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islamisme - Page 175

  • Faut-il dissoudre la CAF pour avoir financé les djihadistes ?

    Faut-il dissoudre la CAF pour avoir financé les djihadistes ?

    Le gouvernement étudie actuellement la possibilité de dissoudre Génération identitaire, ce qui n’est pas si simple (voir ici). Les médias contribuent massivement à ce but en diffusant l’information comme quoi le terroriste de Nouvelle-Zélande leur a fait un don de 1 000€ en 2017. Génération Identitaire l’a reconnu et a annoncé que cette somme serait reversée à une association venant en aide aux pupilles de la nation dont les parents sont morts en rendant service à la France :

    Vidéo intégrée
    Johan Teissier@JohanTeissier

    RT - Brenton Tarrant, le terroriste de Christchurch est maintenant lié à , le parti d'Emmanuel !

    Soutenez-nous ➡️ https://generationidentitaire.org 

    322 personnes parlent à ce sujet

    Mais venons-en à la CAF en lisant cet article assez pertinent trouvé sur le site Atlantico :

    Il s’agira donc de trouver une motivation crédible ce qui promet de ne pas être aussi simple que prévu : le groupe ne revendique aucune violence (zut), se fait même fort de vouloir créer un débat pacifique (flûte), et ne veut même pas remettre en cause la République (et caca boudin). Autrement dit, il va falloir échafauder autre chose pour dissoudre légalement le groupe.

    Heureusement, une lumière s’est allumée au bout du tunnel : il semblerait bien que Brenton Tarrant, le terroriste de Christchurch, ait fait un don à l’association avant son départ pour l’autre côté du globe. Aubaine ! L’association devient dès lors récipiendaire de fonds issus d’un terroriste et peut donc éventuellement être elle-même classée comme terroriste… (…)

    Espérons qu’il ne viendra à l’idée de personne de tenir exactement le même vis-à-vis des Caisses d’Allocation Familiale qui ont, de façon tout aussi certaine et connue, financé des djihadistes ; ceci aboutirait à dissoudre les CAF au même titre que Génération Identitaire.

    Pour mémoire :

    https://www.lesalonbeige.fr/faut-il-dissoudre-la-caf-pour-avoir-finance-les-djihadistes/

  • Mathieu Bock-Côté : « Cachez ces agresseurs que l’on ne saurait voir »

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    CHRONIQUE - L’agression d’une jeune transsexuelle place de la République à Paris, le 31 mars dernier, a frappé. Étonnamment, la victime a décidé de relativiser son agression pour éviter de troubler l’ordre diversitaire. Un ordre que les médias entretiennent savamment. [Le Figaro, 6.04]. Quant à l'exhibitionnisme systématique des membres de la communauté LGBT dont Mathieu Bock-Côté ne traite pas ici, est-il si étonnant qu'il finisse par provoquer des réactions d'exaspération pouvant aller jusqu'à l'agression ? Et pas seulement venant de mâles arabes ou musulmans. LFAR 

    « ... La dénonciation rituelle de l’homme blanc hétérosexuel est au cœur de l’imaginaire progressiste ... »

    La scène, captée par vidéo, était glaçante : à Paris, place de la République, Julia, une jeune transsexuelle, a été agressée dans la rue par une bande prenant manifestement plaisir à la persécuter.

    On pouvait y constater encore l’ensauvagement des rapports sociaux et le fond de barbarie que l’humanité porte en elle et qui peut toujours remonter à la surface. Comment ne pas se révolter devant la joie mauvaise de ceux qui se savent en situation de force et qui jouissent de l’humiliation des plus faibles ? Les grands médias, avec raison, ont rapporté l’événement en en soulignant l’extrême brutalité.

    Mais la description des faits était quelque peu laconique. Alors que les agresseurs arboraient à peu près tous le drapeau algérien, il semblait à peu près impossible de le mentionner médiatiquement, sauf pour dire que cela n’avait aucune importance. Mieux valait pérorer en général sur la situation de la tolérance en France. S’il était bien vu de se demander comment une telle violence était possible aujourd’hui, il semblait à peu près impossible de mentionner qui en était à l’origine. Ce qui était visible aux yeux de tous devait être censuré. On devine que si les agresseurs sortaient de la messe et appartenaient de près ou de loin à la droite catholique, on ne ferait pas preuve de la même pudeur dans la manière de rapporter les faits.

    De manière assez triste, Julia, la victime, a elle-même participé à cette entreprise de voilement du réel. En empruntant la novlangue de l’époque, elle dit refuser de stigmatiser l’islam et les musulmans. Cela va de soi. On ne saurait rendre une communauté dans on ensemble coupable de cette agression. Mais on ne saurait non plus décréter que ce qui est arrivé n’est pas arrivé. Comment ne pas voir là une forme d’enfermement idéologique qui empêche Julia de comprendre ce qui lui arrive ? Le propre de l’idéologie est de se radicaliser au rythme où le réel la désavoue.

