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islamisme - Page 178

  • Prisons, usines à islamistes ?

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    Un détenu islamiste a attaqué avec sa compagne deux agents pénitentiaires de la prison d’Alençon-Condé. Les forces de l’ordre ont donné l’assaut après plusieurs heures de siège. Le terroriste a été interpellé et sa complice tuée.

    L’un des établissements les plus sécurisés de France cible de deux terroristes. Mardi 5 février aux alentours de 9 h 45, après un week-end passé ensemble dans l’unité de vie familiale, Michaël Chiolo et sa compagne Hanane Aboulhana ont attaqué deux surveillants pénitentiaires de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), à l’aide d’un couteau en céramique. Michaël Chiolo se réclamerait de l’Etat islamique et dit avoir agi « pour venger Chrérif Chekatt », le terroriste ayant tué cinq personnes à Strasbourg, en décembre dernier. Ils se seraient connus lors d’un séjour à la prison d’Epinal. Après s’être retranchés dans l’unité de vie familiale pendant sept heures, ils ont été délogés vers 19 h 30 par le RAID. Le terroriste a été interpellé, tandis que sa compagne est décédée des suites de ses blessures.

    Agées d’une trentaine d’années, les deux victimes ont été hospitalisées. L’un d’eux aurait été « éventré », tandis que son collègue aurait été gravement touché au visage. Leurs jours ne sont « pas en danger », mais ils restent « très perturbés par cette agression sauvage », selon Philippe Devique, secrétaire régional du syndicat UFAP. La section antiterroriste du parquet de Paris a annoncé s’être saisie de l’enquête.

    Un terroriste converti

    Michaël Chiolo, 27 ans, n’était pas dans le quartier pour radicalisés (QPR), ouvert en septembre. Détenu de droit commun, il avait été condamné en appel à 28 ans de prison ferme, en décembre 2015, après avoir séquestré puis étouffé un octogénaire à son domicile, près de Metz (Moselle) en 2012. Converti à l’islam en 2010, il se fait remarquer en novembre 2015, lorsqu’il demande à ses codétenus de « rejouer » l’attaque du Bataclan dans la cour de la maison d’arrêt de Mulhouse. Il sera condamné à un an de prison ferme.

    Selon son avocat, Me Pauline Brion, Michaël Chiolo avait demandé après sa conversion « qu’on lui trouve une épouse ». C’est avec Hanane Aboulhana, 34 ans, qu’il projetait de se marier après l’avoir rencontrée en prison. Elle n’était pas fichée pour des faits de radicalisation.

    Une profession en danger

    « Il y a un an, nous avons connu une mobilisation sans précédent pour réclamer davantage de moyens et donc davantage de sécurité. Un an après, pas grand-chose n’a changé », déclarait Emmanuel Guimaraes (FO), le 12 février dernier. Et le temps ne fera rien à l’affaire. Le retour prévu de 150 djihadistes partis prendre les armes en Syrie pour le compte de l’Etat islamique pourrait augmenter considérablement l’insécurité dans les prisons, mettant en péril le travail des gardiens, insuffisamment armés et formés, en proie à des criminels de guerre.

    Joseph Rousseau, de FO Pénitentiaire à la prison d’Alençon, s’est indigné : « Face au détenu radicalisé armé d’un couteau, les surveillants n’avaient que deux sifflets… »

    Etienne Lafage

    Article paru dans Présent daté du 6 mars 2019

    https://fr.novopress.info/213847/prisons-usines-a-islamistes/

  • Jean-Michel Blanquer autorise les écoles du mouvement islamiste turc Millî Görüş

    Jean-Michel Blanquer autorise les écoles du mouvement islamiste turc Millî Görüş

    Lu sur le site Dômes et Minarets :

    « Après le collège Eyyûb Sultan en 2014, c’est une école élémentaire qui ouvrira à la rentrée dans la capitale alsacienne. Les pré-inscriptions pour l’année 2019-2020 sont désormais ouvertes. Avec ce nouvel établissement privé, la Confédération Islamique du Millî Görüş à travers son réseau UEPM renforce sa présence au sein de l’enseignement musulman privé en France. Celui-ci comprenant une centaine d’écoles et de projets d’écoles. Deux autres écoles privées sont en projet dans le Grand-Est à Belfort et Besançon, toujours portés par la même organisation. »

    Pour comprendre la nature du Millî Görüş lire ce dossier complet.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-michel-blanquer-autorise-les-ecoles-du-mouvement-islamiste-turc-milli-gorus/

  • Attaque à Condé-sur-Sarthe: les prisons face au défi de la radicalisation islamiste

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    Michaël Chiolo, le détenu radicalisé qui a poignardé mardi matin deux surveillants à la prison de haute sécurité de Condé-sur-Sarthe, a été interpellé dans la soirée à l’issue d’un assaut des forces de l’ordre au cours duquel sa compagne a été tuée. Détenu de droit commun, Michaël Chiolo, qui purge une peine de 30 ans, se serait “radicalisé en prison”, selon une source policière, mais n’était pas détenu dans le quartier pour radicalisés ouvert en septembre. Converti à l’islam en 2010, le détenu purge une peine de réclusion criminelle pour arrestation, enlèvement, séquestration suivie de mort et vol avec arme, et d’un an d’emprisonnement pour apologie publique d’acte de terrorisme.

