international - Page 986
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Strasbourg se mobilise contre la guerre en Ukraine
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Le GIEC, allié utile du mondialisme
« La science a parlé. Il n’y a aucune ambiguïté sur son message. Les gouvernements doivent agir. Le temps joue contre nous. » Tout est dit, ou presque, dans cette objurgation de portée mondiale puisque émanant de Ban Ki-moon lui-même, soit le secrétaire général des Nations unies.
Une sentence valant sermon, dans une tonalité délibérément apocalyptique, dans le but d’affoler les populations, à l’approche de l’Armageddon climato-atmosphérique. Un coup de semonce verbale qui renseigne sur la valeur intrinsèque du message comme sur celle des oiseaux de mauvais augure qui l’ont inspiré.
Ces derniers proviennent de l’inoxydable GIEC ou « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ». Le but de cette officine ? « Présenter au monde l’état actuel des connaissances scientifiques sur les changements climatiques et leur incidence potentielle sur l’environnement et la sphère socio-économique. » En d’autres termes, révéler, urbi et orbi, La Vérité messianique sur ce que nous devons obligatoirement penser des aléas et autres évolutions climatiques. [...]
Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire
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Etats-Unis: les Républicains acquièrent une majorité solide au Sénat
Le désaveu d'Obama et des Démocrates pressenti s'est concrétisé hier, et a même été plus fort que prévu. Les Républicains sont assurés de disposer de 52 sièges sur 100 au Sénat, et ont toutes les chances de passer à 54 sièges après le résultat de l'Alaska dans la journée et un second tour en Louisiane dans les semaines qui viennent. Simultanément, les Républicains gagneraient une douzaine de sièges à la Chambre, confortant une majorité déjà solide.
Ces majorités larges rendront les Républicains moins dépendants de leurs membres les plus centristes, et rendent moins probable des arrangements de ces derniers avec les Démocrates, par exemple pour faire adopter une régularisation des immigrés clandestins.
Les Républicains remportent presque tous les scrutins emblématiques que nous avions identifiés hier.
Pour le Sénat, Joni Ernst l'emporte ainsi plus largement que prévu dans l'Iowa (avec huit points d'avance), ainsi que Pat Roberts au Kansas (avec une dizaine de points), tous deux face à des candidats pro-LGBT; tandis que Scott Brown échoue de peu dans le New Hampshire.
Parmi les cinq élections de gouverneur que nous avions notés :
- En Floride, le sortant Rick Scott l'emporte face à l'ex-Républicain Charlie Crist, qui avait entièrement renié ses positions pro-famille et pro-vie lors de son passage chez les Démocrates.
- Dans le Colorado, le résultat définitif n'a pas été proclamé, mais il se confirme que le sortant Démocrate a été mis en difficulté, notamment pour ses prises de positions contre la peine de mort et pour un contrôle accru des armes à feu;
- Dans le Wisconsin, le pro-vie Scott Walker, dont la gauche syndicale voulait la tête, est réélu.
- Au Texas, le rejet de la figure de proue pro-avortement Wendy Davis est confirmé: elle ne remporterait que 39% des voix contre 59% à son adversaire Républicain.
- Enfin, au Kansas, le gouverneur sortant Sam Brownback, l'un des Républicains les plus courageux sur la famille et le respect de la vie, l'emporte face à une coalition des Démocrates et de l'aile gauche de son propre parti.
Parmi les référendums d'Etat:
- les pro-vie se réjouissent particulièrement du passage dans leTennessee, à 54%, d'un amendement à la constitution de l'Etat qui permettra l'adoption de lois protégeant l'enfant-à-naître.
- une mesure proposant de fournir des permis de conduire aux immigrés illégaux est rejetée par plus des deux tiers des votants dans l'Oregon - un Etat pourtant de gauche, et où les pro-immigration avaient dépensé dix fois plus pendant la campagne que les opposants à la mesure.
Enfin, dans l'Oregon toujours, une défaite qui fait chaud au coeur: la candidate Républicaine au Sénat, qui avait la particularité d'être pro-avortement et pro-LGBT, a été largement battue.
Le message des électeurs n'est donc pas seulement adressé à Obama et aux Démocrates, mais aussi à l'establishment modéré Républicain.
