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lobby - Page 1687

  • On combat Daech en Irak mais pas en Syrie

    Serait-il si choquant d'admettre qu'Assad dorénavant "n'est plus notre adversaire" ?

    Antigone n’a pas sa place en Syrie.

    À dire vrai, dans le monde d’aujourd’hui, Antigone n’a plus sa place nulle part.

    Deux députés et deux sénateurs français se sont rendus en Syrie et, comme il était prévisible, leur visite qui n’avait pas de caractère officiel a été exploitée par le pouvoir de Bachar el-Assad. Celui-ci les a reçus durant une heure, dans un très bon climat, paraît-il.

    L’initiative de ce quatuor a été, à quelques exceptions près, vivement critiquée en France. Le PS, jamais en reste d’une bêtise, promet des sanctions. Le président de la République – on ne rencontre pas « un dictateur » ! – et le Premier ministre l’ont condamnée et le pouvoir a regretté une brèche dans la cohérence de sa politique internationale (Le Monde).

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  • La valse à trois temps des umpéistes – par NOBELINE

    C’est une valse à trois temps que dansent les « umpéistes » aujourd’hui. D’autres auraient dit qu’ils ont le cul entre deux chaises -  ben non, entre trois chaises, s’il vous plait !

    - Les départementales prochaines sur fond de présidentielle;

    - Le front républicain;

    - Les attentats terroristes des musulmans extrémistes.

    Ça fait beaucoup pour une bande de politiques désorganisés en mal de reconnaissance.n

    Comme le Doubs et l’élection d’un député ne suffisaient pas à leur tourment, vient s’ajouter un énième « coulibaly-coulibalot » (voir la vidéo) récemment repéré par la DGSI, contrôlé par la police aux frontières (en Corse !) mais laissé libre d’attenter à la vie de nos jeunes soldats… vigipirates en plein centre de Nice.

    Alors, quand un horrible Juppé dont on sait qu’il brigue la plus haute fonction de l’État, en 2017, assène qu’il voterait PS (ndlr: dans le Doubs), vous vous demandez ce qu’il adviendrait de nous, pauvres hères, si ces danseurs venaient à être élus… et vous avez raison.

    Le « padamalgame » qu’ils n’ont cessé de nous crier, depuis le dernier attentat des musulmans extrémistes à Paris, n’est encore pas assourdi qu’un autre type de la même engeance nous nargue sur le territoire et leur prouve qu’ils ont bien l’intention de continuer à perpétrer leurs barbarie.

    Mais qu’à cela ne tienne, ils se doivent de faire barrage au Front National, dussions-nous périr aux quatre coins de l’hexagone sous les coups de barbares musulmans « francisés ».

    Les socialistes, d’une même voix, appellent au front républicain. Les « umpéistes » se tâtent et… se divisent sans toutefois prendre une véritable position en faveur de la vraie République. En effet, comment pourraient-ils écarter de celle-ci les 30 pour cents de Français bien républicains, eux, qui se prononcent en faveur d’un front -fut-il bleu marine- et demander dans un mois de leur confier les rênes du pouvoir aux députations ?

    Alors, ils dansent. Mais ça ressemble plus à une danse du ventre qu’à une valse.

    S’ils prennent position contre le PS, ils se privent des voix des musulmans « de France ».

    S’ils font comme leur mentor Juppé et l’autre palois du Modem, ils se priveront définitivement des bons citoyens français excédés, surtout s’ils sont de droite, par la gouvernance désastreuse des socialistes.

    Dans ce dilemme, l’homme qui se voulait de la situation se tait. Le silence est d’or ! Sauf… qu’il a répondu présent à l’appel du socialiste président pour défiler à ses côtés le 11 janvier dernier et qu’en acceptant de s’unir à ce front républicain, il a de facto exclu les citoyens  d’une autre idéologie que la sienne (que la leur !...). Et qu’il ne peut, à quelques jours d’intervalle, rejeter cette alliance qu’il a faite avec Hollande sous peine de passer pour un guignol.

    Alors, c’est bien plus qu’un dilemme pour Sarkozy. Il peut bien se taire, aujourd’hui, il a déjà répondu aux Français ce fameux dimanche.

    En attendant, ces gens-là nous donnent une bien piètre définition de la République et une encore bien moins belle de la Démocratie. Les va-et-vient des « umpéistes » n’ont d’égal que l’incompétence des socialistes.

    Souffrez Mesdames et Messieurs, que nous pensions différemment de vous.

    Et, quand vous parlerez à nouveau de front républicain, ayez l’obligeance de compter avec nous. Laissez-nous nous exprimer, démocratiquement, par le vote et choisir qui nous semblera bon sans nous envahir, par media interposés, d’inutiles conseils alarmistes quand vous laissez, librement, les terroristes tuer les Français dans nos rues.

    http://www.francepresseinfos.com/2015/02/la-valse-trois-temps-des-umpeistes-par.html

  • Le Parlement européen confie la politique d’immigration à Kyenge Kashetu

    Elle est l’emblème et la figure de proue du Grand Remplacement en Italie et en Europe. L’Italo-congolaise Cécile Kyenge Kashetu (photo), ancien ministre de l’intégration du gouvernement de gauche d’Enrico Letta, est désormais député européen.