    Ce n’est toutefois pas la première fois qu’une victime décide de relativiser son agression pour éviter de troubler l’ordre diversitaire. Au printemps 2017, on apprenait qu’autour de la porte de la Chapelle, il était de plus en plus difficile pour les femmes de s’aventurer sans risque. Ce nouveau climat s’expliquait apparemment par la présence massive « d’hommes » récemment arrivés dans le quartier, occupant l’espace public en le rendant inhospitalier aux femmes. La diabolisation du mâle allait de soi. Il n’était toutefois pas possible de mentionner de quels hommes il s’agissait, alors qu’on savait pertinemment qu’il s’agissait de migrants témoignant manifestement d’une conception du rapport hommes-femmes étranger aux codes les plus élémentaires de notre civilisation. Le souvenir des agressions sexuelles massives de Cologne nous revient aussi en tête.

    Ne soyons pas surpris : l’argument n’a rien de nouveau. Il y a quelques semaines à peine, Marlène Schiappa avait associé la vague récente d’agressions contre les homosexuels à l’influence souterraine de la Manif pour tous. Pour ne pas faire de lien entre insécurité et immigration, elle préférait accuser la droite versaillaise qu’elle assimilait aux islamistes. Le grand parti de l’intolérance transcenderait toutes les cultures ! La dénonciation rituelle de l’homme blanc hétérosexuel est au cœur de l’imaginaire progressiste, et qu’on ne risque rien à faire son procès.

    On trouve au cœur du système médiatique un logiciel traducteur qui fonctionne de la manière la plus simple qui soit : quand un événement vient confirmer le grand récit diversitaire, on le traite comme un fait politique, alors que s’il le compromet, on le rabat dans le domaine des faits divers. Le récit se dérègle toutefois quand ce sont les membres d’une minorité qui persécutent une représentante d’une autre minorité. S’enclenche alors presque automatiquement un processus de reconstruction du récit médiatique pour nous rappeler que la diversité, en plus d’être automatiquement une richesse, est nécessairement harmonieuse.

    L’agression de la jeune Julia nous rappelle une chose simple : le politiquement correct n’a aucune gêne à nier l’évidence la plus frappante. Ses gardiens iraient même jusqu’à nier que le soleil se lève le matin et se couche le soir s’il le fallait pour sauver le grand récit de la diversité rédemptrice. Ils le font même au nom de considérations morales supérieures : il ne faudrait pas alimenter les préjugés de ces ploucs qu’on appelait autrefois les citoyens. Mais à quel moment le mensonge par omission bascule-t-il dans le domaine des « fake news » ? Devant une telle manipulation du sens des événements, qui relève à bien des égards d’un déni de réel digne des standards soviétiques les plus exigeants, on serait peut-être en droit de parler d’une logique relevant de la désinformation. 

    Julia, une jeune transsexuelle, a été agressée dans la rue par une bande   

    Mathieu Bock-Côté 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Éric Zemmour dénonce “la volonté des minorités islamistes qui essaient de nous imposer ce délit d’islamophobie”

    Dans l’émission Zemmour & Naulleau du 4 avril – sur Paris Première -, Éric Zemmour rappelle que ce sont certains groupes islamistes qui tentent d’imposer le délit d’islamophobie pour faire taire toute critique sur l’islamisation de la France :

    L’islamophobie n’est pas un délit. C’est la volonté des minorités islamistes qui essaient de nous imposer ce délit d’islamophobie. On a le droit de critiquer l’islam, on a même le droit de détester l’islam, on a le droit d’avoir peur de l’islam, comme on a le droit de détester, de critiquer le judaïsme, le christianisme, le protestantisme, etc. […] Il ne peut y avoir de liberté d’expression que s’il y a un fond culturel commun. Or le multiculturalisme, c’est la mort du fond culturel commun. On ne peut discuter que parce qu’on a le même fond culturel commun, qu’on a appris la même histoire, qu’on a les mêmes héros, qu’on a les mêmes références culturelles. A partir du moment où on ne les a plus, on ne peut plus discuter et on se tire dessus

    https://fr.novopress.info/214201/eric-zemmour-denonce-la-volonte-des-minorites-islamistes-qui-essaient-de-nous-imposer-ce-delit-dislamophobie/

  • LREM lié à Brenton Tarrant, le terroriste de Christchurch

  • Les Gaités de l’immigration mahométane : l’égorgement comme « Acte gratuit »

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    Bernard Plouvier

    Il paraît que « l’on n’arrête pas le progrès ». En Europe actuelle, on n’arrête surtout pas la sottise crasse, le crime abject.

