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  • 2ème offensive de l’armée dans le Sud syrien : Nosra et Cie en déroute

    Retour au triangle Quneitra-Deraa-Damas : l’armée syrienne a lancé sa deuxième offensive dans le sud syrien et y a réalisé une importante percée ce samedi.

    La bataille a été déclenchée depuis vendredi soir, à une cinquantaine de km au sud-ouest de Damas et l’armée a avancé et pris trois villages, dont celui de Habbariyé, ainsi que plusieurs collines dont Karine, Kherbet-Sultaneh et Hamrit, dans la province nord de Deraa.

    Habbariyé, située non loin de la localité Der al-Adas, (laquelle avait été sécurisée durant la première offensive lancée depuis deux semaines), occupe une position stratégique car il permet d’ouvrir la voie vers le village de Kfar Nassej, où sont stationnés d’importants groupuscules armés et puis de continuer plus tard vers la colline Tal-alHarat, à la position ultra-sensible

    Selon le correspondant de notre chaine al-Manar, l’armée syrienne a mené une attaque de grande envergure, sous une couverture de pilonnage terrestre et aérien et des tirs intensifs. Une fois ayant conquis Habbariyé, elle a avancé sur plusieurs axes en même temps, et filtré les tranchées des miliciens.

    Avant ce village, les troupes régulières avait pris le contrôle d’une colline dans le gouvernorat de Souweida, Tal al-Majdaa, non loin de la frontière avec la Jordanie, rapporte le journal libanais as-Safir

    Ce qui lui permet d’imposer une couverture de feu tout au long de la voie d’approvisionnement des groupuscules armés vers les régions de l’est de Souweida.

    Les habitants ont assuré pour l’AFP que l'offensive a surpris les rebelles dont beaucoup sont morts ou ont fui. Ils ont pris la fuite en direction du village de Harat, selon le correspondant de notre chaine al-Manar.

    Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, (OSDH), l'armée a été assistée par le Hezbollah, des conseillers des Gardiens de la révolution iraniens et « des miliciens chiites irakiens ». La présence de ces derniers est une première. Elle n’a pas été confirmée de source autonome.

    Ils ont « affronté des factions rebelles et des jihadistes du Front Al-Nosra », toujours selon l’OSDH, et selon lequel il n’y a eu que sept morts parmi les rebelles.

    Des sources sécuritaires citées par al-Manar ont expliqué que l’opération vise à sécuriser les provinces de la capitale, celles du sud, de l’est et de l’ouest. Elle permet aussi de couper la voie de passage et d’approvisionnement entre la province de Deraa et celle de Quneitra, où les milices sur place ont établi une zone tampon, avec le soutien de l’ennemi israélien.

    Cette débandade des miliciens intervient après la mort d’un important chef militaire du Nosra pour le sud, le dénommé Abou Omar al-Ourdoni (le jordanien), abattu dans des combats avec l’armée dans la province ouest de Deraa.

    C’est lui qui menait la bataille sur les deux fronts de Deraa et Quneitra.

    Sa mort coincide avec celle du juge religieux du Nosra dans cette région, Abou-l-Jarrah al-Jarzi, ainsi que l’activiste médiatique Mohammad Kteich, abattus dans les parages de la localité de Kfar Chams.

    Dans l’après-midi de ce samedi, le correspondant d’AlManar a rendu compte d’une avancée importante de l’armée dans la région de Kamechli, au – de la Syrie, où les troupes gouvernementales avec l’aide des forces des comités populaires qui ont sécurisé 8 villages en moins de 24 heures.

    Alep, Nosra déloge Hazem

    Dans le nord syrien, près d'Alep, le front Al-Nosra a chassé les miliciens du mouvement Hazem, qui étaient stationnés dans la base militaire 46, et ce à l'issue de combats violents.

    Alors que l’OSDH a fait part de 29 morts dans les rangs du groupe Hazem et six dans ceux d'Al-Nosra, un décompte publié par les Coordinations de l’opposition ont parlé de 110 tués et de plus de 150 blessés.

