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lobby - Page 1683

  • Les socialistes ne supportent pas la liberté d'expression

    Après s'être insurgés de la visite de parlementaires français en Syrie en février dernier, les socialistes protestent contre France 2 pour avoir interviewé le président syrien, Bachar Al-Assad (iciici et ici). David Pujadas qui a réalisé cet entretien, se défend :

    "(...) Bachar Al-Assad est l'une des parties prenantes d’un des conflits les plus dévastateurs de ces vingt dernières années. Nous avons un devoir d’information sur la Syrie, un devoir que nous exerçons très largement. France 2 est sans doute l'un des médias qui en fait le plus sur ce conflit, avec nos envoyés spéciaux. Dans ce cadre-là, pouvoir questionner Bachar Al-Assad est un exercice journalistique qui participe à l’information de nos téléspectateurs.

    Est-il irréprochable ? Sans doute non, chacun se fera son idée. Est-ce que cela veut dire qu’il ne faut pas l’interviewer ? Franchement, ce n’est pas mon idée du journalisme. Par contre, le contexte nous impose un devoir de distance et un mode de questionnement assez direct (...)

    Philippe Carhon

  • Politico, un nouvel outil d’influence de Washington débarque à Bruxelles

    L’un des médias les plus influents outre-Atlantique a ouvert son antenne bruxelloise. Politico, c’est côté pile un journalisme de qualité, fait de scoops et d’analyses pénétrantes. Côté face se cache une myriade de lettres professionnelles, autant d’agents d’influence au service des multinationales yankees et de l’ultralibéralisme.

    Le magazine en ligne qui fait trembler le Tout-Washington s’implante à Bruxelles.Politico, fort de ses huit ans d’existence, de ses 7 millions de visiteurs uniques mensuels, d’une version papier diffusée à 35 000 exemplaires et de ses 320 salariés va venir scruter et décrypter les arcanes de la politique européenne. Fondé en 2007 par deux signatures du service politique du prestigieux quotidien The Washington Post, John Harris et Jim VandeHei, le média s’est imposé par ses scoops, la qualité de ses informations et sa lettre matinale sur les coulisses de la politique américaine,Playbook, scrutée avec attention par toute la classe politico-médiatique américaine. La bonne nouvelle, c’est que l’on peut compter sur le professionnalisme et la qualité des journalistes recrutés par Politico pour nous dévoiler les coulisses de la Commission, que nos journalistes habituels laissent volontiers dans l’ombre, par ignorance ou complicité. D’ailleurs, l’ambition affichée du titre est de devenir la référence des décideurs européens et de détrôner ainsi The Financial Times.

    Journalisme de qualité… mais connoté “conservateur”

    La moins bonne nouvelle, c’est que Politico, bien qu’il s’en défende, est tout sauf neutre. La Maison-Blanche et des démocrates, régulièrement épinglés par la rédaction en savent quelque chose. Son PDG, Frederick J. Ryan, fut en effet un proche collaborateur de Ronald Reagan pendant toute sa carrière. Et la branche européenne du média est montée en collaboration avec le groupe de médias allemand Axel Springer, dont les titres phares, Die Welt et surtout Bild, sont classés du côté de la droite eurosceptique. De même, Ryan Heath, responsable du pendant bruxellois de Playbook, est un technocrate, ancien porte-parole l’ultralibérale néerlandaise Neelie Kroes, l’ex-commissaire responsable de la Concurrence puis du Numérique sous Barroso.

    Voilà pour le contexte politique, mais le plus gênant n’est pourtant pas encore là. En effet, Politico tire 40 % de ses revenus de lettres professionnelles, qui couvrent aux USA 14 secteurs, de l’agriculture, aux services financiers, en passant par les transports. La division européenne de Politico Pro proposera « trois thématiques, les mêmes qu’aux États-Unis à nos débuts : l’énergie, les technologies et la santé. Le prix d’un abonnement se situe en moyenne autour de 7000 dollars par an, en fonction du profil de l’abonné et du nombre de lecteurs », explique Shéhérazade Semsar, directrice générale de Politico Europe.

