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lobby - Page 1682

  • L’école, instrument du grand remplacement

     L’école n’est pas seulement l’endroit où l’on peut observer le Grand Remplacement. Elle est aussi le lieu où il se prépare. C’est le grand intérêt du livre de Claude Meunier-Berthelot, C’est l’identité française qu’on assassineque de dévoiler des réalités occultées. D’un côté, tout est fait pour couper les enfants français des racines européennes de la civilisation. De l’autre, des programmes de soutien et de discrimination sont mis en place dans les banlieues de l’immigration. Nous publions ici la préface de Jean-Yves Le Gallou au livre très documenté de Claude Meunier-Berthelot.

    « Car le Grand Remplacement n’est possible que parce qu’il est précédé par le grand effacement, le grand effacement de l’histoire française, le grand effacement de la mémoire européenne ».

    Polémia

    Nul ne peut raisonnablement nier le Grand Remplacement : la substitution d’une population de souche européenne par d’autres populations venues d’ailleurs et imposant des mœurs et des coutumes étrangères.

    Le Grand Remplacement est visible.

    Il est visible dans les maternités.

    Il est visible dans les quartiers.

    Il est visible dans les écoles : il suffit de comparer des photos de classe prises dans les années 1950, 1960, 1970 à des photos de classe actuelles. Il est visible aussi à la sortie des écoles où voiles islamiques et boubous sont de plus en plus nombreux.

    Mais l’école n’est pas seulement l’endroit où l’on peut observer le Grand Remplacement. Elle est aussi le lieu où il se prépare. C’est le grand intérêt du livre de Claude Meunier-Berthelot que de dévoiler des réalités occultées.

    identiteCar le Grand Remplacement n’est possible que parce qu’il est précédé par le grand effacement, le grand effacement de l’histoire française, le grand effacement de la mémoire européenne. Ce grand effacement est l’objet des réformes successives et méthodiques conduites depuis 45 ans dans l’Education nationale : « alléger » les programmes pour supprimer progressivement toute référence à l’histoire et à la littérature française. La prétendue « refondation de l’école » n’est que l’achèvement de ce processus consistant à substituer une école-garderie à une école des savoirs, une école-lieu de vie à une école humaniste. Un premier résultat est d’ores et déjà obtenu : de plus en plus de jeunes sortent sans repères de l’éducation nationale, ils ne savent plus ni qui ils sont ni d’où ils viennent. Ni ce qu’ils ont à défendre, ni ce à quoi ils doivent s’opposer. Rien n’empêche plus leur remplacement.

    La faillite de l’Education nationale, ce n’est pas seulement cela. C’est aussi la mise en panne de l’ascenseur social, la destruction du principe du mérite républicain. Jusqu’à la fin des années 1970 l’école sélectionnait les meilleurs. Un enfant doué, ou travailleur, quelle que soit son origine sociale, pouvait accéder aux filières d’excellence : lycées, classes préparatoires, grandes écoles. La mise en place du collège unique a brisé cette dynamique : au nom d’une égalité théorique les gouvernements successifs ont mis en place un clivage social profond.

    D’un côté, les enfants qui habitent un beau quartier et qui sont scolarisés dans de bons (ou moins mauvais) établissements ; ou bien les enfants que les parents scolarisent à leurs frais dans des établissements privés sous contrat (voire, encore mieux, hors contrat) ; ou encore les enfants qui bénéficient de cours de soutien pour pallier les carences de l’école officielle.

    De l’autre côté, tous les enfants qui doivent se contenter d’une école dégradée sans ordre, sans discipline, sans structuration, sans ambition ; ceux-là sont condamnés à la médiocrité.

    Il y a donc une coupure profonde et croissante entre les enfants des classes aisées – oligarchie dirigeante et classes moyennes supérieures – qui pourront accéder aux bonnes filières et les autres condamnés à perdre leur temps dans des études minables du collège à l’université.

