Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1488

  • Éric Zemmour : « Nos agriculteurs n'ont même pas l'élégance de mourir en silence »

    Il est indéniable que les paysans français sont largement responsables de leur situation actuelle. Ils n'ont pas su mesurer les risques et les conséquences à long terme du processus dans lequel ils ont été et se sont engagés, depuis déjà bien longtemps. Ils ont vécu des drogues de l'assistanat et de la manne des aides et des subventions. Elles leur ont tenu lieu de politique. Ils n'ont pas su en définir une, originale et forte, qui les eût tiré du piège de la mondialisation et de la concurrence sans limite des moins-disants planétaires. Les Pouvoirs-Publics y gagnaient la tranquillité, la paix sociale, la conformité aux plans européens de soumission de nos agricultures à la libre-concurrence mondiale, comme dogme absolu. Ils en paient, eux aussi, aujourd'hui, les conséquences. Mais par delà le sort des agriculteurs français eux-mêmes, se profile pour nous le constat d'une terrible perte de substance et de qualité pour la société française tout entière et, comme on dit aujourd'hui, son modèle civilisationnel. Sans compter le coût économique des emplois perdus ou non remplis, en très grands nombre, des divers abandons d'activité, et des importations qui sont et deviendront de plus en plus considérables. Zemmour suggère ici, à l'inverse de ces politiques suicidaires, que l'agriculture française ne pourra se sauver, puis, progressivement, reconstituer sa force, qu'en menant une politique de production de haute qualité, inverse de celle des marchés mondialisés, et en exigeant de l'Etat la mise en œuvre d'une politique de normalisation qui imposerait aux grands acheteurs français de produits agricoles, publics ou privés, et aux institutions consommatrices, de strictes règles d'achat. Est-ce impossible ? Nous ne le croyons pas. Sauf absence persistante de toute volonté politique. C'est à peu près ce qu'en termes ironiques, Eric Zemmour nous semble préconiser dans cette chronique.  LFAR  •  

    Le résumé de RTL 

    La colère des agriculteurs ne faiblit pas, affolant le gouvernement, qui s’efforce de réagir. Pour l'instant en vain. "C’est de leur faute. Pas assez gros, pas assez compétitifs, pas assez intégrés. Mal positionnés, mal organisés, mal mondialisés. Les agriculteurs français ont tout faux. Les agriculteurs français sont mauvais. Les agriculteurs français n’ont que ce qu’ils méritent. Ils croulent sous les dettes, ils liquident, ils se suicident. Et ils n’ont même pas l'élégance de mourir en silence !". C'est ainsi qu'Éric Zemmour relaie les admonestations entendues à l'encontre du monde paysan. "Ils n'ont pas compris que la concurrence est saine, qu’il est bon de mettre en rivalité des agriculteurs français avec les latifundia brésiliennes qui emploient des ouvriers misérables ou avec des immenses exploitations nord-américaines où il n’y a pas un homme à perte de vue", dit-il ironiquement. "Heureusement, les technocrates de Bruxelles, eux, savent ce qui est bon pour eux et pour nous", lâche-t-il sur le ton acide de la plaisanterie.
    "Ces ringards n’apprécient pas non plus la sagesse de la diplomatie française qui a sanctionné la Russie pour son attitude en Ukraine, mais n’avait pas prévu que les Russes se vengeraient sur notre lait ou sur notre porc ?", poursuit-il. "Les agriculteurs français semblent même exaspérer leur ministre Stéphane Le Foll. Fatiguer un ministre comme ça, c’est vraiment impardonnable", conclut-il de manière caustique.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La droite la plus bête du monde

    De Pierre Baudouin dans Les 4 Vérités :

    "[...] La question prioritaire n’est évidemment pas la question des alliances d’appareils partisans. Je peux très bien comprendre le « ni UMP, ni PS » du FN, comme je peux comprendre le «ni FN,ni PS»del’UMP. Mais ce ne sont là que des slogans électoraux sans aucune portée programmatique. Et qui ne résolvent donc pas la question prioritaire : que voulons-nous pour la France ?

