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  • Le grand remplacement c’est près de chez vous ! (Présent 8303)

    A lire les journaux, c’est à se demander si les migrants clandestins ne commenceraient pas leur propre tour de France. Un peu partout, nous voyons fleurir des titres indiquant la nouvelle « étape » de ces originaires en grande majorité du Soudan et de la Corne d’Afrique. Pour nous, c’est mission « désengorgement du port de Calais » et pour eux, c’est destination Bourgogne, Pouilly-en-Auxois plus exactement.

    Le grand remplacement c’est près de chez vous ! (Présent 8303)L’AFP nous a délivré une dépêche dont elle a le secret, propre à nous émouvoir et à nous rassurer : « Braves gens, dormez sur vos deux oreilles, ils sont très gentils et polis. Il ne se passera rien. » Un modèle du genre pour faire passer la pilule auprès des habitants de cette petite commune de 1 600 habitants.

    Pouilly-en-Auxois

    Sauf qu’on ne peut pas oublier d’où vient cette soixantaine de « primo-arrivants » (magnifique terme officiel qui n’arrive pas à dissimuler que ce n’est qu’un début) : de Calais, où la population est ulcérée de la violence et de la délinquance qui règnent dans la ville depuis que plus de 2 000 migrants y attendent de pouvoir passer en Angleterre, soi-disant le nouvel Eldorado. Agressions, viols, vols, batailles rangées entre différentes ethnies, les Calaisiens étouffent littéralement dans un tel climat délétère. Pouilly-en-Auxois va-t-elle subir la même chose ?

    Ils sont arrivés en bus et ont pris possession d’une ancienne caserne de gendarmerie. Ce seront trois vagues successives qui vont arriver en tout. Nadine est lucide : « Avant de penser aux immigrés, bon, je suis pas raciste, mais avant de penser à eux, il y a des Français qui sont dans la rue, qui sont sans logement, sans rien, on fait rien pour eux. » Eh oui, le slogan « Les nôtres avant les autres » n’est réservé qu’aux méchants identitaires et est condamné d’avance.

     

    Heureusement pour la démocratie que Gaëlle vient tempérer la vilaine Française de souche (comme dirait notre Président normal inféodé au CRIF) : « Ils peuvent amener un petit peu de vie, faire marcher mieux les commerces. Faut pas crier au loup avant qu’il ait mordu. » Le maire sans étiquette, Bernard Milloir, a déjà reçu selon lui de nombreuses insultes, mais garde « l’espoir que ça se passe bien et que l’inquiétude soit levée ». On leur souhaite à tous bon courage pour les mois à venir…

    Soyons réalistes, l’AFP nous serine de doux mots tels qu’« humanité », « vivre-ensemble », « asile », « espoir » dans le seul but de cacher l’effroyable vérité telle qu’on peut la voir dans la « jungle » à Calais. L’histoire est un éternel recommencement. Ces migrants vont se sentir tellement bien en Bourgogne qu’ils y resteront. Et quand on sait que pas moins d’une vingtaine de départements ont fait des propositions pour créer des places d’accueil temporaire, on se dit que le tour de France des clandestins va connaître de nouvelles étapes qui, elles, seront définitives.

    Pouilly-en-Auxois ou comment l’Etat mène le Grand Remplacement dans nos campagnes avec nos sous !

    Louis Pasquerel

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    http://fr.novopress.info/183034/grand-remplacement-cest-pres-chez-present-8303/

  • L’Union européenne et l’Ukraine : soumission atlantiste ou affirmation continentale ?

    Le conflit s’est installé et il a des conséquences géopolitiques majeures pour l’Europe.

    Inutile de s’interroger sur les responsabilités des uns et des autres dans le déclenchement des hostilités en Ukraine. Elles sont, à l’évidence, partagées. Le conflit s’est installé et il a des conséquences géopolitiques majeures pour l’Europe. À la différence de ce qu’il s’est passé naguère en ex-Yougoslavie, il est essentiel que, cette fois, ce conflit soit résolu par les Européens eux-mêmes, en fonction de leurs propres intérêts. Ces intérêts vont dans le sens d’une communauté de vision géopolitique et d’un partenariat entre une Europe « continentale » ou « péninsulaire » et une Russie eurasiatique. S’agissant d’une Union européenne, très inhibée dans ce domaine, ces préoccupations géopolitiques n’entraient pas, jusqu’alors, dans son champ de vision.

