Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 174

  • Attentats au Sri Lanka: plus de 200 morts

    Attentats au Sri Lanka: plus de 200 morts

    Le bilan s’alourdit : deux explosions supplémentaires ont eu lieu en plus des 6 déjà mentionnées.

    La police a décrété l’entrée en vigueur immédiate d’un couvre-feu à durée interdéterminée.

    Le chef de la police nationale avait alerté ses services il y a dix jours en indiquant qu’un mouvement islamiste appelé NTJ (National Thowheeth Jama’ath) projetait «des attentats suicides contre des églises importantes et la Haute commission indienne».

    Un lecteur du Salon beige, habitué du Sri Lanka, nous confirme que toutes les pistes mènent à l’organisation Etat islamique. Le risque est d’embraser de nouveau le Sri Lanka dans une guerre de religions, pays qui a subit ce type de guerre pendant 30 ans, entre les Tamils (ou Tamouls), hindouistes, et les Cingalais, Bouddhistes. Certains politiciens évoquent déjà des représailles envers les mosquées. Pour le moment, le gouvernement a mis sous contrôle tous les réseaux sociaux.

    https://www.lesalonbeige.fr/attentats-au-sri-lanka-plus-de-200-morts/

  • Dans la République laïque, c’est l’islam qui commande

    Dans la République laïque, c’est l’islam qui commande

    Après l’annonce du ministre de l’Éducation nationale de fermer une école d’inspiration salafiste, l’avocat de l’établissement basé à Échirolles assure que l’école restera ouverte après les vacances.

    En février, le tribunal correctionnel de Grenoble avait ordonné la fermeture définitive de cet établissement, notamment parce qu’il ne respectait pas le programme obligatoire prévu par le ministère. L’association qui gère l’école a fait appel de cette décision de justice, la procédure est toujours en cours, mais l’académie de Grenoble vient d’ordonner aux familles d’environ 45 élèves scolarisés en primaire de les changer d’établissement.

    Ce que le ministre a appelé une fermeture est en fait une mise en demeure adressée aux familles par la rectrice d’académie. Les parents d’élèves sont sommés de ne plus mettre leurs enfants dans cette école après les vacances de Pâques. C’est “une injonction“, précise le rectorat, c’est-à-dire un ordre.

    Mais pour l’avocat de l’école, c’est “un contournement du processus judiciaire“.

    “Ce courrier indique aux familles qu’elles se placeraient en infraction avec la loi française en plaçant leurs enfants au sein de cette école. Or, jusqu’ici, il n’a pas été définitivement jugé que cette école n’était pas conforme à la loi française. On voit mal comment les familles pourraient se voir reprocher quoi que ce soit”.

    Maître Michaël Bendavid assure que l’école musulmane d’Échirolles restera ouverte après les vacances de Pâques, “jusqu’à ce que le pouvoir judiciaire, conformément à la loi française, lui ordonne d’en faire autrement“. L’appel déposé par l’école devant la justice doit être examiné le 1er juillet.

  • Franz-Olivier Giesbert dénonce “l’escroquerie du halal” !

    Unknown-1.png

    Dans un microcosme politico-médiatique à l’encéphalogramme trop souvent plat, Franz-Olivier Giesbert, qui se partage entre Les Grosses têtes et Le Point, peut faire figure d’exception, de part son indéniable ouverture d’esprit, puisque n’hésitant pas, de temps à autre, à ouvrir les colonnes de cet hebdomadaire au philosophe Alain de Benoist, bien connu de nos lecteurs.

    Dans un semblable registre d’indépendance intellectuelle, il n’hésite pas non plus, dans son dernier éditorial, à mettre le doigt sur l’une des plus envahissantes impostures économico-religieuses de l’époque : le « halal ». « Escroquerie », affirme-t-il, non sans raison. Bien vu. D’un simple mot – halal signifie « licite » –, certains aigrefins ont donc créé, de toutes pièces, une sorte de religion parallèle au service d’une vulgaire histoire de « très » gros sous.

    Franz-Olivier Giesbert : “Le halal n’est pas un héritage du passé, mais une mode sans fondement qui prétend réglementer aussi l’eau, les dentifrices, les rouges à lèvres, les loisirs, les « vacances éthiques ». Sans rapport avec les traditions musulmanes, la sphère s’étend chaque jour un peu plus”. Sur ce site, cette dérive était d’ailleurs dénoncée dès 2015 (Sex-shop à La Mecque : à quand le plug halal ?)