    De part et d’autre, les dirigeants FN et PS nous disent qu’ils veulent remettre la France « sur les rails ». C’est donc qu’elle a déraillé. Et, si elle a déraillé, c’est bien du fait de l’hégémonie culturelle de 68.

    Contrairement à beaucoup d’observateurs, je ne suis nullement choqué que le FN veuille sortir de l’euro. J’étais défavorable à la création de cette monnaie unique ; je serais ravi que nous l’abandonnions. Mais, si l’on nous « offre » la sortie de l’euro pour redonner au pouvoir politique la possibilité d’utiliser l’inflation, très peu pour moi ! Car l’inflation, c’est du vol pur et simple – et hypocrite en plus !"

    Il n’y a qu’une façon de sortir de l’euro conformément aux intérêts de la France, c’est de le faire tout en redressant les comptes publics. Sinon, nous quitterons la tutelle de la BCE pour tomber sous la tutelle des marchés financiers. Franchement, je ne vois pas où serait le progrès.

    Oui, j’ai été déçu, car il me semblait que les élections départementales et régionales avaient montré clairement que le FN ne pouvait pas gagner sans s’allier. Et cette alliance – quoi qu’en disent les brillants intellectuels – ne peut être qu’une alliance au service de la restauration de la France, c’est- à-dire aussi une alliance contre le socialisme.

    Quand j’entends le FN « nouvelle vague » nous dire, au sortir de ce séminaire, qu’il ne va rien changer, je me dis que nous avons décidément la droite la plus bête du monde.

    Et, quand j’entends M. Philippot défendre nos PME, tout en réclamant une 5e branche de la Sécurité sociale pour la dépendance (vieux rêve socialiste que l’UMP avait déjà failli réaliser!), je me dis que l’incohérence a de beaux jours devant elle. Personnellement, je reste persuadé qu’un candidat de redressement national pourrait tout à fait gagner. Mais à la condition de ne pas cracher sur d’autres mouvements favorables au redressement national (car le second tour ne peut pas se gagner sans alliance). Et à la condition de préférer la cohérence et le courage à la démagogie."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'Union européenne contre l'Europe

    Non seulement l’Union européenne est antidémocratique et antinationale, mais elle ne défend même pas les intérêts fondamentaux de ses membres. Par bien des côtés elle est au service des États-Unis et des transnationales. Raison de plus pour la combattre.

    Quel intérêt pour les membres de l'Union Européenne (UE) de favoriser une immigration de masse, de pousser à l'adhésion de pays hors de l'Europe - la Turquie - et de négocier un traité de « libre-échange » nocif pour les modèles sociaux, environnementaux et économiques européens ? Poser la question, c'est déjà y répondre : l’UE joue contre son camp et en faveur des intérêts américains et des sociétés transnationales.

    Le fait est établi, Schuman et Monnet, pères fondateurs de la Communauté européenne, étaient soutenus et appointés par l'ACUE, une émanation de la CIA financée par la grande industrie et la banque américaine. Ce comité cherchait avant tout à arrimer l'Europe aux États-Unis et à ses intérêts économiques. C'est donc dans l’ADN de la technostructure européenne que d'être complaisante vis-à-vis des intérêts américains.

    Sur le plan stratégique, la volonté de la commission européenne, contre celle des peuples et de bien des États, d'intégrer la Turquie en est un exemple frappant : hors de l'Europe géographique , culturellement différente, la Turquie a de plus des intérêts géopolitiques tournés vers l'Asie Centrale. Mais, membre-pivot de l'OTAN, le pays bénéficie de la permanente pression des États-Unis sur l'UE en faveur de son adhésion et la Commission obtempère docilement, malgré l'opposition de la plupart des peuples et des États européens.