    Ce fief est à l’ origine une base de l’armée syrienne régulière qui a été pris en novembre 2012 par les rebelles qui en avaient chassé les militaires réguliers et y avaient saisi des missiles sol-air.

    Hazem est considéré comme un groupe rebelle "modéré" par les Occidentaux. Il fut le premier groupe à recevoir, en 2014, des missiles antichars TOW de pays occidentaux.

    Une vidéo postée sur la Toile et attribuée à son dirigeant religieux justifie le recours aux Etats-Unis voire à Israël pour obtenir des armes.

    Selon l’AFP, le Nosra cherche à reprendre des localités ou camps militaires aux rebelles dans les régions d'Alep et d'Idleb (nord-ouest) et a créé un "émirat" islamique en Syrie.

    Selon des sources médiatiques de l’opposition citées par le journal libanais al-Akhbar, la coalition est intervenue pour assister Hazem en bombardant les positions de Nosra dans la région de Salkine, dans la province d’Idleb. Ce qui a fait dire al-Nosra : « les raids s’inscrivent dans le cadre du soutien des Croisés ou mouvement Hazem collaborateur ». Et Hazem de démentir l’information des raids.

    les Kurdes sécurisent 103 villages 

    Toujours dans le nord de la Syrie, les combattants des Unités de protection du peuple kurdes poursuivent de leur côté leur avancée à Hassaké.

    Après 6 jours de combats contre la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat Islamique), rapporte le site d’information al-Hadath News, ils contrôlent désormais les parages est et sud de la localité de Tal-Hamis.

    Ils ont déjà sécurisé quelques 103 villages de cette région, avec l’aide des frappes de la coalition internationale menée par les Etats-Unis.

    Il y est question de la mort de 175 miliciens de Daesh durant ces derniers jours et de plusieurs dizaines de tués dans les rangs des combattants kurdes.

    Voitures piégées

    Dans les régions contrôlées par la milice Jaïch al-islam dans la Ghouta orientale et le Qalamoune, le bras de fer contre la milice wahhabite takfiriste Daesh s’aggrave. Jeudi, Daesh a confisqué à Jaïch al-Islam une position charnière située entre la Ghouta et le Qalamoune, à Jabal Dakwé

    Vendredi, trois voitures piégées ont explosé faisant des dizaines de tués et de blessés : les deux premières à proximité de la mosquée al-Salam, du village al-Nassiriyya, à l’est du Qalamoune.

    Et la seconde dans la ville al-Damir, dans la Ghouta orientale.

    Dans la localité de Hammouriyyé, toujours dans la Ghouta orientale, le front al-Nosra a exécuté trois personnes, au motif d’apostasie.

    source : Al manar ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EukVEyAZAuOGQyFscj.shtml

  • Pegida Vlaanderen a bien l’intention de manifester ce lundi à Anvers malgré l’interdiction de Bart De Wever

     

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    Pour la troisième fois consécutive, Bart De Wever, bourgmestre (maire) d’Anvers et président de la NVA, a interdit la manifestation de PEGIDA Vlaanderen, la branche flamande de Pegida. Mais, cette fois-ci, les organisateurs de la manifestation ont bien l’intention de se rassembler malgré l’annonce d’interdiction.
    « M. De Wever a eu bien assez de temps pour organiser la sécurité d’une telle manifestation », répond Rudy Van Nespen, le porte-parole de Pegida Vlaanderen. 

    De son côté, le bourgmestre d’Anvers a déjà déclaré aux médias qu’il ferait intervenir la police pour disperser les manifestants et empêcher la manifestation.

    Ce qui n’impressionne pas les dirigeants de Pegida Vlaanderen qui, sur Facebook, donnent des conseils et des avis juridiques en cas d’arrestation par la police.

    http://www.medias-presse.info/pegida-vlaanderen-a-bien-lintention-de-manifester-ce-lundi-a-anvers-malgre-linterdiction-de-bart-de-wever/26798

  • Les négateurs de l’identité française

     En employant le 23 février 2015 l’expression « Français de souche » (pourtant dans un sens péjoratif) François Hollande a déclenché un tollé chez les tenants du politiquement correct et les défenseurs d’une souveraineté hors sol. Guaino a condamné et Marine Le Pen a pris ses distances. Le débat n’est pas nouveau. En janvier 2007 Polémia avait publié une étude critique sur les « négateurs de l’identité française ». Il nous a paru utile de la remettre en ligne.

