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  • Grand Remplacement en Europe. La Belgique en voie de submersion

    Grand Remplacement en Europe. La Belgique en voie de submersion
     
    À Bruxelles, une conférence réunissant Nigel Farage, Viktor Orbán et Éric Zemmour a été interdite par Emir Kir, un bourgmestre socialiste proche des radicaux islamistes. L’occasion pour Polémia de diffuser à nouveau cet article aussi édifiant que nécessaire sur l’état désastreux de la Belgique, confrontée à une submersion migratoire terrifiante. Cette analyse publiée en 2019 reste pertinente mais, en 2024, la situation a évidemment empiré.

    Polémia

    Polémia continue son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudié l’emblématique cas de la Suède, au tour de la Belgique de passer au scalpel de Paul Tormenen. Chez nos voisins, la situation est assez catastrophique.
    Au 1er janvier 2018, sur les 11,3 millions d’habitants que compte la Belgique, près de 17 % étaient nés à l’étranger (1,9 million de personnes). Certes, ce chiffre ne fait pas la distinction entre immigrés extra-européens et Européens. Mais il ne tient compte ni des clandestins ni des demandeurs d’asile ni, bien entendu, des descendants d’immigrés.

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  • L'ÉLEVEUR DE COCHONS QUI DÉFIE LE SYSTÈME CONVERSATION AVEC PIERRE-GUILLAUME MERCADAL

  • France Télévisions : Patrick Cohen épinglé par l’Arcom pour son édito sur le drame de Crépol

    Brève breve
    Le 27 novembre dernier, lors de son éditorial dans l'émission C à vous diffusée sur France 5, Patrick Cohen s'était emparé du meurtre de Crépol, choisissant pour angle d'attaque : « La mécanique de la haine et du mensonge. »

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  • 3 anciens militants de Génération identitaire risquent la prison pour une banderole

    Le 17 mars 2019, Place Stanislas à Nancy, 3 militants identitaires avaient déployé une banderole avec l'inscription "Ici c'est Nancy pas l'Algérie".

    Ils avaient également scandé "One, two, three, retourne dans ton pays" face aux manifestants algériens rassemblés contre le régime du président Bouteflika.

    Les activistes avaient alors été arrêtés et placés 24 heures en garde à vue pour cette action pacifique.

    Le maire de Nancy Laurent Hénart (Mouvement radical) avait réagi en félicitant ces « sanctions exemplaires ».

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  • Norvège. Une ville ne voulait accueillir que des réfugiés ukrainiens, « plus facile à intégrer dans la société » : sa décision annulée par une haute autorité

    Comme l’a montré l’échec du Brexit sur le plan migratoire, ne pas (ou ne plus) faire partie de l’Union européenne ne garantit pas pour autant de pouvoir agir à sa guise dans ce domaine. L’exemple de la ville norvégienne de Drammen vient nous le rappeler.

    Norvège

    Source : capture Google Maps

    En effet, le conseil municipal (de droite) de cette ville d’environ 100 000 habitants située au sud du pays avait pris la décision par 29 voix contre 28, le 13 février dernier, de n’accueillir que des réfugiés ukrainiens. Une décision motivée par le fait que ces Ukrainiens seraient « plus faciles à intégrer dans la société » que d’autres étrangers.

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  • Moquée pour “sa faculté à recracher des éléments de langage” ou “à multiplier les approximations” et à être “très dure avec ses collaborateurs”, 3 membres du cabinet de la ministre Prisca Thevenot démissionnent

    Son directeur de cabinet, fidèle de la première heure d’Emmanuel Macron, son adjointe, la conseillère spéciale de Prisca Thevenot qui avait fait ses armes aux côtés de Christiane Taubira, et enfin la cheffe de cabinet, membre de l’équipe de campagne du candidat Macron en 2022, ont tous posé leur démission

    “Prisca a aussi la réputation d’être très dure avec ses collaborateurs”, grimace un de ses collègues au gouvernement. 

    France TV

  • Sophia Aram dénonce la « koufarophobie » : bravo France Inter !