    Les bonnes âmes politiquement conformes ont malgré tout pris conscience de cette situation. Elles ont donc décidé de mettre en place des institutions correctives : équipes de réussite éducative, écoles de la deuxième chance, internats d’excellence pour le secondaire ; filières parallèles d’accès aux établissements nobles de l’enseignement supérieur (Sciences-Po, ESSEC, écoles de journalisme, etc.). Il n’y a qu’un hic : ces moyens d’exception sont réservés à une minorité, celle qui vient des zones d’éducation prioritaire (ZEP), c’est-à-dire des quartiers de l’immigration. Il est d’ailleurs singulier de constater que le référentiel sur la « refondation de l’éducation prioritaire » n’a rigoureusement rien à voir avec les dispositions générales de la « refondation de l’école ». C’est même précisément l’inverse, comme le décrit méthodiquement Claude Meunier-Berthelot.

    Alors que la « refondation de l’école » pour tous insiste sur son côté lieu de vie, il en va tout autrement pour la « refondation de l’éducation prioritaire » dont les textes fondateurs insistent sur les nécessités d’un « enseignement structuré », d’un « travail soutenu », de « savoirs enseignés explicitement ». On voit ainsi se mettre en place, au moins dans les intentions, un enseignement fondé sur la transmission des savoirs et la recherche de l’excellence à destination exclusive des habitants des banlieues de l’immigration.

    L’objectif est d’ailleurs assez clair, notamment s’agissant des internats d’excellence et des filières d’accès privilégié aux grandes écoles : permettre à un nombre grandissant de représentants des minorités visibles d’accéder à des postes de responsabilité dans les médias, les administrations, les entreprises, en bénéficiant de voies d’accès privilégiées, voire de ce qu’on appelait jadis le « piston »Cela revient en quelque sorte à préparer le Grand Remplacement des élites, en tout cas à favoriser l’accès aux classes dirigeantes par des moyens éducatifs privilégiés aux seuls enfants des classes populaires issus des quartiers de l’immigration… au détriment du reste, c’est-à-dire des Français de souche relégués dans les périphéries.

    On retrouve ici le mécanisme décrit par le géographe Christophe Guilluy : l’alliance de fer entre l’oligarchie mondialisée des centres villes et les banlieues de l’immigration au détriment de la France périphérique des villes moyennes, des campagnes rurbanisées et des provinces.

    C’est le grand mérite de Claude Meunier-Berthelot d’apporter une description très argumentée de cette politique à travers la discrimination positive à l’école : une discrimination positive pour les uns dont il ne faut pas oublier qu’elle est aussi négative pour les autres, c’est-à-dire pour les nôtres…

    Jean-Yves Le Gallou, 16/04/2015

    Voir : C’est l’identité française qu’on assassinede Claude Meunier-Berthelot

    http://www.polemia.com/lecole-instrument-du-grand-remplacement/

  • Loi renseignement : Pour Éric Zemmour, “on écoute tout le monde pour entendre quelques uns”

    Dans sa chronique sur RTL, Éric Zemmour a donné son avis sur la loi Renseignement qui permettrait de mettre en place une surveillance massive des citoyens français.

    Comme le rappelle le polémiste, tous les amateurs de romans policiers vous le diront : on reconnait le coupable à ce qu’il parait le plus innocent de tous les suspects. Il a le meilleur alibi, il est le plus serviable auprès de l’enquêteur. En annonçant qu’il saisirait le Conseil Constitutionnel sur le projet de loi renseignement – une première pour un président de la République de la Vème- François Hollande s’est cru très malin et n’a fait que signer son crime. C’est la maladresse des habiles.

    Ce texte sur le renseignement trouble le traditionnel clivage-droite -gauche. Il inquiète les esprits les mieux disposés, grands flics ou juges antiterroristes. Les garanties sont dérisoires et les risques immenses. Il profite du fameux “esprit du 11 janvier” pour légaliser une plate-forme nationale de cryptage et de décryptement (PNCD) qui permet depuis des années de recueillir et de stocker des données personnelles massives.

