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lobby - Page 1492

  • Propagande russe contre propagande française

    Dans un article, le spécialiste de la désinformation à la française, Le Monde, s'inquiète de la propagande russe sur la crise des réfugiés en Europe. On y lit notamment :

    "La manifestation du 6 février organisée malgré son interdiction par la microscopique branche française de Pediga, rejointe par le général Christian Piquemal, ancien commandant de la légion étrangère, et surtout les procès qui ont suivi, ont fait l’objet d’un flot ininterrompu « d’informations ». Le 8 février, l’agence Russia Today, a littéralement inondé ses réseaux avec l’« arrestation » du général Piquemal – dont la comparution immédiate devant un tribunal a été ajournée en raison de son état de santé. « Cette arrestation a suscité une tempête de réactions sur les réseaux sociaux, une grande partie des internautes l’ayant fermement condamnée », assurait l’agence pro-Kremlin, avant d’afficher quelques minutes plus tard, « les réactions de responsables politiques de droite scandalisés ». Les témoignages recueillis et les tweets collectés provenaient en réalité tous de représentants du Front National – Robert Ménard, Gilbert Collard, Stéphane Ravier – à l’exception de Thierry Mariani, député des Français de l’étranger, membre du parti Les Républicains, et grand ami de la Russie de Vladimir Poutine."

    De fait, l'arrestation du général Piquemal a été l'un des sujets les plus traités sur le réseau twitter samedi dernier (le sujet "Piquemal" était en trending topics, abrégé « TT » sur Twitter, soit l'un des dix sujets les plus abordés sur le réseau), ce qui confirme l'information russe. Quant aux politiques qui ont manifesté leur indignation sur cette affaire, ils sont bien plus nombreux que ce que Le Monde insinue puisqu'il y avait aussi Jean-Frédéric Poisson (PCD) et Guillaume Larrivé (porte-parole LR), par exemple. Alors qui fait de la propagande ?

    Michel Janva

  • Bataille d’Alep : le ton monte

    Il aura fallu l’irruption de la Fédération de Russie sur le champ de bataille pour que la duplicité de la coalition occidentalo-arabe anti-État islamique apparaisse finalement au grand jour.
    L’armée arabe syrienne a lancé le 1er février, avec l’appui de l’aviation russe, une vaste opération pour libérer Alep, ancienne capitale économique syrienne et place forte de la rébellion depuis 2012. Comme toujours, les médias se sont complaisamment apitoyés sur les colonnes de ceux qui fuyaient les combats et l’avance des troupes gouvernementales. Manquait au tableau l’image de ces Aleppins des quartiers ouest restés fidèles à Damas dont la « la foule en liesse » accueillait les troupes gouvernementales en libératrices !
    Vivement ému, le secrétaire d’État américain John Kerry exigeait aussitôt l’arrêt des bombardements russes au motif de pertes civiles. La vérité est plus prosaïque, car si Alep se trouve complètement encerclée par les forces gouvernementales, le couloir de ravitaillement des rebelles avec la Turquie se verra coupé. À savoir les deux axes routiers Mayer/Anadan et Azaz/Alep par lesquels les unités salafo-wahhabites reçoivent leurs renforts en personnels, armes et munitions expédiés par les islamo-kémalistes de l’État profond turc. Autant dire que la rébellion court maintenant le risque d’un effondrement à court terme, surtout que l’armée de Damas est parvenue, le 4 février, à briser l’encerclement (en place depuis 2012) par les djihadistes de deux petites villes chiites, Nouboul et Zahra, dont la population a reçu les soldats loyalistes sous des pluies de riz et de fleurs. Ce qui signifie que plusieurs milliers, 5.000 peut-être, miliciens chiites seront disponibles pour joindre leurs forces à celles des assiégeants d’Alep.

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  • Le Ministère de la vérité : Orwell l’a imaginé, Najat l’a créé !

    Le gouvernement se lance dans la contre-réinformation

    Le ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaut-Belkacem affirmait avec gravité le mois dernier « un jeune sur cinq adhère à la théorie du complot. ».
    Elle a donc organisé mardi dernier une journée d’étude intitulée « Réagir face aux théories du complot », qui a réuni 300 chercheurs, professeurs, psychiatres et lycéens.
    Plus fort encore, le service d’information du gouvernement a créé une page Internet « ontemanipule.fr » pour éduquer la jeunesse à l’esprit critique.