    En ce début d’avril 2019, de « réchauffement climatique » (si, si !), les carabiniers italiens de Turin viennent d’arrêter un « réfugié » marocain ou comme l’écrivent les journaleux italophones collaborationnistes de l’immigration extra-européenne, un « Italo-marocain » (comprenne qui pourra), qui avait assassiné un honnête Italien « parce qu’il avait l’air heureux ».

    Ce pourrait être un gag. C’est hélas une triste réalité.

    Le 23 février, Saïd Mechaouat, 27 ans (en photo ci-dessus lors de son arrestation), égorge au couteau de cuisine, à Turin, un homme qu’il n’avait jamais vu : Stefano Lio, âgé de 34 ans. Saïd a été chassé par le nouvel amant de sa femme qui, elle-même, en avait assez des violences conjugales du disciple de Mahomet, celui-là qui a dicté (in coran, sourate 4) : « La femme désobéissante doit être battue » (et dans ce texte « saint », on évoque « les femmes », puisque le prophète autorise quatre épouses).

    Saïd est de très méchante humeur ! Saïd « a les nerfs » ! Saïd veut tuer : « Ce matin-là, j’ai décidé de tuer quelqu’un ». Sa religion lui interdit de tuer du mahométan, Oumma oblige. Il achète un couteau de cuisine et se poste en observateur sur le site bien connu des promeneurs : Murazzi, les quais le long du Pô, près du centre historique de Turin.

    Arrive un parfait inconnu, Blanc et qui sourit. « Quand j’ai vu ce type, j’ai décidé que je ne pouvais pas supporter son bonheur. Je l’ai choisi parce qu’il avait l’air heureux » (traduction de l’italien : une partie des journaux de la péninsule traite de l’affaire depuis trois jours).

    Le sieur Mechaouat est l’un de ces innombrables mahométans venus enrichir l’Europe de leurs prodigieuses capacités – rien qu’en France, ils seraient 8,5 millions, sans dénombrer les « incomptables », c’est-à-dire les clandestins et, en France, ce sont 260 000 clandestins qui ont pénétré chez nous en 2017 : même au ministère de l’Intérieur et des Cultes, l’on avoue que, depuis 2012, nos frontières sont devenues des passoires.  

    De l’assassinat comme « acte gratuit », c’est une chose que l’on connaît bien, du moins en littérature. Avant la Grande Guerre, l’esthète pédophile André Gide (pas encore nobélisé, il faudra une guerre de plus pour en arriver à ce sublime résultat) en avait tiré un livre, Les caves du Vatican, qui avait connu un tirage impressionnant.

    Il existe des ordures psychopathes et sociopathes dans tous les pays et toutes les races. Ceci n’a rien de spécifique à l’islam ni aux immigrés africains. On le reconnaît volontiers.

    Mais une excellente question se pose : pourquoi importer de la racaille venimeuse, alors que nous avons déjà notre lot de crapules autochtones et que les honnêtes citoyens sont sans défense devant ces ordures puisque l’on ne les exécute plus et qu’on les laisse sortir prématurément de prison « pour bonne conduite » ?

    Lorsque les Institutions ne protègent plus les citoyens honnêtes et laborieux, lorsque la gestion du Bien commun est mauvaise, il faut réformer les Institutions et chasser des apparences du pouvoir les mannequins qui ne font pas leur travail. Diriger un pays, ce n’est pas frimer devant les écrans ou dans les patronages de la Ripoublique (les « lieux de parole »).

    Administrer la Chose publique pour le Bien des contribuables est l’unique devoir des élus. S’ils n’ont pas compris cela, il faut les renvoyer à leurs occupations privées.  

    Hélas, le ventre est encore fécond de la Bête Immonde... et ce bestiau putride s’appelle « Sottise criminelle » des immigrationnistes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/05/les-gaites-de-l-immigration-mahometane%C2%A0-l-egorgement-comme-%C2%A0-6141680.html

  • Place de la République : sous les pavés… la charia ?

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    Cela crèverait les yeux de l’observateur le plus sceptique, tous l’ont vu, tous l’ont pensé mais combien l’ont écrit ? La scène de cette personne transsexuelle molestée par une poignée d’individus au cœur de la foule a fait le tour du web et révolté l’intégralité de la caste médiatique.

