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Macron tolère l'antisémitisme des islamo-gauchistes
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Selon Nadine Morano, les Algériennes voilées doivent retourner en Algérie
Nadine Morano, ancienne ministre française chargée de la Formation professionnelle issue du parti Les Républicains, a appelé, jeudi 8 août dans un tweet, les femmes algériennes voilées à retourner en Algérie.
L’ex-ministre française a réagi à une série de tweets publiée par une ressortissante algérienne résidant en France.Cette Algérienne avait suscité une vive polémique après avoir dénoncé la discrimination contre les femmes voilées. La femme d’origine algérienne s’est plainte de s’être fait « jeter » d’une piscine du parc Aqualand à Saint-Cyprien à cause du port de burkini.L’ancienne ministre française Nadine Morano s’est violemment attaquée à la jeune femme algérienne qui, selon elle, appartient « à la catégorie de femmes qui viennent imposer leur culture en France et qu’on ne veut pas ».L’actuelle eurodéputée de Les Républicains a appelé la femme à rentrer chez elle en Algérie, « Prenez un avion et retournez en Algérie. En France, les femmes comme vous sont une insulte aux combats de nos mères pour la liberté. Partez dans un pays musulman vous serez tellement mieux », lui a-t-elle recommandé. -
Le réveil du nationalisme hindou contre l’islam
L’Inde de Narendra Modi va désormais peser de tout son poids sur le monde. Désormais, le parti au pouvoir à New Delhi est clairement hindouiste. Il est fort probable qu’il ait l’intention de consolider la position indienne au Cachemire, notamment en modifiant le rapport démographique entre les communautés. La suspension de l’autonomie de l’État du Jammu-et-Kashmir, qui passe sous le contrôle direct de l’État fédéral, lui permettra de faire intervenir l’armée de façon plus massive contre les infiltrations rebelles et d’« indianiser » la région. Cette décision prise par le président Modi, le 5 août, est dans la logique à long terme de son parti. Elle a aussi l’avantage de mobiliser le nationalisme indien dans un contexte économique décevant pour le pays. Toutefois, la République indienne est une démocratie. La Cour suprême peut condamner la décision. Le Pakistan a des alliés puissants : les États-Unis qui ont besoin d’Islamabad pour régler la question afghane, et la Chine qui occupe, elle aussi, une partie du Cachemire. Le fait que, depuis un an, le Premier ministre pakistanais soit Imran Khan, qui a mis fin à l’alternance des deux grands partis, la Ligue musulmane (sous ses deux factions) et le PPP, entrecoupée de coups d’État militaires, éclaire la confrontation d’un jour nouveau, puisque le gouvernement pakistanais apparaît relativement plus modéré que ses prédécesseurs.
Le conflit entre les deux puissances du sous-continent issues de l’indépendance en 1947 revêt une ampleur considérable pour deux raisons : d’abord, il s’agit de deux États possédant l’arme nucléaire. Ensuite, il s’agit une fois encore d’une friction à la limite du territoire de l’islam, qui souligne la dimension historique du problème. L’Inde est un pays à la richesse culturelle inégalable, inventeur de quatre religions : l’hindouisme, le bouddhisme, le jaïnisme et enfin celle des Sikhs. Les chrétiens y sont implantés depuis l’aube du christianisme, avec les églises syriaques malabare et malenkare. Les Zoroastriens perses s’y sont réfugiés lors de l’invasion arabo-musulmane. Enfin, comme partout, l’islam a conquis une grande partie du pays par la guerre et a laissé la trace de massacres et d’une domination écrasante. Du VIIIe au XVIIIe siècle, les musulmans, Arabes, Turcs, Mongols et Afghans n’ont cessé d’envahir et de pressurer l’Inde, soit par des raids meurtriers et destructeurs dans un pays regorgeant de richesses, soit par l’établissement d’États, comme le sultanat de Delhi ou l’Empire moghol. L’effacement du bouddhisme et de ses monuments, les luttes incessantes contre les hindouistes et les sikhs, à chaque fois accompagnées de massacres, de pillages et de destructions d’édifices sacrés, ont laissé des traces dans la mémoire collective, avec les souvenirs de Mahmoud le Ghaznévide, de Tamerlan ou d’Aurangzeb. Parfois, ces États ont mieux traité les Hindous et les ont même associés à l’administration. Rares ont été les conversions non forcées, comme au Cachemire ou au Bengale. L’islam est demeuré minoritaire, à l’exception de la vallée de l’Indus et d’une partie du Pendjab et du Bengale. Les pratiques rituelles sont opposées à l’extrême : les musulmans fêtent l’Aïd el-Kebir en égorgeant un mouton sans l’étourdir préalablement, les hindouistes sont végétariens.