    En voyage en Algérie, en 2006, Zinedine Zidane a déclaré « Je suis fier d’être algérien ». Pendant ce temps-là, en France, la classe politique se rallie à une conception désincarnée de la nation portée par les négateurs de l’identité française.

    Explications :

    1/ En présentant, le 31 décembre 2006, ses vœux pour 2007, Jacques Chirac a appelé au « rassemblement autour des valeurs qui font la France : la liberté, l’humanisme, le respect, et notamment le respect de la diversité et des différences, la laïcité, le combat contre le racisme, l’antiracisme, le communautarisme ». Par-delà les pieuses intentions, cette définition laisse dubitatif :

    – parce que bien d’autres nations peuvent aussi faire leurs ces valeurs, à l’exception peut-être de la laïcité ;

    – ensuite, parce que la France « qui vient du fond des âges », selon l’expression du général De Gaulle, n’a pas toujours fait siennes ces valeurs-là : ainsi la France de l’Ancien Régime, « fille aînée de l’Eglise », connaissait le gallicanisme mais ignorait la laïcité ; et, plus près de nous, la France jacobine et républicaine a souvent cherché à éradiquer la diversité et les différences de ses provinces.

    2/ Ainsi cette définition purement idéologique de la nation est loin d’être intellectuellement satisfaisante même si elle a été forgée par les philosophes Dominique Schnapper et Alain Finkielkraut, dans le cadre de la commission de la nationalité créée en 1987 par Jacques Chirac.

    Reste qu’étant la quintessence du politiquement correct, elle tend à s’imposer à l’ensemble du champ politique… Front national compris, semble-t-il.

    Ainsi Marine Le Pen, présentant le 11 décembre 2006 la campagne d’affiches de son père mettant en image une jeune femme d’origine maghrébine ou ultramarine, a ainsi justifié ce choix d’image médiatiquement porteur : « La candidature de rassemblement du peuple français débarrassé des spécificités religieuses, ethniques ou même politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen. »

    Qu’un président de la République ou un candidat à cette fonction soit dans une logique de rassemblement et adopte une démarche attrape-tout peut se comprendre. Pour autant, il paraît difficile de définir un peuple ou une nation indépendamment de ses origines ethniques, religieuses, culturelles ou historiques. Car alors que lui reste-t-il de spécifique ?

    C’est pourtant la démarche adoptée par les négateurs de l’identité française, qui procèdent à une déconstruction en cascade de la nation.

    3/ Faisant bien naturellement sien le tabou de l’ethnie, Ségolène Royal a déclaré le 29 septembre 2006 : « Etre français, c’est le drapeau et la Sécurité sociale (…) ; il faut arrêter de parler des Français de souche comme s’il existait des Français de feuillage ou de branchage. » Ce qui revient à nier à la nation (alors même que l’origine étymologique du mot « natio » renvoie à la naissance) toute notion d’origine. Ce qui aujourd’hui encore est une erreur juridique puisque le principal mode d’accès à la nationalité française reste la filiation, principe selon lequel « naît Français l’enfant né de parents français ». Et ce principe reste particulièrement important au moment où, dans le cadre d’une économie mondialisée, des millions de Français s’expatrient sans perdre le droit à la nationalité française ni pour eux-mêmes ni pour leurs enfants, y compris lorsque ceux-ci naissent sur un sol étranger.

    Ce poids des origines a d’ailleurs été paradoxalement rappelé par une personnalité sportive qui a longtemps été présentée comme un modèle de réussite et d’intégration : né à Marseille, marié à une Française, père d’enfants français, Zinedine Zidane s’est déclaré, le 12 décembre 2006 lors de son voyage en Algérie, pays où il n’a jamais vécu mais dont sa famille est originaire, « fier d’être algérien ». En bref, français de nationalité, il se sent algérien de souche. Pourquoi donc cette notion devrait-elle être interdite aux Français d’origine ?