    « Transphobie ordinaire, lutte contre la haine… » tous les poncifs habituels y sont passés, à l’exception d’un seul. A chaque agression envers la communauté LGBTQIAZERTY, il se trouvait toujours quelque ministre zélée ou quelque procureur d’opérette pour désigner cette intolérable montée de l’homophobie due au discours de la Manif pour tous. Mais ici, ils n’auront pas osé. Car, dans les tourbillons de cet odieux lynchage, flottaient les drapeaux algériens. Ici, ces racailles binationales (pardon ces personnes racisées victimes de discriminations) n’auront même pas la joie d’être désignées comme telles a contrario de leurs homologues (d’après Marlène Schiappa) de la Manif pour tous. Nos confrères journalistes parleront pudiquement de « personnes », de « foule » ou encore « d’individus ».

    Et là, nous imaginons sans peine les pensées apeurées de tel ou tel pigiste : « Pourvu que cet article ne serve pas d’argument aux islamophobes. »

    Qu’il se rassure, lui et tous les autres, SOS Homophobie a tweeté « Que cela ne serve pas de prétexte aux discours racistes ou xénophobes de celles et ceux qui ne défendent les personnes LGBT que quand leurs agresseurs sont racisés. » On n’ose imaginer le procès médiatique qui aurait été fait si ces agresseurs portaient un signe distinctif de la Manif pour tous, on n’ose subodorer les réactions emphatiques et dégoulinantes des observateurs condamnant d’un seul geste les fautifs, les responsables et toutes leurs descendances sur douze générations.
    Vivre-ensemble à deux vitesses

    Paradoxalement, la veille sur le réseau social Twitter, le militant identitaire Clément Galant postait la photo d’une famille de Clichy-sous-Bois : le père, la mère et les quatre enfants dont des fillettes en bas âge intégralement voilées. Ce dernier alertait donc sur le nouveau visage de Clichy qui n’avait, peut-on le nier, strictement rien de réjouissant. Las, Clément Galant se prit instantanément une avalanche de critiques de journalistes bien blancs et bien implantés entre Saint-Cloud et le VIIe arrondissement qui ont préféré s’extasier sur cette famille heureuse. Ceux-là mêmes qui sont incapables de faire une corrélation entre l’explosion de l’immigration musulmane et l’augmentation drastique des actes antisémites, homophobes, transphobes et anti-blancs. Ceux-là mêmes qui s’obstineront à ne pas voir ce qui leur crèvent la vue à savoir des drapeaux algériens environnant cette malheureuse victime perdue au milieu de ses bourreaux.

    Ces mêmes journalistes qui prônent chaque jour et de concert une immigration massive, le vivre-ensemble et l’inclusivité, ces mêmes journalistes dont on rit car ils déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 3 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Grâce à Blanquer, l’enseignement islamique prospère

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    Par Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste ♦ Jean-Michel Blanquer vient d’autoriser l’ouverture d’une école élémentaire hors contrat islamiste à Strasbourg à l’initiative du mouvement islamiste turc « Millî Görüş ». Deux autres sont en projet à Belfort et Besançon, toujours portés par la même organisation.
    Avec ce nouvel établissement privé créé à la rentrée 2019, la confédération islamique du « Millî Görüş » renforce sa présence au sein de l’enseignement musulman privé en France avec une centaine d’écoles et de projets d’écoles.

    Qu’est-ce que le Millî Görüş ?

    Ce mouvement (en français :  « Vision nationale ») est né à l’initiative de Necmettin Erbakan, principal acteur politique de l’islamisme turc de ces 40 dernières années et ancien premier ministre turc dont les propos sont tout un programme : « Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique, nous conquerrons Rome ».

    Mouvement extrémiste

    Millî Görüş est le principal mouvement islamique encadrant la diaspora turque et dont les liens avec les « frères musulmans » sont connus. Le mouvement est d’ailleurs classé « islamiste fondamentaliste » par le renseignement fédéral allemand et, en 2003, « Millî Görüş » a figuré sur la liste des associations pouvant servir de base arrière au terrorisme dans le pays.

    Des documents de « Millî Görüş » mentionnent d’ailleurs que « chaque individu membre doit s’engager dans la guerre religieuse (djihad)….doit se conditionner de manière à être prêt à tout moment pour le djihad ! …la communauté est un moyen servant l’objectif de l’islamisation de la société ».

    L’objectif de l’organisation est donc clairement annoncé : assurer la domination d’Allah ! Et l’ensemble des organisations avec lesquelles elle a des relations défend le régime de la charia avec la perspective idéologique de « Millî Görüş » de se servir de la violence. Il est donc un danger social pour l’Europe.

    Ajoutons que son logo est la carte de l’Europe enchâssé d’un croissant islamique !