    L’ardoise de 54.000 euros en voyages et restaurants qu’elle avait laissée en quittant le gouvernement italien, ses courses avec voiture officielle et gardes du corps dans les boutiques chic de Rome, tout cela a été recouvert d’un voile pudique. Kyenge est plus que jamais une grande autorité morale. Au Parlement européen, elle s’est immédiatement mise à militer pour « une approche prenant en compte le sauvetage des centaines de milliers de personnes tentant d’accoster aux frontières de son continent d’adoption » – car, à l’en croire, Mare nostrum et « Triton » n’allaient pas encore assez loin. Au début du mois, dans un entretien à Jeune Afrique, depuis son luxueux bureau bruxellois « égayé des couleurs mozambicaines de son canapé », elle rappelait son programme, qui est toujours le même : « Il faut ouvrir les frontières, ne pas remettre en cause l’espace Schengen et investir sur l’intégration ».

    On comprend l’émoi causé en Italie à l’annonce que le Parlement européen vient de faire de Kyenge un des deux rapporteurs (avec la Maltaise Roberta Metsola) du « rapport d’initiative stratégique sur la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’Union européenne vis-à-vis des migrations ». Ce rapport « conduira dans les prochains mois à l’approbation d’une résolution qui constituera la position officielle du Parlement européen sur l’immigration ».

     

    L’intéressée s’est félicitée de cette nomination « intervenue à une large majorité des députés européens ». « Nous devons, a-t-elle précisé, dépasser l’approche en termes d’urgence selon laquelle le sujet a toujours été abordé jusqu’ici. Le flux des migrants qui traversent les frontières sud de l’Europe est un fait structurel et transnational […] qui doit être abordé en mettant au centre avant tout la défense de la vie humaine ».

    « Fait structurel », c’est-à-dire permanent ; « défense de la vie humaine », comprenez remorquage des bateaux de clandestins jusqu’aux côtes italiennes. Le quotidien Il Giornale commente avec raison : « Pendant que Kyenge étudie ses dossiers, les passeurs font déjà la fête. 2015 sera encore pour eux une année en or ».

    http://fr.novopress.info/183098/parlement-europeen-confie-politique-dimmigration-kyenge-kashetu/#more-183098

  • Le courant LMPT gagne en influence

    Le politologue Gaël Brustier, auteur de le Mai 68 conservateur. Que restera-t-il de la Manif pour tous ? est interrogé dans Libération, suite à la présentation par La Manif Pour Tous de sa charte pour le prochain scrutin départemental. Extrait :

    "La mobilisation contre le mariage homosexuel a donné naissance à un mouvement conservateur, dont une des stratégies consiste à prendre à témoin les candidats au moment des élections, notamment par le biais de chartes. [...] Ce n’est pas étonnant qu’elle s’investisse dans cette campagne. Les compétences des conseils généraux (aide à l’enfance, handicap, planification familiale…) entrent dans ses radars. Son objectif est de porter sa vision conservatrice du monde, par exemple sur des thèmes comme l’adoption ou l’IVG. L’écologie humaine, telle qu’elle est portée par ce mouvement, est en contradiction flagrante avec les valeurs défendues par les travailleurs sociaux qui œuvrent dans le domaine de la planification familiale, par exemple.

    La Manif pour tous a-t-elle rempli un vide politique ?

    Elle bénéficie des difficultés de recrutement de cadres dans les partis politiques traditionnels. Ses militants les plus impliqués vont à Sens commun, les autres lisent les publications comme le Salon beige, les Nouvelles de France. Mais la Manif pour tous affiche surtout une dimension très locale. Elle a permis à des gens d’entrer dans le militantisme politique. Ils se sentent très investis par la diffusion de ces idées dans leur champ de compétences. En revanche, les têtes d’affiche nationales, Ludovine de la Rochère ou Tugdual Derville, ne sont pas faits pour les élections. Ils sont investis dans la société civile, mais pas taillés pour la vie politique partisane classique. [...]

    Ce courant est-il majoritaire à droite ?

    Loin de là. Mais il est beaucoup plus influent qu’avant. La dernière mobilisation nationale de la Manif pour tous, contre la GPA, a tout de même rassemblé 120 000 personnes. Soit les mêmes effectifs que la plus grosse manif contre le Pacs. C’est dire que ce mouvement a acquis une force de mobilisation, un réseau de sympathisants qui peuvent irradier sur la société et ont la capacité d’imprégner le débat public."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • TVL : Les coulisses du voyage de 4 parlementaires en Syrie

  • Combattre la christianophobie d’État

    La profanation régulière des tombes chrétiennes et le saccage répétitif du mobilier liturgique de nos églises - en des proportions bien plus considérables que les actes de vandalisme dont sont régulièrement victimes les autres confessions - n’alarment plus personne en haut lieu.