    Implanté à la demande des multinationales US

    Selon The Center for Responsive Politics, les lobbies ont dépensé outre-Atlantique 3,2 milliards de dollars l’an dernier afin d’influencer les décisions des élus. À Bruxelles, les trois plus grands lobbyistes sont actuellement Philip MorrisExxon Mobil et Microsoft. Est-ce un hasard si ces multinationales américaines travaillent justement dans les secteurs-clés cités par Shéhérazade Semsar ? « Ce sont nos abonnés, nos annonceurs qui nous ont demandé de venir nous installer ici », explique John Harris. Cela a le mérite d’être clair, les transnationales Yankees ont besoin de relais d’influence de ce côté de l’Atlantique. Politico se défend pourtant d’être un bras armé des groupes américains, ce qui reviendrait à se couper de la clientèle des grandes sociétés européennes.

    Mais, au-delà de la concurrence commerciale qu’ils se livrent, les objectifs stratégiques de ces groupes transnationaux diffèrent-ils ? Qu’ils soient basés sur les rives du Pacifique, de ce côté de l’Atlantique ou de l’autre, tous visent à saper les identités et les réglementations nationales qui constituent autant de barrières au grand marché mondial composé d’individus acculturés, hors-sol, malléables aux sirènes de la consommation à outrance. À l’heure des négociations sur le projet de traité de libre-échange transatlantique (TTIP) entre les États-Unis et l’Union européenne, qui vise à harmoniser (sur des bases américaines) les normes relatives aux exportations, droits de douane ou à la résolution de conflits commerciaux devant des tribunaux, l’arrivée de cet agent d’influence majeur de l’ultralibéralisme américain ne doit laisser personne indifférent.

    http://fr.novopress.info/186139/nouvel-outil-dinfluence-washington-debarque-bruxelles/

  • Najat accentue la guerre contre les pauvres

    But : leur interdire l’accès au savoir et les enfermer dans un ghetto d’études longues ou courtes qui ne débouchent que sur du vide.

    Disons tout net : si les classes bourgeoises supérieures avaient sournoisement comploté afin que leurs rejetons trustent l’ensemble des métiers rémunérateurs et soient débarrassés de toute concurrence venant d’enfants d’origine modeste, elles auraient préconisé la même politique scolaire que celle que l’on suit actuellement ! Droite et gauche mènent depuis des décennies, sans en avoir conscience, une guerre implacable contre les pauvres.

    Leur but : leur interdire l’accès au savoir et les enfermer dans un ghetto d’études longues ou courtes qui ne débouchent que sur du vide. Mme Belkacem est pétrie de bonnes intentions mais son plan n’est que l’ultime avatar d’une politique amorcée par M. Haby. Les dernières poches d’excellence au collège – classes européennes, internationales – vont être liquidées. Le privé élèvera une ultime digue contre le nivellement par le bas mais la pression qu’il endurera afin qu’il se « normalise » sera terrible : ! De plus, les places dans le privé sont limitées à 20 % du total alors que 40 % des parents voudraient y inscrire leurs enfants !

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  • Des féministes font retirer un carnet de santé « sexiste », 33.000 euros à la poubelle

     La bêtise féministe n’a décidément aucune limite…

    Le visuel de la première page du carnet de santé remis aux parents dans les maternités des Bouches-du-Rhône a provoqué une levée de bouclier : on y voit une petite fille inquiète pour son tour de taille et un petit garçon ravi de se mesurer… Verdict : les féministes l’ont jugé « sexiste ».

    Résultat : Tous les carnets de santé vont être réédités.

