«Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées. Il n’y a donc plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement, c’est déplorable», note Quentin Coton, président de l’UNI Sciences Po.
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À Sciences Po, des affiches en hommage à Thomas arrachées : “Il n’y a plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement” (MàJ)
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Bien que toujours considérée comme une fake news, l’organe consultatif des institutions de l’Union européenne confirme que “80 % des lois nationales sont façonnées par des lois votées au niveau européen”
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Crépol, réflexion sur la notion de responsabilité
Il est intéressant d’observer les réactions officielles à la tragédie de Crépol. Elles sont de deux ordres : le premier consiste à s’arroger le monopole du commentaire. Etre au pouvoir, viendrait conférer une sorte de droit à commenter sans tabou avec des termes musclés : barbarie, etc. En revanche, les mêmes mots (ou tout aussi forts), venant d’ailleurs, seront qualifiés « de récupération« . C’est une manière d’imposer le silence et de faire taire toute critique par avance en la délégitimant ou en la diabolisant.
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Comment remédier au gouvernement des juges ? Par Frédéric Rouvillois [IXe Forum de la Dissidence]
Polémia
Introduction
Commençons par un constat : lorsque l’on confie à une juridiction le soin de contrôler la conformité des lois à la constitution, il semble à peu près inévitable qu’apparaisse ce que l’on appelle aujourd’hui le « gouvernement des juges »: c’est-à-dire, l’intervention massive de cette juridiction dans des affaires politiques qui en principe ne relèvent que du souverain ou de ses représentants directs.
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Attaque de Crépol : Des consignes ont été passées pour imposer “un blackout total” concernant les prénoms des suspects. “S’ils s’appelaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà”, note un gendarme (MàJ)
@Valeurs. Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux. “C’est vraiment inquiétant cet aveuglement. C’est reculer pour mieux sauter. Tôt ou tard, ils devront donner les infos”, confie une source gendarmerie. “En même temps, ça veut dire que ce sont des Maghrébins, traduit une source policière. S’ils s’appelaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà.” #Drome
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Éric Zemmour : « L’islam n’est compatible ni avec la République ni avec la France »
Extrait de la tribune d’Eric Zemmour publiée par le JDD :
“(…) À l’instar des chefs d’État des pays arabes qui craignent la désapprobation de leur « rue » lorsqu’ils normalisent leurs relations avec Israël, Emmanuel Macron a peur, lui aussi, de sa « rue arabe » (…)Macron sait qu’il est à la tête de deux peuples. Deux peuples qui n’arrivent plus à vivre ensemble. Deux peuples, dont l’un doit fuir sans cesse les agressions d’une fraction de plus en plus violente de l’autre, pas seulement les attentats perpétrés aux cris de « Allah Akbar », mais ce véritable djihad du quotidien que subissent les Français : insultes, coups, vols, viols, attaques au couteau, trafic de drogue, meurtres.
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La justice entre impuissance et militantisme ? Par Michel Geoffroy [IXe Forum de la Dissidence]
1) Si l’on en croit les sondages, mais dans le cas d’espèce ils sont convergents depuis des années, l’image de l’institution judiciaire est fortement dégradée dans notre pays.
La justice serait laxiste pour 70 % à 80 %[1] des personnes interrogées, trop lente pour 93 %, opaque pour 70 % [2].
79 % se déclarent globalement insatisfaits de l’institution judiciaire. Ce que confirme d’ailleurs, dans son rapport de juillet 2022, le comité des États généraux de la justice évoquant « l’état de délabrement avancé dans lequel l’institution judiciaire se trouve ». -
Squattée par des migrants, l’université de Toulouse espère enfin une issue
La France est priée par l'Europe d'accueillir des migrants. Toujours plus de migrants.
Une générosité forcée qui pèse d'un poids très lourd sur le territoire. Cette fois, c'est une université française qui est au pied du mur. Et n'en peut plus d'assumer une mission qui n'est pas la sienne. On prend les mêmes et on recommence ! Ce lundi 21 novembre, le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse a ainsi ordonné l’expulsion d’une centaine de sans-papiers squattant le bâtiment 4R3 de l'université Paul-Sabatier de la ville rose.
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Le déraisonnement climatique : voyage en Absurdie
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Saint-Nicolas. La traditionnelle fête chrétienne de nouveau attaquée par les ethno-masochistes [Vidéo]
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