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  • Les mots du mensonge

    Des « Français »… Des « Belges »… Ainsi sont présentés dans les média les cinglés d’Allah qui ont réalisé les massacres du 13 novembre. Pourquoi ces mots ? Parce qu’il ne faut pas dire qui ils sont vraiment, c'est-à-dire des Maghrébins. Ce serait, n’est-ce pas, stigmatiser un certain type de population et mettre à mal la tarte à la crème du « vivre ensemble », ce monument d’hypocrisie. Et puis on martèle : surtout pas d’amalgame. Les cinglés ont tué au nom d’Allah ? Il ne faut pas en conclure hâtivement que l’islam n’est pas une religion d’amour, de paix, de tolérance et de fraternité. Car, bien sûr, les cinglés sont une exception… Sauf que dans les « quartiers » les sympathiques « jeunes issus de l’immigration » considèrent comme des héros les assassins de Daech. Nier cela c’est nier la réalité et donc se faire les complices objectifs des cinglés d’Allah.

    Tout est mensonger dans le vocabulaire officiel. On appelle « migrants », « réfugiés » ceux qui sont des envahisseurs, dont les hordes ne respectent rien, tels un nuage de sauterelles, dans les pays européens qu’ils traversent et ceux où ils prétendent s’installer. En « exigeant » tout et le reste. En comptant dans leurs rangs des individus qui profitent du flot migratoire pour se glisser dans son sein, afin d’aller ensuite mettre en place des réseaux terroristes pour semer la terreur chez les Infidèles (c'est-à-dire, pour eux, tous les Blancs). Tout ceci est parfaitement connu des services de renseignement mais qui ont la consigne de se taire.

    Devant ces calamités qui s’accumulent les gens censés exercer le pouvoir nous disent qu’il faut défendre nos « valeurs républicaines ». Celles au nom desquelles a été réalisé le génocide des Vendéens et qu’invoquaient dans leur délire ceux qui guillotinaient à tout va ? Celles qui valaient un brevet de patriotisme à ceux qui tondaient des femmes lors de l’Epuration ? Celles qui couvrent pudiquement les malversations en tous genres des copains et coquins qui se partagent le butin acquis sur le dos des Français, au sein de maffias où le fauteuil de l’élu n’est jamais loin du coffre-fort ?

    Décidément, pour faire le Grand Ménage, il va y avoir du boulot. 

    Pierre Vial

    http://www.terreetpeuple.com/282-reflexion/actualite/1344-les-mots-du-mensonge.html

  • État antichrétien

    FRANCE (Présent 8496)

    8496-P1.jpgAlors que les représentants de « l’islam de France », censés condamner le terrorisme musulman le mois dernier, auront surtout dénoncé – avec l’aide appuyée des médias – une augmentation des actes prétendument « islamophobes », c’est en réalité à une inquiétante montée en puissance de la christianophobie et à une multiplication des actes antichrétiens que nous assistons aujourd’hui dans notre pays.
    241 profanations depuis le 1er janvier 2015

    Ainsi, début novembre, l’Observatoire de la christianophobie ne recensait-il pas moins de 241 lieux de culte ou de dévotion, de cimetières ou d’établissements chrétiens ayant fait l’objet de profanations en France depuis le début de l’année 2015 !
    Derniers exemples en date : le saccage du cimetière de Saint-Martin-des-Entrées, près de Bayeux, où un habitant de la commune venu se recueillir sur la tombe de son épouse a découvert mercredi 13 crucifix arrachés de leurs pierres tombales, jetés à terre ou plantés à l’envers dans le sol. Deux jours auparavant, 14 tombes du cimetière de Villers-le-Sec étaient profanées de la même manière. Deux semaines plus tôt, c’est l’église Saint-Cyprien de Poitiers qui était vandalisée, et notamment la grande statue de la vierge veillant sur son entrée…

    Une haine qui ne s’abat pas seulement sur les symboles de notre foi et nos lieux de culte, mais aussi sur nos prêtres. Comme le curé de Genay, agressé et séquestré à son domicile dans la nuit de vendredi à samedi dernier par deux « jeunes » qui, après l’avoir menotté et attaché à une chaise, l’ont tabassé à coups de crosse de pistolet.