    La soumission, c'est l'ADN de l’UE

    Quant à la vague migratoire qui nous frappe, il est certain qu'elle ne profite pas plus aux peuples européens qu'aux migrants. Pourtant, Bruxelles l'encourage au nom de la compassion droits-de-l'hommiste. Derrière ce joli paravent, par la pression à la baisse sur les salaires, par l'affaiblissement des normes sociales et culturelles dans les pays-hôtes qu'elle induit, elle favorise avant tout les groupes transnationaux. Ils y voient en effet la création de salariés moins chers et de consommateurs plus dociles. L'intense lobbying des organisations patronales en faveur de l'immigration n'a pas d'autre raison. Frappant aussi de voir l'action de Google, qui vient de financer l'achat de 15 000 ordinateurs pour les migrants en Allemagne...

    Google participe aussi activement au lobbying en faveur du traité transatlantique (TTIP/TAFTA). Elle fait même partie des 10 entreprises qui injectent le plus d'argent dans le lobbying en faveur du traité. De l'argent bien placé quand on sait que 83 % des réunions préparatoires entre Cecilia

    Malmstrom, commissaire européen en charge des négociations et les lobbies se sont tenues avec des représentants des firmes privées... Peu de place pour les groupes d'intérêt public, donc. C'est cette même Cécilia qui a déclaré solennellement : « Je ne reçois pas mon mandat des peuples européens ». Au moins est-elle lucide.

    TAFTA, le cheval de Troie des USA en Europe

    Et en effet, les peuples en questions sont soigneusement tenus à l'écart des négociations du mégatraité de libre-échange, voire simplement ignorés, comme les 32 millions de signatures collectées par Stop TAFTA, en faveur de l'arrêt des négociations.

    Il faut dire que le TAFTA vise rien de moins que de mettre à bas (pardon, « harmoniser ») les « barrières non tarifaires » que sont les normes sociales, environnementales, alimentaires, techniques... et ce même en amont de leur discussion par les parlements nationaux (« coopération réglementaire »). Mieux, le TTlP prévoit des tribunaux d'arbitrage privés. Ces instances seraient en mesure de condamner les États pour le manque à gagner que leurs décisions politiques pourraient causer aux multinationales. En résumé, le TTIP aboutirait à un dramatique abandon de souveraineté de la part des États, au profit des multinationales.

    Pas étonnant que les États-Unis, où sont basées les plus importantes entreprises transnationales... et la Commission imposent le secret le plus total sur ces négociations, y compris aux parlementaires européens ou nationaux, qui n'auront que le droit d'approuver ou rejeter en bloc le traité. Il est significatif que les parlementaires français qui veulent consulter les documents relatifs à la négociation du TAFTA doivent se rendre à l'ambassade américaine à Paris, où on peut éventuellement leur accorder cette faveur. Si ce n'est pas de l'inféodation...

    Richard Dalleau monde&vie 3 février 2016

  • Brésil : le produit anti-moustique pulvérisé est plus toxique que le virus Zika

    La peur du virus Zika continue d’alimenter l’actualité. Au Brésil, l’armée a été mobilisée pour visiter plus de trois millions d’habitations. Le but officiel est d’y déceler tout lieu propice au développement des moustiques porteurs du virus.

    A la fin de ce reportage diffusé au journal télévisé belge, il est pourtant dit que seuls 41 cas d’encéphalites sont attribuées avec certitude au virus Zika. Par contre, selon certains chercheurs, les produits toxiques anti-moustiques pulvérisés abondamment pourraient être les vrais responsables de la majorité des encéphalites constatées au Brésil !