    Pour une efficacité fort réduite : on écoute tout le monde pour entendre quelques uns. On pêche au chalut pour attraper quelques poissons. On traque le délit d’opinion sans poursuivre le crime. On se refuse à interdire le retour sur le territoire des djihadistes à la manière anglaise; on n’ose pas descendre dans les banlieues pour mettre à jour les innombrables caches d’armes par peur des bavures. Alors, pour faire taire ce message qu’on ne veut pas entendre, on s’en prend au facteur.

    Cette loi sur le renseignement doit être mise en relation avec le plan, annoncé la semaine dernière, par le premier ministre pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme. Désormais, on fait basculer tout ce délit du racisme dans le code pénal, alors qu’il relevait jusque là d’un droit de la presse éminemment protecteur. Et on en profite au passage pour serrer encore la vis à internet. Une fois de plus, c’est la parole qui est suspectée, pas le crime. On sort de plus en plus du cadre démocratique qui respecte toute opinion

    http://fr.novopress.info/

  • La banque mondiale déporte et affame des millions de gens

    Les programmes de la Banque mondiale, qu’ils prétextent de la lutte contre le réchauffement climatique et la mise en œuvre des crédits carbone ou du développement, ou qu’ils correspondent à des contrats d’affaires bien juteux pour certains, ont conduit à l’éviction, la déportation, et la perte des moyens de subsistance de 3,5 millions de personnes parmi les plus pauvres de la planète. C’est ce qu’affirme l’International Consortium of Investigative Journalists qui tire ces chiffres des documents de la Banque mondiale elle-même.

    Déportation de millions de pauvres

    Ces données, incontestables puisqu’elles émanent des sources de la Banque mondiale, indiquent que les Asiatiques et les Africains sont les premiers à subir les effets néfastes de sa politique de « développement ». En Asie, trois millions de personnes ont perdu leur toit ou ont été déplacées, dont un million en Chine communiste et un autre million au Vietnam. En Afrique, près de 500.000 personnes ont été déplacées. Sur les autres continents, le nombre des victimes s’élève à quelques dizaines de milliers.

     

    Les données de la Banque mondiale montrent que les personnes déplacées ne reçoivent pas de compensation

    Les documents de la Banque mondiale sont incomplets et peu précis : ils ne permettent notamment pas de savoir si les personnes déplacées ont obtenu ou non une compensation, et encore moins si celle-ci correspondait au préjudice subi.

    L’étendue du préjudice n’est pas non plus précisée par les données relevées par la Banque mondiale : les victimes ont-ils perdu une part de leur terre ou de leurs biens, ou leur a-t-on tout pris ? La Banque mondiale « évite » en principe, lorsque c’est « possible » selon ses propres dires, la saisie de biens ou le déplacement des personnes concernées.

    Mais les habitants de bidonvilles, les petits fermiers pauvres, les pêcheurs, habitants des forêts et autres indigènes le plus souvent coupés du monde et des médias n’ont pas été à l’abri de ces pratiques. Un ancien responsable de la Banque mondiale, Navin Rai, a ainsi indiqué que les directives, pour laxistes qu’elles soient, n’ont pas été systématiquement suivies d’effet : « Il n’y avait souvent aucune intention de la part des gouvernements de s’y conformer, et souvent aucune intention de la part des responsables exécutifs de la Banque de les faire respecter », a-t-il déclaré. C’est lui qui était chargé, entre 2000 et 2012, de surveiller la mise en œuvre de ces protections… « C’est ainsi que l’on jouait ce jeu », a-t-il dit selon le consortium de journalistes.

    Des millions de pauvres condamnés à la misère par des programmes de la Banque mondiale

    Jim Yong Kim a reconnu en mars dernier que la Banque a évalué sa propre pratique de « ré-établissement » des personnes déplacées à la faveur de ses programmes et qu’elle s’est révélée défaillante : « Cela m’a beaucoup inquiété », a-t-il dit, avouant que l’organisation mondiale n’a pas fait assez pour surveiller les projets impliquant des déplacements de population.

    Si la Banque mondiale s’est – du coup – engagée à mieux se comporter à l’avenir dans ce domaine, des militants des droits de l’homme comme Jessica Evans de Human Rights Watch observe que rien n’est prévu pour vérifier la situation des personnes déjà lésées par des programmes en cours, ni même pour les identifier.