Les Occidentaux, au Pakistan comme en Indonésie, ont joué l’islam contre le communisme. Ce calcul était juste, puisque l’effondrement de l’URSS a été précipité par l’échec soviétique en Afghanistan, provoqué par la résistance musulmane financée par l’Arabie saoudite, armée par les États-Unis et aidée par le Pakistan. Par la suite, on s’est aperçu un peu tard que l’on avait joué les apprentis sorciers et réveillé le monstre, l’islamisme, un monstre qui suscite à tort ou à raison des craintes et de l’hostilité chez tous ses voisins : des Balkans aux Philippines en passant par l’Afrique centrale, le Caucase, la Birmanie et la Chine. Pour les nationalistes hindous, qui souhaitent reconstruire à Ayodhya un temple voué au dieu Rama rasé par les musulmans au XVIesiècle, sur les ruines d’une mosquée qu’ils ont incendiée en 1992, l’heure de la revanche a sonné.
Tout ce qui peut faire rentrer le génie dans sa bouteille devrait être privilégié. Les nationalismes sont les meilleures armes contre lui, en Syrie comme en Inde.
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Une mère de famille condamnée : le problème du retour des djihadistes subsiste
On peut trouver la sanction trop forte ou trop faible, selon le point de vue qu’on adopte. Une femme de 37 ans, qui avait séjourné pendant neuf mois en Syrie avec ses enfants, âgés de 9, 7 et 5 ans, a été condamnée à sept ans de prison. Après l’attentat de Nice, elle avait rejoint les combattants djihadistes. Pour fuir son mari, un Italien converti à l’islam, violent et jaloux, selon son avocat. « Un départ préparé, dissimulé et pensé comme définitif », estime le tribunal. Jugez-en plutôt.
Revenue en Turquie, puis expulsée en Italie et incarcérée en France en vertu d’un mandat d’arrêt, elle était en possession de documents officiels d’Ahrar al-Cham, un groupe terroriste salafiste. Sur son téléphone, on a trouvé des photos de propagande djihadiste, d’enfants morts et d’enfants soldats. Avant son départ, elle avait vidé les comptes bancaires de ses enfants et détruit son téléphone portable, ce qui accrédite la thèse de la préméditation. Apparemment, elle n’était pas partie faire du tourisme.
Sa version est tout autre. Elle voulait rejoindre « un combattant » avec qui elle entretenait des relations sur Internet et qu’elle a épousé dès son arrivée sur le sol syrien. Un roman à l’eau de rose, en quelque sorte. Ce que plaide aussi son avocat : « C’est un homme qu’elle rejoint, pas une idéologie, pas un groupe », a-t-il déclaré, sa cliente n’étant coupable que d’« avoir mis ses enfants en danger ». Le tribunal a d’ailleurs accordé un euro de dommages et intérêts aux trois enfants, « traumatisés par ce long séjour en Syrie ». Pas cher payé.
Qu’on estime le jugement trop sévère ou trop indulgent, force est de constater qu’il occulte de nombreux aspects du problème. La dépêche AFP ne dit rien de ce qu’il adviendra des enfants. Seront-ils confiés à l’ancien père ? Placés dans une famille d’accueil ? Soumis à un suivi médical et psychologique ? Plutôt que de se soucier du sort de leur mère, c’est au devenir de ses enfants, victimes du fanatisme, qu’il faudrait songer.
