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international - Page 985

  • Les Russes ont testé la faiblesse aérienne des états membres de l’OTAN

    Après que l’UE ait imposé des sanctions économiques à la Russie, dans l’espoir de la mettre à genoux et pour réduire sa force militaire, la Russie a démontré que les pays européens n’ont pas atteint leurs objectifs. La Russie, qui n’a pas perdu sa lucidité avec les sanctions, joue avec eux au chat et à la souris.

    Une nouvelle vague d’hystérie s’est propagée parmi les médias européens, en exact copier/coller des médias américains. Cela ressemble à quelque chose comme ceci : les pays de l’OTAN ont mobilisé leurs forces aériennes, l’OTAN est en état d’alerte. Les stars de l’information se demandent ce qu’il faut faire pour résoudre le problème. Mais quel est le problème ? Comme tout le monde a des notions de géographie, je suggère de regarder un peu mieux la carte de l’.

    europamare© http://www.Harti.jurnaldevacanta.ro/Europa/europamare.jpg

    Que s’est-il passé réellement ? Continuer la lecture 

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • La déroute d'Obama comme motif de satisfaction

    Oui, la victoire des républicains connue à Paris ce 5 novembre, doit être considérée comme une bonne nouvelle pour l'Europe.

    À l'heure où ces lignes sont écrites, le site du Washington Post indique la composition suivante du Congrès : on connaissait 97 sénateurs sur 100, 52 aux républicains, 45 aux démocrates ; 418 représentants sur 435, 242 aux républicains, contre 176 aux démocrates ; 46 gouverneurs sur 50, 31 aux républicains, 15 seulement aux démocrates.

    La poussée conservatrice continue par conséquent. Le peuple américain repousse ce que la gauche française trouvait épatant, notamment l'assurance-maladie étatique de l'Obamacare. Amplifiant les résultats de 2010, ce rejet n'a même pas été entravé par le phénomène Tea Party, supposé diviseur, sans doute surestimé.

    Obama, président réélu en 2012, par la division et l'absence d'un bon candidat d'opposition, ne disposait déjà plus de la majorité nécessaire à la chambre des représentants pour faire voter ses budgets. Perdant aussi le Sénat, qui contrôle la politique extérieure, il se trouvera en position de faiblesse pour les deux années qui lui restent. N'oublions d'ailleurs jamais qu'il était ridicule de parler de ce que font ou projettent de faire "les Américains" en réduisant les 316 millions d'Américains, à Obama aujourd'hui, comme on le fit pour GW Bush hier.

    Les amoureux de la francophonie trouveront-ils à cet égard leur compte à la vue des résultats de la 4e circonscription de l'Utah, où Mma Mia Love, nouvelle élue, est à la fois la première représentante noire républicaine, le premier élu d'origine haïtienne, son père portant le nom bien français de Jean Maxime Bourdeau.

    Rappelons aussi que tout ce que l'on nous a enseigné sur le régime bipartisan, sur la séparation des pouvoirs, etc. fonctionne autrement que dans les cours et les manuels de Maurice Duverger ou dans les articles du Monde pour lesquels:

    1° républicains et démocrates c'est pareil (en fait c'est très différent) 

    2° mais les bons sont les démocrates, évidemment, et les affreux sont les républicains (en fait c'est le contraire).

    On ne doit pas se figurer non plus que cette configuration affaiblisse l'Amérique sur la scène internationale. Elle reproduit celle de la présidence Clinton, de novembre 1995 à novembre 2000, c'est-à-dire au moment même où l'on parlait d'une seule et unique "hyperpuissance" mondiale.

    On retrouve aussi une situation oubliée, mais très importante. Ce fut celle du commencement de la guerre froide à la fin du mandat de Truman entre 1947 et 1948. Les démocrates furent battus à plate couture aux élections de novembre 1946, pour la première fois depuis 1928. A cette époque certes l'Union soviétique allait encore réaliser son fameux "coup de Prague" renforçant son contrôle sur la Tchécoslovaquie. Mais, partout ailleurs, s'élève la politique du "communisme containment" et de la guerre froide.

    Le raidissement occidental doit beaucoup au résultat de ces élections intermédiaires de 1946. Le raz-de-marée allait annoncer la naissance du mouvement conservateur théorisé à partir de 1953 par National Review. Jusque-là les "conservateurs" et ceux qu'on appelle "libéraux" (dans le vocabulaire politique américain un "libéral" c'est quelque chose comme un socialiste) se retrouvaient dans les deux partis. Le grand old party "républicain" était né plutôt "à gauche" en 1854. En 1860 il l'emporte avec Lincoln. Ce n'est donc que beaucoup plus tard que "républicain" deviendra quasi synonyme de conservateur. Traditionnellement ils étaient le parti des "WASP" blancs et protestants, toutes les minorités étant attirées par les démocrates. Ceci n'est plus tout à fait vrai.