    Le Huffington Post donne l’exemple de l’éviction de centaines de personnes d’un bidonville de Lagos, au Nigeria, par 100 policiers armés qui les ont évacués sous la menace avant de détruire leurs baraques, sans même leur donner le temps d’y récupérer leurs biens. Aucune compensation n’a été donnée. La zone est vouée à la « rénovation urbaine » financée par la Banque mondiale.

    Celle-ci est également accusée de « corruption » : des organisations de défense des indigènes pointent ainsi sa propension à mettre en place des projets de destruction des zones d’habitation pour y planter des forêts qui rapportent aux industries des pays développés les « crédits carbone » aux retombées financières intéressantes.

    Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/la-banque-mondiale-deporte-et-affame-des-millions-de-gens#more-37642

  • Villejuif : la photo de l’algérien qui voulait massacrer des chrétiens

    sid ahmed Ghlam
    A noter que ce projet terroriste tombe à pic pour les socialistes qui veulent légaliser la surveillance de masse dans notre pays. Plutôt que d’espionner tout le monde, tout le temps, exigeons l’inversion des flux migratoires !

    http://www.contre-info.com/

  • 2 ans après son adoption : la loi Taubira est loin d’être entrée dans les mœurs

    La Manif Pour Tous ne lâche rien :

    "Malgré les affirmations péremptoires du Président de la République, le mariage et l’adoption pour les personnes de même sexe sont loin d’être rentrés dans les mœurs. La loi Taubira est toujours contestée et une majorité de français s’inquiète de ses violentes conséquences sur la filiation avec la PMA « sans père » et la GPA (mères porteuses).

    Entete2015

    N’en déplaise à François Hollande, la remise en cause de la loi Taubira est bien présente au cœur de la société française et du paysage politique. Aucun ténor de l’opposition ne milite aujourd’hui en faveur de cette loi. Au contraire, ils souhaitent tous revenir dessus d’une manière ou d’une autre.Seules les modalités de cette remise en cause suscitent aujourd’hui un débat qui oscille entre l’abrogation sans rétroactivité, la réécriture ou bien encore la proposition d’une alternative. Quant à la pression populaire, elle est toujours aussi surprenante que forte comme en témoigne l’enthousiasme, l’audace et la détermination des centaines de milliers de familles qui continuent régulièrement de faire entendre leurs voix comme ce fut le cas à l’automne dernier à Paris et Bordeaux. La Manif Pour Tous reste également toujours mobilisés pour combattre toute forme d’homophobie, c’est à dire tout manque de respect à l’égard d’une personne au motif de son orientation sexuelle. 

    Signe de sa vitalité, le mouvement social initié par La Manif Pour Tous continue également de se développer à l’image d’Europe For Family qui effectue un précieux travail auprès des institutions européennes et de Vigigender qui après avoir contribué avec succès à freiner l’idéologie du genre à l’école poursuit aujourd’hui son action dans les entreprises, l’administration et les services publics. Tout ce dynamisme contribue à maintenir un état d’esprit autour de la défense de la famille et ce mouvement social, de l’aveu même de bon nombre d’observateurs, est parti pour durer. Et pour durer longtemps.

    La Manif Pour Tous avait vu juste 

    Dès la présentation du projet de loi Taubira, La Manif Pour Tous avait expliqué que ce « bouleversement de civilisation » cher à Christiane Taubira ne répondait pas à une attente ni chez les personnes homosexuelles ni au sein de la société française. Avec quelques milliers de mariages célébrés en deux ans, et une tendance à la baisse enregistrée en 2014 (10.000) par rapport à 2013 (7.500 mais uniquement sur 7,5 mois), on se demande bien pourquoi le gouvernement s’est entêté. D’autant que les conséquences de cette loi Taubira ont aussi été dénoncé depuis le début par La Manif Pour Tous. Ce sont en particulier les conséquences en matière de filiation qui sont les plus graves et qui provoquent une vague d’inquiétude dans la société et chez les responsables politiques. Tous les slogans scandés depuis 2 ans et demi par des millions de citoyens n’ont pas pris une ride : « Un père, une mère, c’est élémentaire », « Tous nés d’un homme et d’une femme », « On veut du boulot, pas du mariage homo », « Hollande, tes lois on n'en veut pas ! », « Familles attaquées, société en danger », « Utérus exploité, peuple révolté », « PMA sans papa, on n'en veut pas », « On veut du sexe pas du genre », « Ovule et testicule : la bonne formule »…

