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l'emploi - Page 99

  • Allemagne : Le marché du travail s’américanise

    C’est un phénomène qui se confirme d’année en année : l’américanisation du marché allemand du travail. En d’autres termes, en outre-Rhin, près de 2,66 millions de personnes cumulent deux emplois afin de pouvoir boucler leurs fins de mois. Ce chiffre a augmenté de 2,3 % en un an, selon les données de l’Agence fédérale de l’emploi (BA) obtenues par la députée d’extrême gauche Sabine Zimmermann et publiées dans le quotidien Freie Presse.

    Par

    Près de 9,1 % de la population active dans “l’économie la plus puissante de la zone euro” travaillent ainsi pour deux employeurs différents contre 4,3 % il y a tout juste dix ans.

    Ces chiffres montrent à quel point la situation des employés les moins rémunérés s’est dégradée en république fédérale lors de la dernière décennie. L’Institut allemand de recherche économique (DIW) a ainsi calculé que le salaire moyen outre-Rhin avait chuté de 4,2 % depuis 2003. Une chute à laquelle échappent les plus riches : une personne gagnant l’équivalent de 1 290 euros en l’an 2000 a ainsi perdu 242 euros de revenu mensuel dix ans plus tard, alors qu’un cadre touchant 5 368 euros a dans le même temps perçu une… augmentation de 113 euros. En 1998, la moitié la plus pauvre de la population possédait 4 % de l’ensemble des richesses détenues dans le pays contre à peine 1 % aujourd’hui.

    “Mini-job” et emplois assistés

    Cette dégringolade est bien plus rapide que celle enregistrée dans le reste de l’Union européenne. L’Allemagne est ainsi devenue le second pays en Europe – derrière la Lituanie – qui compte la proportion la plus importante de travailleurs pauvres.

    Près de 25 % de la population active, soit environ 7 millions de personnes, gagnent moins des deux tiers du salaire moyen national qui atteint 9,54 euros bruts de l’heure, selon l’Institut de recherche sur le marché du travail et les professions de Nuremberg (IAB).

    Dans des pays comme la Belgique, le Danemark ou la Finlande, cette proportion d’employés sous-payés ne dépasse pas 10 %. Cette étude rappelle aussi les énormes différences de revenus versés dans les différents pays de l’UE. Ainsi, au Danemark, le salaire horaire moyen s’élève à 15,80 euros alors qu’il ne dépasse pas 1,08 euro en Bulgarie.

    La paupérisation des employés allemands s’explique en grande partie par la libéralisation du marché du travail entamée par le chancelier social-démocrate (SPD) Gerhard Schröder.

    Depuis la mise en place des lois Hartz IV, près de 5 millions de personnes tentent aujourd’hui de survivre avec un “mini-job” payé 450 euros par mois ou un emploi assisté rémunéré 1 euro de l’heure.

    Ces emplois, censés remettre le pied à l’étrier des chômeurs de longue durée, plongent en fait le plus souvent leurs “bénéficiaires” dans une précarité salariée de longue durée.

    Sur les 6,1 millions de personnes qui touchent les subventions liées à Hartz IV, près de 2 millions deviennent en conséquence “presque totalement dépendantes des aides sociales versées par le gouvernement “, condamne la confédération syndicale DGB. Le “modèle allemand” ne manque pas de failles…

    lepoint.fr  

    http://fortune.fdesouche.com/316649-en-allemagne-le-marche-du-travail-samericanise#more-316649

  • Europe : En 2012, 5500 agences bancaires ont fermé

    Les banques de l’Union européenne ont fermé 5500 agences l’an dernier, soit 2,5% de l’ensemble de leurs réseaux.

    En 2012, 5500 agences bancaires ont fermé dans l’Union européenne (UE). Ces mesures portent à 20’000 le nombre des agences fermées dans le secteur depuis le début de la crise, en 2008.

    Le chiffre de 2012 marque un ralentissement de ce mouvement après les 7200 fermetures enregistrées l’année précédente, montrent les statistiques de la Banque centrale européenne (BCE). Entre la fin 2008 et la fin 2012, les banques de l’UE ont fermé au total 8% de leurs agences, ramenant leur nombre à 218’687, soit une pour 2300 personnes. L’an dernier, les pays les plus concernés par les fermetures ont été ceux qui sont dits «périphériques», les plus en difficulté.