    Et notre homme d’en appeler à la cinquième sourate du Coran : « Vous est permise la nourriture des gens du Livre [Celle des juifs et des chrétiens NDLR], et votre propre nourriture leur est permise. » Ayant eu le privilège de régulièrement interviewer Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, ce dernier expliquait, en substance, qu’à l’époque du Prophète, les bêtes étaient sacrifiées au Dieu d’Abraham, alors que d’autres l’étaient à des divinités païennes. Il était donc parfaitement « halal » de se nourrir de ces mêmes bêtes, l’islam étant lui aussi religion abrahamique. Mais aujourd’hui, plus aucun animal n’est sacrifié à quelque divinité que ce soit, polythéiste ou monothéiste, le seul autel se tenant encore debout étant celui de la grande distribution. Une coutume antédiluvienne qui, aujourd’hui, ne présente plus, tel que rappelé par Franz Olivier-Giesbert, la moindre légitimité, historique comme religieuse.

    Certes, chaque religion a ses interdits alimentaires. Chez les musulmans, le porc ; chez les juifs, c’est déjà plus compliqué et chez les chrétiens, autrement plus simple. Mais le halal à tous les étages de ce néo-islam déviant, relève, lui, d’une totale imposture, puisque n’ayant commencé à voir le jour qu’au début des années 1990, imposture d’ailleurs brillamment dénoncée dans un essai passionnant, cité par Giesbert : Le marché halal ou l’invention d’une tradition, de Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue au CNRS et sorti en 2017.
    Pour commencer, l’auteur note : « Le fondamentalisme est une expression religieuse particulièrement adaptée au capitalisme mondialisé. » Laquelle expression s’inscrit dans la lutte que se mènent Arabie saoudite et Iran pour le leadership du monde musulman, sorte de soft power similaire à celui des USA ; sauf qu’il s’agit là d’un « islamic way of life ». D’où, poursuit Florence Bergeaud-Blackler, « la confusion halal-casher qui nous fait croire que la norme halal a précédé le marché mondialisé, qu’elle émane et qu’elle est définie et contrôlée par un personnel religieux. Or, la convention halal est née d’un deal opportuniste entre des États prédicateurs et des marchands capitalistes. » Résultat ? « Ainsi naît le “consommateur musulman”, nouvelle figure du marché à laquelle s’adresse le “marketing islamique” et que soutiennent les associations de “défense du consommateur musulman”. »

    Nous voilà effectivement bien loin d’une religion avant tout censée, à l’instar des deux autres monothéismes, sauver les âmes plutôt que d’assurer l’extension infinie du marché. En revanche, on comprend bien, même s’il ne s’agit pas d’une nouveauté, que les marchands du Temple ne connaissent ni honte ni frontières, fussent-elles religieuses.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/franz-olivier-giesbert-denonce-lescroquerie-du-halal/

  • Pour Rokhaya Diallo, c’est la France qui s’oppose à l’émancipation des femmes musulmanes !

    diallo2-845x475-600x337.jpg

    Vous connaissez peut-être Rokhaya Diallo, qui se définit comme « une féministe intersectionnelle et décoloniale ». Si ce n’est pas le cas, vous n’y perdez pas grand-chose. Sachez, tout de même, qu’elle a publié, cette semaine, une tribune pour accuser la France d’« islamophobie », notamment à l’égard des musulmanes portant le voile. Et pas sur n’importe quel média : sur le site de TRT Word, une chaîne de télévision internationale contrôlée par le président turc Erdoğan qui, comme chacun le sait, est un grand démocrate. C’est l’hebdomadaire Marianne qui le rapporte.

    Le titre de la tribune est significatif : « L’obsession de la France à propos des femmes musulmanes relève du contrôle, pas de la libération. » Elle estime que la société française, loin de les défendre, serait obnubilée par l’idée de les « exclure » de la sphère publique. Ainsi, elle accuse la loi de 2004 sur les signes religieux dans les écoles publiques d’atteinte à la liberté : « Au nom de l’émancipation des femmes, des femmes ont été bannies de l’espace public à cause de leur voile. » Elle compare les critiques du voilement au « fantasme d’une France blanche, dans laquelle tous les citoyens avec un autre bagage culturel doivent s’assimiler ».

    À voir certains quartiers, on n’a pas le sentiment que tous les musulmans, français ou non, veuillent s’assimiler, mais notre polémiste sait utiliser toutes les ressources de la dialectique pour tenter de démontrer le contraire : ce sont les « Blancs » les coupables, ces affreux colonialistes qu’elle ne rate pas une occasion de dénoncer. Il faut dire qu’elle a un penchant pour les Indigènes de la République et avait, en 2017, soutenu l’organisation de camps d’été, dont certains ateliers étaient réservés « à toute personne qui n’est pas blanche ».