    Les militaires mobilisés pour éradiquer le virus Zika au Brésil avant les JO

    http://www.medias-presse.info/bresil-le-produit-anti-moustique-pulverise-est-plus-toxique-que-le-virus-zika/49184

  • Orthographe : l'Académie remet le ministère de l'Education à sa place

    Dans une déclaration publiée hier :

    "Au moment où le ministère de l’Éducation nationale décide de mettre en application les rectifications orthographiques recommandées par le Conseil supérieur de la langue française et publiées par le Journal officiel le 6 décembre 1990, qui serviront de référence dès la prochaine rentrée scolaire pour l’enseignement de l’orthographe dans les collèges, l’Académie française, dans sa séance du 11 février 2016, tient à rappeler la position qui a été la sienne lors de l’adoption de ces recommandations.

    Par trois textes successifs, l’Académie française s’est exprimée sur ce sujet.

    Dans sa séance du 16 novembre 1989, confrontée à un projet de simplification de l’orthographe, elle a adopté à l’unanimité une déclaration qui rappelait fermement son opposition à toute modification autoritaire de l’orthographe. L’Académie a réaffirmé qu’il n’appartient ni au pouvoir politique ni à l’administration de légiférer ou de réglementer en matière de langage, l’usage, législateur suprême, rendant seul compte des évolutions naturelles de la langue, qui attestent sa vitalité propre.

    Sans se montrer fermée à certains ajustements ou tolérances, l’Académie  s’est donc prononcée en faveur du maintien de l’orthographe d’usage, conseillant « de laisser au temps le soin de la modifier selon un processus naturel d’évolution » qui ne porte pas atteinte au génie de la langue et ne rende pas plus difficile d’accès l’héritage culturel.

    Après qu’eut été constitué un groupe d’étude sur cette question au sein du Conseil supérieur de la langue française, l’Académie, sollicitée de rendre un avis, et informée des seuls principes guidant l’action de cet organisme – refus de toute imposition autoritaire de normes graphiques et sanction de l’usage pour les rectifications proposées –, a voté à l’unanimité dans sa séance du 3 mai 1990 un second texte, marquant son accord avec les lignes directrices du projet en préparation. C’est cet accord, voté en l’absence de tout texte et ne portant que sur des principes, qui est invoqué aujourd’hui comme une approbation des directives devant entrer en application dans l’enseignement secondaire à partir de la prochaine rentrée.

    L’Académie s’interroge sur les raisons de l’exhumation par le ministère de l’Éducation nationale d’un projet vieux d’un quart de siècle et qui, à quelques exceptions près, n’a pas reçu la sanction de l’usage. Plus que la maîtrise de l’orthographe, défaillante, c’est la connaissance même des structures de la langue et des règles élémentaires de la grammaire qui fait complètement défaut à un nombre croissant d’élèves, comme le montrent les enquêtes internationales menées ces dernières années, qui, toutes, attestent le net recul de la France par rapport à d’autres pays européens dans le domaine de la langue.

    En conclusion, pour l’Académie, il est urgent d’engager dès l’enseignement primaire le redressement souhaité par tant de nos concitoyens, en rétablissant les conditions d’une vraie transmission du savoir. Tel est l’enjeu d’une réforme véritable de notre système éducatif, qui placerait de nouveau l’acquisition et la maîtrise des connaissances au cœur de ses préoccupations, et dont des dispositions incidentes ne permettent pas de se dispenser."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un projet de génocide des peuples européens?

    Le génocide a été pratiqué depuis la plus haute antiquité. Dans un passé récent, on évoque évidemment la Shoah, les Arméniens, le Rwanda, le Cambodge de Pol Pot (auto–génocide). Le génocide peut prendre deux formes : éliminer directement une population ciblée ou la faire disparaître indirectement par d’autre types de mesures criminelles. Le génocide indirect a été commis de nombreuses fois dans l’histoire. L’actuelle ”crise des migrants” participe de ce projet : la noyade démographique des peuples européens. 