    Adoption, PMA « sans père », usines à bébés…

    Avec le mariage, la loi Taubira a ouvert l’adoption pour les couples de personnes de même sexe. Cela revient à priver délibérément et définitivement un enfant de son droit à avoir un père et une mère : c’est d’autant plus cruel pour des enfants ayant connu l’orphelinat. « L’adoption, c’est redonner un père et une mère à un enfant qui en a été privé par un aléa de la vie.La justice doit protéger les enfants et rien ne peut justifier de les rendre adoptables par la seule volonté des adultes. On ne crée pas délibérément un enfant privé de père. C’est une injustice. C’est un acte égoïste » estime Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. Car le droit à l’adoption menace aujourd’hui de se transformer en droit à l’enfant, en particulier avec la PMA « sans père » et la GPA (Gestation Pour Autrui). Certes, des verrous demeurent aujourd’hui dans la loi française mais le lobby LGBT ne cache pas sa volonté de légaliser l’accès à la PMA pour les couples de femmes (ce qui revient à concevoir délibérément un enfant en le privant de son père) et  la GPA, c’est à dire le recours aux mères porteuses. « Voulons nous demain des usines à bébés dans notre pays, dans la patrie des droits de l’homme ? Voulons nous demain encourager nos compatriotes à faire tourner les usines à bébés en Inde, en Thaïlande ou au Nigéria ? » interroge Ludovine de La Rochère. « La réponse est non. Or, la loi Taubira est le chemin qui conduit vers cette destruction de la filiation et de la famille. C’est pourquoi elle ne peut être conservée en l’état. C’est aussi la raison pour laquelle elle n’est pas entré dans les mœurs et ne le sera jamais » poursuit-elle.

    Vers les échéances de 2017 et au-delà

    La Manif Pour Tous entame le 12 mai prochain un Tour de France qui va se prolonger jusqu’à l’été. Objectifs : informer les Français et sensibiliser les élus, en particulier les parlementaires sur les conséquences de la loi Taubira et les menaces qui pèsent sur la famille et les droits de l’enfant. Une proposition de loi vient d’ailleurs d’être déposée à l’Assemblée nationale par Valérie Boyer, députée des Bouches du Rhône et secrétaire nationale en charge de l’égalité homme-femme à l’UMP. Cette proposition de loi vise notamment créer un délit spécial autour de la GPA et de sa promotion. Elle est d’ores et déjà co-signée par une cinquantaine de députés. « Nous travaillons également à notre prochaine université d’été, à un dispositif en vue des élections régionales et aussi des échéances de 2017. La Manif Pour Tous et ses millions de sympathisants qui ont osé faire entendre leur voix contre la loi Taubira restent plus que jamais mobilisés et déterminés » précise Albéric Dumont, Vice-Président de La Manif Pour Tous."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Migrants : les conseils de l'Australie à l'UE

    Tony Abbott, premier ministre d'Australie, estime que si les pays de l'Union européenne suivaient le modèle australien, beaucoup de vies seraient sauvées.

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    "Pour Tony Abbott, seul le refoulement systématique des bateaux chargés de migrants est efficace. "Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d'atteindre l'Europe depuis l'Afrique. Le seul moyen d'empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l'arrivée) des bateaux", a-t-il déclaré mardi à des journalistes.

    "Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d'êtres humains en Méditerranée", a-t-il ajouté."[...]

    Marie Bethanie

  • Sur Canal+ «Hollande a parlé aux bobos. Qu'il parle au reste des Français maintenant.»