    De plus, en Allemagne, la liste des allégations contre « Millî Görüş » sont nombreuses : fraude, escroquerie sur fonds public, collecte de fonds douteux, faux détournement de fonds et blanchiment d’argent… Des accusations dont il n’est jamais fait état dans la presse française, pas plus qu’il n’est fait référence à son orientation extrémiste, ce qui n’empêche pas non plus nos gouvernants français de lui faire bénéficier de toutes leurs largesses !

    Vision de « Millî Görüş » partagée par Edorgan

    La diaspora turque installée en Europe est en prise directe avec « Millî Görüş » qui la relie au pays et vit largement en vase clos dans un communautarisme qui a été conforté par l’actuel premier ministre Erdogan lors d’un discours au Zenith de Paris en 2010, lorsqu’il a déclaré : « Personne ne peut vous demander d’être assimilé. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité… » Et il a incité ses compatriotes venus l’acclamer, drapeau turc à la main, à coloniser légalement le pays, proposant la création d’établissements scolaires turcs en France afin de consolider leur implantation, établissements qui ont vu le jour dès 2014.

    Erdogan a également déclaré : « On ne peut pas être à la fois laïque et musulman… On est musulman ou on ne l’est pas… Parce que c’est Allah qui est le créateur de l’islam, il est le seul souverain ».

    Nos gouvernants sont donc largement prévenus mais obstinément complices et maîtres d’œuvre de la destruction de notre société.

    Edorgan avait, par ailleurs, fait des appels au djihad qui ont été largement occultés lors des débats sur la question de l’entrée de la Turquie en Europe.

    La France, terre d’accueil privilégiée des djihadistes

    Néanmoins, « Millî Görüş » est en pleine expansion, maillant le territoire de nouvelles mosquées et de nouvelles écoles chaque année dans de nombreuses villes de diverses régions de France.

    A cet égard, il peut être instructif de rappeler ce que Monsieur Blanquer a déclaré, au micro de BFMTV le 18 décembre 2018 : « Nous avons les outils juridiques pour pouvoir fermer une école qui n’est pas dans les normes, et notamment celles liées au fondamentaliste safaliste… » Également au cours du même entretien : « Comme je l’avais annoncé lors du vote de la loi Gatel, nous pouvons maintenant fermer les écoles hors contrat qui ne sont pas en conformité avec les règles de la république…. »

    Oui mais voilà ! non seulement Monsieur Blanquer ne les ferme pas, les écoles liées au fondamentalisme islamiste, mais il les ouvre ! Et alors même que le 1er février 2018, il avait dit au président du CRIF (Comité Représentatif des Juifs de France) qu’il était « important de donner à chaque enfant un vaccin républicain » ! dans ces conditions, la question ne se pose même pas de savoir qui va vacciner l’autre !

    Par contre, à n’en pas douter, les écoles qui ne sont pas conformes aux règles de la République et qui vont être vaccinées, ne peuvent être que celles qui sont gérées par ces « dangereux » catholiques !!! Et là… Attendons-nous au pire !

    Claude Meunier-Berthelot 29/03/2019

    Crédit photo : Jérémy Barande / Ecole polytechnique Université Paris-Saclay, via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/grace-blanquer-enseignement-hors-contrat-islamique-prospere-milli-gorus/

  • Histoire de l’islamisation en France, 1979-2019

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    Les auteurs de ce livre ont eu l’idée géniale de reprendre ce qui s’est dit et écrit sur l’immigration et l’islam au cours des quarante ans qui viennent de s’écouler en rappelant « les faits et les décisions », comme le mentionne la quatrième de couverture.

    2885634000.jpgCe rappel se fait à travers de très nombreuses citations tirées d’archives. De ces auteurs nous ne savons rien, puisque la signature est celle d’un collectif anonyme. Mais on comprend, à la lecture, qu’ils se soient mis à plusieurs, compte tenu de la masse documentaire considérable qu’ils ont eu à travailler. 

    Le titre du livre, Histoire de l’islamisation française – et non Histoire de l’islamisation de la France – insiste sur la fabrication française d’un renoncement à être et à persévérer dans son être d’une nation abandonnée par des élites qui s’appliquent à domestiquer des autochtones qui renâclent à l’adaptation qu’elles attendent d’eux.

    Ce livre est l’occasion de nous rappeler tout ce que nous avons eu tendance à oublier ou que nous n’avons tout simplement pas remarqué et qui, au fil des ans, fait système. Il raconte la lente élaboration d’une idéologie islamophile, portée par une bonne partie des élites intellectuelles et médiatiques dont le bréviaire de gauche est en train de changer en début de période et qui va avoir tendance, au fil des ans, à devenir hégémonique.

