lobby - Page 1125
-
Macron arrose l’Afrique - Journal du Lundi 05 Février 2018
-
La faute à qui?
Il existe au moins un large consensus chez nos compatriotes sur la nécessité de faire de l’école le lieu d’une transmission efficace des savoirs (de base) mais aussi de la sanctuariser, de la protéger des violences et des tensions qui règnent dans l’espace public. C’est en tout cas un des objectifs affichés du ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer. Il l’a redit le 1er février, à l’occasion de l’invitation faite au président du Crif, Françis Kalifat, de venir discuter au ministère. Une occasion pour ce dernier de faire passer quelques consignes et pour le ministre de dire qu’il entend également travailler avec le Crif. « Autour du FN, on doit maintenir lecordon sanitaire, ne pas faire sauter le verrou moral » affirmait il y a peu M. Kalifat et deMorale il fut question au cours de cette rencontre. M. Blanquer a souligné sur Twitter s’être entretenu avec le représentant communautaire « des principes de la République, au fondement de notre école pour transmettre des savoirs et des valeurs. L’école est le premier vaccin républicain contre toutes les haines. » Piqûre de rappel précise le communiqué du Crif « afin qu’ils (les enfants et adolescents, NDLR) apprennent à agir et à réagir en qualité de citoyens avertis. »
Les intervenants de la Licra, du Mrap, de la Ldh, de SOS racisme sont déjà les bienvenus dans de nombreux établissements, faut-il en rajouter encore dans la soumission au communautarisme…au nom de la République une et indivisible ? Certains vaccins dits républicains font peur, et pas toujours pour de mauvaises raisons, et l’Ecole républicaine ne se veut-elle pas laïque et garante d’une neutralité idéologique?… du moins si l’on écoute les discours publics des ministres successifs de l’Education dite nationale. Dans les faits les établissements scolaires n’échappent pas à la propagande progressiste, droit-de-l’hommiste, cosmopolite la plus grossière, avec ses cours d’éducation civique souvent très orientées ou encore son antiracisme (faux nez de l’immigrationnisme) militant.
Une propagande qui comme à chaque fois se fracasse sur le mur du réel, notre pays étant nommément désigné par nos voisins européens comme un contre-modèle du fait des conséquences de sa folle politique migratoire. Même en Allemagne, le parti anti-immigration AfD communique dans sa dernière campagne sur ce thème, à l’instar du député Alice Weidel qui écrit sur ses affiches que « l’Allemagne doit se protéger de toute urgence des violences qui se passent en France, et de l’ambiance de guerre civile à Calais. »
Samedi à Cottbus (Etat de Brandebourg, dans l’est de l’Allemagne), plusieurs milliers de personnes ont ainsi manifesté contre la présence et les violences récurrentes des immigrés-migrants-réfugiés-exilés après deux nouvelles attaques au couteau perpétrées par des Syriens. Une violence qui grimpe en flèche partout en Allemagne depuis la submersion migratoire initiée par Angela Merkel . Preuve du basculement de l’opinion, la contre-manifestation organisée par l’extrême gauche, historiquement puissante outre-Rhin, a fait un bide. Notons que cette mobilisation citoyenne contre l’immigration a marqué un point puisque devant les risques de dérapages, l’envoi de migrants à Cottbus a été suspendu.
De dérapage et un très sérieux, il a été question samedi à Macerata, une ville moyenne de la région des Marches, dans le centre de l‘Italie. Un jeune homme, Luca Traini, y a blessé par balles avec son revolver six migrants africains. Décrit dans les médias comme ayant des sympathies fascistes, il avait été plus prosaïquement candidat l’année dernière sur une liste pour des élections communales, non loin de là à Corridonia, sous l’étiquette de la Ligue du Nord. Le dirigeant de de la Ligue, Matteo Salvini, a réagi fermement: « Quelqu’un qui tire est un délinquant, abstraction faite de la couleur de la peau », attaque dénoncée comme on s’en doute par tous les partis italiens. Lien ou non de cause à effet, cette commune avait défrayé la chronique deux jours auparavant avec l’arrestation d’un criminel multirécidiviste, un dealer Nigérian demandeur d’asile qui a sauvagement assassiné, avant de la découper morceaux, une jeune italienne de 18 ans, Pamela Mastropietro, qui s’était échappée d’un centre de désintoxication situé à Corridonia,
Un nouveau drame qui intervient à quelques semaines des législatives en Italie, scrutées avec inquiétude par les euromondialistes, car elles seraient susceptibles de créer un véritable bouleversement, les partis eurosceptiques, populistes et anti-immigration, à en croire les sondages, étant largement favoris. Matteo Salvini a cependant rappelé que cette attaque est aussi le fruit indirect de l’invasion migratoire. « J’ai hâte d’arriver au gouvernement pour ramener dans toute l’Italie la sécurité, la justice sociale et la sérénité. » a-t-il affirmé. Mouvements patriotiques et anti-bruxellois qui, particulièrement dans ce contexte, n’ont rien à gagner à une quelconquestratégie de la tension, aux débordements, aux violences, aux provocations qui ne pourraient que conforter le système en place en effrayant les électeurs.