    Nicole Belloubet a annoncé avoir saisi l’Inspection générale de la justice pour comprendre comment un détenu radicalisé a pu attaquer deux surveillants avec couteau introduit en détention sans être détecté lors des contrôles de sécurité.

    https://fr.novopress.info/213829/attaque-a-conde-sur-sarthe-les-prisons-face-au-defi-de-la-radicalisation-islamiste/

  • Attaque terroriste en prison : la dernière provocation – Journal du mercredi 6 mars 2019

     

    Attaque terroriste en prison : la dernière provocation

    Le terrorisme frappe au coeur d’un symbole de la justice. Mardi, dans la prison de Condé-sur-Sarthe dans l’Orne, un détenu radicalisé et sa compagne ont attaqué des surveillants avant de se retrancher plusieurs heures. Une attaque qui montre la fragilité des établissements pénitentiaires et l’inefficacité de la réponse pénale.

    Européennes : Laurent Wauquiez fait monter la pression

    Laurent Wauquiez a présenté une première liste de noms de 30 candidats pour les élections européennes sans donner leur place… alors que les sondages semblent indiquer un regain de forme des Républicains, la droite parlementaire retient son souffle pour obtenir le soutien de cadres historiques.

    Les géants du numérique vont-ils mettre la main à la poche ?

    Après avoir échoué à l’imposer au niveau européen, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, a présenté sa taxe sur les géants du numérique. Un coup de pied dans la fourmilière lors duquel les consommateurs pourraient être les victimes collatérales.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/attaque-terroriste-en-prison-la-derniere-provocation-journal-du-mercredi-6-mars-2019

  • Hijab et préférence de civilisation, par Jean-Yves Le Gallou sur Radio Courtoisie

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    Le 1er mars 2019, Jean-Yves Le Gallou participait au Libre Journal de l’Identité sur Radio Courtoisie. Il y a notamment évoqué son dernier livre Européen d’abord et la polémique sur le hijab.

    Source : Radio Courtoisie

    https://www.polemia.com/hijab-preference-civilisation-jean-yves-le-gallou-radio-courtoisie/

  • Refus de citoyenneté pour une “Américaine” qui avait rejoint l’État islamique

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    Un juge américain a rejeté lundi la demande d’examen en urgence de la citoyenneté d’une jeune femme qui souhaite revenir aux Etats-Unis après avoir rejoint le groupe Etat islamique (EI) et dont Washington refuse le retour, estimant qu’elle n’est pas américaine.

    Le père de la jeune femme demandait l’examen en urgence de sa situation, expliquant que les conditions de sécurité dans le camp étaient insuffisantes pour elle et son enfant âgé de 18 mois.

    En fait, c’est une terroriste et nous ne devrions pas faire revenir des terroristes étrangers aux Etats-Unis“, a affirmé à la radio WOC le secrétaire d’Etat Mike Pompeo, en visite dans l’Iowa.

    Nous n’avons pas besoin de ce genre de risque, nous n’avons pas besoin de gens comme elle qui menacent la vie des Américains et des gens de l’Iowa“, a-t-il ajouté.

    Successivement mariée à trois combattants de l’EI, tous tués, elle a activement participé à la propagande du groupe sous le pseudonyme de “Oum Jihad“, selon l’organisation Counter Extremism Project.

    Elle avait appelé à “faire couler le sang américain” et félicité les auteurs de l’attentat de janvier 2015 contre l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo, qui fait 12 morts.

    Elle affirme aujourd’hui avoir été “manipulée” par les recruteurs de l’EI et regretter ses actes (sic) maintenant que le groupe djihadiste a perdu la quasi-totalité des territoires qu’il contrôlait en Syrie et en Irak…

    https://fr.novopress.info/213817/refus-de-citoyennete-pour-une-americaine-qui-avait-rejoint-letat-islamique/