    Chacun des titres des 40 chapitres est un millésime (de 1979 à 2018), accompagné d’une citation qui en donne la tonalité. Le premier chapitre démarre ainsi sur la révolution iranienne de 1979, avec ces mots de Serge July dans Libération : « La joie fait son entrée à Téhéran ». Le dernier chapitre s’ouvre sur le lapsus du décodeur de France Culture, Nicolas Martin, lapsus qui révèle « son incompétence et ses préjugés inconscients » :

    « Si les immigrés font plus d’enfants, seront-ils plus nombreux ? »

    Ce livre est l’occasion de repérer les prémisses de ce que l’on entend aujourd’hui, de manière récurrente, sans y avoir toujours prêté attention alors. Qui se rappelle qu’en 1979, en réponse aux propos de Georges Marchais, Libération publiait une tribune de Fredj Stambouli de l’université de Tunis qui plaidait déjà pour une décolonisation des esprits des populations occidentales, afin de leur permettre « d’accepter et même d’encourager le droit légitime des Autres à rester ce qu’ils veulent être » ? Nous étions à la fin des années 1970 et, déjà, l’assimilation faisait figure de repoussoir. C’étaient déjà les autochtones qu’il fallait acclimater aux nouveaux venus.

    Déjà, dans les années 1980, les propos des musulmans dits « modérés » étaient reçus avec politesse, même s’ils disaient la même chose que ceux proférés par d’autres qualifiés d’islamistes. Dans Le Monde de mars 1989, Mohammed Arkoun, grand « modéré » s’il en est, pouvait ainsi accuser, sans soulever le moindre tollé « la raison des Lumières d’avoir substitué le dogme de sa souveraineté à celui de la raison théologique ». On ne lui répondit pas.

    « La raison des Lumières d’avoir substitué le dogme de sa souveraineté à celui de la raison théologique. »

    Vingt-cinq ans plus tard, le réflexe de l’inversion ou du mensonge par omission s’est si bien propagé que la presse rapporte parfois exactement l’inverse de ce qui est dit, tout en faisant silence sur les propos les plus gênants. C’est l’objet du chapitre 2014. Cette année là, le « modéré » Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris et président du CFCM, présente à la presse une Convention citoyenne des musulmans de France pour le vivre-ensemble concoctée par le CFCM. Ça sonne bien à nos oreilles. Lors de la conférence de presse, Dalil Boubakeur se garde bien d’évoquer l’article 5 de la convention sur les tenues vestimentaires qui fait du voile une obligation islamique. Les rares médias qui évoquent cette convention trouvent motif à se réjouir, sans jamais parler de l’article 5. Ainsi, Le Monde  déclara que « ce message ne pouvait pas mieux tomber ». Il ajouta que « le texte s’attache aussi à lever les soupçons qui pèsent sur l’islam. “L’islam est parfaitement compatible avec les lois de la République” proclame-t-il […], le texte affirme que “les musulmans de France désirent se joindre au renouveau de la pensée religieuse sur l’islam” et “ajuster leurs pratiques” à la société française. » Jean-Louis Bianco aussi salua cette avancée. MédiapartLe Nouvel Observateur et la Ligue de l’enseignement ne furent pas en reste. La lettre ouverte de trois femmes du collectif « Femmes sans voile » d’Aubervilliers, parue dans Marianne et qui dénonçait le CFCM, n’aura aucun écho. Les féministes ne bougeront pas. Enhardi par cette méprise volontaire, Dalil Boubakeur récidive en juin 2017 lorsqu’il met en ligne, sur le site de la mosquée de Paris, des textes injurieux, méprisants et hostiles au christianisme et au judaïsme, textes qui reprennent en gros la doctrine islamique sur le sujet. Sans provoquer, là encore, la moindre réaction.

    Le cas Redeker

    Heureusement, le chapitre 2006 nous a déjà rappelé la veulerie dans laquelle se sont vautrés les contempteurs de Robert Redeker, menacé de mort et condamné à la clandestinité pour avoir écrit dans Le Figaro ce que d’autres avant lui avaient écrit sur l’islam. C’est vrai, c’est plus facile et moins risqué de se mettre du côté du plus fort. Olivier Roy y vit « un tissu d’imbécilités », Le Monde, « des vociférations ». Libération parla d’une « tribune satanique ». Et, n’écoutant que son courage, la responsable de la page « Débats » du Monde rassura les lecteurs du journal : Si la tribune avait été proposée au Monde, « nous ne l’aurions certainement pas publiée ». On retrouve donc les “Usual Suspects”, dont Le Nouvel Observateur qui a l’audace d’écrire que Robert Redecker n’est pas victime d’islamistes, de musulmans vindicatifs mais « de son orgueil de roseau pensant », mettant ainsi en doute sa compétence de philosophe. C’est la curée. S’y joignent Témoignage chrétien qui voit dans la tribune de Robert Redeker une injure islamophobe digne de l’extrême droite et Paris Match qui pousse au maximum le renversement moral en parlant de chronique haineuse d’un « simplet » qui cherche la notoriété et n’est pas digne d’être défendu au nom de la liberté d’expression.