    « Le coût de chaque carnet est d’un euro, comme nous éditons environ 33.000 exemplaires chaque année, le coût de cette réédition est de 33.000 euros », indique une porte parole du Conseil départemental qui souligne que le carnet a été validé par le précédent exécutif. 33.000 euros à la poubelle, pour satisfaire la bêtise totalitaire de quelques hystériques…

    http://www.contre-info.com/

     

  • Réforme du collège : la novlangue obligatoire

    Les nouveaux programmes scolaires dévoilés le 13 avril sont riches en jargon pédagogiste estime Julia Sereni. Elle y voit le produit d’une idéologie qui s’attaque à la transmission du savoir.

     

    « Aller de soi et de l’ici vers l’autre et l’ailleurs ». Non, ce n’est pas le titre de la brochure d’une secte post-Raélienne mais bien celui des nouveaux programmes de collège pour les langues étrangères et régionales (cycle 4, page 17). Ce jargon « pédagogiste » fait son grand retour dans les nouveaux programmes scolaires pour l’école primaire et le collège.

    Ainsi, dans la section consacrée à l’éducation physique et sportive le lecteur apprend avec bonheur que l’élève ne nage pas, non, il « traverse l’eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête » (page 22). Pas question non plus de s’adonner à de vulgaires jeux de raquettes, l’objectif c’est de « rechercher le gain d’un duel médié par une balle ou un volant » (page 23). Toujours dans cette section l’élève est invité lors des activités de combat à « vaincre un adversaire en lui imposant une domination corporelle symbolique et codifée ». Une prose digne des plus belles pages de Cinquante nuances de Grey.

    Au-delà de ces citations absconses qui amusent et inquiètent les réseaux sociaux, ces programmes sont le révélateur d’une réalité bien plus inquiétante : la déconnexion consommée entre ceux qui les rédigent et les autres, qui les subissent au quotidien. En effet, comment ne pas s’inquiéter du fait que personne, au sein du conseil supérieur des programmes, n’ait perçu le caractère risible des intitulés et la vacuité du vocabulaire employé ?

    Choix conscient ou non, l’emploi d’une telle novlangue est par essence le produit d’une idéologie déréalisante, c’est également un moyen de tenir à l’écart les parents en rendant, par l’utilisation d’un charabia scientiste, extrêmement compliqué ce qui pourrait être simple et clair. Au fond, les programmes sont réalisés non pas pour les élèves et les enseignants, mais bien au nom d’une certaine conception du système éducatif, d’une certaine idée de l’enfant. [....]

    La suite dans le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Reforme-du-college-la-novlangue

  • Cet ignare de François Fillon

    Voilà ce que l'ancien Premier ministre a osé twitter :

    En 1940, l'URSS était alliée d'Adolf Hitler et en France, les communistes sabotaient les usines d'armement avant l'armistice et, au lendemain de l'armistice ils demandaient aux nazis le droit de faire paraître L'Humanité.

    Ce n’est que le 22 juin 1941, lorsque l’Allemagne lance l’opération Barbossa destinée à envahir l’URSS, que ce pacte germano-soviétique prend fin.

    Add : François Fillon vient de supprimer son tweet. Copie :

    CDI0ZEwWMAIyXOZ

    Michel Janva

  • RSA : l’échec sanglant de la société « post raciale »

    En Afrique du Sud, les dernières violences « xénophobes » ont pris une telle ampleur que le Malawi a décidé d’évacuer ses ressortissants et que le Mozambique a demandé fermement aux autorités sud-africaines d’assurer la protection de ses nationaux. Quant au président Zuma, il vient d’annuler une visite officielle à l’étranger afin de suivre l’évolution de la situation.

    « Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. »

    Un peu partout dans le pays, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les immigrés africains, qu’ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou encore Nigérians, sont en effet pris pour cibles, lynchés ou forcés à se réfugier dans les camps militaires cependant que leurs biens sont systématiquement pillés. Au Natal, les pogroms ont été encouragés par le roi des Zulu et ailleurs dans le pays par le propre fils du président Zuma… Dans la « nation arc-en-ciel », au pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent donc d’autres Noirs, et qui plus est, des Noirs immigrés… Voilà de quoi déstabiliser les bonnes âmes qui pensaient, la main sur le cœur et abreuvées de certitudes morales, qu’une fois le régime blanc d’apartheid balayé, les fontaines sud-africaines allaient laisser couler le lait et le miel de la société post-raciale…

    Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. Le réel est en effet de retour – une fois de plus et comme toujours –, balayant au passage le mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel » fraternelle et ouverte au monde.