    Grèce et Espagne

    La Grèce a ainsi fermé 219 agences, soit 5,7% de son réseau, notamment en raison des fusions au sein des banques locales. Cette tendance devrait se maintenir en 2013, le groupe Piraeus devant baisser le rideau d’une partie des 312 agences reprises en mars à des groupes chypriotes.

    En Espagne, ce sont 1963 agences qui ont mis la clé sous la porte en 2012, soit 4,9% du total. Et le chiffre des trois premiers mois de 2013 approche 700 selon les données publiées par la Banque d’Espagne.

    Le réseau d’agences irlandais s’est, quant à lui, réduit de 3,3% en 2012, et l’italien de 3,1%. En France, les banques n’ont fermé au total que 79 agences l’année dernière et la baisse sur quatre ans ressort à moins de 3%, alors qu’elle atteint 5% au Royaume-Uni et plus de 8% en Allemagne.

    Opinion publique

    L’Hexagone est le pays de l’Union qui compte le plus d’agences bancaires, avec près de 38’450 à la fin 2012, soit une pour 1709 personnes, un ratio qui classe la France juste dernière l’Espagne et Chypre.

    Certaines banques reconnaissent qu’elles ne ferment pas autant d’agences qu’elles le devraient, de peur de faire fuir certains clients d’une part, des retombées dans l’opinion d’autre part.

    Au Danemark, le nombre d’agences bancaires a chuté d’un tiers en quatre ans et d’un quart aux Pays-Bas depuis le début de la crise.

    Les seuls pays où les réseaux d’agences se sont développés l’an dernier sont la Pologne (4%), la République tchèque (2,3%) et la Lituanie (1,8%).