    Survenant au cœur de l’Europe à l’intersection de deux espaces, tête de pont pour les uns, marche ou glacis pour les autres, le conflit ukrainien imposait la prise en compte de cette dimension géopolitique. Par une de ces heureuses surprises de l’Histoire, la France, l’Allemagne et la Russie ont su imposer à Kiev, en tenant à distance les Américains, un accord de cessez-le-feu. Celui-ci est précaire, mais il semble tenir pour le moment.

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  • Dîner du CRIF : les contribuables ont financé les places à hauteur de 528 euros par personne !

    Le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions juives de France) est l’une des structures les plus puissantes de France. Tous les politiciens, hommes d’influence, ministres et même chefs d’Etat de notre (?) nation se précipitent à son dîner annuel ventre-à-terre, pour y recevoir leçons de morale et consignes.

    Il existe un livre décapant sur ce groupe, signé Anne Kling et disponible ici.

    Bref, lors du dernier dîner, le prix de la place était fixé à 900 € par tête !
    Et l’on apprend, grâce à un carton d’invitation qui s’est retrouvé sur internet, que l’on peut avoir une déduction fiscale sur ce montant exorbitant (en bas à droite du carton).

    Sur ces 800 euros, 66% sont déductibles d’impôt, comme tout don à certaines associations.
    Ainsi, les participants-donateurs peuvent potentiellement déduire du fisc 528 euros. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée.

    http://www.contre-info.com/diner-du-crif-les-contribuables-ont-finance-les-places-a-hauteur-de-528-euros-par-personne

  • Propagande pour l'esclavage des femmes

    Femme actuelle fait l'apologie d'une pratique illégale : le recours aux mères porteuses, à travers un témoignage dégoûlinant de bons sentiments et d'absence de réflexion. Et une belle désinformation : la mère porteuse est « l’être le plus altruiste de la terre. Elle voulait depuis longtemps porter un enfant pour qu’une autre femme puisse, comme elle, connaître le bonheur de la maternité ».

    N'empêche que "l'être le plus altruiste de la terre" a pris un avocat pour sceller le contrat et a commencé par se mettre d'accord avec la mère biologique sur la somme d’argent échangée... En matière d'altruisme, on a connu mieux...

    Il y a 2 jours, Christiane Taubira tenait un discours sur la traite des êtres humains et l’esclavage « moderne ». Elle a oublié de dénoncer la pratique des mères porteuses.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen au Salon de l'Agriculture le 26/02 "Hollande a fait une croix sur l'agriculture"

  • Les preuves du soutien de la coalition internationale à l’Etat Islamique se multiplient

    – Un parlementaire a révélé lundi que l’armée irakienne avait abattu deux avions britanniques transportant des armes pour les terroristes de l’EI dans la province d’Al-Anbar,

    « La Commission de sécurité nationale et de la défense du Parlement irakien a accès aux photos des deux avions qui sont britanniques et qui se sont écrasés alors qu’ils transportaient des armes pour l’EI, » a déclaré le président de la commission, Hakem al-Zameli, selon un rapport publié lundi par le centre d’information en langue arabe du Conseil suprême islamique d’Irak.

     

     

    Il a déclaré que le parlement irakien a demandé des explications à Londres.

    Le législateur irakien a aussi révélé que le gouvernement de Bagdad reçoit des rapports quotidiens de la population et des forces de sécurité dans la province d’al-Anbar sur de nombreux vols par les avions de la coalition sous commandement américain qui larguent des armes et des fournitures pour l’EI dans les zones contrôlées par les terroristes.

    Le législateur irakienne a en outre souligné le motif de ces aides occidentales au groupe terroriste en expliquant que les États-Unis préfèrent une situation chaotique dans la province d’Anbar qui est près des villes de Kerbala et Bagdad car ils ne veulent pas résoudre la crise de l’EI.

    Plus tôt dans la journée, un haut responsable provincial irakien a accusé les pays occidentaux et leurs alliés régionaux de soutenir les terroristes takfiri en Irak, révélant que des armes de fabrication US et israélienne ont été découvertes dans les zones libérées.

    Le site d’informations Al-Ahad a cité Khalaf Tarmouz, Chef du Conseil Provincial : « Nous avons découvert des armes fabriquées aux États-Unis, dans les pays européens et Israël, dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région d’Al-Baqdadi, »

    Il a noté que les armes fabriquées par les pays européens et Israël ont été découvertes aux mains des terroristes dans les régions orientales de la ville de Ramadi.