    En 1946, les choses commencent à changer. Par exemple, un Joseph McCarthy était élu, pour la première fois, sénateur du Wisconsin, fief traditionnel des progressistes La Follette. Il était républicain quoique catholique d'origine irlandaise. Mais la même année, c'est en tant que démocrate de nuance conservatrice que le jeune John Fitzgerald Kennedy apparaît que comme représentant dans la 11e circonscription du Massachussets. À noter que, devenu sénateur, Kennedy votera jusqu'au bout pour McCarthy, ami de sa famille, et refusera le blâme de décembre 1954 qui brisa la carrière du courageux anticommuniste.

    Petit à petit, les républicains vont devenir "la droite", et les démocrates "la gauche", etc.

    Certains craignent parfois, curieusement, en Europe, qu'une telle vague politique de ce parti prenne un tour "isolationniste". Telle était autrefois la marque des républicains. Ainsi, après leur victoire et l'élection de leur candidat Harding à la présidence en novembre 1920, avaient-ils refusé de ratifier le système mis en place sous l'influence du démocrate Wilson.

    Est-il interdit de rêver ? On pourrait se demander d'ailleurs dans quelle mesure un moindre engagement de Washington dans la défense du Vieux Continent n'obligerait pas, au contraire, l'Europe à se réveiller et à prendre, enfin, la décision de consacrer les moyens nécessaires et de se défendre elle-même contre des périls grandissants ?

    Malheureusement le problème de l'asservissement de l'Europe, aujourd'hui, ne vient pas d'outre-Atlantique. Il résulte d'abord de la veulerie décadentielle et déliquescente de nos classes politiques, de nos opinions publiques, de nos fabriques de crétins éducatives, etc.

    Les commentaires que la presse parisienne consacre à ces élections américaines de mi-mandat font, de toute manière, plaisir à voir. Non seulement, en effet, ils traduisent le dépit de nos commentateurs agréés, mais ils semblent aussi refléter aussi l'ignorance des institutions et de l'Histoire politique des États-Unis.

    Mentionnons à peine le travail préparatoire du "Monde". Dans un article en ligne le 4 novembre veille du scrutin, Élise Barthet collaboratrice de la rédaction parisienne prétendait expliquer :"Pourquoi les 'midterms' n'intéressent, selon elle, personne aux États-Unis ?"(1)⇓

    Le but de cette désinformation consiste à délégitimer d'avance et à minimiser cette défaite de la gauche. Il ne s'agit plus de "ne pas désespérer Billancourt" puisque le problème, non résolu du parti socialiste aujourd'hui est de se défaire de sa "prolophobie". (2)⇓ Cet objectif révélateur était avancé par l'illustrissime François Kalfon soutien de Hollande en 2012. Il s'agit avant tout de conforter la gauche caviar la plus intelligente du monde dans son rêve pourri d'un changement de peuple.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  cf. Le Monde.fr le 04.11.2014 à 19h29 • Mis à jour le 04.11.2014 à 20h14 | 
    2.  "Il faut chasser des instances du PS les réflexes de 'prolophobie'" disait François Kalfon secrétaire national du PS aux études d'opinion cf. Le Monde le 7 décembre 2011.
  • Jihadistes revenus de Syrie : déjà plus de 150 morts en Chine

    Lu sur le Réseau Voltaire : La présence de jihadistes chinois en Syrie est attestée depuis octobre 2012 [1], mais elle s’est considérablement accrue à l’été 2014, au point de constituer un quartier chinois à Rakka, capitale de l’Émirat islamique.

    Principalement issus de la communauté ouïgour, ces combattants passent souvent par le Cambodge ou l’Indonésie et sont véhiculés avec l’aide des services de renseignement turcs (MIT).

    Au cours des derniers mois, plusieurs attentats islamistes ont été perpétrés en Chine par des jihadistes revenus de Syrie
    – place Tiananmen à Pékin, le 28 octobre 2013, 5 morts et plus de 40 blessés ;
    – gare de Kunming, le 1er mars 2014, 29 morts et 143 blessés ;
    – gare d’Uruqmi, 30 avril 2014, 2 morts et 79 blessés ;
    – marché d’Urumqi, le 22 mai 2014, 31 morts et de nombreux blessés ;
    – hôtel de police de Kargilik, le 21 juin 2014, 13 morts et 3 blessés.
    – hôtel de police de Shache/Yarkant, 28 juillet 2014, 96 morts et de très nombreux blessés.

    Même s’il existe des craintes en Europe et aux États-unis, il s’agit pour le moment des seuls cas avérés de combattants ayant commis des attentats à leur retour de Syrie chez eux dans le cadre d’organisations jihadistes [2].

    L’Émirat islamique semble avoir été conçu pour combattre à terme la République populaire de Chine [3].

    Le ministère irakien de la Défense a diffusé deux photographies de citoyens chinois membres de l’Émirat islamique.

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    http://www.contre-info.com/

  • Etat Islamique – Sur le marché aux esclaves, une fillette de neuf ans se négocie 140 euros

    C’est le site Iraqinews.com qui a fait connaître ce document de l’Etat Islamique qui révèle les prix des esclaves. Plus une femme est jeune, plus sa valeur augmente. Les fillettes sont les esclaves qui se vendent le plus cher. Ici, les djihadistes pratiquent la pédophilie en toute impunité.