    Les auteurs du livre y voient une inversion, dénoncée au fil des chapitres, qui place la violence du côté de celui qui en est victime. Olivier Roy gagne le pompon de la lâcheté lorsque, dans Libération, en septembre 2006, il accuse Robert Redeker de « chatouiller la fatwa », lequel ne devrait pas s’étonner de ce qui lui arrive. Pour Olivier Roy, qui remet ça dans Esprit, « Robert Redeker est raciste ».

    Et, si l’on veut bien remonter au chapitre 1989, on trouvera le même genre de veulerie intellectuelle lors de l’affaire Rushdie. Rappelons simplement ce que le grand Jacques Berque écrivait dans Le Figaro à l’époque. Il aurait préféré que Les versets sataniques ne soient pas diffusés en France et considérait que Salman Rushdie ne pouvait en aucun cas être pris pour un héros de la libre-pensée après avoir insulté si grossièrement le prophète de l’islam.

    Les caricatures danoises de 2005

    Sans oublier l’affaire des caricatures danoises publiées en 2005 qui donna l’occasion aux députés européens de montrer leur courage en adoptant une résolution dénonçant les abus de la liberté d’expression qui incitent « à la haine religieuse, au racisme et à la xénophobie » et exprimant leur « sympathie à l’égard de ceux qui se sont sentis offensés par les caricatures du prophète Mahomet ». Le Conseil des ministres de l’UE s’était fendu, rappelons-nous, d’un texte où il avait cru bon de préciser que « la liberté d’expression devait respecter les croyances et les convictions religieuse ». On a là un renversement de l’interprétation de l’incitation à la haine décrit par Flemming Rose, qui parle d’inversion de l’effet et de la cause dans son livre, jamais traduit en français, The Tyranny of Silence. Rappelons seulement la stupéfaction qui fut la sienne lorsqu’il fut accueilli le 10 décembre 2005 pour participer à un débat organisé par Amnesty International et l’Institut danois des droits de l’homme, lesquels avaient installé une bannière au titre orwellien « Victimes de la liberté d’expression » (http://www.micheletribalat.fr/439913052). Le livre illustre la progression de cette inversion et de l’activisme nécessaire pour, au moins, faire taire ceux qui seraient tentés par la lucidité.

    Jacques Chirac lui-même avait condamné les caricatures, ce qui avait rendu le CFCM audacieux au point de demander une loi interdisant le blasphème, demande relayée par Éric Raoult qui fut un temps ministre de l’intégration ! Cette affaire des caricatures a eu les conséquences que l’on sait et a renforcé la tyrannie du silence dénoncée par Flemming Rose, dont les effets désastreux sont parfaitement décrits au fil des pages de ce livre.

    Même sans loi écrite sur le blasphème, la liberté d’expression n’est plus qu’un lointain souvenir. Les poursuites en justice qui se sont multipliées ont un puissant pouvoir d’intimidation. Même lorsque les personnes poursuivies gagnent leur procès, l’intimidation dont elles ont fait l’objet tend à les rendre plus discrètes et plus prudentes et à dissuader celles qui seraient tentées de s’exprimer librement de le faire. Et, depuis Charlie Hebdo, la menace s’est concrétisée.

    La peur a abîmé la notion de respect et de tolérance. Salman Rushdie craignait par dessus tout que des gens bien puissent céder à la peur en appelant cela du respect. Jens-Martin Eriksen et Frederik Stjernfelt, deux chercheurs danois, parlent de « respect-mafia ».

    La peur a aussi démonétisé toute idée de subversion…

    Alors qu’on attendait des élites politiques, intellectuelles et médiatiques qu’elles défendent la liberté d’expression, elles se sont trop souvent illusionnées en croyant défendre les faibles et les déshérités. Elles ont ainsi pratiqué l’amalgame qu’elles dénoncent tant par ailleurs en prétendant défendre les musulmans qu’elles considèrent authentiques, sans grand discernement, tout en abandonnant les dissidents acquis aux valeurs libérales. L’assimilation des critiques et des moqueries de l’islam à du racisme a produit cet amalgame et favorisé l’infantilisation des musulmans.