    Al-Zameli avait également révélé en Janvier que les avions de la coalition anti-EI avaient largué des armes et des denrées alimentaires pour l’EI dans les provinces de Salahuddin, Al-Anbar et Diyala.

    Al-Zameli a souligné que la coalition est la principale cause de la survie de l’EI en Irak.

    « Il y a des preuves et des témoignages de l’aide militaire que la coalition menée par les USA fournit par air (largages) aux terroristes l’EI » a-t-il déclaré à FNA en Janvier.

    Il a précisé que les membres de sa commission ont déjà prouvé que les avions américains ont largué des armes de pointe, y compris des armes anti-aériennes, pour l’EI, et qu’il avait mis en place une commission d’enquête sur la question.

    « Les Etats-Unis larguent des armes pour l’EI en prétextant ne pas connaître les positions de l’EI et s’efforcent de déformer la réalité avec leurs allégations. »

    Il a noté que la commission avait recueilli des données et des preuves fournies par des témoins oculaires, dont des officiers de l’armée irakienne et les forces populaires, et a dit : « Ces documents ont été remis à la commission d’enquête … et les mesures nécessaires seront prises pour protéger l’espace aérien irakien. »

    Toujours en Janvier, un autre législateur irakienne a réitéré que la coalition menée par les USA est la principale cause de la survie de l’EI en Irak.

    « La coalition internationale n’est qu’une excuse pour protéger l’EI et aider le groupe terroriste avec des fournitures et des armes, » a déclaré Jome Divan, membre du bloc al-Sadr au parlement irakien.

    Il a dit que le soutien de la coalition à l’EI est désormais évident pour tout le monde, et a ajouté, « La coalition n’a pas ciblé les principales positions de l’EI en Irak. »

    À la fin de Décembre, le député de la Commission de sécurité nationale et de la défense du Parlement irakien a révélé qu’un avion américain avait fourni à l’organisation terroriste EI des armes et des munitions dans la province de Salahuddin.

    Selon Irak TradeLink, le député Majid al-Gharawi a déclaré que les informations disponibles indiquaient que les avions américains fournissent l’organisation EI, non seulement dans la province de Salahuddin, mais aussi dans d’autres provinces.

    Il a ajouté que les Etats-Unis et de la coalition internationale ne sont « pas sérieux dans la lutte contre l’organisation EI, parce qu’ils ont les moyens technologiques pour déterminer la position des hommes de l’EI et les détruire en un mois, »

    Gharawi a ajouté que « Les Etats-Unis cherchent à faire traîner la guerre contre l’EI pour obtenir des garanties du gouvernement irakien d’avoir des bases dans les provinces de Mossoul et d’Anbar, »

    La commission de sécurité de Salahuddin a également révélé que « des avions inconnus ont largué des armes et des munitions aux hommes de l’EI dans la ville du sud-est, Tikrit »

    Aussi à la fin Décembre, un député irakien a émis des doutes quant au sérieux de la coalition anti-EI dirigée par les Etats-Unis, et a déclaré que le groupe terroriste avait encore reçu des aides larguées par des avions non identifiés.

    « La coalition internationale n’est pas sérieuse au sujet des frappes aériennes contre les terroristes de l’EI et a même cherché à éliminer les forces populaires (volontaires) du champ de bataille contre les Takfiris afin que le problème de l’EI ne soit pas résolu dans un avenir proche » a déclaré Nahlah al-Hababi à FNA.

    « Les terroristes de l’EI reçoivent toujours des aides d’avions de combat non identifiés en Irak et en Syrie », a-t-elle ajouté.

    Hababi a dit que la coalition ne lançait des frappes aériennes précises que dans les zones où les forces Pishmarga kurdes sont présentes, alors que les frappes dans d’autres régions sont moins précises.

    À la fin de Décembre, la coalition menée par les Etats-Unis a largué de l’aide aux militants takfiri dans une zone au nord de Bagdad.

    Des sources sur place en Irak ont déclaré à Al-Manar que les avions de la coalition internationale ont largué des aides aux militants terroristes à Balad, une zone qui se trouve dans la province de Salahuddin au nord de Bagdad.

    En Octobre, un commandant iranien de haut rang a également critiqué les Etats-Unis pour fournir du matériel à l’EI, en ajoutant que les allégations des Etats-Unis, selon lesquelles les armes avaient été larguées à l’EI par erreur, étaient fausses.