    Une christianophobie institutionnalisée

    Des actes qui se multiplient, donc, et ne peuvent que se multiplier dans un pays où la christianophobie a quasiment été institutionnalisée. Il y a quelques jours, c’est la très officielle Association des maires de France qui interdisait à ses membres d’installer des crèches dans leurs mairies à l’approche de Noël. Mercredi, c’est le Préfet du Rhône qui prenait un arrêté interdisant la procession des Identitaires lyonnais, prévue le 8 décembre, en l’« honneur de la Vierge Marie », au prétexte que les organisateurs véhiculeraient « des messages contraires aux valeurs républicaines » et inciteraient « au rejet, voire à la haine d’une partie de la population ».

    Forts de l’exemple donné par l’État et ses représentants, les christianophobes se lâchent. Comme ces deux « sans-culottes » de Bancourt, près de Bapaume, qui, invoquant « la stricte neutralité républicaine qui doit s’appliquer dans un bureau de vote », sont allés jusqu’à saisir le tribunal administratif pour forcer le maire de la commune à enlever le crucifix apposé au mur de la mairie depuis… 1926 ! Une mesure contre laquelle Gérard Pouillaude, maire courageux, s’est battu bec et ongles. Avant d’être contraint par le tribunal de s’exécuter.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

     

  • La Région Ile-de-France verse 12M€ pour les idéologues du gender

    CVUm7YRWUAAW2kiEn septembre 2011, Le Salon Beige alertait déjà sur le financement des idéologues du gender par la Région Ile de France : l'Institut Emilie du Châtelet, qui promeut l'idéologie du gender et qui avait lancé une offensive pro-gender sur les programmes scolaires, avait reçu 900 000 € de la Région Ile-de-France.

    Aujourd'hui, Vigi-Gender révèle que la même association a touché près de... 8M€ en 2014. Après 1,2 M€ en 2012 et 2,1 M€ en 2013, ça fat beaucoup.

    Michel Janva

  • Le Medef en service commandé, réunion de la COSAC, la Turquie et l’UE

    L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :

    • retour sur la réunion de la Conférence des Organes Parlementaires Spécialisés dans les Affaires de l’Union des Parlements de l’Union Européenne (COSAC) sur la politique migratoire,
    • le processus d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne,
    • Pierre Gattaz et le Medef en service commandé.
  • Les preuves du soutien de la Turquie à l’État islamique s’accumulent

    MONDE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Dans un entretien à l’agence de presse Sputnik, le major-général au service de renseignement de l’Armée syrienne libre, Hosam Al-Awak a déclaré « Nous avons à notre disposition des photos représentant des contrats pétroliers signés entre la Turquie et le groupe terroriste Daech ».
    Dans cet entretien-choc, nous apprenons que la Turquie soutient l’État islamique depuis 2011 « Depuis le début de la crise syrienne, en 2011, la Turquie continue à soutenir par tous les moyens les islamistes radicaux et djihadistes syriens dans leur lutte contre les groupes modérés », a-t-il souligné.
    Pour le major-général, « Les Frères musulmans de Syrie, couvrant cette activité, coopéraient avec lesdites organisations pour éliminer l’Armée syrienne libre, ainsi que d’autres groupes modérés ».