    Perpétuellement campé aux abonnés absents lorsqu’il s’agit de défendre les minorités chrétiennes persécutées en terre d’islam, au point de taire la religion chrétienne des 21 Égyptiens décapités en Libye par les barbares de l’État islamique, le gouvernement de François Hollande manifeste, avec la complicité de nos élites politico-médiatiques, une sourde hostilité à l’égard du fait chrétien en France.

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  • La France plus efficace contre la liberté que contre le terrorisme

    Lu sur Liberté politique :

    Unknown-13"Le blocage administratif, sans juge, des sites Internet ne passe pas à l’étranger. C’est l’objet d’un décret du gouvernement socialiste du 6 février dernier, concernant les sites « provoquant à des actes de terrorisme ou en faisant l’apologie », qui fait réagir.

    Divers médias étrangers pointent du doigt cette mesure, vue comme plus efficace contre la liberté d’expression que contre les terroristes. Ainsi le Guardian du 9 février, journal britannique plutôt classé à gauche, critique la censure administrative, qui «trahit la séparation des pouvoirs en limitant ce qui est la première liberté en démocratie, la liberté d’expression ».

    Selon PandoDaily, site d’analyse des nouvelles technologies, « c’est l’ironie malheureuse des attaques contre Charlie Hebdo : la tentative pour faire taire un magazine devenu un symbole de la liberté d’expression a conduit à de nouvelles lois en France et au Royaume Uni qui musellent le discours en ligne par la censure »."

    Michel Janva

  • Cazeneuve + islam de France = 2 nouveaux machins

    Les attentats des 7, 8 et 9 janvier ont eu concrètement deux conséquences. Celle, pour Charlie Hebdo, de renflouer sa trésorerie de façon spectaculaire (10 à 12 millions d’euros) par la vente à 8 millions d’exemplaires de son numéro post-attaques islamiques ; et celle, pour l’islam – au nom duquel 17 personnes ont été assassinées – de trouver en Bernard Cazeneuve son meilleur supporter.
    En Conseil des ministres du 25 février, l’heure était grave. Des assassins tuent des caricaturistes de religions et des juifs au nom d’Allah ? Renforçons la sécurité de la communauté musulmane et améliorons la promotion de l’islam de France. Logique. « L’islam, ce n’est pas ça », mais c’est pourtant à cause de « ça » que les contribuables vont payer. Et le ministre de l’Intérieur de nous pondre un plan de communication (un nouveau machin) qui se décline en cinq volets.
    Le premier : des musulmans font feu sur des non-musulmans ? Vite, dépêchons la police, les gendarmes ou les militaires aux abord des mosquées. Allouons des crédits pour des systèmes de vidéo-surveillance des lieux les plus menacés. Lesquels ? Où ? Par qui ? Bernard Cazeneuve a oublié de nous expliquer…
    Le second volet de communication, c’est « le dialogue ». Évidemment ! Insuffisante, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) créée en 1983 ? Inefficace, le Conseil français du culte musulman (CFCM) ? Improductifs, les Jeunes musulmans de France (JMF), les Étudiants musulmans de France (EMF), les Comités de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF), Rassemblement des musulmans de France (RMF) et autres Fédération nationale des musulmans de France (FNMF) ?
    Ben oui. Bernard Cazeneuve va donc créer une « nouvelle instance de dialogue » qui sera constituée du CFCM, mais aussi « de toutes les associations qui souhaiteront la rejoindre ». Dispensées d’obligation, les associations ? Mais alors, à quoi ça sert, une instance de dialogue, si le CFCM n’a personne avec qui dialoguer ?
    Troisième volet, l’extension à douze facultés contre six actuellement dans la formation des imams. Qui apprendront la sociologie comparée, l’histoire des religions et les valeurs républicaines. Coran et République ? Coran et Constitution ? De quoi rendre fous les futurs imams tout comme le personnel des établissements scolaires musulmans hors contrat – objets du cinquième volet.
    Et concernant les aumôniers musulmans, leur formation « pourrait devenir obligatoire ». 400 aumôniers préconisés par Dominique Raimbourg, en 2014, contre 150 actuellement qui ne bénéficieraient pas d’un enseignement « républicain et laïque », ce n’est pas rassurant !
    Quatrième volet : une « nouvelle instance » , c’est bien, mais créer une Fondation de l’islam de France, c’est mieux. C’est qu’il faut « promouvoir l’islam » et « dynamiser les recherches » parce que « l’islam ne fait pas l’objet d’études comme il le devrait, compte tenu de son importance », souligne un proche de Cazeneuve. Pas d’avenir pour la France sans islam en France, c’est ce qu’on comprend.
    « À quelque chose malheur est bon », dit le proverbe. Force est de constater que les attentats de janvier ont boosté comme jamais – en terme de promotion – la première religion de France. Sous cet angle comme sous celui des malheurs engendrés, au train où est lancée l’islamisation définitive de la France, il ne reste plus qu’à espérer un peu de répit en ne subissant plus d’attentats

    Caroline Artus Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/d_france/EukVpEulAVqSgQdUEB.shtml