    « Les États-Unis et la soi-disant coalition anti-EI affirment qu’ils ont lancé une campagne contre ce groupe terroriste et criminel – tout en leur fournissant des armes, de la nourriture et des médicaments dans la région de Jalawla (une ville dans le gouvernorat de Diyala, Irak). Ce qui contredit explicitement les affirmations de la coalition et des Etats-Unis » a déclaré le chef adjoint d’état-major des forces armées iraniennes, le général de brigade Massoud Jazayeri.

    Les États-Unis ont affirmé qu’ils avaient largué des armes et une aide médicale aux combattants kurdes qui combattent l’EI à Kobani, près de la frontière turque dans le nord de la Syrie.

    Le Département de la Défense américain a déclaré qu’ils avait largué 28 colis d’armes et de fournitures, mais que l’un des colis n’était pas arrivé aux combattants kurdes.

    Plus tard, des images vidéo ont montré que certaines de ces armes larguées par les Etats-Unis s’étaient retrouvées entre les mains des militants de l’EI.

    Le commandant iranien a insisté que les États-Unis avaient les informations nécessaires sur le déploiement de l’EI dans la région et que leurs affirmations selon lesquelles ils leur auraient largué des armes par erreur sont aussi improbables que fausses.

  • Dans la bouche de François Hollande, Français de souche sonne comme une insulte !

    Lors de son discours au dîner du Crif lundi 23 février, François Hollande a employé l’expression “Français de souche” pour désigner les cinq jeunes mis en examen après la profanation du cimetière juif de Sarre-Union. L’objectif était bien évidemment de tenter de faire oublier que la majorité des actes antisémites sont aujourd’hui le fait de jeunes musulmans, “Français” de fraîche date.

    Cette manoeuvre grossière n’a pourtant pas empêché certaines réactions dans son propre camp.

    L’ex-ministre Aurélie Filipetti a parlé de “faute” tandis quer la présidente du Mouvement des jeunes socialistes, Laura Slimani, a dénoncé un “brouillage intellectuel”. Pour Bruno Le Roux, “il n’y a que des Français. Point.”

    Même Marine Le Pen a affirmé ce mardi qu’elle n’avait “pas de passion” pour l’expression “Français de souche”…

    Pour le journal Libération, le “concept” de Français de souche “est aujourd’hui très en vogue parmi l’extrême droite et la droite identitaires. Il désigne les Français «de vieille lignée», par opposition aux Français issus de l’immigration, directement ou par leur proche ascendance. Cette approche recouvre le plus souvent une lecture racialiste de la société, distinguant deux catégories de Français en fonction de leurs origines ou de leurs appartenances ethniques.”

    http://fr.novopress.info/

  • La LMPT sur tous les fronts : GPA, salon de l'agriculture, élections

    Le 8 mars, La Manif Pour Tous organise un forum international pour l'abolition de la GPA. Tout le monde peut y assister.

    Sur le même sujet, Ludovine de La Rochère interpelle France 5, qui diffusera le 10 mars une émission consacrée à la pratique des mères porteuses. Dans sa lettre à Bruno Patino, Directeur général délégué aux programmes de France Télévisions, Ludovine de La Rochère écrit que, malgré l'interdiction de la GPA :

    "On observe pourtant que les émissions consacrées à la gestation pour autrui se multiplient. Et loin de dénoncer cette pratique, elles abordent la GPA sous l’angle du débat, comme s’il pouvait être envisageable d’accepter la marchandisation du corps des femmes ! Cet asservissement des femmes, ainsi que le trafic d’enfants, y sont en général à peine évoqués et les réalisateurs osent donner le champ libre aux partisans de la GPA pour argumenter en faveur de l’encadrement de cette pratique, c’est-à-dire de sa légalisation !

    Or, la GPA, comme l’esclavage, on ne l’encadre pas : on l’interdit et on fait respecter cet interdit ! La responsabilité du service public est de faire respecter cette interdiction, et non de promouvoir la GPA ! [...]

    C’est pourquoi un nombre immense de Français, et surtout de Françaises, comptent sur vous pour que cette émission du 10 mars dénonce la réalité et les implications de la gestation pour autrui et soit sans concession, tolérance ni complicité vis-à-vis de cette pratique et de ses promoteurs. Nous y serons bien entendu très attentifs.