    Pour ses trois ans de mandat, François Hollande a laissé les caméras du Supplément de Canal+ le suivre une semaine durant, à l'occasion d'une émission de deux heures qui lui était entièrement consacrée. Un moyen, de l'avis général, de séduire l’électorat bobo branché de gauche en vue de la présidentielle de 2017. Mais le chef de l'Etat a-t-il réussi son coup? Philippe Moreau-Chevrolet, président et fondateur de l'agence de communication MCBG, évalue la performance du président.
    Hollande a déclaré «Je dois être celui qui incarne les Français. (…) Je ne veux pas être familier avec les Français». Bon point ou faux pas ?
    C'est une erreur et cela peut sembler méprisant, même si de sa part ce n'est sans doute qu'une maladresse. Ses détracteurs ne se priveront d'ailleurs pas de lui renvoyer cette phrase au visage. Et puisque François Hollande «ne veut pas être familier avec les Français», personne ne sait vraiment qui il est. Or c'est en étant plus familier que les Français, donc les électeurs, le connaîtront mieux: un président doit être familier. En comparaison, Nicolas Sarkozy, on peut le détester, mais on ne peut pas lui reprocher de ne pas être familier.
    Qu'a-t-il bien maîtrisé alors ?
    Comme à son habitude, François Hollande a extrêmement bien géré la séquence militaire, les questions de politique internationale et l'après Charlie. Il s'en est aussi très bien sorti dans son face-à-face avec les lycéens. Il a su les écouter, sans leur faire la morale ni les juger, faisant preuve d'empathie pour tenter de les comprendre. Le chef de l'Etat apparaît aussi comme quelqu'un de sympathique, avec le sens de l'humour. Mais ces bons points n'ont pour autant pas renforcé sa stature présidentielle ni son image de futur présidentiable.
    L'opération séduction n'est donc pas une réussite ?
    Non, c'est une opération ratée. Manuel Valls, lui, est un maître de la communication, sérieux, dans l'action, qui sait s'adapter en fonction du média dans lequel il apparaît. L'émission de ce dimanche a été à l'image de la communication de François Hollande: décalée. Il n'a pas commis trop d'erreurs, il apparaît sympathique mais l'exercice met en lumière un décalage entre le président et la réalité des Français. Surtout lorsqu'on le voit travailler au soleil sur une terrasse puis grimper dans un luxueux jet privé. Et il n'a pas été bon lorsque la progression du Front national a été abordée. On en retiendra ce qu'on retient habituellement des conférences de presse de François Hollande, à savoir pas grand-chose. Il a parlé aux bobos, à un tout petit segment de la population. Qu'il parle au reste des Français maintenant.

    Propos recueillis par Anissa Boumediene 20 minutes :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EukAVuyZElknZTnUBh.shtml

  • Fraude fiscale : qui est coupable ?

    On assiste en ce moment à une intensification internationale de la lutte contre la fraude fiscale. Mais s'attaque-t-on toujours aux vrais coupables ?

    Pas une semaine sans qu'un nouveau scandale de fraude fiscale n'apparaisse. La banque HSBC est aujourd'hui accusée d'avoir favorisé l'évasion fiscale vers la Suisse de 180 Mds d'euros : Et la liste des coupables diffusée par la presse cite pêle-mêle les rois du Maroc et de Jordanie, le coiffeur Jacques Dessange, le footballeur Christophe Dugarry, le comique-troupier Gad Elmaleh ou encore la couturière Diane von Furstenberg. Tant de monde que l'on en vient à se demander s'il est si grave que cela de placer son argent en Suisse.

    En effet, si le recours au paradis bancaire pour dissimuler son argent trouve toujours son origine dans des actes sans doute plus ou moins illégaux, les motifs incriminés ne sont pas toujours empreints de la même gravité. Entre celui qui cache l'origine criminelle des fonds (crime, trafic de drogue, prostitution...), celui qui veut dissimuler des pots-de-vin et celui qui cherche à cacher au fisc de l'argent honnêtement gagné, l'intensité de la faute n'est pas la même, qu'on le veuille ou non. Surtout au regard de la pression fiscale actuelle. Or, la mode consiste aujourd'hui à mettre tout le monde dans le même sac.