    4/ De la même manière, il n’est guère raisonnable de vouloir « débarrasser » l’identité française de la catholicité. Non qu’il ne soit pas possible d’être français en appartenant à une autre religion ou en ayant cessé d’adhérer au dogme catholique lorsqu’on a été baptisé, mais tout simplement parce que l’identité de la France s’est nourrie du catholicisme. Les cathédrales, les églises, les chapelles et les oratoires marquent les paysages. La littérature, la peinture, la sculpture françaises sont aussi profondément imprégnées de catholicisme. Et celui-ci a repris à son compte bien des traditions antérieures, helléniques ou celtiques, qu’on retrouve dans la théologie (la foi et la raison), le culte marial et celui des saints. Les cathédrales et les églises occupent d’ailleurs de très anciens lieux sacrés, ce qui n’est pas le cas des mosquées, des synagogues ou des pagodes qui ne puisent pas aux mêmes racines géographiques et symboliques.

    5/ Se « débarrasser » des origines ethniques et religieuses de la France conduirait aussi inéluctablement à se « débarrasser » de son histoire car celle-ci y est intimement liée.

    Si la France cessait d’être une « nation européenne et chrétienne », elle ne pourrait plus sans autoculpabilisation évoquer les périodes majeures de son histoire : les croisades qui l’ont opposée au monde musulman ; les grandes découvertes qui l’ont conduite à transformer le monde en le colonisant.

    6/ La culture française est elle-même inséparable des origines européennes et chrétiennes de la France : ce sont les mythologies antiques et les textes chrétiens qui ont fourni leurs sources d’inspiration principales aux artistes et aux écrivains depuis plus de dix siècles. Y renoncer reviendrait à faire table rase d’un prodigieux héritage ! C’est pourtant ce qui commence à se faire dans certains secteurs de l’Education nationale (?) où des textes classiques susceptibles de choquer « les minorités visibles », par leurs libertés de ton ou leurs références, sont progressivement censurés.

    7/ L’organisation de la vie et des jours est aussi structurée par l’héritage européen et chrétien, qu’il s’agisse du calendrier, avec les fêtes chrétiennes rythmant l’année en fonction du cycle des saisons et des traditions ancestrales ; ou des plaisirs de la table, avec le double rôle du cochon, mets traditionnel, et du jeûne du vendredi consacré au poisson. Cet apport se retrouve aussi dans la langue, dont le vocabulaire et les expressions idiomatiques expriment aussi l’héritage multiséculaire de la France. Au nom de quoi faudrait-il y renoncer ?

    8/ En clair, « débarrasser » la nation française de toute référence aux origines et à la religion, c’est la déconstruire complètement, et donc la détruire. Cette démarche est d’ailleurs parfaitement irréaliste. On peut verbalement prétendre nier le rôle des origines ou de la religion. On ne peut empêcher les hommes et les femmes de se regrouper par affinités spirituelles, culturelles ou musicales. Les entreprises et les commerces sont le lieu de la mixité ethnique et religieuse mais les loisirs, les écoles et les quartiers sont, que cela plaise ou non, le lieu de regroupements par affinités et donc bien souvent par origine.

    Une anecdote est à cet égard révélatrice. Le président socialiste de la Région a soumis le schéma régional d’aménagement de l’Ile-de-France à un jury populaire : une cinquantaine de représentants d’associations diverses ont été réunis pendant quarante-huit heures dans un grand hôtel et ont donné, encadrés par des techniciens, leur avis sur les projets d’aménagement de la région qui leur étaient soumis. Beaucoup de bonnes intentions et de conformisme dans leurs réponses sauf sur un point : le refus de toute « mixité (ethnique ou sociale) imposée ».