    Ce livre permet de mesurer ce qui nous sépare aujourd’hui d’un temps pas si lointain où les connaisseurs de la question, tombés dans l’oubli pour ce qu’ils ont écrit sur l’islam (c’est le cas de Jacques Ellul), écrivaient ce qui leur vaudrait aujourd’hui un passage à la 17e chambre, sans parler des menaces de mort. Et les livres scolaires sont à la pointe du « progrès ».   

    Article paru sur le site de Michèle Tribalat, avec son aimable autorisation

    Source : ICI

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Enfants du djihad : quand la France perd leur trace – Journal du vendredi 29 mars 2019

     

    Enfants du djihad : quand la France perd leur trace

    Des centaines d’enfants de djihadistes sortis des radars français. Le secrétaire d’Etat, Laurent Nuñez, a avoué jeudi que la France était sans nouvelle d’une bonne partie des enfants qui ont évolué sur la zone irako-syrienne…

    Mineurs isolés étrangers : la plaie de la Capitale

    Depuis la crise migratoire de 2015, plusieurs milliers de prétendus mineurs isolés étrangers ont investi les rues de Paris. Cambriolages, vols et violences rythment leur quotidien et l’appareil judiciaire peine à endiguer le phénomène.

    Le gouvernement à l’assaut des contrats courts

    Alors que le nombre de CDD de moins de trois mois explose, le gouvernement planche sur une réforme pour mettre un terme à cette pratique jugée trop coûteuse. Les entreprises et les demandeurs d’emplois pourraient bien être mis à contribution pour régler la crise de l’assurance chômage.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/enfants-du-djihad-quand-la-france-perd-leur-trace-journal-du-vendredi-29-mars-2019

  • Syrie : le prétendu cadavre de l’État islamique bouge encore, par Franck Deletraz

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    Bien sûr, depuis la chute samedi de l’ultime quartier de Baghouz auquel s’agrippaient encore les djihadistes de l’EI, les chaînes d’information continue nous passent en boucle les images des forces arabo-kurdes célébrant leur victoire sur le « califat ». Elles nous montrent ces dizaines de bourreaux islamistes qui, cachés dans des tunnels, sortent aujourd’hui les mains en l’air et au petit trot devant les Forces démocratiques syriennes (FDS). Cependant, nous aurions tort de croire que la guerre contre cette hydre à mille têtes qu’est l’EI est terminée.

    Un retour à la clandestinité préparé de longue date

    D’abord parce que l’organisation islamo-terroriste a depuis longtemps déjà préparé son retour à la clandestinité. Militairement et financièrement. Ses djihadistes restent notamment très présents dans le désert de la Badia, à l’ouest et au sud de l’Euphrate, dans une zone de plusieurs milliers de kilomètres carrés, truffée de grottes et de repères qu’ils ont patiemment aménagés durant ces trois dernières années. Selon de nombreux experts, plusieurs centaines de combattants, peut-être même plus, y ont ainsi mené depuis le début de l’année des dizaines d’attaques contre des positions isolées des FDS. Cela, sans oublier tous ceux qui, au moment de l’arrivée des troupes syriennes dans leurs villes et leurs villages, se sont fondus dans la population civile et constituent aujourd’hui des cellules dormantes prêtes à être activées à tout moment, comme en témoigne encore l’attentat perpétré le 16 janvier dernier contre un restaurant fréquenté par les soldats américains à Manbij.

    Une expansion inquiétante aux Philippines

    Mais le Levant, hélas, n’est pas seul concerné. L’EI reste effectivement bien présent en Afrique, viaBoko Haram dans la région du lac Tchad et l’EIGS au Sahel. En Libye, dans une vaste zone qui s’étend le long de la côte entre Ajdabiya et Tripoli et, au sud, vers Sabha et Koufra. En Egypte, au Sinaï. Et aussi en Somalie, dans l’Etat du Puntland. Il s’est surtout implanté dans la région afghano-pakistanaise, où il revendique régulièrement des attentats contre la communauté chiite. Mais, plus inquiétante encore est son expansion en Asie du Sud-Est, notamment dans le sud des Philippines, dont il essaie de faire depuis plusieurs mois une « tête de pont » pour ses activités djihadistes.

    Enfin, le sort de son chef, Abou Bakr al-Baghdadi, dont la tête a été mise à prix pour 25 millions de dollars par Washington et dont le dernier message audio date d’août 2018, reste à ce jour un mystère. Si, selon The Guardian, il aurait été la cible en janvier, près de Hajine, d’une tentative d’assassinat commise par des combattants étrangers de sa propre organisation, le quotidien Al-Araby Al-Jadeed, financé par le Qatar, affirmait lui récemment qu’après un bref passage à Baghouz, il se cacherait actuellement dans l’est de la Syrie, après plusieurs tentatives infructueuses de traverser la frontière pour se rendre en Irak.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 25 mars 2019

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