    Mais qu’entend le gouvernement par théorie du complot ?
    De manière volontairement piquante, on pourrait dire qu’est taxé de relevant de la théorie du complot toute pensée qui n’est pas conforme à ce que les puissants souhaitent faire admettre comme vérité non discutable. Un doute, une question, un regard décalé par rapport à un événement, la mise en relation de faits pouvant remettre en question la « Vérité indiscutable », et nous sommes déjà dans la théorie du complot.

    Certes. Mais il y a bien des théories réellement grotesques ?
    Bien sûr, mais cette offensive du gouvernement permet justement d’entretenir un ferme amalgame entre ces théories et des explications argumentées et critiques.
    Posons-nous simplement la question : qui écrit et qui enseigne l’histoire ? Avec cette présentation très encadrée et partiale de l’histoire, les États ont depuis longtemps coupé les peuples des véritables questions existentielles. La liberté a un prix…

    Et cela commence par prendre le gouvernement au pied de la lettre, en passant au tamis critique l’information diffusée par les médias de propagande.
    Pour conclure, faisons un petit clin d’œil à l’auteur du roman d’anticipation 1984 : « Le Ministère de la vérité : Orwell l’a imaginé, Najat l’a créé ! »

    http://fr.novopress.info/

  • La plupart des agresseurs sexuels à Cologne sont originaires d'Algérie et du Maroc

    Selon l'enquête de la police allemande.

    Sur les 58 suspects, seulement 3 sont originaires d'un pays en guerre. Parmi les suspects, on trouve 25 Algériens, 21 Marocains et 3 Tunisiens. S'ajoutent à cette liste 3 Allemands et 2 Syriens. Les autres sont originaires d'Irak, de Lybie, d'Iran et du Monténégro. Quelques-uns sont mineurs d'âge. L'officier en chef explique :

    "Jusqu'à présent, la police a interrogé plus de 300 personnes en lien avec ces agressions sexuelles. En plus de ces interrogatoires, nous avons à disposition plus de 590 heures de matériel vidéo et avons analysé 1,1 million de mouvements par données téléphoniques".

    Le nombre de plaintes est actuellement de 1054. Il s'agit de 454 cas de violences sexuelles, les 600 autres ont trait à d'autres faits de délits et de vols. 

    A l'heure actuelle, 13 personnes sont en détention pour leur participation dans les incidents, parmi lesquels 5 sont accusés d'agression sexuelle.

    Michel Janva

  • L’UE demande à la Grèce de mieux accueillir les clandestins

    La Commission européenne appelle la Grèce à faire des efforts supplémentaires pour répondre à la crise migratoire. Elle insiste en particulier sur les capacités d’accueil et sur l’accès aux procédures d’asile

    http://www.contre-info.com/

  • Interview de Karim Ouchikh : « Pour nos libertés publiques »

    8543P1.jpg(Présent 8543)
    Président du SIEL (Souveraineté, Identité Et Libertés), Karim Ouchikh appelle à manifester jeudi soir place du Trocadéro pour soutenir le général Piquemal et défendre nos libertés publiques.

    Présent : Comment analysez-vous l’interpellation et la garde à vue du général Piquemal ?
    Karim Ouchikh : Les mesures de répression dont le général Piquemal a fait l’objet paraissent totalement disproportionnées. Certes, il a bravé un arrêté d’interdiction de manifester adressé par la préfecture à PEGIDA, qui était la puissance invitante. Mais l’action qu’il a eue sur le terrain (prise de parole limitée sans prendre la tête de la manifestation : il était un acteur parmi d’autres) ne justifie pas à mes yeux qu’il soit d’abord interpellé, ensuite déféré en comparution immédiate. Ces deux mesures ne sont pas en rapport avec le droit de manifester qui appartient aux libertés publiques. Celles-ci doivent absolument être préservées, or nous voyons avec cette « affaire Piquemal » que le pouvoir socialiste cherche à priver les patriotes de leur liberté d’expression.