    Le soft génocide volontaire et nihiliste  

    Les peuples européens sont subrepticement victimes d’une tentative de génocide, d’élimination démographique et culturelle, pilotée par leurs propres élites ethnomasochistes et xénophiles. Une première dans l’histoire. Les autorités françaises sont, avec les belges, les plus impliquées dans cette entreprise de soft génocide. Ce dernier est à la fois physique et culturel.

    Enrobé par l’idéologie antiraciste, il suit pourtant un objectif racial et raciste : éliminer d’Europe, progressivement, – et en particulier de France – les populations autochtones. Les éliminer par cinq moyens : en favorisant une immigration de peuplement de provenance extra-européenne ; en décourageant la natalité des autochtones et en pénalisant les familles des classes moyennes ; en provoquant l’exil  des jeunes forces vives autochtones par des mesures de taxation dissuasive ; en privilégiant, sur les plans sociaux, économiques, juridiques et culturels, les populations d’origine extra-européenne par rapport aux autochtones ; en pénalisant et punissant toute opposition au projet global immigrationniste et toute entrave à son idéologie.        

    Certains à droite répètent que le ”système”, le pouvoir, l’État, les autorités de l’UE sont impuissants à maîtriser l’immigration massive et incontrôlée. Impuissants ? Ils sont très puissants au contraire et fort efficaces dans la réalisation de leur dessein : épuration ethnique de l’Europe, et de la France pour commencer.

    En France, l’idéologie trotskiste joue un rôle central  dans cette entreprise, dont le PS bourgeois et gauchiste et son conseil, le think tank Terra Nova, sont les fers de lance. Un de ses dirigeants a récemment déclaré qu’il ne fallait pas trop s’inquiéter du votre FN parce qu’il allait décliner en proportion pour des raisons démographiques. C’est une stratégie subtile, cynique, élaborée. Les électeurs mal–pensants vont disparaître au profit de nouveaux. Ce ”grand remplacement” ethnique est souhaité.

    Terra Nova (”nouvelle terre”, nouveau pays, nouvelle population) est un lobby métapolitique fort efficace, qui influence toutes les sphères du pouvoir. Son calcul électoral (séduire les immigrés et délaisser les classes populaires ou moyennes) est motivé par son animosité contre la France ”de souche”. Cette hostilité provient de l’idéologie marxiste–trotskiste, dont l’ ”internationalisme prolétarien ” est le cœur : détruire les appartenances nationales, enfin surtout celles des Européens.  

    Que l’islam soit sexiste, rétrograde, antidémocratique, etc. n’est pas le problème des idéologues trotskistes du PS et de Terra Nova, qui n’ont rien de ”républicains”. Leur objectif obsessionnel est  l’éradication de l’identité ethnique des peuples européens et notamment de la France. Cette idéologie trotskiste, ”internationaliste” au départ, n’est-elle pas suicidaire  pour ceux-là mêmes qui la prônent ? Oui, et alors ?  Ils s’en moquent. Car ils sont logiques avec eux mêmes, ils sont nihilistes. Leur objectif est la destruction de ce qu’ils haïssent – la civilisation européenne. Pas la construction d’un nouveau monde auxquels ils ne croient pas eux-mêmes.   

    Les axes stratégiques du soft génocide

    Les moyens utilisés, notamment en France, un laboratoire, sont les suivants. On les retrouve évidemment à l’échelle de l’Union européenne. Ils sont à la fois idéologiques, économiques, judiciaires et policiers.

    1) Encourager l’immigration. Laisser faire et favoriser cyniquement par tous les moyens la colonisation  de peuplement. La crise des ”migrants ”en est la dernière démonstration. On est passé à la vitesse supérieure. Après une immigration continue depuis trente ans (fuite d’eau) on en vient (inondation) à l’accueil de la déferlante de millions de migrants, sous le label humanitaire de ”réfugiés”. Il n’y a aucune ”impuissance” des autorités européennes à arrêter les flux migratoires ; on note  au contraire (l’angélique et folle Mme Merkel en est l’exemple) la volonté de les accentuer. Toute expulsion est rendue impossible.