    Au lieu de pousser des cris de vierges effarouchées à la seule évocation d'une quelconque fraude fiscale, essayons donc de remettre l'église au milieu du village. Celui qui essaie de payer moins d'impôt est tout de même moins dangereux que le criminel endurci. Et pourtant, la fraude fiscale, qui peut d'ailleurs légalement commencer avec quelques centaines d'euros non déclarés, est dorénavant punissable en France de 7 ans de prison. On en vient donc à se demander si les moyens offerts pour lutter contre la fraude fiscale ne sont pas devenus finalement plus dangereux que la fraude fiscale elle-même.

    Assimiler poujadisme et crime en bande organisée crée une inquiétante confusion. Au point que l'optimisation fiscale, la délocalisation et l'expatriation, techniques pourtant tout à fait légales, relèvent désormais dans l'inconscient collectif de la fraude ou de l'évasion fiscale... L'impôt est ainsi devenu l'arme morale absolue des gouvernements. Celui qui s'arrange pour ne pas le payer, légalement ou non, est voué à l'opprobre public, qu'il s'appelle Gérard Depardieu ou Bernard Arnault. Et si l'Etat veut nuire à un citoyen, il suffit de lui notifier une rectification d'impôt. Justifiée ou non, peu importe. Le redressement fera la une de l'actualité et si le contribuable gagne après 10 ans de procédure, il sera trop tard.

    D'ailleurs, tout montre que cette croisade contre la fraude fiscale relève avant tout du bal des faux-culs. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'on s'aperçoit que la lutte contre le secret bancaire a commencé lorsque les Etats se sont retrouvés à court d'argent et ont essayé par tous les moyens d'endiguer la fuite des capitaux, fuite précisément liée à des impôts devenus prohibitifs bien que toujours aussi impuissants à résorber les déficits. Autrement dit, tant que la Suisse servait de plate-forme de blanchiment de l'argent de la drogue ou du trafic d'armes, les Etats n'y trouvaient rien à redire. Depuis qu'ils ont un besoin crucial de récupérer l'argent des impôts, le secret bancaire est devenu inadmissible.

    L'Etat actionnaire n'a au demeurant pas les mêmes réflexes que l'Etat collecteur d'impôt. Il ne trouve donc rien à redire au fait que Renault-Nissan ou EADS installent leur siège social aux Pays-Bas ou que des entreprises nationales comme EDF, GDF-Suez, Thales, Veolia ou France Telecom partent y créer des holdings destinés à y faire remonter du bénéfice. Il paraît que le fait d'y payer moins d'impôt est un pur hasard et que le choix batave relève d'un strict souci de neutralité. Ben voyons...

    Pour en revenir aux listes HSBC, l'ancien procureur Eric de Montgolfier, à l'origine de la saisie des fichiers, s'étonne que tous les noms figurant sur les listes n'aient pas été divulgués. Il se souvient y avoir vu par exemple l'ancien préfet Jean-Charles Marchiani, collaborateur de Charles Pasqua et trouve curieux que son nom ait disparu. Beaucoup sont d'ailleurs surpris que dans l'affaire SwissLeaks, qui comprend 10000 noms, aucun homme politique français ne soit cité. Si les 3000 français du début de l'enquête sont montés à 9000 pour plus de 5,7 Mds d'euros, le scandale épargne pour l'instant le monde politique. Sans doute sont-ils tous réellement pauvres comme semble le montrer leur déclaration de patrimoine officiellement publiée...   

     

    Manuel Calambra monde&vie 25 fevrier 2015

  • Attaque sous faux drapeau, Un Message aux Musulmans Français - Sheikh Imran Hosein - 13 Janvier 2015

  • Générosités subventionnées

    Le 16 avril le conseil municipal d'Amiens décidait de supprimer la subvention que la ville versait jusqu’ici au "Réseau Éducation sans Frontières" (RESF) et ceci bien qu'une centaine de militants de ce Réseau et de ce que L'Humanité appelle des "déboutés du droit d’asile" se soient, pour reprendre l'expression du journal communiste en date du 17 avril "invités au Conseil Municipal". (1)⇓

    Cette pression n'a pas fait céder Mme Brigitte Fourré, Maire UDI d'Amiens, en raison notamment d'une pression encore plus forte, celle de la baisse des subventions de l'État central, la dotation globale de fonctionnement.