    Cela ouvrirait-il une recomposition des alliances ?
    Alors que les Russes soutiennent fermement Bachar Al-Assad, l’Armée syrienne libre qui cherche à le détrôner depuis 2011, souhaite s’allier.
    C’est ce que déclare le major syrien dans cet entretien : « Nous estimons que la Russie est une alliée par excellence. Face à la crise syrienne, les Russes pourraient sans aucun doute coopérer avec toutes les factions modérées, y compris l’Armée syrienne libre », a poursuivi le militaire.
    Et de souligner : « Le cas échéant, l’implication russe dans le conflit syrien portera ses fruits. À l’avenir, nous comptons défendre les intérêts russes en Syrie ».

    http://fr.novopress.info/

  • Islam : Il est interdit d’écrire des évidences

    6a00e008d99039883401bb0898f042970d-250wi.pngOutre les subventions, les associations politiques se nourrissent des condamnations dont la justice les fait bénéficier. Dernière victime en date, l'hebdomadaire Valeurs actuelles condamné à 2000 € d’amende, un euro de dommages et intérêts à l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ainsi qu’à SOS Racisme, 500 euros de dommages et intérêts à la Maison des potes ainsi qu’à la Licra :

    "Pourquoi ? Pour avoir mis une Marianne voilée en couverture et avoir mis en titre : «Naturalisés l'invasion qu'on nous cache», et avoir écrit : «Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls», «Islam, immigration: comment la gauche veut changer le peuple», «Le poids des musulmans n'a cessé d'augmenter». 

    Sic. Il est aujourd’hui interdit d’écrire cela en France. Il est interdit d’écrire des évidences quand ces évidences évoquent l’une des deux religions d’Etat (l’autre étant le laïcisme, protégé par la même dictature)."

    Michel Janva

  • La jeunesse, la guerre et l’incroyable naïveté de l’UNEF

    L’appel de la « génération de la crise » initié par l’UNEF pour dénoncer la dérive guerrière et sécuritaire de l’état d’urgence apparaît totalement déplacé aux yeux de Louis Manaranche.

    Comment nous situons-nous dans l’histoire ? Deux semaines après la déclaration d’état d’urgence par le Président de la République commencent à se faire entendre des voix dénonçant non seulement les abus que l’on constaterait ici ou là, mais le principe même de mesures exceptionnelles pour répondre à la situation présente. L’exemple le plus significatif est l’appel de « la génération de la crise », initié par l’UNEF et co-signé par d’autres associations militantes. La dialectique qui s’y déploie est pour le moins surprenante : « D’un côté, (...) une dérive guerrière et sécuritaire, qui traduit la montée de la violence et la recherche d’un ennemi intérieur. De l’autre, (...) la construction de la paix, en faisant le choix de renforcer la démocratie. » Tout consentement à l’idée d’un temps extraordinairement troublé est repoussé au prétexte que ce serait un « piège » tendu par les terroristes, tandis que la réponse la plus adéquate serait cet imprécis renouveau démocratique, reposant sur la « constitution d’espaces d’échange, de débat et d’engagements ouverts à l’ensemble des jeunes ». Le principe même d’un moment où doit s’opérer un discernement particulier, entraînant des mesures elles aussi particulières, est refusé au profit d’une déclaration caricaturale : « Nous refusons un état d’urgence permanent. » S’il s’agit là du simple refus d’une modification constitutionnelle, il n’est évidemment pas scandaleux d’exprimer une telle opinion. De même, on ne saurait considérer d’un oeil goguenard comme utopique la salutaire exhortation à être des artisans de paix. La France et le monde en ont bien besoin. [...]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-jeunesse-la-guerre-et-l

  • Un plan secret pour installer 500.000 « réfugiés » Syriens à partir de la Turquie… Viktor Orban s’insurge !

    Le triste constat est le ventre mou de l’UE face au maître chanteur Erdogan.
    « Nous ne pouvons pas accepter cela ! » proteste Viktor Orban. Selon lui, l’UE et Ankara travailleraient en coulisse à un plan, qui viserait à installer, en provenance de la Turquie, 400 à 500.000 « réfugiés » Syriens en UE. Cet accord devrait être rendu public cette semaine à Berlin, déclare M. Orban durant une rencontre avec les cadres dirigeants de son pays. Plusieurs États membres auraient tenu un sommet avec le gouvernement Turc, dimanche, afin de convenir de cet « accord en coulisse ».