    2) Favoriser l’islamisation. Tout ce qui est arabo-musulman devient intouchable et sacralisé par le pouvoir, en dépit des attentats islamiques et des gesticulations militaires contre Dae’ch. Le favoritisme envers l’islam est devenu une politique d’État. Et, de ce fait, l’ ”islamophobie” s’impose comme péché capital, délit impardonnable. 

    3) Appauvrir et taxer les classes populaires et moyennes autochtones. Et les faires payer pour les autres. Toute la politique fiscale du gouvernement socialiste va dans ce sens : assistanat pour les immigrés même clandestins (pompe aspirante) financé par des ponctions croissantes sur le peuple de souche.    

    4) Mener une politique antifamiliale et antinataliste. En déconstruisant le système des allocations familiales, le gouvernement a réussi à faire baisser la natalité des autochtones en 2015. C’était bien calculé. La famille nombreuse de souche française n’est pas très appréciée…

     5) Pratiquer la discrimination positive. Il s’agit de la préférence étrangère et ethnique dans l’emploi, au nom de l’ ”antiracisme”. Les entreprises privées y sont fortement encouragées et les administrations publiques y ont systématiquement recours dans les emplois peu qualifiés.

    6) Assurer l’impunité judiciaire des délinquants  d’origine étrangère. Cette politique, inaugurée depuis trente ans au moins, a été accentuée par le passage de Mme Taubira au ministère de la Justice, dont les orientation idéologiques (schizophrènes par ailleurs) sont parfaitement repérées : animosité envers tout ce qui est labellisé ”franco-européen”.   

    7) Détruire la transmission culturelle dans l’Éducation nationale. Culpabiliser l’histoire de France, démanteler l’enseignement du grec et du latin, démolir la grammaire et l’orthographe, dégrader  l’ enseignement de la langue française, déraciner, promouvoir et encenser les cultures  des populations immigrées –islamiques, africaines et autres… Tel est le programme suivi par l’État. Cette défrancisation, cette déseuropéanisation, Mme Vallaud–Belkacem, ministre de l’Éducation nationale ”socialiste” et pseudo-féministe, en est l’actrice souriante, après bien d’autres ministres et syndicalistes de formation trotskiste. 

    8) Réprimer et punir tous les résistants à l’idéologie dominante.  

    Jungle de Calais et des environs : les immigrés illégaux qui commettent des exactions sont impunis ; les Français qui résistent, manifestent et tentent de se protéger sont matraqués, incarcérés et poursuivis. Les répressions contre la ”Manif pour Tous” obéissaient à la même logique. Tout ce qui défend l’identité française est menacé et puni par l’État ”français”. La même répression est observable dans les médias, écrits, audiovisuels ou internet. Les tribunaux et la police sont tolérants envers l’envahisseur occupant et impitoyables envers la résistance. On pourrait appeler ça le syndrome de Vichy,  non ? 

    Collabos contre résistants

    Les deux camps sont assez bien définis. Les autorités étatiques, médiatiques, judiciaires, policières – ces dernières aux ordres des précédentes – ont pour mission de juguler et de neutraliser la résistance du peuple autochtone et de ses défenseurs. Ils auraient tort de croire qu’ils ont gagné.

    Ceux qui ont semé le vent de la guerre civile à venir en récolteront la tempête. Elle sera probablement sanglante. Ce n’est ni la bêtise, ni l’angélisme qui les a motivés. C’est la haine consciente et le désir de guerre, c’est la collaboration avec l’envahisseur et le pari de sa victoire. Mais ils risquent aussi de perdre la guerre qu’ils ont provoquée. Les résistants ont plus de chance de l’emporter parce qu’ils sont animés par une fidélité à leurs racines alors que les collabos sont soumis à des maîtres qu’ils peuvent toujours trahir .