    Rokhaya Diallo cherche à retourner les situations à son avantage. Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer. À propos du hijab de Décathlon®, elle estime que dans un mouvement choquant d’unanimité, les politiciens de tout le spectre politique ont fermement condamné le marketing du vêtement mis en œuvre par la marque française, disant qu’il offensait les soi-disant “valeurs françaises” ». Jugement bien approximatif, car l’affaire a provoqué des controverses jusque dans le parti majoritaire.

    Quand on considère que le sectarisme est l’expression de la liberté et le communautarisme une chimère du nationalisme, tout devient possible, même le plus aberrant. « À chaque fois qu’une femme musulmane réclame des droits et prouve qu’elle n’est pas soumise, on lui rappelle qu’elle doit rester invisible », prétend cette féministe. C’est au nom de leur liberté, bien sûr, que des femmes se promènent avec un voile intégral, pourtant interdit par la loi du 11 octobre 2010, qui dispose que « nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage ». La pression intellectuelle est telle que cette interdiction a été prononcée non pas au nom de la laïcité mais pour des raisons d’ordre et de sécurité publics.

    Rokhaya Diallo accuse les politiciens de « [faire] de leur mieux pour empêcher [les femmes musulmanes] de faire quoi que ce soit en dehors de leurs maisons ». Jusqu’à reprocher à Macron d’avoir déclaré que le hijab n’était « pas conforme à la civilité dans notre pays ». Ironie de l’Histoire, elle juge que notre Président ne serait pas assez multiculturaliste. Dieu sait, pourtant, s’il fait des efforts ! Mais ce n’est pas encore, à ses yeux, suffisant. Comme si elle ne voyait de liberté que dans la soumission.

    Philippe Kerlouan

    Tribune reprise deBoulevard Voltaire

  • LR et PCF unis pour la construction d’une mosquée avec minaret

    LR et PCF unis pour la construction d’une mosquée avec minaret

    Vitry :

    Une délibération votée mercredi acte un « protocole d’accord » entre la ville et l’association cultuelle et culturelle des musulmans de Vitry.

    « Il y avait une inégalité à combler, estime le maire PCF de Vitry Jean-Claude Kennedy. C’est ce que nous allons faire ». Ce mercredi soir, le conseil municipal a adopté une délibération portant sur un protocole d’accord entre la ville et l’association cultuelle et culturelle des musulmans de Vitry pour la construction d’une mosquée ces prochaines années. Aucun calendrier précis n’a été établi pour l’instant.

    Ce lieu de culte est « attendu depuis 15 ans » comme cela a été dit au conseil. Elle se trouvera dans le quartier des Ardoines, à l’angle de la rue Jean-Pierre-Timbaud et de l’avenue Léon-Geffroy, « sur un terrain qui nous appartient partiellement », a précisé Michel Leprêtre, adjoint au maire (PCF). Situé en face du stade Gabriel-Péri, il abrite aujourd’hui des jardins familiaux.

    Deux baux emphytéotiques de longue durée seront signés à terme : un cultuel, l’autre culturel. Le même notaire a été choisi par les deux parties « pour optimiser l’avancée de ce projet », a indiqué l’élu. Sa capacité d’accueil sera de 3 000 personnes, soit dix fois plus que celle qui existe aujourd’hui dans le quartier Balzac.

    Au sujet de cette question « tellement sensible », l’élu (LR) Emmanuel Njoh a demandé « d’élargir la base de discussion à d’autres associations » (musulmanes) et « d’associer tous les groupes du conseil municipal à un débat ouvert ». Pour le groupe Rassemblement national, le seul à avoir voté contre cette délibération, François Paradol a dressé une liste d’« impératifs » tels que « l’encadrement strict des prêches » ou le « refus d’une grande mosquée cathédrale pour marquer le territoire ».

    https://www.lesalonbeige.fr/lr-et-pcf-unis-pour-la-construction-dune-mosquee-avec-minaret/

  • Le député Collard demande une commission d’enquête sur le financement islamiste par un État étranger

    Le député Collard demande une commission d’enquête sur le financement islamiste par un État étranger

    Le député RN Gilbert Collard a demandé la création d’une commission d’enquête sur le financement du prosélytisme islamiste et de la propagande salafiste par un État étranger suite aux révélations du livre Qatar Papers sur l’organisation Qatar Charity :

    Qui vote contre ?

  • Islam en France : bienvenue chez les fous

    Islam en France : bienvenue chez les fous

    Eric Zemmour dans Le Figaro magazine :

  • Des Grenobloises défilent pour « la liberté des femmes voilées ». Vraiment ?

    grenoble-femmes-voilees-capture-19-764x475-600x373.png

    Samedi dernier, quelques dizaines de femmes ont couru dans Grenoble pour réclamer « la liberté des femmes voilées ». Plus précisément pour dénoncer « les discriminations et les humiliations quotidiennes » dont elles se disent victimes dans leur vie de tous les jours.