Bruno Gollnisch le rappelait en octobre dernier à l’occasion de succès remportés par la Ligue du Nord, les électeurs italiens connaissent le combat identitaire mené ces dernières années par la Ligue du Nord contre l’immigration sauvage, particulièrement au moment ou ils sont confrontés à une augmentation considérable des viols, des agressions violentes, des exigences communautaires. L’Italie est en première ligne face à la submersion migratoire, laquelle est aussi une conséquence de l’inféodation du gouvernement italien à la politique pusillanime menée par les instances bruxelloises dans ce domaine.
Quid de la France ? Après la série d’échecs enregistrée aux sénatoriales en septembre et lors des trois municipales partielles de décembre, les deux candidats macronistes en lice ce dimanche pour le second tour des législatives partielles ont mordu la poussière face à LR dans le Territoire de Belfort et même dans le Val d’Oise malgré la mobilisation sur le terrain du Premier ministre Edouard Philippe et du patron de LREM Christophe Castaner . Avec une abstention oscillant hier entre 74%( à Belfort) et 80% (dans la première circonscription du Val d’Oise), les soutiens du gouvernement ont eu beau jeu de dire que cette participation anémique ne permet pas de tirer de conclusions de ces deux nouveaux revers. Mais force est de constater que ladite abstention pour des partielles n’est en rien exceptionnelle…et qu’elle impacte particulièrement LREM et ses soutiens.
Une majorité présidentielle porteuse d’un programme, faut-il le rappeler, que dans ses grandes lignes les Français rejettent souvent à une très large majorité. Nos compatriotes qui refusent l’immigration massive (les mesures cosmétiques, hypocrites prônées par le gouvernement ne sont pas à la hauteur de l’enjeu), le règne du laisser faire-laisser passer peuvent- ils espérer arracher notre pays au déclin, en se contentant de voter LR ? C’est-à-dire en apportant leurs suffrages – du moins parlons-nous de ceux qui votent encore…- aux candidats du parti de la girouette Laurent Wauquiez qui refuse toute alliance, même locale, avec le FN? Posez la question c’est y répondre.
-
La libération sexuelle c'est l'aliénation de la femme
Normalienne et agrégée de philosophie, Marianne Durano a publié un essai intitulé Mon corps ne vous appartient pas. Elle raconte que, comme les filles de son époque, elle reçu une éducation sexuelle lambda, on l’a emmenée voir un gynéco dès la puberté, elle a perdu sa virginité relativement tôt, a pris la pilule pendant huit ans, fait des dépistages du Sida, pris des pilules du lendemain... Puis elle s'est mariée et a eu des enfants. Elle est interrogée par Adélaïde Pouchol dans l'Homme Nouveau :
"C’est seulement après mon accouchement que j’ai pu rationaliser, que j’ai relu toute ma grossesse, mon accouchement et tout mon parcours de contraception artificielle, mon parcours de jeune fille de notre temps, à l’aune de cette domination technique.
Ce terme de domination fait écho à celui d’aliénation qui revient souvent dans votre livre. Pourquoi ce terme – très marqué politiquement – et quel sens lui donnez-vous ?