    Présent : Avez-vous eu connaissance des conditions dans lesquelles s’est déroulée la garde à vue du général ?
    Karim Ouchikh : Il semblerait que les conditions d’interpellation et de garde à vue aient été éprouvantes, et par leur brutalité, et eu égard à l’âge de la personne concernée qui souffre de certaines pathologies. Avant de mettre le général Piquemal en garde à vue, il aurait fallu y regarder à deux fois. Son hospitalisation lundi matin a été l’une des causes de renvoi de son procès, l’autre étant l’impréparation de sa défense. Son avocat considérait qu’il ne pouvait assurer sereinement sa défense, n’ayant pas eu accès totalement au dossier. Au vu de ces motifs – là, la justice a fonctionné de façon normale – l’audience a été reportée au 12 mai prochain.

    Présent : Que pensez-vous des propos du général Piquemal lundi soir sur RTL, où il a dit que PEGIDA est un mouvement « extrêmement intolérant » avec lequel il n’avait aucun lien ?
    Karim Ouchikh : Il n’y a pas de revirement de sa part. Il affirme d’une part qu’il ne fait pas partie du mouvement PEGIDA, ce qui est une donnée objective. D’autre part il porte un regard sur PEGIDA, qui est le sien et que je ne partage pas : à mes yeux PEGIDA n’est pas un mouvement néonazi, mais un mouvement contestataire qui œuvre contre le chaos migratoire. PEGIDA ne mérite pas des mots aussi excessifs. Je retiens surtout que le général Piquemal, et cela était manifeste dans l’interview qu’il a donnée à TV Libertés à la sortie du commissariat, a été particulièrement indigné de la répression dont il a été victime. Évoquant le système, il a parlé de dictature. On est en présence d’un homme qui s’est déplacé pour manifester contre la présence migratoire massive à Calais et qui a fait l’objet d’une répression totalement disproportionnée et qui, au sortir du commissariat, affirme très clairement son indignation face à l’ampleur de cette répression. Qu’il dise ensuite qu’il ne partage pas les idées du mouvement PEGIDA et qu’il s’est trouvé par hasard au sein d’une manifestation conduite par PEGIDA, c’est un propos qui lui appartient – je le respecte. Cela n’efface pas la réalité du débat et le bien-fondé de ses déclarations : le général Piquemal s’indigne de la manière dont la répression s’est exercée.

    Présent : Vous appelez justement, avec le SIEL, à manifester jeudi soir au Trocadéro pour soutenir le général Piquemal et, surtout, défendre les libertés publiques.
    Karim Ouchikh : L’affaire Piquemal, je le répète, c’est d’abord la menace grandissante qui pèse sur nos libertés publiques. Elle révèle la mise en place progressive d’un État policier entre les mains du gouvernement socialiste qui vise ni plus ni moins à faire taire les patriotes en tout temps et partout sur le territoire français. Les patriotes sont les seuls qui ont le courage de tenir tête au gouvernement et de contester la politique migratoire qu’il applique sous l’influence de l’Union européenne et de Merkel. Le dispositif mis en place sous couvert d’état d’urgence n’est pas autre chose qu’une police d’État chargée de réprimer la liberté d’expression, enchaîner la liberté de pensée et interdire le droit de manifester. Le SIEL appelle donc à manifester jeudi soir contre la mise en place de cette dictature socialiste.

    Présent : Vous prendrez la parole, ainsi que François Billot de Lochner et Frédéric Pichon. Le général Piquemal sera-t-il présent ?
    Karim Ouchikh : Il est invité à prendre la parole et nous serions heureux qu’il soit là. Mais je comprends tout à fait qu’il se repose après des événements qui l’ont passablement secoué.

    Présent : Avez-vous d’ores et déjà l’autorisation pour tenir ce rassemblement ?
    Karim Ouchikh : Nous avons décidé ce rassemblement lundi après-midi, les demandes d’autorisation ont été déposées. Les prestataires (matériel, service d’ordre…) ont été contactés. Nous attendons la réponse pour mercredi ou jeudi. Compte tenu de l’état d’urgence, la préfecture peut nous opposer un refus. S’il y a refus de se rassembler, je le dis par avance, il sera parfaitement condamnable. À Paris ou ailleurs, les préfectures laissent s’organiser des manifestations. Dès lors que le SIEL garantit une sécurité absolue avec son expérience et un service d’ordre à la fois militant et professionnel, je ne vois pas pourquoi la préfecture nous interdirait ce rassemblement – alors qu’un accord implicite et une complicité objective sont de mise quand il s’agit de manifestations organisées par la gauche. Je ne comprendrais pas une politique de deux poids, deux mesures. Le SIEL a organisé samedi à Bordeaux une manifestation dans le cadre des journées européennes contre le chaos migratoire, en partenariat avec Résistance républicaine et Riposte laïque : elle était autorisée et s’est très bien déroulée. Le système des interdictions et des autorisations de manifester est disparate et relève de l’arbitraire. Nous condamnons cette insécurité politique où les services préfectoraux laissent les patriotes qui veulent simplement alerter l’opinion publique.