    Dans un pays où le chômage touche environ 40% des actifs et où le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994, dans un pays où 18 millions de Noirs, sur une population de 53 millions d’habitants, ne survivent que grâce aux aides sociales, le Social Grant, quoi d’étonnant à ce qu’éclatent des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres ?

    L’échec économique sud-africain est en effet total ; je développe ce point dans le chapitre IV de mon dernier livre Osons dire la vérité à l’Afrique. Selon le Rapport économique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), l’Afrique du Sud s’est en effet classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland.

    Pris dans la nasse de ses propres mensonges, de ses prévarications, de ses insuffisances, le parti gouvernemental, l’ANC – le parti de Nelson Mandela –, ne pourra pas éternellement mettre en accusation le « régime d’apartheid » afin de tenter de dégager ses responsabilités dans la faillite de ce qui fut un pays prospère.

    D’autant plus qu’en Afrique du Sud, une presse libre existe. Et elle ne se prive pas d’écrire qu’en deux décennies, l’ANC a dilapidé le colossal héritage laissé par le régime blanc et a transformé le pays en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité encore en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits.

    En France, faire un tel constat est considéré comme une insulte à la Nation arc-en-ciel et à la mémoire de Nelson Mandela.

    Bernard Lugan, 18/04/2015

    Source : L’afrique réelle – Bernard Lugan

    http://www.polemia.com/rsa-lechec-sanglant-de-la-societe-post-raciale-4/

  • Qui osera dire la vérité ? Qui veut gagner des millions sur le dos des Français?

    Entreprise de sidération, falsification sur fond de repentance et de masochisme: la guerre menée contre les peuples européens par la pensée dominante se vérifie encore après le dernier  terrible naufrage de centaines de clandestins en Méditerranée. La faute à l’Europe, à son égoïsme, à son indifférence, à son refus de l’autre martèlent les bonnes âmes. La faute surtout à la déstabilisation terroriste de nombreux Etats africains, à la misère, et bien sûr à un manque de fermeté et de moyens  dans la lutte contre les trafiquants, à une surveillance défectueuse des frontières. Alors que les Français et plus largement les peuples européens sont  très majoritairement  fermement opposés à toute nouvelle immigration massive, « nos » dirigeants (pro)bruxellois discutent de l’application de «quotas» de réfugiés dans chacun des 28 pays de l’UE. Cela sera évoqué lors du sommet européen extraordinaire qui se tiendra jeudi soir. Le secrétaire d’État aux affaires européennes, Harlem Désir, a demandé hier que les clandestins rescapés soient dispersés et  «accueillis dans l’ensemble des pays de l’UE». Rappelons que l’opération de secours organisée par l’Italie de migrants en Méditerranée, baptisée Mare Nostrum,  a permis de sauver 170 000 personnes en 2014. Clandestins qui  n’ont pas été renvoyés, sont restés en Europe et dont l’exemple sert d’argument aux mafias de passeurs sans scrupules,  et qui alimente  les espoirs de dizaines de millions de candidats au départ vers les pays  européens, en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie…Pas toujours d’ailleurs dans un climat serein entre « damnés de la terre ». Si l’État islamique (EI) a diffusé dimanche une vidéo montrant l’égorgement en Libye  d’au moins 28 chrétiens Éthiopiens (futurs migrants vers l’Europe?),  il a été rapporté la semaine dernière qu’une quinzaine d’immigrés africains mahométans sont accusés d’avoir jeté par-dessus bord en pleine Méditerranée douze autres  réfugiés chrétiens…

     La vérité effraye médias et politiciens bien pensants qui s’emploient toujours à maquiller la réalité pour la rendre compatible avec leurs objectifs et leurs idéologie progressiste, mais aussi  à réécrire pareillement l’histoire sous un angle souvent «négationniste», ne reculant devant aucune falsification.