    9/ Il serait temps que les hommes et les femmes politiques se libèrent du carcan de l’idéologie dominante et des dogmes des négateurs de l’identité. Il y a un peu plus d’un siècle, dans une période de troubles et d’interrogations, Renan avait développé une thèse équilibrée de la nation. Equilibrée, parce qu’elle refusait tout déterminisme absolu en laissant une part au choix, à la volonté individuelle. Pour autant, dans l’esprit de Renan la nation ne se réduisait pas à un « plébiscite de tous les jours ». Celui-ci ne venait que couronner ces données fondamentales qu’étaient à ses yeux l’origine, la religion, la langue, l’histoire, la géographie.

    Il est temps d’en revenir à cette définition de bon sens ! Il faut faire sauter le tabou de l’ethnie et de la religion !

    Jean-Yves Ménébrez, 05/01/07

    http://www.polemia.com/les-negateurs-de-lidentite-francaise/

  • La "dignité"

    A l'heure où l'Etat islamique continue ses carnages à ciel ouvert, notrecivilisation, dans le silence aseptisé des arrières salles de ses hopitaux, commet aussi ses atrocités.

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    Michel Janva

  • #J’étaisCharlie

    Si le torchon blasphémateur qu’est Charlie Hebdo a déchaîné les foules il y a quelques semaines avec son premier numéro post attentat, les points de vente étaient mercredi matin particulièrement désert, comme ils l’étaient par ailleurs avant le phénomène #jesuisCharlie !

    Vendu à plus de 7 millions d’exemplaires après les attentats, le journal n’a été tiré qu’à 2,5 millions d’exemplaires cette semaine, et pour cause ! Même si les ventes ont augmenté depuis début janvier, elles redescendent doucement tout comme l’élan pseudo-humaniste des milliers de moutons « Charlie » réunis sur la place de la République le 11 janvier !

    « Ca se vend doucement, ça n’a rien à voir avec le dernier numéro » réalisé tout de suite après l’attaque, a indiqué un kiosquier à la gare Saint-Lazare. « En une heure, on en a vendu une vingtaine. La dernière fois, les 240 qu’on nous avait livrés étaient partis au bout d’une heure » rapporte La Dépêche.

    On s’est promené place de la République, on a sorti nos drapeaux français ( et notre hypocrisie ), il faisait beau, on en a bien profité, on s’est donné bonne conscience, maintenant qu’on a prouvé notre engagement républicain on peut rentrer chez soi et reprendre sa petite vie tranquillement, bref on était Charlie.

     

    http://www.contre-info.com/

  • MM. Sarkozy, BHL et Hollande, la Libye vous remercie !

    Aujourd’hui, la Libye est un État souverain qui n’a plus d’État… où plutôt qui en a trois. En effet, ce pays se trouve dirigé par trois entités.

    Lors de l’opération Serval, en 2013, l’armée française a repoussé hors des frontières les terroristes qui occupaient le Mali, fort heureusement sans beaucoup de pertes. Mais les terroristes, eux non plus, n’ont pas eu trop de pertes et ils ont conservé leur armement. Nombreux sont restés au Mali, infiltrés dans la population. D’autres ont rejoint Boko Haram. Merci François Hollande !

    Il aurait fallu une opération conjointe afin de les prendre en tenaille et les détruire définitivement mais cette stratégie n’a pu être programmée par défaut de coopération des Algériens, des Libyens et des pays environnants. Ils se sont regroupés et ont reconstitué leurs forces, notamment en recréant à la frontière libyenne, à Madama, extrême nord du Niger, un fief aussi solide que l’était celui de l’Adrar des Ifoghas, à la frontière algérienne.

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  • GPA

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  • Forsane Alizza : Ils se préparaient au djihad armé, enfin le procès des cavaliers d’Allah – Et interview de Fabrice Robert

    (via l’hebdomadaire Minute)

    L’interview de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, qui faisait partie des cibles de ce groupe islamiste est à découvrir sous cet article.

    En mars 2012, à la suite de l’affaire Merah, le groupe islamiste Forsane Alizza (« Les cavaliers de la fierté ») avait fait l’objet d’un vaste coup de filet et certains de ses membres avaient été placés en détention. Le parquet de Paris vient de demander le renvoi en procès de quinze d’entre eux pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et acquisition d’armes.