Une domination, par définition, est vécue comme telle et implique que nous connaissions l’ennemi. L’aliénation, en revanche, décrit un processus qui peut être impersonnel (on peut être aliéné par une personne autant que par un système) et dont nous ne sommes pas conscients. Le mot vient d’alienus, d’où l’idée que nous devenons comme étranger à nous-même. Dans le rapport au médecin la femme se sent étrangère à elle-même, au corps qui la constitue mais qu’elle regarde comme un objet. J’emploie aussi ce mot car, lorsque je parle par exemple d’aliénation médicale, je ne veux pas dire que les femmes sont aliénées par les médecins en tant que personnes. Il ne s’agit pas d’un rapport d’individu à individu mais bien d’un système qui est aliénant, où chacun est à la fois coupable et aliéné. Car le médecin l’est lui aussi dans la mesure où le système lui impose de prendre en charge de plus en plus de demandes sociétales. [...]"
Mais 68, c'est fini.
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, lobby, tradition 0 commentaire -
À CALAIS, UNE SEULE SOLUTION : LA REMIGRATION
Communiqué de Marie-Jeanne Vincent, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis
La ville de Calais a fait l’objet de violentes rixes entre clandestins afghans et africains. Le bilan est lourd : 21 blessés dont cinq par armes à feu. Cette poussée de violence fait suite à d’autres événements insupportables : agressions sexuelles, vols, attaques sur la rocade portuaire. 800 clandestins soutenus par des associations « humanitaires » composant avec les activistes de l’ultra gauche « anti fasciste » et le groupuscule No Border prennent en otage une ville de 77.000 habitants.
La maire Les Républicains de Calais, Natacha Bouchart, sans doute éclairée par la lecture des tracts du Parti de la France, réclame enfin que des mesures soient prises contre les activistes et la présence des clandestins. Réaction tardive de la part de l’élue qui en 2014 avait autorisé l’installation d’un centre de jour sur des terrains municipaux et avait déclaré que les migrants étaient « une richesse culturelle ».
Cette richesse rend la vie impossible pour les Calaisiennes et Calaisiens mais aussi pour les entreprises et les sociétés de transport. Face à cela que propose L’État : des CRS en plus.
Le PdF du Calaisis a conscience que cela ne servira à rien. C’est pourquoi nous réclamons :
- Un encadrement strict des activités des associations intervenant à Calais et un contrôle de leurs sources de financement ;
- La dissolution des groupuscules antifa et no border qui disposent d’un local boulevard Lafayette ;
- L’expulsion vers leurs pays d’origine de tous les clandestins, ces gens sont entrés illégalement sur le territoire français et la loi nous autorise à les renvoyer chez eux.
Calais a besoin de mesures concrètes et non de saupoudrage ou d'effets de manche médiatique comme l’a été la venue du Président de la République, Emmanuel Macron.
-
Une Organisation de Lutte contre le Racisme Anti-Blanc vient de naître
Une toute nouvelle association vient de faire son apparition : l’OLRA, pour Organisation de Lutte contre le Racisme Anti-Blanc.
Il est un peu tôt pour savoir ce qu’il faut vraiment en penser. Un seul visage apparaît, celui de Laurent de Béchade, une jeune professionnel de la finance travaillant pour une banque de gestion privée.
Une chose est sûre : le sujet dérange. Dès l’apparition de l’OLRA sur Twitter, des représentants des différentes minorités usant de la victimisation ont vu d’un mauvais œil qu’on lève un coin de voile sur le racisme anti-blanc. Autre élément significatif du tabou qui entoure le racisme anti-blanc, YouTube a censuré la vidéo de présentation de l’OLRA.
Face à ces premières petites épreuves, l’OLRA a choisi la stratégie consensuelle.
Observez le choix des illustrations. En quelques jours, l’OLRA est passé du visuel d’un jeune Blanc recroquevillé…
… à celui d’un jeune Blanc soutenu par son copain de couleur. Et l’association rappelle avec insistance qu’elle regroupe des gens de diverses religions et diverses origines.
Laurent de Béchade martèle que son association est « laïque, apolitique et indépendante ». Dans son interview au magazine Le Point, il déclare : « Des extrémistes soutiennent notre cause, comme le Front national, mais on veut s’écarter de cela. ». Avant d’ajouter : « Je peux juste dire qu’on s’inscrit dans la ligne de SOS Racisme ».
L’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blanc (Olra) semble vouloir à tout prix obtenir son label de respectabilité.
En attendant d’en savoir plus, on peut dans tous les cas se réjouir de voir une structure expliquer que « Le racisme anti-Blanc est bel et bien réel, et l’absence de ce sujet dans la sphère médiatique entretient l’inaction dans le champ politique ».