    BILAN   http://fortune.fdesouche.com/

  • LE DELUGE MEURTRIER DES LOIS

    Dans l'état actuel des choses telles qu'on ne voudrait pas qu'elles fussent la déferlante des lois ne s'arrête jamais. L'information coutumière, après les catastrophes ferroviaires ou autres énumérées, passe à la politique et c'est pour entendre que le gouvernement prépare des lois que l'on appelle aussi des textes.
    La publicité dans toutes ses formes est, d'ores et déjà, règlementée d'une façon épouvantable comme dans un corset. Cela ne suffit pas. La dernière nouveauté est que la publicité télévisée pourrait s'ouvrir à de nouveaux secteurs. Cette formulation est, en soi, un aveu terrible car cela signifie bien qu'avant elle ne pouvait pas s'exercer partout. Il y a eu des assises de l'audiovisuel en juin. Il est fréquent qu'un nouveau paquet de lois se prépare dans une telle parlotte ; les discoureurs verraient d'un mauvais œil que des textes compliqués ne viennent pas couronner la fête. Les nouveaux secteurs à ouvrir seraient les opérations de promotion des distributeurs ou les films. Cela rapportera 150 millions aux chaines. Toutefois, rien de pressé car le gouvernement arbitrera à la rentrée.
    L'on aperçoit très vite deux calamités venants de l'avalanche. A la rentrée le pouvoir arbitrera. D'ici là incertitudes et pannes dans tout projet  : l'incertitude est le pire ennemi de la richesse. Et puis, il y a des transferts d'argent prévus ; on va déshabiller Pierre au bénéfice de Paul : bonjour les combines.
    LES AMVAP
    Un autre exemple dramatique et actuel de la nuisance des lois est celui de la loi du 12 juillet 2010. Elle fait suite au deuxième Grenelle de l'environnement. Cette appellation pompeuse désigne des parlottes célèbres ayant acquis un statut quasi officiel. À leur suite de multiples lois apparaissent faisant déferler la ruine dans tout le corps social.
    Il existait les ZPPAUP qui sur d'immenses parties du territoire empêchaient de construire librement sauf à se soumettre à des exigences compliquées. Elles sont remplacées par les AMVAP : ou « aires de mise en valeur du patrimoine ».
    Mais la loi n'a aucune valeur s'il n'y a pas les décrets d'application et aux toutes récentes nouvelles ces décrets d'application sont parus. C'est une vraie jungle d'usines à gaz à pénétrer. En outre un décret d’application implique des circulaires, voire du contentieux. J'avoue ne pas savoir ou cela en est. Les projets ne peuvent se réaliser que si l'AMVAP est mise en place par la totalité des communes concernées : on imagine les formalités absurdes et nécessaires. Combien de projets ainsi gelés en France ? Mystère.
    LA PAUPERISATION
    Cette paupérisation est bien installée, tellement qu'avec l'habitude on finit par ne plus la voir. Mes lecteurs habituels savent qu'elle est due à l'action persistante des gouvernements de toutes tendances. Parmi les causes se trouve la déferlante des lois.
    Le sujet étant immense, citons seulement quelques aspects.
    Le manque de sécurité juridique, déjà dénoncé, est un obstacle considérable à la création de richesse et de ce fait un facteur de pauvreté. Les entrepreneurs seuls véritables auteurs de cette richesse sont particulièrement touchés. Il existe 61 codes avec 10 millions de mots et ces codes bougent à chaque instant. Certains d'entre eux comme le code du travail sont remplis d'interdictions de travailler. La jungle des lois est bourrée de contradictions. Les lois quelles qu'elles soient ne sont pas stables. Une foule d'organisations, notamment au niveau européen, peut les annuler ou les modifier. Certaines lois sont en conséquence dans une sorte de coma avancé.
    Et puis, pour couronner, l'arsenal est composé d'une vraie pyramide d'usines à gaz administratives. Les textes sont si obscurs qu'il faut s'accrocher pour comprendre. La ruine vient par le temps consacré à saisir. Elle s'invite aussi par les délais engendrés pour réaliser un projet, alors que la concurrence oblige à aller vite.
    EN FAIT POURQUOI ?
    D'ou vient ce vrai tsunami ?
    Nous sommes obligés de manger le pain amer de la démocratie frelatée que nous connaissons. L'élection présidentielle de 2012 s'est jouée à la marge comme souvent. Pour emporter le butin, les deux candidats se sont livrés à un festival de promesses. Toutes ces promesses aboutissaient à des « textes », terme qui devrait être banni du langage politique.
    Nous arrivons enfin au nombre des ministres. Les 40 personnages qui siègent autour de la table n'ont qu'un rêve : laisser une trace par un ou plusieurs beaux textes.
    In fine ,saluons les assemblées parlementaires. Les élus trouvent leurs légitimité et leur gloire à pondre des lois. Ils infligent à leurs concitoyens une double ruine. A leur propre et insolente richesse, s'ajoute l'activité qu'ils déploient pour la justifier.
    OÙ EST L'ISSUE
    Elle existe. Lors d'une élection présidentielle un candidat crédible s'engagerait à nommer 8 ministres pas plus : exit les sous ministres et secrétaires d'état. Parallèlement il promettrait l'arrêt du déluge des lois ; cela veut dire que le pouvoir appliquerait simplement les lois existantes qui suffisent à tout. Ce programme avec une communication adaptée ne pourrait que remporter les voix.
    En Suisse, les conseillers fédéraux qui sont les ministres ne dépassent jamais le nombre de sept. Il n'y a chaque année que très peu de lois nouvelles. Alors ?
    MICHEL de PONCINS  http://libeco.net

  • Chômage : les Français n’ont aucune confiance dans François Hollande

    PARIS (NOVOpress) – Le changement, c’est maintenant ? 84% des Français ne croient pas que François Hollande soit capable de faire baisser le nombre de chômeurs en France selon un sondage Ifop pour l’hebdomadaire Valeurs actuelles : 41% estiment que ce ne sera « probablement pas » le cas, 43% « certainement pas ». Seuls 14% répondent que cela se réalisera « probablement » et uniquement 2% « certainement ». Les sympathisant de l’UMP et du FN sont évidemment les plus sceptiques (respectivement 97% et 96% ne croient pas que François Hollande soit l’homme de la situation). Mais, même les illusions des sympathisants de gauche sont mortes : 65% ne pensent pas que le président atteindra son objectif.

