En temps normal, Michel Sardou termine ses concerts par son mythique morceau Les Lacs du Connemara. Exceptionnellement, à la Défense Arena, Michel Sardou a commencé son concert des 16 et 17 mars par cette même chanson, aujourd'hui controversée ! Les 25.000 fans ont repris en chœur. Des titres enchaînés sous le feu des projecteurs, un spectacle grandiose articulé autour d’une scène centrale tournant sur elle-même comme un tourne disque : de quoi soulever une ambiance joyeuse et nostalgique. Cette fois, c’est un adieu définitif qu'a prononcé la figure de proue de la chanson française avec la fin de sa tournée baptisée « Je me souviens d’un adieu ».
lobby - Page 114
-
« Je vais t’aimer » : Sardou déclare sa flamme à Sandrine Rousseau pendant sa tournée d’adieu
-
Désert médical : faites ce que je dis, pas ce que je fais
2021 : “Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a promis la fin des déserts médicaux d’ici 5 ans.”
2024 : Il s’oriente vers la chirurgie plastique… pour lutter contre les déserts médicaux ?
-
Voiture électrique, vers un échec et le retour aux moteurs thermiques
Cela fait plusieurs années que j’explique (analyse à l’appui et de manière argumentée) que l’électrification des voitures est une ânerie écologique, technique et que cela ne va pas fonctionner, parce que les pré-requis ne sont pas là. Je me suis fais insulter et traiter de tous les anathèmes d’usage, notamment de « climatosceptique »… comme si dire que la voiture électrique était une ânerie consistait à parler du climat en affirmant que tout irait bien ou pour le mieux. Mais avec les religieux de la sainte église écologiste nous avons droit au pire des khmers verts.
-
Les ministres des Affaires étrangères européens approuvent un soutien financier supplémentaire de 5 milliards d'euros pour l'Ukraine, ainsi que de nouvelles sanctions contre la Russie
Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se sont réunis ce lundi 18 mars à Bruxelles pour discuter de la situation en Ukraine et des mesures à prendre à l'égard de la Russie. En présence virtuelle de leurs homologues américain, Antony Blinken, et ukrainien, Dmytro Kouleba, les ministres ont approuvé un soutien financier supplémentaire de 5 milliards d'euros pour l'Ukraine, ainsi que de nouvelles sanctions contre la Russie.
-
Ce que cache l’accord migratoire signé entre l’Union européenne et l’Égypte
-
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
Chronique de Paysan Savoyard (n° 315 – Mars 2024)
Comme on le sait, l’élection d’E. Macron en 2017 a marqué une nouvelle ère dans la vie politique française. Jusque-là, depuis les années 1970-1980, la gauche et la droite alternaient au pouvoir. Elles y menaient la même politique mais mettaient en scène un affrontement d’autant plus rude qu’il portait non sur le fond des choses mais sur la distribution des places. Les dirigeants du Système ont jugé que cette situation de tension et de confrontation constituait pour eux un facteur d’affaiblissement : aussi ont-ils sélectionné E. Macron avec la mission d’opérer la réunion du centre gauche, l’aile « deuxième gauche » du Parti socialiste, et du centre droit, le courant « juppéiste » de la droite. Ainsi réunis sous l’égide du macronisme, les deux courants centristes jusque-là opposés poursuivent la politique conduite par la classe dirigeante depuis les années 1970 : libérale sur le plan économique, socialiste pour ce qui est des impôts et des transferts publics, libertaire quant aux mœurs, immigrationniste s’agissant des frontières.
Le pôle macroniste se présente depuis lors comme occupant le centre de la politique française, rejetant les excès et les outrances qui, affirme-t-il, caractérisent les deux extrêmes, l’extrême gauche et l’extrême droite, toutes deux populistes, démagogues et dangereuses pour la république, la démocratie et la paix civile.
-
Europe ou France, il faut choisir
Combat royaliste 14
Par Philippe Germain
Pour l’école d’Action française « la patrie d’abord, voilà le principe. La France sans mais, sans si, sans condition » (Charles Maurras). C’est pourquoi elle s’oppose aux partisans progressistes de l’Europe véritable de Bruxelles, ainsi qu’aux néo-droitistes accro à l’aubade d’une Europe imaginaire. Ces deux pôles idéologiques sont objectivement alliés car si Emmanuel Macron veut une « souveraineté européenne », Alain de Benoist l’espère.
-
Les profs récoltent aujourd’hui ce qu’ils ont semé
Chronique de Paysan Savoyard
(n° 314 – Mars 2024)
Madame Castera ne fut ministre de l’éducation que quelques semaines mais elle aura été à la hauteur de sa fonction moins longtemps encore : durant les quelques minutes où elle a déclaré que l’éducation nationale était minée par les absences d’enseignants.
Elle avait évidemment raison : l’absentéisme massif des enseignants est l’un des symptômes de l’effondrement de l’éducation nationale. Selon les témoignages qui peuvent être recueillis, ce sont entre un quart et un tiers des heures d’enseignement qui ne sont pas assurées en collège et en lycée (la situation paraît moins dégradée à l’école primaire). S’ajoutent à ces absences ponctuelles non remplacées, les cours non assurés parce que les postes d’enseignants sont tout simplement vacants, le ministère éprouvant des difficultés croissantes à recruter.
-
L’effondrement de Science po
Science po s’appelait, jusqu’à la Deuxième Guerre Mondiale, l’Ecole Libre des Sciences Politiques créée au début des années 1870 pour former les élites intellectuelles, administratives et économiques françaises dans la perspective du redressement d’un pays abîmé par la défaite militaire contre la Prusse. Jusqu’à 1990, en gros, cette école présentait un haut niveau d’exigence, formait à l’histoire, le droit public et l’économie. Son succès reposait sur un concours d’entrée sélectif et la qualité d’une formation qui donnait accès, toujours par concours, aux plus hautes fonction de l’Etat.
-
[Point de vue] Voici les messages de haine que j’ai reçus après mon passage chez Cyril Hanouna !