  • Le retour des djihadistes

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    Ils sont partis en Syrie faire ce qu’ils appelaient le Djihad. 
    C’est quoi le djihad ? 
    C’est une lutte impitoyable contre la démocratie, contre la liberté en général et contre celle des femmes en particulier. 
    Mais aussi contre les apostats, contre les homosexuels, pour la soumission des chrétiens et leur conversion forcée, contre les athées et les agnostiques qu’ils appellent des mécréants et n’ayant même pas le droit de vivre. 
    Finalement presque contre tout ce qui fait notre civilisation.
    Avant de partir en Syrie, ils connaissaient parfaitement les méthodes barbares et ce mot ne suffit pas à décrire la monstruosité dans le raffinement sadique de ces fanatiques. 
    Par le biais d’internet et des sites islamistes ils prenaient régulièrement conscience de ces horreurs. Plus ils en envoyaient, plus ils en redemandaient, au point d’en faire de la propagande et de recruter de nouveaux adeptes. 
    La France, ils la méprisaient de bon cœur, ils la détestaient et voulaient sa perte. 
    Les attentats les réjouissaient ; à Nice, au Bataclan, à Strasbourg. 
    Comment faire pour en préparer d’autres encore plus terribles ? 
    La bas en Syrie l’occasion se présentera pour eux de tuer des Kouffars et quand on reviendra on sera des combattants affirmés prêts à faire la guerre sainte dans cette France qui doit devenir musulmane ou être exterminée.
    Maintenant Daesh s’écroule mais n’a rien perdu de sa nocivité. 
    Mais un problème se pose. 
    Ces combattants du diable doivent ils rester place ou entrer sur notre territoire pour y être jugés ? Pour Castaner « ils sont français et doivent être jugés en France » 
    Non Monsieur Castaner, ils ne sont plus français, pour la raison majeure qu’ils ont brûlé leurs papiers d’identité en partant. 
    Pour Nicole Belloubet, ils ont droit à un procès équitable et « nous veillerons à ce que les droits de la défense soient assurés » . 
    Mais un procès équitable Madame, alors que « comme vous le dites » notre pays n’accepte pas la peine capitale signifie qu’un jour ils sortiront de prison dans 10 ans 15 ans avec les remises de peine et que le problème de leur dangerosité se posera à nouveau. 
    Mais restons encore, je crois dans la culture de l’excuse. 
    On connait le refrain « Les délinquants sont victimes de la Société »
    Propos faussement chrétiens, assaisonnés à la sauce bisounours. 
    Ces criminels là ne sont plus des délinquants ordinaires mais des hommes et des femmes transformés en bêtes féroces . 
    N’oublions pas que cette idéologie mortifère prospère sur la faiblesse de nos démocraties. 
    Nous sommes en guerre et l’on ne peut répondre à la guerre qu’à travers des lois correspondantes.
    Je pense qu’ils et elles doivent s’acquitter de leurs actes auprès des autorités judiciaires syriennes ou Irakiennes. 
    La peine capitale ne devrait pas leur faire peur puisqu’ils voulaient mourir en martyrs . 
    Il n’est pas inhumain de leur donner satisfaction.
    La raison devrait dans ce cas-là triompher de la passion et de l’idée de vengeance.
    Onyx

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/03/le-retour-des-djihadistes.html#more