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  • Les socialistes de la région Lorraine ont voté 600 000 € pour la formation au maniement des armes de l'Arabie Saoudite

     

    Lahire

  • L’information scientifique sur l’obésité achetée par Coca-Cola

    L’affaire ne fait pas grand bruit en France, pourtant c’est un scandale de plus dans la communauté scientifique. Les chercheurs impliqués étaient tous des scientifiques influents, auteurs de travaux appuyant la fameuse thèse dans des revues médicales réputées, et intervenaient dans des conférences scientifiques prestigieuses. Un article de Francetvinfo à lire jusqu’au bout.

    Les scientifiques membre du Global Energy Balance Network (GEBN) l’affirmaient à qui voulait l’entendre : la consommation de boissons sucrées ne participe pas à l’épidémie d’obésité, celle-ci s’expliquant essentiellement par le manque d’activité sportive du citoyen flemmard. Durant l’été, la presse nord-américaine a révélé que ces experts étaient très largement subventionnés par l’entreprise Coca-Cola. L’ampleur de la fraude s’est révélée semaine après semaine. Le site du GEBN a fermé ce 30 novembre, et le réseau dissout dans la foulée.

    Le 9 août 2015, le New York Times révélait que le plus grand producteur de boissons sucrées au monde – The Coca-Cola Company – subventionnait de façon très discrète le Global Energy Balance Network (GEBN). Cette société savante, prétendument à but non lucratif, regroupait des experts de renom, défenseurs d’une thèse peu académique : à savoir que la prise de poids et le développement du diabète de type 2 ne trouvent pas leurs causes principales dans la nutrition, mais dans un déficit d’activité physique.

    Selon le vice-président du GEBN, le très respecté Steven Blair [1], il n’existait « pratiquement aucune preuve scientifique » du fait que la restauration rapide et les boissons sucrées « étaient à blâmer »dans la crise actuelle de l’obésité. Dans les communiqués d’information diffusés par le réseau, le message était tout aussi catégorique.

    Des soupçons rapidement éveillés

    L’immense majorité des nutritionnistes s’inscrivaient en faux contre ce discours. Deux universités employant des membres du GEBN ont entrepris des démarches administratives pour en savoir un peu plus sur le financement de l’étrange réseau.

    Les informations comptables qui leur ont été transmises révélaient que l’année précédant son lancement officiel, 1,5 million de dollars lui avait été baillés par The Coca Cola Company. En outre, depuis 2008, Coca Cola avait financé à hauteur de 4 millions de dollars divers travaux de deux fondateurs du réseau : Gregory Hand, doyen de l’École de santé publique de l’Université West Virginia, et Steven Blair.

    Financer sans faire de bruit

    Dès le 10 août, The Coca-Cola Company se défendit de toute malversation, expliquant par voie de communiqué que l’entreprise avait toujours « soutenu la recherche scientifique » sur les questions d’équilibre énergétique. De leur côté, les scientifiques affiliés au GEBN ont affirmé que l’entreprise n »avait jamais influencé leur discours ou leur message, et qu’ils n’avaient jamais cherché à dissimuler les financements.

    Il est vrai que l’article fondateur du British Journal of Sports (voir encadré) mentionnait que le réseau avait reçu une donation de Coca-Cola, sans précision du montant. Mais le site web du réseau avait pourtant omis de faire toute référence à cette « subvention » jusqu’à ce qu’un expert de l’obésité à l’Université d’Ottawa signale ce manquement aux administrateurs. Et sur les réseaux sociaux, où le GEBN cherchait à gagner de l’influence, aucune mention de Coca-Cola® n’avait non plus jamais été faite…

    Marchands de doute

    Les critiques de la communauté scientifique n’ont pas tardé. Dans les colonnes de plusieurs médias, certains n’ont pas hésité à comparer la stratégie de Coca-Cola à l’enrôlement d’experts par l’industrie du tabac « pour devenir des marchands de doute quant aux dangers du tabagisme sur la santé ».