    Nous l’avons vu encore dimanche avec le « voyage mémoriel »  de Jean-Marc Todeschini, ministre des Anciens Combattants , à Sétif (Algérie),  pour commémorer le 70ème anniversaire ce que le FLN appelle « le massacre de Sétif », le 8 mai 1945.

    En l’espèce non pas tant une manifestation qui a dégénéré mais une insurrection qui fut planifiée. Celle-ci a été certes, très durement réprimée, selon les vœux du général De Gaulle. Ce dernier pointa  les connexions existant entre ce soulèvement et les émeutes de  Damas en Syrie, y voyant la main  des services secrets britanniques, et plus largement, des Etats-Unis lancés dans une entreprise de déstabilisation de l’empire français. C’est dans ce contexte que  le cheikh Chekib Arslan, un  libanais sympathisant des Frères musulmans, lié à Messali Hadj,  chef du Parti Populaire Algérien,  lança  officiellement un appel à tous les musulmans du Levant  et du Maghreb pour combattre les  « infidèles » au nom du djihad. Un appel qui fut entendu à Sétif.

     La légende veut que 45 000 Algériens aient été alors exécutés par les Français le 8 mai 1945 et dans les semaines qui ont suivi, un mythe lancé par la radio du Caire, repris sans vérification par tous les grands médias. Un chiffre visant à frapper les esprits mais que ne vient corroborer la découverte d’aucun charnier, chiffre ramené entre 7000 et  8000 victimes par certains « historiens », estimation qui  restent elle aussi toute aussi invérifiable . Quant à la commission d’enquête mise en place par De Gaulle et réunissant le cadi de Tlemcen, le général de gendarmerie Tubert,  un résistant communiste et un avocat général, elle a évoqué environ 1500 victimes chez les insurgés. Insurgés qui assassinèrent  103  européens  (dont des femmes  violées, mutilées, des hommes  éventrés,  émasculés… )  et liquidèrent  800 musulmans fidèles aux autorités françaises.

     Ambassadeur de France à Alger,Hubert Colin de Verdière, lors d’une visite à Sétif, le 27 février 2005, avait qualifié  les «massacres du 8 mai 1945» de «tragédie inexcusable, à la suite d’un climat de peur, de manifestations», propos tenus à peu près dans les mêmes termes par Michel Barnier le 8 mai 2005. Le successeur de M. Colin de Verdière, Bernard Bajolet, affirmait pour sa part,  à Guelma en avril 2008, que «le temps de la dénégation des massacres perpétrés par la colonisation en Algérie est terminé». Quant à François Hollande lors de son voyage à Alger en décembre 2012, il  s’était engagé à ce que la France procède à la reconnaissance des crimes coloniaux, évoquant  « les souffrances de la colonisation »

     Bruno Gollnisch l’a dit,  il faut viser à établir les meilleurs relations possibles avec l’Algérie. Ce qui n’est pas chsoe aisée avec les  dirigeants du FLN au pouvoir qui  instrumentalisent à des fins politiciennes  une guerre d’indépendance très mythifiée, et instillent à sa population depuis des décennies une propagande anti française censée occulter leur incapacité  à assurer la prospérité des Algériens. Et  il ne s’agit pas de nier les aspects les plus problématiques, voire condamnables de la colonisation  française qui peut, qui doit  être passée au crible d’une critique de droite, intelligente et fondée, que nous avons relayé sur ce blogue.

     Pour autant, les mensonges,  la flagellation antifrançaise systématique, quasi obligatoire,  les insultes faites aux pieds-noirs, la repentance  a sens unique, la vision véhiculée d’une  France de Français systématiquement coupables, sont proprement insupportables et intolérables. Il serait donc totalement légitime  que le gouvernement algérien fasse aussi un geste de normalisation de nos relations, d’apaisement et de réconciliation en condamnant les attentats, les tueries, les tortures  de civils français aussi bien avant qu’après les accords d’Evian et  bien sûr les massacres de harkis. On ne peut bâtir une relation saine et solide sur le mensonge et le ressentiment.