     

    La proportion d’incrédules ne cesse de croître. En mai, 80% des Français jugeaient déjà l’inversion de la courbe des sans-emploi irréaliste, d’après BVA. En janvier, un premier sondage Ifop sur la question révélait 75% de pessimistes. Malgré les belles promesses de l’hôte de l’Elysée, le nombre des demandeurs d’emploi sans activité est reparti à la hausse en juin avec 14 900 nouveaux inscrits en métropole. L’Insee a annoncé que le chômage devrait continuer de grimper fin 2013 pour atteindre 10,7% en métropole, proche d’un record historique. François Hollande, un dirigeant socialiste coupé de plus en plus des réalités françaises.

    http://fr.novopress.info/

  • FMI : “Pas d’inversion de la courbe du chômage sous le mandat de François Hollande”

    « Etant donné la relance toujours hésitante de l’économie, le gouvernement devrait assouplir le rythme de l’ajustement », a estimé le Fonds Monétaire International (FMI), à propos de la France, dans son rapport annuel sur la situation économique du pays. Il exhorte le gouvernement de François Hollande à ralentir le durcissement de la pression fiscale l’année prochaine pour éviter une rechute économique, alors que le président français avait indiqué que l’on constatait le retour de la croissance.

    D’après le FMI, le taux de chômage (selon les critères du Bureau International du Travail) devrait dépasser 11,6% en 2014 et il ne devrait pas baisser en deçà de 10,6% pendant le mandat de François Hollande. « Si c’est ce sombre scénario qui se déploie, ce sera un véritable coup de massue politique pour M. Hollande. Il a demandé à la nation de le juger sur les résultats de ses efforts pour « inverser la courbe du chômage », estime Ambrose Evans-Pritchard dans le Daily Telegraph.

    Le FMI invite le gouvernement français à réduire les dépenses publiques pour baisser le déficit, plutôt que de créer de nouvelles taxes, qui « sont parmi les plus élevées sur le plan international et ont un effet négatif sur l’investissement et la création d’emplois ».

     

    En revanche, l’Organisation a félicité le président français pour ses réformes visant à réduire les cotisations sur les salaires et à donner plus de flexibilité aux entreprises pour adapter leur main d’œuvre et leur masse salariale, mais elle estime que ces changements ne permettront pas d’enrayer l’érosion de la compétitivité des entreprises. Depuis 1999, les salaires ont augmenté de 53% en France, alors qu’ils n’ont crû que de 35% en Allemagne. Cependant, l’Organisation indique que la nouveauté, c’est que la France est en train de perdre du terrain contre l’Italie et l’Espagne, et que cela pourrait entrainer des pertes de parts de marché. Les pays de l’Europe du sud, englués dans des crises très graves, ont entamé une « dévaluation interne » qui a conduit à une baisse des salaires induite par les taux de chômage dramatiques qu’ils connaissent, mais qui a favorisé leurs exportations, et ils constatent une amélioration du solde de leur balance commerciale.

    « De janvier 1999 à Avril 2013, la production française a baissé de 11,4% alors que la production allemande a augmenté de 32%. Nous voyons une érosion régulière de la capacité de production française. La profitabilité est tellement faible qu’il n’y a pas d’incitation à investir. C’est très inquiétant », observe Eric Dor, de l’école de commerce de Lille, l’IESEG.

    La dette publique française atteindra 95% du PIB l’année prochaine, mais elle pourrait grimper à près de 100% en cas d’absence de la reprise dans la zone euro, une hypothèse que le FMI juge très probable.

    Dans un article du Point, l’essayiste libéral Nicolas Baverez, qui a été auditeur à la Cour des Comptes, surnomme Hollande « le Gamelin de la guerre économique », en référence au Général Gamelin, le général français qui commandait l’armée française pendant la Seconde Guerre Mondiale et qui est à l’origine de sa débâcle. « À l’égal de Maurice Gamelin, François Hollande fait partie des hommes qui font plus de mal à leur pays par leur incapacité que nombre d’ambitieux. Son inaptitude à l’action et à la décision dans le monde réel promet non seulement notre économie à la faillite mais menace la République qu’il place à la merci du Front national et l’euro qu’il met dans les mains des marchés financiers ».

    express.be   http://fortune.fdesouche.com

  • Alpagué par une chômeuse, Hollande ne sait pas quoi répondre

  • Brave FMI : Peut mieux faire !