    Capturé d'écran X
    Capturé d'écran X
    C’est assez rare pour être souligné : Sophia Aram vient de signer une chronique impeccable sur le meurtre islamiste commis à Bordeaux, la semaine dernière, par un Afghan radicalisé. Dans son « coup de gueule du lundi », l’humoriste de France Inter s’en est vertement prise à cet homme « tout de qamis vêtu, fraichement débarqué d’Afghanistan » qui a agressé deux musulmans qu’il avait attrapés en train de boire de l’alcool avant la fin du ramadan. « Plus attaché à ses convictions religieuses qu’à l’altérité, l’homme commença par les rouer de coups, puis s’en alla chercher un couteau dans le but à moitié accompli de tuer les deux mécréants selon un protocole bien établi et en vogue parmi certains individus de confession musulmane qui n’admettent pas que l’on puisse avoir des convictions différentes des leurs. » Les termes sont clairement dits, sans euphémisme ni pudeur sémantique. Un bon point pour la chroniqueuse !

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  • Ingérence et pression sur les élections Européennes. Facebook restreint le compte de Chega (Portugal)

    À 51 jours de l’ouverture des premiers bureaux de vote pour les élections parlementaires européennes, le géant technologique de la Silicon Valley Meta a imposé une restriction de dix ans sur la page Facebook de Chega, le troisième plus grand parti du Portugal, sans donner de raisons spécifiques. Une ingérence grave dans les élections Européennes au Portugal.

    Le parti souverainiste de droite, qui recueille actuellement 19,9 % des voix après avoir obtenu 50 sièges lors des élections nationales du mois dernier, contre 12 en 2022, a qualifié la décision de l’entreprise de médias sociaux d’acte “injustifiable” de “persécution” et s’est engagé à utiliser tous les moyens légaux à sa disposition pour s’opposer à cette restriction.

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  • Fabius lave plus blanc…

    Le peuple, ce souverain sous tutelle se réveille groggy une fois de plus, avec une nouvelle attaque du Conseil Constitutionnel. En effet ce dernier vient de refuser le RIP, initié par les LR, sur l’immigration. On aurait pu naïvement croire que ce ne serait là que formalité, mais Le sujet déplaît à l’Élysée et à la bande de Davos, il fallait donc l’empêcher, ce que s’est empressé de faire Fabius, toujours aux petits soins pour satisfaire son maître. L’argument pour rejeter ce RIP tient sur le danger de ne pas respecter la politique de solidarité nationale en faveur des personnes défavorisées. Fabius mélange sciemment les genres et interprète le texte comme bon lui semble. Comment affirmer que cette politique ne peut pas être modifiée ? N’est-ce pas théoriquement au peuple de décider de ce qu’il entend conserver ou faire, en matière de politique, quel que soit son domaine y compris la solidarité ? Où est-il inscrit de manière claire et précise que la durée de 5 ans pour bénéficier de certaines aides sociales est contraire au préambule de 1946 et cause un préjudice disproportionné au non bénéficiaire ? Ce n’est pas parce qu’une garantie est légale qu’aucune contrainte ne peut être imposée pour l’obtenir. Quel est le délai admissible selon Fabius ?

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  • Genderofolie en Allemagne : changement de sexe possible une fois par an

    Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik
    Deux députés transsexuels élus au parlement allemand, Tessa Ganserer et Nyke Slawik

    La coalition centre-gauche-Vert allemande n’aime pas la nature, la vraie, mais le progressisme contre-nature : 374 députés, principalement des partis de la coalition au pouvoir, ont voté pour le soi-disant « acte d’autodétermination » au Bundestag. Ainsi, à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.

    Les députés allemands n’ont vraiment pas de considération pour les fonctionnaires des services d’Etat Civil : en votant à une large majorité, -374 pour, 251 voix étaient contre, 11 abstentions-, pour le soi-disant « acte d’auto-détermination » au Bundestag, ils permettent aux citoyens à partir du 1er novembre 2024, les citoyens pourront changer de sexe tous les douze mois, par simple déclaration orale.

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