Bien entendu, Dominique Sopo, président de SOS Racisme, se moque et critique : « C’est gaguesque, lunaire ! Défendre l’existence du racisme anti-Blanc, c’est rendre service à l’extrême droite. Cette association est à l’opposé de la lutte antiraciste. »
Mais même Najat Vallaud-Belkacem, peu suspecte de dérive réactionnaire et identitaire, a évoqué dans son livre Raison de plus !, ce « racisme anti-Blanc dont chacun peut convenir sans mal ni complaisance qu’il existe et qu’il est aussi condamnable et stupide que tout autre ».
A tel point que le journaliste sportif Pierre Ménès avait évoqué des cas de racisme anti-blanc jusque dans l’équipe de France de football.
-
Contre la soviétisation du numérique, touche pas à mon net !
Par Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦ Depuis quelques années, un phénomène se met en place, une censure progressive et de plus en plus réelle. On peut s’interroger: que lira-t-on dans dix ans ? Y aura-t-il encore des opposants ?
L’homme est d’abord un être rationnel. Disons d’emblée qu’aucune censure ne peut, n’a pu et ne pourra empêcher de penser et d’agir autrement. C’est même la grande leçon des totalitarismes du 20ème siècle. Et pourtant, nous sommes inquiets ? La censure en cours ne va-t-elle pas handicaper les esprits libres et retarder les espérances ?
Paradoxalement, c’est la presse officielle qui semble en pâtir en perdant non seulement des lecteurs mais aussi toute crédibilité. En fait, la grande presse se tire une balle dans le pied en se faisant le relais officiel de l’apologie des censeurs ? Tout ce qui remet en cause l’idéologie officielle n’a plus sa place sur YouTube. Il faut donc le souligner : pour la première fois, nous n’avons plus affaire à une censure verticale, la censure d’État, une censure gouvernementale qui était rendue possible par tout un arsenal de mesures et de lois criminalisant les idées ou les thèses historiques (lois Pléven et Gayssot) et restreignant classiquement la liberté d’expression mais nous avons affaire à une censure horizontale qui passe par des entreprises privées, les grandes plates formes numériques du web qui opèrent dorénavant un rôle de censeur des opinions .
Aux États-Unis, YouTube a par exemple fait savoir que le contenu publié par RT serait systématiquement pénalisé dans les référencements. Les reportages de Russia Today, ses contenus, ses vidéos seront donc handicapés puisque le public y aura plus difficilement accès. On assiste donc bien en quelque sorte à la soviétisation du numérique et ceci ne peut tromper aucune personne avertie de la spécificité du web depuis le début à savoir le principe fondateur de l’open internet, de l’internet ouvert. C’est la fin d’une époque.
En France, les journalistes du Monde ou de L’Express sont devenus les vecteurs de campagnes systématiques de dénigrement des idées non conformes. Du coup, la grande presse française a choisi d’engager la bataille qu’elle perdra logiquement en rentrant en guerre contre l’éradication de toute pensée nouvelle et émergente. Ainsi, la presse française meurt chaque jour de la verticalité d’Etat, de sa subordination aux élites politiques et financières qui nous gouvernement. Les journalistes déjà quasi fonctionnaires, formés dans les écoles du journalisme aux réseaux lexicaux des non-dits et du camouflage sémantique se convertissent en gardiens humanitaires du net. Ainsi, le paysage médiatique français se retrouve complètement cadenassé et ne trouve d’autre issue que dans la culture des blogueurs et des sites alternatifs de réinformation.
Comme La Pravda d’hier, Le Monde crache ainsi son venin et les télégraphistes de la post-vérité en appellent à la répression de tous les dissidents. Avec la chasse aux fake news, on monte d’un cran, on horizontalise en quelque sorte l’inquisition. On tente la fermeture des canaux de diffusion.