    COMMUNIQUÉ de presse de Jacques MYARD, Député UMP, Président du Cercle Nation et République

    Le rapport annuel du FMI sur la France rappelle à juste titre la nécessité d'effectuer des réformes fondamentales et structurelles, telle la réforme des retraites qui doit passer par un allongement du temps de travail ou celle des cotisations sociales qui pèsent sur le coût des salaires et, en conséquence, sur la compétitivité des entreprises.

    Ce sont là des évidences connues et acceptées par tous les esprits objectifs et honnêtes sauf par le gouvernement socialiste...
    Mais ce rapport ne manque pas de sel lorsqu'il fustige la réduction accélérée des dépenses publiques qui va directement freiner la croissance conformément aux nouvelles analyses menées par Olivier Blanchard sur le taux du multiplicateur de la réduction de la dépense publique. Les experts du FMI oublient un peu trop vite les icônes qu'ils ont adorées pendant des décennies, alors qu’ils ont dénoncé à l'envie la dépense publique comme l'ennemi public numéro un !
    Mais surtout le FMI ne va pas au bout de sa logique : il refuse de se rendre à l'évidence lorsqu'il constate le perte de compétitivité de la France, il ne dit mot du handicap structurel qu'est la monnaie unique qui est la principale cause de la perte de compétitivité des entreprises françaises ! Il se contente de prôner des mesures de dévaluation interne très largement insuffisantes pour regagner des marges de manœuvre, seule une dévaluation externe peut relever le défi de la compétitivité et de la relance économique.
    Le FMI demeure pétri d’idéologie, tout comme Bruxelles et Francfort, et continue de nier la réalité d'une monnaie unique qui est structurellement inadaptée à des économies divergentes et de niveaux très différents.
    Oui, la France doit faire des réformes structurelles et au premier chef l'euro qui étrangle son économie depuis plus de dix ans !¢
    Jacques MYARD
    Député UMP
    Président du Cercle Nation et République

    Le 6 août 2013  http://www.francepresseinfos.com/

  • Jean-Paul Gourévitch invité du Direct des Contribuables - l'émigration en France - juin 2013

  • Une grève des cotisations sociales de TPE et PME annoncée en septembre 2013

    Les vacances battent leur plein et déjà, la rentrée se profile mal :

    "En septembre 2013 une grève des cotisations sociales est prévue par les plus petites entreprises de notre pays. Les petits patrons de notre pays sont excédés. Il faut dire que leur situation ne permet pas de faire facilement grève.

    Généralement ce sont des petits commerçants, professions indépendantes et artisans qui n’ont pas la possibilité de partir ou mettre le siège social ailleurs qu’en France, ni de délocaliser leurs société. Cette situation de prisonnier de la France, les socialistes au pouvoir depuis un an se sont déchaînés sur eux.
    Le pouvoir socialiste dogmatique avec les dernières mesures au budget 2013, un engendré pour eux un matraquage de bêtise destructeur et économique absurde.

    Un matraquage socialiste :

    Si les socialistes voulaient une destruction massive des plus petites PME de notre pays, ils ne s’y prendraient pas autrement.

    Le petit entrepreneur peut se rémunérer de 2 manières, par des indemnités brutes assimilables au salaire pour les quidams qui ne connaissent pas le fonctionnement d’une PME, ou par les dividendes, c’est a dire la rémunération du capital qu’ils ont risqué dans leur PME.

    Le gouvernement socialiste a largement augmenté les taxations sur cette catégorie sociale pour faire son budget 2013. Il est vrai qu’ils ne votent pas à gauche et ne sont pas bien vindicatifs. En pleine crise économique, ces entrepreneurs qui souffrent encore plus que les autres des baisses de la consommation, subissent actuellement un matraquage fiscal ubuesque dans l’indifférence généralisée. Il faut dire que leur représentation dans les médias et les politiques est proche de 0.