    Dans le New York Times, 35 spécialistes en médecine et nutrition ont dénoncé mi-août le « non-sens scientifique » des thèses défendues par le GEBN.

    « L’ordre du jour de Coca-Cola ici est très clair », a ailleurs déclaré Marion Nestle, professeur en nutrition et en santé publique à l’Université de New York. « [Il s’agit] d’obtenir de ces chercheurs de créer de la confusion [sur l’état des connaissances scientifiques] et de détourner l’attention [sur le rôle] l’apport alimentaire ».

    CocaLeaks

    Des courriels révélés fin novembre par l’Associated Press donne une idée de l’implication de Coca-Cola dans le GEBN : choix des représentants du groupe, proposition d’articles ou de vidéos à diffuser…

    Ces échanges éléctroniques font remonter le projet de cette campagne de désinformation à octobre 2012. L’institution fantoche est entièrement imaginée par Coca-Cola. Le site web du GEBN, officiellement enregistré et administré par l’Université de Caroline du Sud, était une pure œuvre de la multinationale [2].

    L’une des interlocutrices privilégiées du GEBN – et vraisemblable initatrice du projet – n’était autre que la « directrice de la santé et de la science » chez The Coca-Cola Company. Dès les premiers messages, elle insiste sur le fait que « les personnes impliquées [dans le GEBN] devront être ouvert sur la collaboration avec le secteur privé ». Une clause « non négociable »… Elle donne même son avis sur le logo du réseau : « aucune couleur ne pose problème, excepté le bleu, vous comprendrez pourquoi. » Le bleu est proscrit de la communication de Coca-Cola, car il s’agit de la couleur de son concurrent, Pepsi !

    Dans les courriels, le président du GEBN, James Hill [3] déclare rapidement « vouloir aider » Coca-Cola à véhiculer une image positive… L’entreprise suggère en retour que le GEBN travaille à se positionner comme une référence « pour les médias » sur la question de l’obésité, et emploie les réseaux sociaux pour lutter contre les messages des « extrémistes de la santé publique »…

    Moins de quatre mois après le début de l’affaire, le Global Energy Balance Network a été dissout, officiellement « pour restrictions budgétaires ». La directrice de la santé et de la science a démissionné de son poste.

    [1] Professeur à l’Université de Caroline du Sud, ses travaux menés depuis le début des années 1990 ont servi de base à l’établissement de nombreuses préconisations sanitaires, au niveau fédéral, aux Etats-Unis.

    [2] Peu après ces révélations, le président du GEBN, le très respecté James Hill (voir note suivante), déclara que Coca-Cola« avait enregistré le site parce que les membres du réseau ne savent pas comment réaliser cette opération ». Il eut un peu plus de mal à expliquer pourquoi le site était hébergé sur les serveurs de l’entreprise.

    [3] Professeur à l’Université du Colorado, James Hill a longtemps siégé aux comités de l’Organisation mondiale de la santé et des National Institutes of Health (institutions gouvernementales étasuniennes pour la recherche médicale). Il est également co-fondateur du National Weight Control Registry, programme scientifique destiné à évaluer les conséquences sanitaires de la perte de poids.

    [4] Dans le corps d’étude analysée, cinq fois plus d’études financées par l’industrie concluaient à l’absence de lien, en comparaison avec les études indépendantes. Ce constat permet d’estimer qu’un tel mode de financement augmente la probabilité d’une conclusion négative « au moins de 30% ». Voir : Financial Conflicts of Interest and Reporting Bias Regarding the Association between Sugar-Sweetened Beverages and Weight Gain: A Systematic Review of Systematic Reviews. M. Bes-Rastrollo et coll. PlOS Medicine, 31 déc. 2013 doi:10.1371/journal.pmed.1001578

    http://www.contre-info.com/linformation-scientifique-sur-lobesite-achetee-coca-col#more-40145