    Nous verrons bien qui vaincra, mais, à mon avis, ce sera comme toujours L’Armée des Ombres.   

    http://www.gfaye.com/un-projet-de-genocide-des-peuples-europeens/

  • Il y a quelque chose de « pourri » au royaume « merveilleux de la GPA »

    Ludovine de La Rochère souligne que 3 faits autour de la gestation par autrui révèlent que les mentalités évoluent dans le bon sens :

    "Le premier a eu lieu le 17 décembre dernier au Parlement européen à Strasbourg. Les parlementaires ont adopté le rapport annuel sur les droits de l’Homme et la démocratie dans le monde, présenté par l’eurodéputé roumain Cristian Dan Preda (groupe PPE). Il condamne à une large majorité et de manière explicite, la pratique des mères porteuses ET il prend bien en compte toutes les formes de GPA, prétendument gratuite ou payante. Le Parlement européen considère que le recours à une mère porteuse est contraire aux droits de l’Homme et acte donc la nécessite de l’interdire urgemment.

    C’est un événement très important. C‘est la première fois qu’une organisation internationale émet un avis sur la GPA et la condamne.

    Le deuxième fait sont les Assises pour l’abolition de la maternité de substitution organisées le 2 février dernier par le Collectif Pour le Respect de la Personne (CoRP), présidé par Sylviane Agacinski. Des acteurs du monde entier engagés dans le combat contre les mères porteuses ont témoigné. Plusieurs femmes et hommes politiques ont signé une « charte pour l’abolition universelle de la maternité de substitution », dont Elisabeth Guigou qui préside la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, Marie-Georges Buffet, Benoit Hamon et José Bové.

    C’est un également un précédent. Tous ces signataires sont classés à gauche sur l’échiquier politique. Et ils ne manquent pas de rappeler au Premier ministre l’engagement qu’il avait pris en octobre 2014, au nom du Président de la République comme de son gouvernement, d’agir contre la GPA.

    Du côté de la droite, tous les partis – Chrétien Démocrate, Debout la France, Front National et Les Républicains – ont exprimé leur ferme opposition à la GPA et leur volonté d’agir s’ils dirigent la France demain (avec moins d’hypocrisie et plus d’efficacité que Manuel Valls, espérons-le !)

    Finalement, en France, à l’exception de quelques inconscients ici et là – écologistes notamment, ce qui est comble – la GPA est condamnée par l’ensemble de la classe politique !

    Le troisième fait est la mise en sommeil de la revendication d’une GPA prétendument « éthique ». Ses promoteurs, notamment en France, n’osent plus utiliser, aujourd’hui, cet axiome. Car il apparaît bien qu’il y a quelque chose de « pourri » au royaume « merveilleux de la GPA ». Peut-être la prise de conscience individuelle et collective que, comme la prostitution, la GPA est une pratique injustifiable, qui s’apparente à l’esclavage.

    Ainsi, les choses bougent, des lueurs apparaissent, des hommes et des femmes évoluent sur la question, des voix nouvelles s’élèvent, des précédents surgissent. C’est encourageant. Sur la GPA, ne lâchons rien non plus, et d’autant plus que le danger guette malgré tout, notamment, en ce moment-même, au Conseil de l’Europe !

    La Manif Pour Tous avec ses partenaires, en particulier Europe for Family et No Maternity Traffic, poursuit sans relâche son action afin de parvenir à une Convention internationale d’interdiction de la GPA, seul moyen efficace de mettre fin à l’exploitation de femmes, au trafic d’enfants et, par conséquent, de protéger la dignité de l’être humain. Il est fort probable, aussi, que France ait à dénoncer la convention qui la lie à la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), projet que l’on trouve dans les programmes de plusieurs candidats des prochaines échéances électorales françaises…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avortement : ce que l’on ne vous dit pas. Des femmes témoignent

    Des femmes témoignent sur leur avortement

    Source: Reinformation.tv