Bernard Rougier, professeur à l’Université Paris 3/Sorbonne-Nouvelle, directeur du Centre des études arabes et orientales (Paris 3), auteur de « Les territoires conquis de l'islamisme » est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio.
islamisme - Page 141
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, Bernard Rougier - "Les groupes idéologiques salafistes se sont installés il y a 15-20 ans en France"
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Yassine Belattar: drôle d’humour
Grâce à sa carte d’humoriste issu de la « diversité », on laisse ce soi-disant grand défenseur des musulmans sortir des horreurs à la télévision. Sous couvert d’humour, il milite pour un projet de partition de la société.
Yassine Belattar est un humoriste qui brille ces dernières années grâce à de nombreux sketchs qui deviennent, au fur et à mesure que les mois passent, des classiques. En 2018, son sketch « J’appelle au téléphone Albert Chennouf-Meyer – le père du soldat Abel Chennouf tué à Montauban par Mohammed Merah – pour le menacer de porter plainte contre lui pour racisme » déclenche rires et applaudissements mérités lors d’une tournée demeurée mémorable. Son fameux spectacle sur les djihadistes français, « Ils sont comme des enfants qui foutent le bordel à un anniversaire », reste dans les mémoires comme le summum de la transgression drolatique.
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Voile islamique... ou islamiste ?
Dans les sorties scolaires, la rue, en entreprise, sur la plage ou à la piscine sous forme de burqini… les affaires de voile islamique se multiplient pas étonnant, les islamistes en ont fait - parfois au nez et à la barbe des femmes qui le portent - leur étendard.
À moins d'avoir vécu, ces derniers temps, caché dans une grotte de Tora-Bora, impossible d'avoir échappé à la polémique sur la présence d'une femme envoilée au Conseil général de Bourgogne, contre laquelle s'est insurgée Julien Odoul, conseiller régional RN. C'est d'ailleurs l'un des prétextes à la sulfureuse manifestation, organisée par le CCIF (Comité Contre l'Islamophobie en France, proche des Frères musulmans) et soutenue par une partie de la gauche.
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150 quartiers sont “tenus” par les islamistes, selon un document classé secret-défense
Conséquence ou pas du bel accueil médiatique fait au livre du politologue Bernard Rougier, Les territoires conquis de l’islamisme, l’exécutif semble déterminé à lutter tant bien que mal contre les dérives communautaires, mais craint d’être accusé de stigmatiser les musulmans. Ainsi, le 5 janvier, après l’attentat de Villejuif, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a envoyé un télégramme aux préfets leur demandant de réunir les GED, à savoir les groupes d’évaluation départementaux. Cette énième réunion aura au moins accouché d’un chiffre, relayé par Le JDD : 150, soit le nombre de quartiers sous l’emprise de l’islam radical. Des territoires perdus de la République cartographiés par la DGSI.
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L’ancien directeur de la DGSE dresse le bilan de l’immigration en France
Pierre Brochand, ambassadeur de France, ancien directeur général de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) de 2002 à 2008, intervenait il y a quelques mois lors du séminaire « Immigration et intégration » de la fondation ResPublica. Extraits de son intervention :
Sur l’accélération spontanée de l’immigration
Le mouvement de l’immigration par le droit, dans la mesure où il est auto-entretenu – l’effet devenant la cause qu’il renforce –, s’accélère spontanément sans crier gare, selon une loi mise en évidence par Paul Collier, éminent économiste d’Oxford.
En vertu de ses recherches, 10 immigrés installés en font venir 7 autres par le jeu du droit (regroupement familial, mariages, études, naturalisations) et ces 17 en appellent 12 autres, et ainsi de suite à l’infini, comme dans une pyramide de Ponzi, dont il faut bien payer un jour la note...
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Deux djihadistes « revenants » remis en liberté en France
17/01/2020 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie :
Nicole Belloubet, ministre de la Justice, déclarait samedi 11 janvier, à propos des Français de retour du Djihad, ne plus voir « d’autre solution que de les rapatrier en France ».Cette affirmation, en contradiction avec la position du ministère des Affaires étrangères, s’explique par le risque de dispersion de ces individus en Syrie et en Irak. Les prisons irakiennes ou kurdes seraient en effet trop peu sécurisées pour garantir la détention des djihadistes. Une centaine d’entre eux seraient déjà parvenus à s’échapper de ces geôles.
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Il projetait d’assassiner des identitaires : le leader du groupe islamiste Forsane Alizza est sorti de prison !
Mohamed Achamlane est donc sorti le 1er janvier de la prison de Rennes.
Mohamed Achamlane avait été condamné en 2015 à neuf ans de prison pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et « détention illégale d’armes ».
L’homme de 41 ans, qui avait fondé le groupe islamiste Forsane Alizza en 2010, aussi appelé « Les cavaliers de la liberté », a été libéré de la prison de Vezin-le-Coquet, près de Rennes, le 1 er janvier, révèle ce mercredi Ouest-France. Sa peine avait été assortie d’une période de sûreté des deux tiers et il avait également écopé d’une privation de ses droits civiques pendant cinq ans.