C’est rigoureusement impossible à moins de changer d’époque
Nous sommes à l’ère numérique. A la Renaissance, on ne put rien faire contre la révolution de l’imprimerie et la diffusion des livres. Il apparaît évident qu’en 2018, rien ne pourra arrêter le déploiement du numérique. Les imprimeurs révolutionnaires ou réformés d’hier sont les hackers d’aujourd’hui et surtout de demain. Arrêtez la musique d’internet, c’est fermer le village global. On ne saurait vouloir ralentir ou supprimer la propagation du web. De plus, l’ère numérique a pour présupposé l’innovation et la créativité permanente avec une ubiquité des données qui exige la liberté d’opinion totale et c’est même l’instinct de conservation du système cybernétique lui-même. Sans ce principe de l’ouverture et de la création libre de contenus, la richesse numérique ne saurait être produite.
Twitter est allé plus loin en affirmant qu’il ne se contentera plus de purger les contenus écrits mais qu’il irait jusqu’à purger les utilisateurs malveillants. En se transformant en nouveaux bureaux politiques de la bien pensance humanitaire, toutes ces plates formes sont à terme condamnées par principe dans la nouvelle économie numérique.
Si votre engagement viole les conditions et les clauses de la charte de YouTube ou de Facebook, vous seriez exclu de leur plate-forme mais une plate-forme ne saurait se réduire à une police d’assurance fut-elle politique ou philosophique et une telle dérive inquisitoriale se retournera contre le principe même de la diffusion libre et du moteur algorythmique.
On est donc passé du tribunal de salut public, à la délation politique explicitée et légitimée par les journalistes et l’idéologie de la démocratie globale, directe et instantanée.
La répression et la censure auront beau se développer sur la toile, les contre-mesures se renforceront immédiatement.
Source : Metamag
Crédit photo : Domaine publichttps://www.polemia.com/contre-la-sovietisation-du-numerique-touche-pas-a-mon-net/
-
Affaire Théo : sale temps pour la fabrique du mensonge, par Ivan Rioufol
Ils nient, tripatouillent, insultent. Les “dénégationnistes” sont prêts à tout pour empêcher que des évidences soient dites, dès lors qu’elles risqueraient d’affaiblir le statut de “victime” que ces bidouilleurs accordent aux minorités qui se disent dominées. Le journaliste David Thomson a été le premier, en 2014, à alerter sur les risques d’attentats en France commis par des djihadistes français. Les images d’archives ont gardé la trace de débats télévisés de l’époque : elles montrent Thomson, témoin de ce qu’il a vu sur les terrains moyen-orientaux et français, en prise avec des contradicteurs qui le moquent. Ce sont ces militants en chaises longues que Thomson épingle quand il dénonce, dans Le Figaro du 26 janvier, ces “experts faussaires abonnés aux plateaux télé pour meubler du vide avec du vide et (qui) continuent d’occuper, hélas, la majeure partie du temps d’antenne”. La description est exacte. Derrière, il y a les visages et les noms des spécialistes dans la fabrique du mensonge. Mais pour eux, le temps se gâte.
Il est vrai que les enfumages sont de plus en plus voyants et grossiers. Apparue lundi sur les réseaux sociaux, la vidéo de l’interpellation du “petit Théo”, le 2 février 2017 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), démolit en quelques secondes une année de propagande antiflics. La scène enfin dévoilée avait été décrite par la “victime” et ses soutiens médiatiques comme un déshabillage suivi d’un viol à l’aide d’une matraque.
En réalité, l’incident se révèle être conforme aux conclusions de l’enquête de l’IGPN (la police des polices) récusées par la pression idéologique : une rébellion violente de Théo (22 ans, 1,94 mètre) contre quatre policiers qui prennent des coups et en rendent. Nulle part sur les images n’apparaît le viol qui a valu à l’un des fonctionnaires sa suspension. François Hollande, qui ne s’était pas rendu au chevet de deux policiers brûlés vifs dans leur voiture à Viry-Châtillon (Essonne), s’était déplacé pour saluer Théo Luhaka sur son lit d’hôpital.
La force des réalités est un tsunami appelé à balayer les désinformations et les propagandes produites par la dialectique victimaire.