Mise à jour 11h20:
Le Républicain est en voie de remporter l'élection sénatoriale en Alaska, portant à 53 la majorité Républicaine.
Le candidat Démocrate semble être réélu d'un cheveu au poste de gouverneur du Colorado.
Au bilan: dans les scrutins les plus en vue, les derniers sondages de la campagne ont fait preuve d'un biais de 6 points en faveur des Démocrates.
Du côté des référendums, malgré leur succès dans le Tennessee, les pro-vie ont été tenus en échec dans le Colorado et dans le Dakota du Nord.
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Scandale à la mission de l’UE au Kosovo
C’est Maria Bamieh, procureur britannique, travaillant pour la mission européenne de police et de justice au Kosovo (Eulex) qui a révélé le scandale. Elle dénonce des cas de corruption touchant au plus haut niveau de l’Eulex. A la proclamation de l’indépendance du Kosovo en 2008, l’Eulex succède à la Minuk, la mission onusienne au Kosovo, et en hérite les dossiers jugés trop sensibles pour la justice locale.
L’administration de l’Union européenne aurait en fait adopté les us et coutumes locales. Les accusations visent directement le procureur en chef de la mission et un ancien juge de l’Eulex. Ces derniers auraient accepté des pots‑de‑vin pour classer des affaires criminelles et acquitter les mis en cause. La Commission européenne a décidé de se pencher sur ce qui pourrait bien se révéler comme le plus gros scandale de son histoire.
http://fr.novopress.info/177921/scandale-mission-lue-au-kosovo/
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Crise financière : quand le FMI fait son mea culpa…
Le FMI bat sa coulpe. Les remèdes préconisés en 2010 par l’institution monétaire pour relancer l’activité après la crise financière ont été “loin d’être efficaces” et ont focalisé trop tôt sur des mesures d’austérité budgétaire, selon un audit interne publié mardi 4 novembre.
“Le cocktail de mesures (promu par le Fonds) a été loin d’être efficace dans le soutien à la reprise et a contribué à la volatilité des flux de capitaux sur les marchés émergents“, écrit le bureau d’évaluation indépendant (IEO) du Fonds monétaire international.
Selon ce rapport à la tonalité très critique, le Fonds a certes d’abord apporté une réponse appropriée à la récession mondiale de 2008-2009 en appelant à une relance budgétaire massive dans les pays riches.
“Mais son appel en 2010-2011 à un basculement vers la consolidation budgétaire (réduction des déficits, ndlr) dans quelques-unes des plus grandes économies était prématuré“, a écrit l’IEO.
L’audit note également que le Fonds a alors appelé les grandes banques centrales à adopter des politiques monétaires extrêmement accommodantes, mêlant taux d’intérêts bas et rachats d’actifs, afin de soutenir l’activité.
Ce mélange n’était pas “approprié“, la relance monétaire étant “relativement inapte” à doper la demande après une crise financière, assure l’audit interne, qui note que le Fonds n’a pas prêté assez tôt attention aux effets néfastes de ces politiques sur les pays émergents (volatilité financière, chute des devises…).
Pour l’avenir, le rapport affirme également que le mécanisme censé permettre au FMI de détecter les nouveaux risques financiers est devenu “trop complexe“.
“La quantité d’analyses est très difficile à absorber, pour les dirigeants politiques comme pour les équipes du FMI“, assure l’audit.
En réponse, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a salué un rapport “équilibré” tout en ssurant ne “pas partager” le diagnostic sur le remède anti-crise du FMI.
“Je crois profondément que conseiller aux économies ayant un fardeau croissant de dette de s’orienter vers une consolidation budgétaire était la bonne décision à prendre“, déclare-t-elle dans un communiqué distinct.
http://fortune.fdesouche.com/360969-crise-financiere-quand-le-fmi-fait-son-mea-culpa
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JT 2014 11 04 4 Output 1
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Jean-Marie Le Pen: «L’Union Européene est le Radeau de la Méduse»
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TVL journal du 03-11-2014
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Kobané, objet de tous les mensonges
Le 1er novembre 2014, les télévisions atlantistes et du Golfe montraient un convoi de 155 pehsmergas (pro-Israéliens) —c’est-à-dire des policiers du Gouvernement régional du Kurdistan d’Irak— traversant la Turquie sous les applaudissements des Kurdes turcs. Ces médias affirmaient que le convoi était arrivé à Kobané (Syrie).