    Au budget 2013 voici ce qui a été modifié pour eux en matière d’impôts :
    1-Soumissions aux cotisations sociales les dividendes, alors qu’ils ont étés déjà imposé.
    2-La suppression de l’abattement de 10% de la base de cotisations sociales.
    3-La suppression de l’abattement d’impôt de 1525€ sur les dividendes" (suite).

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La France achète la paix sociale avec des étudiants factices ‘payés pour ne rien faire’

    « Nous, direct, on signe on s’en va. Ici, on est payés à rien foutre», explique l’un de ces étudiants fictifs de l’Université de Perpignan, venu uniquement pour émarger le jour de l’examen pour pouvoir prétendre à sa bourse étudiante. « On a la bourse, on travaille de partout au noir, on s’en tire avec 1 500 euros facile », ajoute-t-il.

    Dans le journal français Le Monde, Pascale Kremer explique que le problème des étudiants fictifs devient de plus en plus inquiétant. « Ces faux étudiants existent depuis toujours mais nous notons une accélération depuis deux-trois ans, en lien avec le chômage des jeunes et l’absence de dispositif de soutien financier pour cette période de transition entre lycée et activité », indique Fabrice Lorente, le président de l’Université de Perpignan, dans le département des Pyrénées Orientales.

    Ces étudiants bénéficient d’une bourse de 470 euros mensuels pendant 10 mois, qui les autorise à travailler, et leur permet de bénéficier de nombreuses exonérations (dont celle des frais d’inscription à l’université), de l’inscription à la Sécurité Sociale, et de réductions. Mais pour la percevoir, les élèves doivent se présenter aux examens et à certains cours (« travaux dirigés », ou TD).

    Du coup, les élèves qui ne le sont que pour percevoir ce viatique ne viennent aux examens que pour émarger, mais comme ils doivent rester au minimum un tiers de la durée totale de l’épreuve, ils piaffent d’impatience et dérangent les autres élèves. Et dans les TD, ce n’est pas mieux : les étudiants factices perturbent le cours, ils sont agités, jouent avec leur téléphone portable, quand ils ne dorment pas ouvertement sur leur bureau.

    Pour les doyens d’université, ces étudiants ne posent pas qu’un problème de discipline. En effet, le financement des universités dépend pour partie du taux de réussite en première année, et ces étudiants qui ne font rien augmentent le taux d’échec aux examens. Les taux de réussite en première année pour les filières Administration Économique et Sociale et Sociologie, deux filières prisées par ces faux-étudiants, ne sont respectivement que de 15 % et 29%. Mais lorsque l’on retire les élèves factices des calculs, ils grimpent à 44% toutes les filières confondues.

    Selon les doyens des facultés de lettres et de droit, Nicolas Marty et Yves Picod, le gouvernement ferme les yeux sur ces «étudiants fantômes», et ce faisant, il achète la paix sociale. La bourse apporte un complément de revenu bienvenu pour les familles souvent modestes de ces étudiants. Et en conservant le statut d’étudiant, ceux-ci sont éliminés des statistiques du chômage.

    Ces deux doyens souhaiteraient que l’on impose des résultats minimaux aux examens pour le maintien de la bourse, mais d’autres s’interrogent sur cette proposition. Les professeurs de sociologie redoutent que les étudiants boursiers qui étudient réellement, ou leur matière, ne soient stigmatisés. Ils soulignent qu’un grand nombre de ces faux étudiants sont d’origine maghrébine, ce qui ajoute une dimension raciale à ce problème.

    Jean Jacob, professeur de sciences politiques, propose quant à lui de supprimer la limite d’âge du Revenu de Solidarité Active (RSA). Le RSA est une allocation qui est actuellement attribuée aux personnes sans ressources âgées d’au moins 25 ans. Si les plus jeunes pouvaient également en bénéficier, ils n’auraient plus besoin de faire acte de présence à l’université, et de ce fait, ils ne dérangeraient plus les étudiants studieux.

    Express.be   http://fortune.fdesouche.com/