    Sur le marché des esclaves, les prix s’effondrent. Par conséquent, l’État islamique a décidé de fournir des grilles de prix en fonction de l’âge des esclaves.

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  • Russie : plus de 13 000 églises construites depuis la chute du communisme

    Christophe Geffroy, directeur de La Nef, revient de Russie et raconte :

    "Voyage passionnant qui nous a permis de prendre le pouls d’une nation régulièrement caricaturée dans les médias. Et finalement, après huit jours à arpenter les rues, les monastères et les églises de Moscou, Serguiev Possad, Iaroslav, Souzdal, Vladimir, Novgorod et Saint-Petersbourg, on comprend mieux la haine de l’intelligentsia pour la Russie de Vladimir Poutine. Non seulement les Russes ont le mauvais goût d’apprécier leur président qui bénéficie d’une popularité à laquelle M. Hollande ne peut espérer – pas même en rêve –, mais il émane du peuple russe tout ce que méprisent nos intellectuels de la rive gauche : un peuple qui a retrouvé la fierté de ce qu’il est, de son histoire, de sa culture et de sa religion.

    Certes, tout est loin d’être idyllique en Russie, mais la grande différence avec la France est que ce pays meurtri par plus de soixante-dix ans de communisme est maintenant sur une voie de redressement. Pas seulement du point de vue économique, mais surtout d’un point de vue politique, spirituel et moral. Vladimir Poutine a replacé la Russie au cœur du concert des nations qui comptent et sa diplomatie a désormais une cohérence et une vision à long terme qui contribue aux équilibres internationaux, limitant ainsi la toute puissance des États-Unis. Les Russes cherchent maintenant à s’appuyer sur leur longue histoire et à ceux qui les accusent d’agression, ils aiment à rappeler (avec de légers trous de mémoire) que depuis la fondation du royaume de Kiev, ils n’ont fait que se défendre des invasions à l’est (Mongols et Tatares, Turcs) et à l’ouest (Pologne-Lituanie, Napoléon, Hitler) ! Ce retour aux sources a bénéficié à l’Église orthodoxe qui connaît un fort développement avec plus de 13 000 églises construites depuis la chute du communisme et des séminaires pleins. La pratique religieuse reste cependant encore assez faible, mais il est évident pour tous que l’orthodoxie est un élément essentiel de l’identité russe. La Russie est enfin l’un des rares pays développés où les notions de loi naturelle et de famille traditionnelle ont encore un sens, même s’il reste beaucoup à faire en raison des pratiques instituées de longue date par le communisme. [...]"

    Michel Janva

  • Le directeur général de l’OMS s’en prend aux entreprises pharmaceutiques

    Le docteur Margaret Chan, à la tête de l’Organisation mondiale de la santé, dénonce l’avidité des grands groupes pharmaceutiques, responsable selon elle du retard dans l’apparition d’un traitement contre le virus Ebola. Elle explique ainsi qu'« une industrie guidée par le profit n’investit pas dans des produits pour des marchés non solvables. L’OMS essaye depuis très longtemps d’attirer l’attention sur cette question. Maintenant chacun le voit par lui-même. » Les premiers tests de vaccins devraient se dérouler en décembre.

    L’OMS comptabilise au 31 octobre 13.567 cas d’Ebola, dont 4.951 mortels. Pour le docteur Chan, c’est la crise sanitaire la plus grave des temps modernes. Les Etats-Unis ont déclaré en septembre que le virus Ebola constituait une menace pour la sécurité internationale, tandis que la France en est toujours aux recommandations.

    Radio Courtoisie : Bulletin de réinfo du 4 novembre.

     http://www.oragesdacier.info/

     

  • Pakistan : un couple de jeunes chrétiens brûlés vifs pour « blasphème »

    Un couple de chrétiens d’une vingtaine d’années a été brûlé vif, mardi, dans un four à briques par une foule de musulmans, dans un village au sud de Lahore, à l’est du Pakistan.

    Les deux jeunes époux, lui âgé de 26 ans et elle de 24 ans, qui travaillaient dans une fabrique de briques, ont été séquestrés et retenus en otage pendant deux jours, depuis dimanche 2 novembre, à l’intérieur de l’établissement. Le matin du 4 novembre ils ont été poussés dans un four où était en cours la cuisson de briques.

    L’avocat chrétien Sardar Mushtaq Gill a expliqué à l’agence Fides que l’accusation de blasphème contre le couple était liée au récent décès du père de Shahzad. Sa femme, en nettoyant l’habitation de son beau-père, le 2 novembre, avait brûlé un certain nombre de papiers du défunt, jugés inutiles. D’après un musulman ayant assisté à la scène, des pages du Coran se seraient trouvées dans les documents incinérés.

    L’homme a en tout cas fait courir cette rumeur dans les villages alentours. Suite à cela, une foule de plus de 100 musulmans en colère est venue prendre les deux chrétiens en otage, avant de les assassiner.

    Source

    http://www.contre-info.com/