Il serait tentant de dire voici le portrait taquin et humoristique de l’écolo-bobo parisien, mais le phénomène est bien national.
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Les paradoxes de l’écolo-bobo français
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« Enquête sur l’Ultra gauche : Entre révolte et impasse »
L’Homme nouveau consacre un dossier à l’extrême gauche, pour savoir quelle réalité ce terme recouvre, sur quelles forces et quelles faiblesses elle s’adosse et quel travail doctrinal elle produit.
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[MEDIAS] France Télé au régime, mais Élise Lucet gagne 25 000 euros par mois…
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Maignelay-Montigny (60) : «Nous avons 100 habitants en attente de logement et on nous demande d’accueillir un centre pour migrants mineurs isolés»
Maignelay-Montigny (60) : «Nous avons 100 habitants en attente de logement et on nous demande d’accueillir un centre pour migrants mineurs isolés» -
Retailleau contre l’immigration, ou la fin de règne des déracinés
Quand un enraciné parle d’immigration à un déraciné, le dialogue ne peut que tourner court. Tous deux ne vivent pas dans le même monde. Ce lundi matin, Bruno Retailleau a néanmoins rendez-vous avec Emmanuel Macron. L’homme des champs devrait tenter de convaincre l’homme des villes de la nécessité d’une nouvelle loi sur le sujet. La dernière avait été largement censurée le 25 janvier, à l’invitation tacite du président, par le Conseil constitutionnel. Le ministre de l’Intérieur plaidera probablement pour l’allongement des délais de rétention des expulsables, des restrictions au regroupement familial et au droit du sol, une remise en question de l’Aide médicale d’Etat (soins gratuits pour les clandestins), le rétablissement du délit de séjour irrégulier, etc.
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La fin de l’idéologie de l’Etat de droit
Dans Occident go home !, Michel Geoffroy, énarque, ancien haut fonctionnaire, contributeur à la fondation Polemia, souligne la perte d’influence de l’Occident moderne, qui incarne désormais, non plus la chrétienté, le progrès et la liberté, mais l’américanisme, l’empire du mal, des valeurs inversées, de la mort et du mensonge. Il correspond à une maladie civilisationnelle qui tente d’infecter le monde entier et c’est pourquoi il suscite une répulsion justifiée et croissante.
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Le « vivre ensemble heureux » vu par la gauche
Les positions de pas mal de pays européens sont en train de se raidir face à une immigration essentiellement arabo-afro-musulmane, à base de migrants illégaux, majoritairement jeunes et masculins. Et l’effet produit est partout le même dans les pays européens, une incapacité de fait à intégrer suffisamment rapidement des codes de comportement et de communication compatibles avec ceux des sociétés européennes, pour dire les choses de manière châtiée. En réalité, les femmes européennes payent un lourds tribut en termes d’agressions, de viols et même de meurtres, qui commence à faire réagir de nombreux pays. Mais pas seulement les faits de délinquance.
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La manipulation de l’histoire, une arme de choix pour l’extrême gauche marxiste et libertaire
Maurice Bernard
Il y a deux jours, l’ami Michel Festivi consacrait le dernier article qu’il a publié sur notre blog aux réactions hypocrites de l’extrême gauche communiste et trotskiste, après l’annonce d’une campagne d’affichage publicitaire pour le livre de Jordan Bardella, dans une centaine de gares SNCF (soit 3,3% seulement des quelque 3 000 que compte le réseau ferré !).
À cette occasion, il a souligné une nouvelle fois qu’« il faut reconnaître aux gauches une qualité "essentielle" : elles en remettent toujours une couche au niveau du combat sociétal et des idées et ne lâchent jamais l’affaire ».
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Poilade fiscale du jour. Une nouvelle taxe… du CNTC avec l’IGEDD et le CEREMA ajoutée à la DMTO dans le PLF !
Vous pouvez ne pas aimer le RN ou ne pas être RN, mais les commentaires de Jean-Philippe Tanguy sont souvent aussi drôles que savoureux, et là, les bureaucrates du pays lui ont servi sur un plateau de quoi faire son show à l’Assemblée Nationale.
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Assez des tas de droits !
Par Marc-François de Rancon
Depuis la formation du Gouvernement Barnier, principalement depuis la déclaration du ministre de l’Intérieur Retailleau, rares sont les moments de répit que nous accordent les médias sur un thème ressassé ad nauseam : on ne cesse de parler d’État de droit. Il y en assez, maintenant.
La polémique artificielle autour du propos du ministre, « l’État de droit ça n’est pas intangible ni sacré », n’a pas lieu d’être. Il n’a rien dit de scandaleux, ni même qui méritât d’être relevé, encore moins conspué. C’est un constat qui tombe sous le sens. Le bon sens. Ce fameux bon sens que l’on prétend la chose la mieux partagée du monde. Tellement que la France, si éprise d’universalité républicaine, a poussé le partage, substitut dévoyé de la charité, jusqu’à le donner aux Autres. En totalité. Sans rien retenir pour elle, hélas.