On peut regretter, aussi, l’absence de réaction des autorités publiques. Si la peine, assortie d’une période de sûreté des deux tiers, est supérieure aux réquisitions du parquet, qui avait demandé six ans, que deviendra la détenue à sa sortie de prison ? De nationalité italo-marocaine, restera-t-elle en France ? Lui remettra-t-on ses enfants ? Continuera-t-elle d’être d’être surveillée et contrôlée ? On entrevoit, à partir de ce cas particulier, les problèmes posés par le retour, en France, de familles de djihadistes.
Il faut dénoncer, également, l’hypocrisie d’une politique qui combat officiellement le terrorisme islamique mais entretient des relations amicales avec des pays dont chacun sait qu’ils ont soutenu ou soutiennent, directement ou indirectement, des mouvements terroristes. Ce n’est pas demain la veille ! En attendant, nos dirigeants se contentent de réagir au jour le jour, en fonction des circonstances. Ou de faire semblant d’agir. Ils ne gouvernent pas, ils bricolent.
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Lyon : un centre de « déradicalisation » ouvert en catimini pour ne pas « risquer l’opposition des riverains »
Terrorisme: un centre de déradicalisation a ouvert à Lyon
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Selon le JDD de ce dimanche 4 août, la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP) a ouvert ces structures en toute discrétion pour pouvoir tester le dispositif tranquillement, sans risquer l’opposition des riverains.
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L’objectif pour la fin d’année 2019 est de garder 110 femmes et hommes dans les radars.
Comme le souligne le JDD, les profils sont divers. À Marseille par exemple, le centre s’occupe d’une maman rentrée de Syrie avec ses enfants tout comme d’un homme dont la peine de prison a été aménagée.
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L'ONU redoute une nouvelle vague d'attentats en fin d'année
Samedi 3 août, le journal The Guardian rapportait l'existence d'un rapport de l'ONU selon lequel une nouvelle vague d'attaques terroristes serait à craindre d'ici à la fin de l'année 2019.
Dans ce document, les experts, qui s'appuient sur les services de renseignements des États membres de l'Organisation des Nations Unies, précisent que malgré la fin du « califat » de l'État islamique et les récentes défaites que ce dernier a accusées, l'Europe est soumise à une menace importante.« Lorsqu'il aura le temps et l'espace nécessaires pour réinvestir dans une capacité d'opérations extérieures, Daesh dirigera et facilitera les attaques internationales (...) La réduction actuelle de ces attaques pourrait donc ne pas durer longtemps », peut-on lire.[...]En savoir plus sur valeursactuelles.comSur le même thème lire aussi: -
Philippe d’Iribarne : «Islam : pourquoi beaucoup, en France, s’interdisent de nommer les faits qui gênent»
Ancien élève de l’École polytechnique et directeur de recherche au CNRS, le grand sociologue Philippe d’Iribarne analyse les freins psychologiques et les blocages culturels qui, selon lui, conduisent les Français s’exprimant dans l’espace public à l’autocensure et au déni sur certains aspects de l’islam.
Il n’est sans doute pas de sujet plus clivant dans la France d’aujourd’hui que ce qui touche à l’islam et au monde musulman. Il n’est quasiment pas de semaine sans que la polémique ne renaisse à son propos: la tenue islamique, du burkini dans les piscines aux mères voilées accompagnant les sorties scolaires, vue par certains comme un symbole féministe de liberté en dépit de la place que lui donnent les pays musulmans les plus attachés à l’enfermement des femmes ; les agressions contre des juifs ponctuées de «Allah akbar», dont on voit nier qu’elles aient un rapport avec une forme d’antisémitisme.
