juif qui voulait à tout prix faire parler de lui, Theodor Herzl, reprit la vieille idée du retour à Jérusalem (en France, on en parlait au moins depuis le règne de Louis XIII). Ni le calife-sultan d’Istanbul ni les Juifs d’Europe occidentale ne voulaient de ce sionisme et l’opposition fut pire après 1918.

    Les Britanniques, maîtres des pétroles d’Irak, d’Iran et de Mossoul, voulaient bien de quelques colonies agricoles juives et d’une cité côtière juive en Palestine – Tel-Aviv, sur le site de l’antique Jaffa -, mais il était pour eux hors de question de mécontenter les fanatiques mahométans en offrant Jérusalem aux Juifs.

    Les sanglantes bacchanales d’Adolf Hitler et quelques guerres, menées avec le soutien des USA où le lobby juif terrifie l’Exécutif par sa richesse, sa puissance médiatique et son pouvoir de nuisance, réglèrent la question et Jérusalem devint la capitale de l’État d’Israël, reconnue par la Russie du grand Poutine… et comme nous avons là un homme de grande intelligence, il n’a reconnu comme capitale israélienne que « Jérusalem-Ouest ».

    Qu’en ce mois de décembre 2017, l’autre super-grand chef d’État, celui des USA, reconnaisse Jérusalem comme capitale de l’État hébreu ne peut étonner personne. Trump marque clairement qu’il en a assez de l’autre lobby, celui du pétrodollar qui finance le fanatisme mahométan.

    Bien évidemment, il serait souhaitable que la direction US fasse preuve de la même intelligence politique que celle de Poutine et différentie clairement Jérusalem-Ouest, capitale israélienne, de Jérusalem-Est, future capitale de l’État indépendant de Palestine, peuplé d’Arabes.

    Ceci posé, si après l’instauration d’un véritable État palestinien, les fanatiques de Yavhé veulent tuer les fanatiques d’Allah et réciproquement, en quoi, nous autres Européens, sommes-nous concernés ?

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  • Russie : Poutine candidat à un quatrième mandat en 2018

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    RUSSIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Au terme d’un suspense entretenu pendant plusieurs mois, Vladimir Poutine a annoncé Mercredi sa candidature pour un nouveau mandat de Président. Après 17 ans passés au pouvoir, ce serait son quatrième mandat et s’il était élu, il dirigerait le pays jusqu’en 2024.

    La Constitution russe interdit à un Président de se présenter 3 fois de suite, mais pas plus de trois fois. Cette interdiction avait d’ailleurs été contournée en 2008 quand il était devenu Premier ministre en installant Dimitri Medvedev à la Présidence. La seule chose qui pourrait arrêter Vladimir Poutine serait la lassitude de son peuple.

    Poutine a réellement de sérieuses chances de gagner. Pour la majorité de son peuple Il incarne la renaissance de la Russie et comme celui qui a su rétablir le prestige et la grandeur de la Russie sur l’échiquier international. Son bilan économique est irréprochable: le pays n’est pas endetté et le niveau de vie des habitants a considérablement augmenté.

    Certes, le jour de ses 65 ans des milliers de russes ont manifesté dans tout le pays au slogan « Poutine, honte de la Russie ». Ils mettaient en cause, notamment, les arrestations d’opposants politiques.

    Qu’il ait été Tsariste ou Soviétique, le régime russe a constamment présenté un caractère autoritaire, et le régime instauré par Vladimir Poutine n’est pas exempt de tout aspect autocratique,. Mais la majorité des russes semble approuver ce type de gouvernance. Le besoin d’un pouvoir personnel fort semble l’emporter d’autant que la liberté d’entreprendre et de circuler qui est assurée compense à ses yeux, les quelques entraves à la liberté d’expression. Bien qu’une une partie de la population manifeste, elle reste largement minoritaire. On devrait pouvoir le mesurer politiquement lors des prochaines élections.

    https://fr.novopress.info/

  • Objection, votre honneur !

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    1237311666.2.jpgLe président Obama à Paris, c’est bien sûr un événement !

    L’aura du prédécesseur de Donald Trump brille d’autant plus que la gestion de celui-ci inquiète. Son caractère fantasque ne s’est pas corrigé à l’épreuve du pouvoir, et dans le monde tel qu’il est cela a de quoi déstabiliser. Obama, c’est le strict contraire de Trump, et l’on comprend que tout un auditoire choisi soit allé l’écouter avec ravissement, samedi, à la Maison de la radio. Cet homme c’est la classe, la distinction, la mesure et de surcroît l’optimisme. N’a-t-il pas déclaré d’emblée : « Nous vivons la meilleure époque de tous les temps. » C’était pour ajouter, il est vrai : « Beaucoup la considèrent comme une époque terrible. Je suis convaincu que nous pouvons remplacer la peur par l’espoir. » Comment l’auditoire n’aurait-il pas reçu un tel message cinq sur cinq ?

    Sans vouloir à toute fin briser le charme, il est quand même permis de se poser quelques questions. Tout d’abord sur son auditoire privilégié. Celui-ci est très loin de représenter toute la France dans son ensemble, et même la capitale. Pour avoir le privilège d’écouter Barack Obama, il faut faire partie d’un certain cercle, être admis par un organisme – qui s’intitule curieusement les Napoléons – capable de garantir un cachet de 400 000 euros à l’orateur. Certes, cela fait partie des mœurs de ce monde privilégié et des anciens dirigeants politiques tels Tony Blair, Bill et Hillary Clinton, et même nos anciens présidents à nous.

    Autre question. L’optimisme de Barack Obama semble pris en défaut quand il s’agit d’aborder certains problèmes cruciaux : le terrorisme et les mouvements migratoires de fond. On l’a trouvé un peu évasif là-dessus. Donald Trump l’est beaucoup moins. On peut le trouver brutal et souvent dangereux. L’actuel titulaire de la Maison Blanche n’en dispose pas moins d’un solide crédit du côté de l’électorat républicain. On pourrait en dire autant sur un certain nombre de dirigeants d’Europe centrale, qui, eux aussi, inquiètent, mais n’en sont pas moins en empathie avec les peuples qui les ont désignés. C’est que le seul optimisme ne suffit pas à rassurer. On ne fera pas l’économie d’une franche explication sur les sujets qui fâchent. Ceci dit, Barack Obama n’a pas forcément tort sur tout. On doit l’écouter non sans l’interrompre parfois : objection votre honneur ! 

    Gérard Leclerc

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 4 décembre 2017

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le manque d'intérêt porté par la France à son domaine maritime

    Lu dans L'Action française 2000 :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html