    Le 1er mars 2012, le gouvernement avait pris un décret de dissolution de Forsane Alizza, présentant les caractéristiques d’un groupe armé privé et affichant clairement sa volonté de remplacer la République par un califat. Le décret précisait notamment:« Le groupement de fait “Forsane Alizza“, en appelant à l’instauration du califat et à l’application de la charia en France, remet en cause le régime démocratique et les principes fondamentaux de la République française que sont la laïcité et le respect de la liberté individuelle; […] en incitant les musulmans à s’unir en vue de participer à une guerre civile présentée comme très probable et en préparant ses membres au combat et à la lutte armée, ce groupement a pour but d’attenter par la force à la forme républicaine du gouvernement. »

    Un mois plus tard, alors que le mois de mars venait d’être marqué par les attaques commises par Mohamed Merah, dix-neuf membres du groupe étaient arrêtés, parmi lesquels « l’émir » de Forzane Alizza, Mohammed Achamlane. Emprisonnés depuis lors, quinze d’entre eux seront donc jugés pour leurs projets terroristes.

    « Si Allah veut, nous serons de véritables moudjahiddines »

     

    Alors qu’Achamlane a toujours nié tout projet terroriste, le parquet lui reproche clairement, dans les réquisitions de renvoi, la création, l’organisation, l’animation d’un groupe « structuré » dont l’objectif était le « djihad armé ». Plus loquace dans ses interventions sur internet que devant les juges, Mohammed Achamlane, qui voulait se poser en vengeur des musulmans opprimés, avait notamment déclaré dans un enregistrement: « La violence dont les musulmans font l’objet chaque jour va se transformer en bain de sang si cela continue sur cette voie […]. Si Allah veut, nous serons de véritables moudjahiddines. »

    Beaucoup se moquaient de ce groupuscule folklorique et des outrances permanentes de son leader, et pourtant… Un ancien membre de Forsane Alizza a déclaré lors de l’enquête: « Toutes nos activités devaient nous permettre de nous préparer. Il y avait des armes. Et, oui, certains se préparaient précisément à les maîtriser. »

    Au domicile de l’émir comme lors des perquisitions effectuées chez d’autres suspects, de nombreuses armes ont été saisies, et des plans. Si les projets en étaient encore « au stade intellectuel », comme le précisent les magistrats, le leader de Forsane Alizza avait notamment envisagé l’enlèvement du magistrat lyonnaisAlbert Lévy, ou encore l’élimination de l’identitaire Fabrice Robert (voir notre entretien ci-dessous). Des recherches avaient aussi été effectuées sur l’animateur du site internet fdesouche.com, jugé lui aussi « islamophobe ». Moins grotesques que ce qu’ils laissaient paraître donc les islamistes de Forsane Alizza ? Assurément.

    Oumar Diaby, un Franco-Sénégalais ayant habité pendant des années à Nice, est l’un des principaux recruteurs pour le djihad en Syrie, côté Al-Qaida. Dans un entretien au « Nouvel Obs » en mars2014, il n’avait pas nié sa proximité passée avec Forsane Alizza tout en affirmant ne pas avoir été membre du groupe:« Je connaissais ces frères effectivement. Mais je ne faisais pas partie de leur organisation. »

    Combien de Diaby, et surtout de Kouachi, potentiels parmi les membres de Forsane Alizza? C’est devant un tribunal que nous pourrons aller chercher des réponses dans les mois qui viennent.

    Lionel Humbert

    Suite et interview

  • La Manif pour tous continue... sur France 2

    Un documentaire de 30 minutes sur une chaîne de service public. France 2 a envoyé une équipe dans une famille militante de 10 enfants mais aussi chez Jean-Pier Delaume, porte-parole de LMPT ou Fabien Bouglé, élu conseiller municipal à Versailles.

    Louise Tudy

  • Le danger du Traité Transatlantique: Arnaud Raffard de Brienne

    Arnaud Raffard de Brienne nous parle des dangers du Traité Transatlantique.(TTIP-TAFTA) C’était le 12 octobre 2014 à Rungis.

    Source: Agence Veritas Presse