D’autres thèmes surgissent de façon plus épisodique, telles, récemment, les manifestations des supporteurs de l’équipe de football d’Algérie, que tout le monde auraient trouvées insupportables si les supporteurs du PSG ou de l’OM étaient en cause… […]
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Brexit : Boris Johnson met le turbo – Journal du mardi 30 juillet 2019
1) Brexit : Boris Johnson met le turbo
Fraîchement élu, Boris Johnson ne perd pas de temps pour préparer le Brexit. Le nouveau premier ministre britannique a entamé une tournée officielle au Royaume-Uni pour fédérer derrière lui. L’objectif : faire taire les détracteurs qui font planer le spectre d’une sortie sans accord.
2) La France championne du monde de l’abandon d’animaux
Plus de 8 000 animaux abandonnés par leurs maîtres ! Comme tous les ans, des milliers d’individus partent en vacances ou profitent de l’été pour abandonner leurs bêtes. Les associations tirent une nouvelle fois la sonnette d’alarme.
3) Boko Haram : 10 ans de terreur
10 ans après l’insurrection, le groupe terroriste Boko Haram fait toujours régner la terreur au Nigéria. Attentats, enlèvements, meurtres… face aux menaces, la population fuit et les bidonvilles continuent de prospérer.
4) L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/brexit-boris-johnson-met-le-turbo-journal-du-mardi-30-juillet-2019
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XRV - ISSEP - Xavier Raufer interrogé par les étudiants de l'ISSEP
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Femmes voilées : pour Amnesty International, la France et l’Iran, c’est bonnet blanc et blanc bonnet
Iran et France, même combat. C’est, apparemment, le message que veut faire passer Amnesty International dans un clip de soutien sur le thème : « Les femmes ont le droit de choisir quoi porter. C’est simple. »
Et même trop simple, quand on n’hésite pas à illustrer sa thèse en mettant dans le même sac « l’interdiction du voile intégral en France et dans une partie de la Suisse » et le fait « d’obliger les femmes à porter un foulard en Iran ».
Le vieux truc dialectique de la fausse fenêtre maquillant une façade bancale atteint ici un sommet dans le relativisme et la négation du réel.
Quoi de commun, en effet, entre l’Iranienne prête à risquer la prison et la flagellation pour le droit élémentaire de se promener « en cheveux » (comme disait ma grand-mère) et la militante-islamiste-française-de-papiers qui marque son territoire face à notre police, laquelle détourne courageusement le regard pour ne pas « faire de provocation » ?
Mais Amnesty International ne fait, ici, que réitérer sa position d’il y a un an, quand le Danemark promulguait sa loi interdisant le port de tenues dissimulant le visage en public : « Toutes les femmes devraient être libres de se vêtir comme elles le souhaitent et de porter des vêtements qui expriment leur identité ou leurs croyances. Cette interdiction aura un effet particulièrement négatif sur les femmes musulmanes qui choisissent de porter le niqab ou la burqa. » Ah ! qu’il est beau, ce « choisissent », parce qu’à notre connaissance, les Iraniennes n’ont pas vraiment le choix, ce qu’Amnesty International feint superbement d’ignorer…
Si cette ONG défend les droits de l’Homme (femmes comprises, évidemment), elle a toujours eu ses préférences. Très critique sur l’intervention de l’armée française au Mali, par exemple, mais silencieuse sur celle des USA en Afghanistan, alors que les deux armées poursuivaient le même but de lutte contre le terrorisme.
On comprend mieux l’attitude de ces humanitaires quand on sait combien ils sont liés au parti démocrate américain et, surtout, pour nombre d’entre eux, à l’arrosage des dollars de George Soros, lequel ne cache pas son soutien à l’invasion migratoire de l’Europe en général, et de la France en particulier. L’homme a ainsi financé l’association Alliance citoyenne qui, le mois dernier, cornaquait les militantes en burkinis des piscines de Grenoble.
Afficher un féminisme de pointe sans rien faire ou dire qui pourrait donner de l’islam conquérant une image négative, c’est une tâche qui demande d’énormes capacités reptatoires. Dans ce sport, Soros et sa myriade de tentacules associatifs sont très doués…