  • Voile islamique en entreprise : la complaisance d’Emmanuel Macron

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    Soyons clair : petit 1, Emmanuel Macron ne l’est pas sur la question du voile islamique ; petit 2, il est en campagne électorale. Et en campagne, toute voix est bonne à prendre. 
    Jeudi soir, à Pessac (Gironde), le grand débat national avait pris des couleurs de soirée privée : pour participer, il fallait être une femme (voilée ou pas), président de la République ou garde du corps.
    Ça doit être ce qu’on appelle une société inclusive. Pour ça, peut-être aussi que la salle était tellement peu remplie que les caméras n’ont même pas pu le cacher aux téléspectateurs.
    Alors, nous avons eu droit à la scène touchante de cette dame voilée qui a dénoncé la discrimination dont elle serait victime. Là, Marlène Schiappa frémit et tend l’oreille : on est au cœur de son sujet, vu que le Président, au dernier remaniement, lui a refilé en sus le dossier des discriminations. « Je ne trouve pas de travail car le gouvernement a fait une circulaire pour m’interdire de travailler, tout simplement, parce que je porte un foulard », explique la dame voilée. On notera la manière quelque peu biaisée de présenter le « dossier » : c’est ce qu’on doit appeler l’accroche. À l’écouter un peu vite, cette femme serait victime d’une mesure individuelle. Elle précise, néanmoins son cas : « J’ai fait le choix de mettre un foulard, donc je n’ai pas le droit de travailler dans l’administration. » Eh oui, car les agents publics qui travaillent au service et au contact des usagers sont soumis à une obligation de neutralité. Voici ce que dit la loi du 13 juillet 1983, modifiée par celle du 20 avril 2016 : le fonctionnaire « dans l’exercice de ses fonctions est tenu à l’obligation de neutralité. Le fonctionnaire exerce ses fonctions dans le respect du principe de laïcité. À ce titre, il s’abstient notamment de manifester, dans l’exercice de ses fonctions, ses opinions religieuses. » Sauf à changer la loi, la messe est dite, oserions-nous dire à cette dame. Ce que, objectivement, Emmanuel a rappelé très clairement.
    Mais c’est après que cela s’est gâté. La dame voilée d’ajouter : « Cette interdiction est arrivée aussi dans les entreprises, toutes les entreprises. On n’a plus le droit de travailler parce qu’on a un foulard. Donc, on nous empêche de travailler, du coup, on fait de nous des assistés… On nous rejette de la société, on nous exclut… » Et là, Emmanuel Macron, très sûr de lui, est parti, bille en tête, sur la grand-route des approximations. D’aucuns ont même parlé de « fake news » ! « La loi, il n’y a aucune loi qui prévoit que, dans une entreprise, on n’a pas le droit d’être embauché parce qu’on a un signe de religion… Je veux tout simplement, ici, rétablir la vérité. »
    Sauf que la vérité, ce n’est pas tout à fait cela. La loi Travail, dite El Khomri, de 2016 qui fut discutée, votée, promulguée alors qu’Emmanuel Macron était encore ministre de l’Économie (mais il avait, sans doute, déjà la tête ailleurs…) reconnaît aux entreprises le droit de restreindre « la manifestation des convictions des salariés » à travers une clause de neutralité dans le règlement intérieur. La loi offre donc une certaine liberté en ce domaine aux entreprises : ce qui devrait pourtant plaire à Emmanuel Macron ! Du reste, la Cour de cassation, en novembre 2017, avait rendu une décision qui permet à un employeur de licencier un employé pour port du voile, sous certaines conditions, notamment que le règlement intérieur prévoie la « clause de neutralité ».
    Emmanuel Macron est en campagne, disions-nous. Le 5 février 2017, dans un discours, il évoquait une rencontre faite à la gare :  » …une jeune femme est venue me voir en me disant “Moi, on m’empêche de travailler avec le voile”. Ce ne sont pas les règles de la République. Et accepter qu’elle perde un peu de cette liberté, c’est accepter que nous perdions de la nôtre. » C’était à Lyon, premier grand discours de campagne. Déjà en campagne, déjà approximatif, déjà très compréhensif, aussi, envers le port du voile…
    Georges Michel pour bvoltaire.fr
  • Le Zoom avec P-Y Rougeyron : un ex-otage des djihadistes parle

    Pierre-Yves Rougeyron, esprit brillant et fondateur du Cercle Aristote nous emmène à la rencontre de Jonathan Alpeyrie, journaliste franco-américain retenu en otage 81 jours par les djihadistes en Syrie. Ensemble, ils font le tour de l’actualité internationale. Un témoignage passionnant !

    https://www.tvlibertes.com/un-ex-otage-des-djihadistes-en-syrie-parle-sur-tvl

  • Encore une fausse nouvelle diffusée par Emmanuel Macron

    Encore une fausse nouvelle diffusée par Emmanuel Macron

    Et repérée par l’Observatoire de l’islamisation :

    « Il n’y a aucune loi qui prévoit que dans une entreprise on a pas le droit d’être embauché parce qu’on a un signe religieux [ndlr: oui mais un règlement intérieur peut l’interdire]et dans ce cas là c’est sanctionné par la loi . Il y a même des politiques de testing que nous sommes en train de mettre en place à l’embauche (…). Et donc vous pouvez être victime de discrimination et dans ce cas là un foulard comme vous le portez n’est absolument pas interdit pour travailler dans une entreprise privée, et si parce que vous portez un foulard ou que vous portez tel ou tel prénom et que vous n’êtes pas embauchée ceci est une discrimination à l’embauche et c’est sanctionné par la loi nous avons renforcé les contrôles [ndlr: de testing] «

    A Pessac le 29 février, Emmanuel Macron veut rassurer une femme voilée en disant qu’il va lutter contre les chefs d’entreprises qui refuseraient de les recruter, sauf que…

    La loi El Khomri de 2016 a prévu qu’il était possible d’introduire une clause de neutralité (religieuse, philosophique, politique) en entreprise.

    La Cour de cassation dans sa décision du 22 novembre 2017, a précisé le cadre de cette fameuse clause (elle avait saisi il y a quatre ans la Cour de justice de l’Union européenne, d’une question préjudicielle sur le sujet).

    Il ressort de cette décision que l’entreprise peut licencier un salarié pour le port du voile, mais il faut réunir plusieurs conditions que vient préciser la Cour de cassation.

    https://www.lesalonbeige.fr/encore-une-fausse-nouvelle-diffusee-par-emmanuel-macron/