     Une vérité que ferait bien de méditer dans un registre différent Manuel Valls, lui qui  lancé vendredi dernier un plan de lutte  contre le racisme et l’antisémitisme doté de 100 millions d’euros. De  quoi réjouir  les gamellards des officines dites antiracistes et autres supplétifs de la  police de la pensée,  les copains des agences de  com et de publicité,  tous bénéficiaires directs ou indirects depuis des années de la générosité des gouvernements UMPS…avec l’argent des contribuables français.

    M. Valls a dit vouloir faire face à la hausse « insupportable» des actes racistes en France. « Le racisme, l’antisémitisme, la haine des musulmans, des étrangers, l’homophobie augmentent de manière insupportable dans notre pays ». Selon Gilles Clavreul, le délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme,  les 100 millions serviront à une « grande compagne de communication », à des actions au niveau local ;  25 millions seront engloutis chaque année au profit d’actions menées (par des associations amies)  dans le cadre de la politique d’immigration, dite « politique  de la ville ».

     Bruno Gollnisch constate que les grands oubliés de ce plan contre le racisme sont encore une fois les autochtones Français et les Chrétiens, pourtant  premières victimes dudit racisme.  Français de souche désignés implicitement comme intolérants, racistes, rétifs à l’immigration et qu’il s’agit de mater. Manuel Valls l’a  affirmé à  la télévision portugaise, nous l‘évoquions: «La France possède l’arme nucléaire, il est hors de question que ce pays (sic) tombe entre les mains du Front National ». Bref si l’opposition patriotique  remportait la présidentielle, elle serait  annulée.

     Une menace directe que le  Premier ministre a réitéré vendredi : « Dans une France travaillée par le populisme, notre devoir est d’organiser le sursaut ». Sursaut d’un Système qui vacille, d’une idéologie antiraciste dont la nature illégitime, nocive et  inquiétante  se révèle chaque jour davantage aux yeux de nos compatriotes.

    http://gollnisch.com/2015/04/21/qui-osera-dire-la-verite-qui-veut-gagner-des-millions-sur-le-dos-des-francais/

  • Immigration clandestine : Michel Barnier veut accueillir plus de réfugiés en France. L’Australie préconise la fermeté !

    Michel Barnier était face à Michèle Cotta, Arlette Chabot et Serge July dans “Le Club de la Presse” lundi soir sur Europe 1.

    Réagissant aux derniers naufrages d’immigrés clandestins en Méditerranée, Michel Barnier considère que pour – régler le problème -, il suffirait d’ouvrir encore plus nos frontières :

    Il faudra accueillir plus de réfugiés en France

    De son côté, l’ONU semble sur la même longueur d’onde en suggérant d’accepter l’invasion migratoire et le Grand Remplacement aux Européens. En effet, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, a lourdement critiqué lundi les politiques migratoires “cyniques” de l’Union européenne :”L’Europe tourne le dos à certains des migrants les plus vulnérables dans le monde, et risque de transformer la Méditerranée en un vaste cimetière“.

    Pour sa part, le Premier ministre australien Tony Abbott a conseillé mardi à l’UE de suivre l’exemple de son pays et de refouler tous les migrants arrivés par la mer.

    Tony Abbott a exhorté l’UE a faire preuve de fermeté :

    Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d’atteindre l’Europe depuis l’Afrique. Le seul moyen d’empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l’arrivée) des bateaux (…) Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d’êtres humains en Méditerranée.


    Michel Barnier Sur dans "Le club de la presse… par Europe1fr

    http://fr.novopress.info/186117/immigres-clandestins-michel-barnier-veut-accueillir-refugies-en-france-laustralie-preconise-fermete/