Ivan Rioufol
Texte daté du 1er février 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol
-
Ludovine de La Rochère sur LCP - Bébés pour tous : quelle limite ? - 29 janvier 2018
-
Neige dans le désert marocain! L’hiver n’a jamais été aussi rigoureux ni les taxes sur le réchauffement climatique… Vidéo
Vague de neige aux portes du désert au Maroc. Du jamais vu depuis 1960 !!! Les médias français qui font de récurrents lavages de cerveau sur le réchauffement climatique, se montrent bien muets sur les vagues de froid exceptionnelles qui ont frappé cet hiver le Maghreb, l’Inde ou les États-Unis. Depuis longtemps l’hiver n’avait pas été aussi froid en France non plus. Il faut dire que Paris s’est fait une spécificité du réchauffement climatique, bon prétexte pour obliger les Français à jeter leurs vieilles voitures, et pour grever les Français de taxes et de contraintes nouvelles en tout genre. Et si Donald Trump avait raison ? Les idiots utiles de France Info, BFMTV et autres journalistes à la botte des oligarques de la Haute finance ne sont, de toute évidence, pas payés pour dire la vérité. La Conférence de Paris sur le Climat de laquelle Donald Trump a libéré les États-unis, continue de frapper de plein fouet les Français…
Bulletin météo du 1er février au Maroc
-
CALAIS, ÇA SUFFIT !
Atterrés, désemparés, défaits devant une situation de plus en plus ingérable, les Calaisiens n’en peuvent plus. Voilà quinze mois, on nous disait pourtant avoir réglé le problème. Les troupes mandatées par un François Hollande gonflé d’autosatisfaction embarquaient les habitants de la jungle dans des cars, direction les 280 centres d’accueil et d’orientation répartis dans toute la France.
Combien, sur les 6.500 personnes alors recensées, y ont réellement été conduites et combien, surtout, y sont demeurées ? Mystère. Ce qu’on sait, en revanche, c’est que des centaines de migrants (entre 600 et 800) venus de toute part rôdent encore autour de Calais. Et entre eux, ce n’est pas la tendresse.
Une rixe d’une violence inouïe a ainsi éclaté, jeudi, entre migrants afghans et africains à l’occasion d’une distribution de repas, près de l’hôpital de Calais. D’autres bagarres ont suivi jusque dans la soirée, à Marck-en-Calaisis puis dans la zone industrielle des dunes. Bilan : vingt-deux personnes hospitalisées, dont cinq touchées par balle sur lesquelles quatre sont dans un état critique. Il s’agirait de jeunes Érythréens visés, sans doute, par des passeurs afghans. Les autres – dont deux policiers – ont été blessés à coups de pierres, de barre de fer et d’arme blanche.
C’est la première fois, nous dit-on, que des armes à feu font leur apparition.
« C’est un degré de violence jamais connu », on a atteint une escalade de la violence devenue insupportable pour les Calaisiens et les migrants », a dit le ministre de l’Intérieur venu sur les lieux. Et Gérard Collomb d’ajouter : « Je suis venu réaffirmer notre mobilisation face aux passeurs qui nourrissent quotidiennement violences et rixes. »
Les passeurs, oui, mais pas que…
Natacha Bouchard, maire de Calais, pointe d’autres responsabilités. Interrogée, vendredi matin, sur France Info, elle a évoqué « la complicité de certains passeurs, de certains activistes, de certains No Border ou de certains associatifs » qui, par intérêt pour les premiers et naïveté pour les seconds, entretiennent les faux espoirs des migrants. « Ils sont complices parce qu’ils sont en permanence avec les migrants, leur font commettre des actes délictueux et ne les incitent pas à rejoindre les dispositifs d’État qui sont mis en place », a-t-elle affirmé.
Pire que cela : interrogé par France Info lui aussi, un responsable associatif accusait, vendredi, les forces de police d’être à l’origine des émeutes. C’est « la faute au harcèlement », disait-il. On comprend, dès lors, que tous ces activistes/associatifs soient vent debout contre le projet de loi « asile et immigration »actuellement en préparation, lequel permettrait de recenser enfin les migrants présents sur notre territoire, puis de prendre officiellement en charge ceux qui sont fondés à y rester et de renvoyer les autres construire leur propre pays.
Seulement voilà, la question de l’immigration est éminemment politique. C’est même le dernier bastion idéologique d’une gauche moribonde, engloutie dans la faillite sociale et économique, et qui n’a plus, pour exister, que ses discours creux sur l’universalité de la fraternité humaine – propos démentis chaque jour dans les faits.
Dans ce jeu-là, les migrants sont des pions, tout comme les bénévoles qui, en toute bonne foi, se dévouent par altruisme. Aux belles années du communisme révolutionnaire, on les appelait « des idiots utiles ».