    On pourrait tenir cette affaire pour simplement anecdotique, une broutille, d'autant que la somme porte sur 1 800 euros, qui, nous dit-on aussi, représentent 80 % du budget de l'association laquelle milite en faveur de l'immigration illégale. Au cours du débat on a pu apprendre que l'ancienne municipalité, "de gauche" consacrait "10 % du budget du Centre communal d’action sociale pour aider des personnes en situation irrégulière, sans prendre en compte les pauvres de nationalité française." (2)⇓

    À noter que la Ligue des Droits de l'Homme, aujourd'hui satellisée par la nébuleuse communiste, se trouve impliquée dans le débat. Son vice-président amiénois ne manque pas de qualifier cette restriction budgétaire de "posture d'extrême droite". Le mot est lâché. Les centristes de l'UDI, eux-mêmes si vigilants dans ce domaine se voient donc amalgamés à leurs pires ennemis. Bonne ambiance.

    Au-delà de ce contexte on est aussi en droit de s'interroger quant au principe même de ces associations subventionnaires.

    Le RESF de la Somme assemble, d'après ses partisans, près de 43 associations et syndicats.
 Et si ces 1 800 euros de subvention représentent "près de 80 % du budget employé par le réseau pour venir en aide aux sans-papiers résidant sur la commune" cela veut dire, en fait, que le "réseau" consacre environ 2 200 euros, en fait, à une seule activité, la coordination d'une agitation, ou plus exactement la participation à des actions de militantisme politique pro-immigration dont on perçoit mal l'utilité publique, régionale ou nationale.

    On peut imaginer que les sections locales de ces 43 associations et syndicats reçoivent, elles aussi, de concours venus des budgets publics, puisque depuis une série de lois échelonnées de 1988 à 2003 ce sont les partis politiques eux-mêmes qui reçoivent des subventions, décidées par les membres de ces partis.

    Si nous comprenons bien les chiffres indiqués, 80 % du budget de fonctionnement ne proviennent donc pas de leurs adhérents. Pourtant 43 associations cela devrait faire au moins 129 membres soit, par adhérent, une cotisation inférieure à 14 euros : somme minime, pensera-t-on, que ces soi-disant "militants", si généreux avec l'argent des autres, pourraient acquitter eux-mêmes ? Eh bien, non ! il faut que ce soit les contribuables qui payent.

    On en vient même maintenant à l'idée de subventionner le "bénévolat" de façon indirecte en créant des "avantages retraites".

    Le détournement de la loi de 1901 devient de plus en plus flagrant. On est passé de la liberté de créer des associations, de façon d'ailleurs laxiste, au droit pour celles-ci de prélever leur dîmes de façon discrétionnaire sur les caisses publiques.

    Plus exactement ces fonds, ces petits ruisseaux qui font les grandes rivières, sont alloués en fonction de la crainte que leurs dirigeants inspirent aux faiseurs d'opinions politiquement corrects.

    Le fait même que "l'Huma" puisse monter en épingle ce petit accroc local à un système général, très répandu, prouve qu'il est dans son ensemble manifestement établi : il n'existe d'ailleurs aucun agrégat crédible et actuel de l'ensemble de ces sommes perçues par les associations bien pensantes, vivant au crochet des contribuables.

    Si l'on souhaite entreprendre sérieusement un assainissement des finances publiques, on pourrait commencer par la suppression de toutes ces subventions.

    Si les membres de ces associations sont tellement bons et généreux qu'ils commencent à cotiser, à leurs frais, pour leurs bonnes œuvres.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  cf. L'Humanité du 17 avril
    2.  cf. Nouvelles de France du 18 avril 

    http://www.insolent.fr/