    Afin de donner à leur démarche tout le poids nécessaire, elles ont manifesté de la Bastille à la mairie de Grenoble, revêtues du hijab pour la plupart d’entre elles. Elles dénoncent « certains espaces qui leur sont refusés », telles les piscines ou les salles de sport, et d’autres où elles assurent être « mal accueillies », comme l’université, la CAF ou Pôle emploi.

    « Stop, ça suffit. On est citoyennes françaises, on vote, on paye des impôts mais on ne veut pas de nous sur la place publique. C’est limite chez les médecins, dans le sport, un peu partout. On préfère nous voir cloîtrées à la maison », déclare l’une des manifestantes à FR3.

    Qu’est-ce que quarante ou cinquante femmes sur une agglomération de 670.000 habitants ? Rien ou presque. Ça ne vaut pas plus qu’un haussement d’épaules…

    C’est ce que pensait cette habitante parisienne quand elle enfilait un pull pour ne pas sortir bras nus : si la paix du quartier est à ce prix, ça n’est pas si grave… C’est aussi ce que se disaient nos voisins anglais quand ils ont accepté que le droit coutumier islamique prime parfois sur le droit anglais (en matière de divorce, notamment). Et puis une femme en burkini à la piscine, où est le problème ? C’est vrai, quoi, pourquoi ne pas leur réserver des horaires aménagés s’il faut cela pour qu’elles se mettent au sport ? Ce qu’a fait Martine Aubry à Lille. Et l’on peut bien, aussi, leur réserver des cabinets médicaux où elles ne risqueront pas de croiser un mâle. Après tout, si leur santé est à ce prix, où est le problème ?

    On peut aussi faire une séparation dans les amphis, à l’université, et puis des horaires réservés dans les musées, comme au hammam ; séparer aussi les petits enfants des écoles pour que garçons et filles ne se côtoient pas dans les classes de mer ou de nature. Ah pardon, c’est déjà fait : les plus radicaux n’y vont pas, c’est plus simple. Pas grave, non plus, d’apprendre que l’une des opérations de chirurgie esthétique les plus pratiquées, aujourd’hui, soit l’hyménoplastie (reconstruction de l’hymen, c’est-à-dire de la virginité). « Ça explose »/em>, disent les médecins. On trouve même un « pack tout inclus » pour aller se faire opérer en Tunisie : 700 euros, billet d’avion et hébergement compris.

    Parmi les manifestantes, l’une se plaint qu’on lui ait refusé l’entrée dans une piscine lors d’un examen. « Quand je suis arrivée au bord de la piscine avec mon maillot de bain couvrant, un maître-nageur est venu me chasser et je n’ai pas pu passer mon agrément. J’ai été discriminée », dit-elle. Il existe un règlement vestimentaire dans toutes les piscines de France, il vaut pour tout le monde. Qu’on se présente avec un bermuda et sans bonnet et c’est le retour au vestiaire assuré. Il n’y a aucune raison pour faire une exception.

    Il ne faut pas être naïf. Ce type de manifestation est une manœuvre à visée politique. Et Grenoble n’est pas n’importe quelle ville. En 2016, Patrick Kanner, ministre de la Ville du gouvernement Valls, avait provoqué des hurlements dans les rangs du Parti socialiste en affirmant que certains quartiers en France – comme on en trouve à Grenoble – n’avaient rien à envier à Molenbeek. Exemple à Allier-Alpins : école 100 % musulmane, inscriptions à la maternelle en arabe et en turc dans le quartier Vigny-Musset, boutiques strictement communautaires, avaient dénoncé, en 2015, Les Républicains de l’Isère et le blog d’opposition « Grenoble, le changement ».

    Le 7 février 2019, le préfet de l’Isère a ordonné la fermeture, pour six mois, de la mosquée Al-Kawthar, cela, en vertu de l’article L. 227-1 du Code de la sécurité intérieure qui vise à « prévenir la commission d’actes de terrorisme ».

    Son imam légitimait le djihad armé…

    Marie Delarue

    Tribune reprise deBoulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Marion Maréchal : “Quel va être le devenir d’une société où l’islam peut potentiellement devenir majoritaire?”

    Marion Maréchal : “Quel va être le devenir d’une société où l’islam peut potentiellement devenir majoritaire?”

    Extrait de l’interview accordé par Marion Maréchal à Valeurs actuelles dans un numéro qui lui consacre 10 pages :