    Présent : Imaginons que l’autorisation vous soit refusée… Tiendrez-vous malgré tout cette réunion ?
    Karim Ouchikh : Nous attendons l’autorisation, et en cas de refus nous verrons sur quelles motivations il repose : raisons de sécurité ou arbitraire policier ? Une décision serait alors prise. Au regard du degré d’exaspération, de colère et d’indignation du peuple français face au chaos migratoire qui touche la France et l’Europe, je n’imagine pas un instant qu’on nous interdise le droit de manifester.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/

  • Des internes formés en Roumanie sont exclus pour incompétence

    ne interview du Professeur Philippe Jaury, professeur en médecine générale et coordinateur Ile-de-France des internes de médecine générale, montre une nouvelle défaillance du système européen : des internes Français et/ou Roumains formés en Roumanie, venus accomplir leur internat en France, ont dû être mis à l'écart car ils n'ont pas le niveau requis.

    "Plusieurs internes ont été exclus d'hôpitaux français pour cause d'incompétence. La plupart avaient effectué la première partie de leurs études en Roumanie, et grâce à l'équivalence des diplômes européens, étaient revenus en France pour leur stage d'internat. Mais après quelques semaines, ils ont été sortis des services et priés de suivre un stage de remise à niveau de six mois. 

    • Pourquoi ces internes formés à l’étranger ne sont-ils pas au niveau ?

    Pr Philippe Jaury : "Ils ont une formation qui n'est pas suffisante pour ce que nous demandons au niveau d'une mise en autonomie de nos internes. On s'en était déjà rendu compte l'année dernière. Cette année, on a voulu évaluer ces étudiants formés à l'étranger pour qu'on ne puisse pas nous dire que ce sont des rumeurs. Et l'évaluation est assez consternante !

    "Ce sont des étudiants en médecine, des internes, puisqu'ils ont été reçus au concours même avec 0 ou 1 à leur copie, qui ont un niveau de quatrième, au mieux de cinquième année de médecine. Les étudiants formés en France ont six ans d'études derrière eux. Parfois, il y a des problèmes de langue. C'est compliqué mais, à la limite, la langue ça s'apprend vite. Mais surtout, il leur manque beaucoup de compétences qu'on ne pourra pas rattraper en six mois."

    • Dans la formation médicale, il y a la théorie, c'est-à-dire les cours, et la pratique, c'est-à-dire le contact avec le patient. Quelle partie de la formation manque à ces étudiants ?

    Pr Philippe Jaury : "ll leur manque les deux. Il y a des pans complets de connaissances qu'ils n'ont pas. D'autre part, ils n'ont pas la pratique. On peut difficilement imaginer les mettre en situation d'autonomie dans les hôpitaux, leur confier des gardes...[...]

    • Vous avez alerté le ministère de la Santé sur ce problème. Que vous a-t-on répondu ?

    Pr Philippe Jaury : "On a déjà vu les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur l'année dernière. Ils nous ont dit simplement que « c'est comme ça, c’est le système européen. Débrouillez-vous, c’est à vous de les former, c’est vous les formateurs. Nous, on ne veut pas de vague ! ». Du coup, cette année, toutes les facs étaient prévenues.[...]

    "J'ai demandé à être reçu au ministère de la Santé, je n’ai même pas eu de réponse. On a fait ce qu'on a pu. On les a mis dans des services pour les évaluer, les former. Et, en plus, ils sont payés. Je peux vous dire que l’Assistance publique qui les paye n'est pas très contente."

    Allô, Marisol Touraine, ya quelqu'un ??

    Marie Bethanie

    http://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php

  • Independenza webtv s'entretient avec Adrien Abauzit : "L'anti-France est au pouvoir"

     

    http://www.scriptoblog.com/index.php/notes-de-lecture/geopolitique/1836-independenza-webtv-s-entretient-avec-adrien-abauzit-l-anti-france-est-au-pouvoir