Il n’en est rien.Les peshmergas sont actuellement stationnés au camp de réfugiés de Suruç (Turquie). Seule une délégation de dix d’entre eux est entrée dans la ville de Kobané, puis est repartie en Turquie.
De même, les médias turcs annoncent que 700 combattants de l’Armée syrienne libre (pro-Français et anti-Syriens) —sur les 1 300 annoncés— sont arrivés à Kobané, mais cette information n’est pas confirmée par les Kurdes syriens et il est peu probable que l’ASL dispose encore d’une telle force.
De son côté, le gouvernement syrien a dénoncé le projet d’entrée des peshmergas irakiens comme une violation de sa souveraineté.
Sur place, les forces de la Coalition états-unienne anti-Daesh poursuivent quelques bombardements (3 hier, contre 15 les jours précédents), toujours sans aucun résultat visible. Tandis que, à une cinquantaine de kilomètres de là, l’Armée arabe syrienne tente d’ouvrir un passage dans la ligne de front en la bombardant massivement (en moyenne 150 bombardements par jour). On ignore le nombre de jihadistes de Daesh présents, on sait juste que les États-Unis leur ont largué des armes « par erreur ».
Au moins 2 000 combattants du PYG défendent la ville syrienne de Kobané. La plupart sont d’anciens membres du PKK turc qui ont fui leur pays d’origine en raison de la répression et ont obtenu la citoyenneté syrienne au début de la guerre.
À Paris, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a dénoncé l’acharnement de la Coalition anti-Daesh à sauver Kobané qui, selon lui, n’abrite plus de civils mais uniquement des « terroristes » du PYG. Son hôte, le président français, François Hollande, a proposé de bombarder Alep, qui n’est pas occupée par Daesh ; la ville elle-même étant contrôlée par le gouvernement de Damas, sauf sa banlieue nord.
http://www.contre-info.com/kobane-objet-de-tous-les-mensonges#more-35294
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Persécutions religieuses : les pays musulmans largement responsables
Un rapport de l'Aide à l'Eglise en détresse (AED), mis en ligne aujourd'hui sur le site internet www.liberte-religieuse.org, souligne que dans 81 des 196 pays examinés, soit 41% d'entre eux, la liberté religieuse est "entravée" ou "en déclin". "Lorsqu'il y a eu des changements en matière de liberté religieuse" depuis le dernier rapport, publié en octobre 2012, "il s'agit dans presque tous les cas de détérioration", note l'organisation, qui classe dans cette catégorie 55 pays, soit 28% du total.
Quelques améliorations ont été constatées dans six pays seulement, dont quatre (Cuba, Emirats arabes unis, Iran et Qatar), au demeurant, restent classés dans les "lieux de haute ou moyenne persécution" religieuse.
Dans la catégorie "haute intolérance" figurent 20 pays, dont 14 "vivent des situations de persécution religieuse liées à l'extrémisme musulman" : l'Afghanistan, la Centrafrique, l'Egypte, l'Iran, l'Irak, la Libye, les Maldives, le Nigeria, le Pakistan, l'Arabie saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen. Dans six autres pays (Birmanie, Chine, Erythrée, Corée du Nord, Azerbaïdjan, et Ouzbékistan), les persécutions sont le fait de "régimes autoritaires", relève l'organisation.
Les chrétiens restent la minorité religieuse la plus persécutée, mais les musulmans subissent également un niveau sérieux de persécution et de discrimination, imputable soit à d'autres musulmans, soit à des régimes autoritaires.Le rapport n'épargne pas l'Europe occidentale, en particulier la France,classée parmi les pays d'"intolérance préoccupante", notamment en raison de la loi Taubira ayant dénaturé le mariage :
"la liberté religieuse est menacée par l'augmentation de nouvelles formes sociétales qui heurtent la sphère religieuse".
A noter que, dans ses sources, l'AED cite Le Salon Beige.