Au moment de l’interpellation de Mohamed Achamlane, en 2012 près de Nantes, les policiers avaient retrouvé à son domicile des kalachnikovs démilitarisées, ainsi qu’une liste qui ciblait des commerces juifs ainsi que des personnalités politiques telles que Fabrice Robert, responsable du mouvement identitaire.
Dans une tribune intitulée “Ces adeptes du djihad qui voulaient s’en prendre aux identitaires“, Fabrice Robert écrivait alors :
Convoqué par un juge antiterroriste la semaine dernière, j’ai donc pu avoir confirmation des menaces qui pesaient sur moi. D’après deux témoins, Mohammed Achamlane aurait ainsi demandé à l’un de ses militants de me contacter pour tenter de m’assassiner. Certains avaient l’air assez déterminés et disaient se tenir à disposition de l’émir autoproclamé pour agir. J’ai également appris qu’ils cherchaient à se procurer quelques adresses personnelles, notamment celle de l’animateur du site Fdesouche. Une menace à prendre au sérieux quand on découvre que des membres de Forsane Alizza travaillaient chez des opérateurs de téléphonie.
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Retour des djihadistes en France – Mortelle faiblesse, par Maxime Tandonnet
Le retour en France des djihadistes, ou membres de l’Etat islamique Daesh semble être à l’ordre du jour, à tout le moins envisagé. Ils sont au nombre de 200, détenus en Irak. Ce sont des individus qui ont participé à la commission de crimes abominables, ou les ont cautionnés par leur ralliement : extermination de populations civiles, enlèvements de jeunes filles à des fins d’esclavage sexuel, destruction de Palmyre, anéantissement de populations chrétiennes et Yazidies, tortures, crucifixions, spectacle médiatisé de prisonniers égorgés par des enfants, captifs brûlés vifs dans des cages, etc.
Les mêmes ont commandité les attentats commis en France depuis 2015 et 2016 et le massacre de 260 personnes. Ils ont commis des crimes contre l’humanité, ils ont trahi le pays dont ils avaient la nationalité en portant le fer et le feu contre lui.
S’ils reviennent en France, ils retrouveront tôt ou tard la liberté.
Ils provoqueront de nouveaux massacres. Par leurs crimes abominables, ils se sont, de fait, exclus de la communauté nationale.
Les recevoir sur le territoire français serait une lâcheté innommable.
Maxime Tandonnet
Texte repris du blog de Maxime Tandonnet
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Pédophilie, islam politique : l’aveuglement, un marqueur des soi-disant « élites » ?
Valeurs actuelles, dans son numéro du 9 janvier, consacre un article à l’affaire Matzneff intitulé « La gauche et la pédophilie, une histoire monstrueuse ».
Dans cet article, un court paragraphe consacré aux années 1970-1990 attire l’attention :
« Sous le feu des critiques de la presse conservatrice, les défenseurs de la pédophilie pratiquent alors la victimisation à outrance. Ils fustigent un « lynchage », « une chasse aux sorcières » et se comparent aux juifs persécutés durant la Seconde Guerre mondiale « On fabrique du pédophile sur mesure à jeter derrière les barreaux comme on fabriquait les juifs à enfourner », ose ainsi, en 1981, le plus influent journal homosexuel de l’époque, Gai Pied. Et le terme « pédophobie » fait même son apparition. En face, les opposants sont qualifiés au contraire de « puritains », de « réactionnaires », de « fascistes » et de « nazis ». »
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La justice a une façon comme une autre de fêter les attentats de Charlie
Flavien Moreau, le premier jihadiste français condamné pour s’être rendu en Syrie, a été libéré de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), lundi. Il sera soumis à une surveillance judiciaire pendant un peu moins d’un an.
Cet homme âgé de 32 ans, arrêté en janvier 2013, est le premier Français à avoir été condamné pour un départ en Syrie. Le 13 novembre 2014, il avait écopé de sept ans de prison pour “association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte de terrorisme”.
Lors de son procès, ce Nantais, adopté à l’âge de 2 ans et converti à l’islam à la fin de son adolescence, avait affirmé n’avoir pris part à aucun combat et n’avoir fait qu'”un peu de surveillance et un peu de police”.
Libérable en juin 2019, Flavien Moreau a écopé de six mois de prison en appel, en mai 2019, pour avoir menacé de mort des surveillants de la prison de Vendin-Le-Vieil, où il avait été transféré en septembre 2018. Placé en quartier disciplinaire, il avait menacé de “planter” des surveillants et inscrit sur les murs de sa cellule “Je suis Ganczarski”, du nom du cerveau des attentats de Djerba de 2002, qui a agressé aux ciseaux trois surveillants de la prison de Vendin en janvier 2018.
Un déséquilibré comme un autre…