Discriminations : le mâle blanc poussé vers la sortie

Le traitement des discriminations est à géométrie variable dans notre société. Je cède ce matin la plume à mon correspondant des bords de l’Atlantique, très à l’affut des discriminations invisibles, silencieuses ou simplement trop incongrues, comparées au discours dominant, pour être vues comme un problème. Il écrit ici au magazine Marianne, qui a récemment consacré un dossier au mâle blanc.

Mâle blanc

« Marianne revient sur la façon dont on a éliminé les hommes blancs de plus de 50 ans dans le service public de télévision au nom de l’idéologie woke. Remarquons que ceux qui ont fait, ou approuvent, ce sale boulot sont aussi ceux qui allongent l’âge de départ à la retraite bien au-delà de 50 ans. »

Moins d’Europe, plus de France

Combat royaliste

Moins d’Europe, plus de France

Par Philippe Germain

Les royalistes défendent le droit à penser autrement et pour cela s’appuient sur leur doctrine du nationalisme intégral. Celle-ci dénonce le régime des partis permettant la domination du pays légal sur le pays réel. Le pays légal est une oligarchie politico-techno-médiatique, vendue à l’étranger et soumise à l’impérialisme européen. Le pays réel, pour reprendre le contrôle de son destin par réappropriation de ses libertés et pouvoirs locaux, doit lutter contre l’Europe.

L’Élite Silencieuse : Comment Quelques Familles Dirigent-elles le Monde ? avec Claude Janvier

Par Planetes360

Dans « Les démasqués – Qui dirige réellement le monde ? », Claude Janvier nous plonge dans les profondeurs des arcanes du pouvoir mondial, en dévoilant les visages et les mécanismes de ceux qui, selon lui, tirent les ficelles en coulisse. 

L’ouvrage, dense et documenté, est une exploration audacieuse des structures de pouvoir qui influencent notre monde contemporain.

D’emblée, le titre interpelle et pose une question fondamentale : qui sont les véritables détenteurs du pouvoir sur notre planète ? Janvier ne se contente pas de poser la question, il y répond avec une précision chirurgicale, en identifiant les acteurs clés, leurs motivations et leurs méthodes.

Depardieu, Polanski, Palmade : le milieu du cinéma français serait pourri… non, mais quelle découverte !

Les récentes obscénités proférées par Gérard Depardieu, plus dégueulasses de celles que l’on entend au PMU après trois heures d’apéro, ont déclenché une vague de consternation. Ce qui aurait été à peu près normal, si les temps n’étaient pas à la prise de position constante sur tout et n’importe quoi et qu’elle ne virait pas à l’hystérie totale à chaque fois. Et surtout, si cela ne révélait pas une intolérable, insupportable, insoutenable hypocrisie.

[La semaine média] Quand France Inter agite l’épouvantail de « l’ultra droite »

Que retiendra-t-on de l’année 2023 ? La crise des migrants à Lampedusa, symbole d’une Europe envahie ? L’attaque du bal de Crépol et le racisme anti-blanc révélé par le meurtre de Thomas ? L’explosion de l’antisémitisme islamique, suite au pogrom commis par le Hamas en Israël ? Non. Pour France Inter, le phénomène de l’année, c’est la menace de « l’ultra droite ».

[Dans vos commentaires] « Très heureux d’apprendre que la CGT va couler »

Cette semaine commençait pourtant bien… Le lundi 25 décembre, c’est comme un cadeau : un jour de paix et de retrouvailles. Mais l’actualité n’est jamais bien loin et, Nativité ou non, il faut en pointer les absurdités. Notre journaliste Raphaëlle Claisse n’a pas failli à son devoir en dénichant la vidéo d’une star africaine des réseaux sociaux installée en France faisant la promotion des… allocations que la France lui verse. Vidéo d’une profiteuse qui n’a pas manqué de vous faire réagir, comme PA qui constate que les choses sont loin de s’améliorer : « Ça fait juste 50 ans que ça dure… À force de semer, on récolte ! On a semé Mitterrand qui a semé Maastricht et on en est là ! Et on pleure ? Mais de quoi ? De se faire moquer, abuser, ridiculiser ou de se rendre compte qu’on s’est collectivement trompé et, pire, qu’on est incapable de se remettre d’aplomb ? » 

Le Forum Economique Mondial recommande l'élimination de "la classe inutile" d'humains

Le Forum économique mondial (WEF) cherche « de toute urgence » des solutions au « problème » du monde surpeuplé d’individus jugés « redondants » et « inutiles » alors que l’élite mondiale se prépare à la domination de la société grâce à l’intelligence artificielle (IA).

En abordant cette question, le bras droit de Klaus Schwab et conseiller principal du WEF, Yuval Noah Harari, a lancé un sévère avertissement à ses collègues mondialistes, décrivant l’émergence d’une « classe croissante de personnes inutiles ».

Le 21 janvier 2023 : montrer que tous ne se sont pas tus

D’Elisabeth Geoffroy dans La Nef, à propos de la constitutionnalisation de l’avortement :

[…] C’est peut-être là que nous avons un rôle à jouer. Un rôle tout modeste, tout petit, minuscule. Un rôle qui ne peut pas même s’enorgueillir d’avoir du panache et fière allure. Un rôle sans atours, sans séduction, qui a le goût tranchant de la juste chose à faire et la froideur austère du devoir à accomplir. Un rôle qui touche à l’élémentaire : témoigner que la France ne se partageait pas seulement entre les partisans de la constitutionnalisation et les indifférents, montrer que tous ne se sont pas tus. C’est cela que permettra la Marche pour la vie du 21 janvier prochain, empêcher que les livres d’histoire puissent raconter sans nuance aucune : « Et le combat cessa faute de combattants. »

Les Nations unies reconnaissent que les politiques environnementales sont utilisées pour empêcher l'industrialisation des pays en développement

Source: https://noticiasholisticas.com.ar/la-onu-reconoce-que-se-usan-politicas-ambientales-para-impedir-la-industrializacion-de-paises-en-desarrollo/#google_vignette

La secrétaire générale de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), Rebeca Grynspan, a été contrainte de reconnaître que les États-Unis et l'Union européenne utilisent le discours sur la "transition verte" comme une excuse pour stimuler leurs propres économies aux dépens des pays en développement, en tirant parti des subventions et du protectionnisme environnemental.