    Et puisque le groupe France télévisions semble si intéressé par ce sujet, j’ai le plaisir de joindre au présent courrier des invitations, pour vous-même, les dirigeants de France télévisions et l’équipe de l’émission « Les Maternelles », pour le 1er « Forum international pour l’abolition de la GPA » qui se tiendra au Palais Brongniart (Bourse de Paris) dimanche 8 mars prochainà l’occasion de la Journée de la femme. Nous serions très heureux de votre et de leur présence à cet événement qui réunira les intervenants les plus qualifiés sur ce sujet et des invités du monde entier."

    Toujours contre la GPA, donc pour des bébés bio, la LMPT s'est invitée au salon de l'agriculture pour promouvoir No Maternity Traffic, une initiative collective pour l'abolition de la Gestation Pour Autrui.

    T

    Enfin ce matin, La Manif Pour Tous a présenté sa charte adressé aux candidatsaux élections départementales de fin mars pour défendre la famille au sein des conseils départementaux.

    On ne lâche rien.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La liberté d’expression à l’ère de la communication numérique : faut-il domestiquer internet ?

    Texte n°9 (Rétablir la liberté d’expression – XXXe Université annuelle du Club de l’Horloge, les 15 et 16 novembre 2014)

    ♦ Yves Duhamel, consultant, essayiste…

    « Manifestement la maîtrise d’internet par différents biais en vue de contrôler ou de restreindre la liberté d’expression apparaît comme une chimère. La maîtrise d’Internet par les différents pouvoirs n’apparaît donc ni souhaitable, ni même réalisable. S’accommoder d’un véritable outil au service de la liberté d’expression reste la seule alternative ».

    Cette réflexion sur la pratique de la liberté d’expression à l’heure de l’Internet est conduite du strict point de vue d’un technicien du « Net ».

    Encadrement, amendements, contrôle, restrictions, censure… Ce champ lexical est étroitement lié au terme « liberté d’expression ».

    L’histoire de la liberté d’expression et de la presse, qui vont de pair, est paradoxalement jalonnée de lois visant précisément à les restreindre, voire à les étouffer. Il s’agit pourtant de l’une des premières libertés politiques et, plus généralement, des libertés fondamentales garanties par la Déclaration des droits de l’homme dès 1789 en réaction à la censure royale. Ce droit à la liberté d’expression fut reformulé par l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, établie après la seconde guerre mondiale et les crimes commis par l’Allemagne nazie : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ». Il faut noter que l’Union soviétique, la Pologne, la Tchécoslovaquie et la Yougoslavie dont les peuples subissaient le joug d’une autre idéologie totalitaire, le communisme, s’abstinrent lors du vote de la Déclaration, le 10 décembre 1948, par l’Assemblée générale des Nations unies réunie au Palais de Chaillot.

    Certains pans de l’Histoire peuvent parfois se résumer à une succession de luttes entre pouvoirs et contre-pouvoirs.

    La naissance de l’imprimerie à la fin du XVe siècle s’est accompagnée d’un contrôle de celle-ci par les pouvoirs religieux et politique. Mais ces pouvoirs, s’ils contrôlaient d’un côté, surent aussi utiliser l’innovation à leur avantage. Ainsi Louis XI considérait l’imprimerie comme une arme politique dont il a favorisé l’essor.

    La naissance et le développement de la presse écrite dans le courant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ont été suivis par un renforcement croissant de sa surveillance par les autorités.

    Dans la seconde moitié du XXe siècle survient un changement de méthodes. Au lieu de censurer les idées, il s’agit d’en favoriser certaines par rapport à d’autres, en façonnant une « opinion publique », si bien décortiquée par l’universitaire Bernard Faÿ. Il suffit alors pour le pouvoir de tenir et de contrôler les canaux par lesquels l’information est diffusée, qu’il s’agisse de la presse, de la télévision, ou des radios.

    Mais l’Histoire est aussi faite de surprises et d’événements inattendus. Inattendue dans l’esprit du législateur français des années 1970 et 1980 l’émergence d’une technologie grand public, la toute-puissance d’un réseau d’informations transnational et révolutionnaire, difficilement contrôlable, et en même temps à la portée de tous, ou presque. C’est ainsi que l’on pourrait résumer l’ère de la communication numérique, dans laquelle nous sommes entrés en ce début de XXIe siècle.

    Faut-il domestiquer Internet ?

    Domestiquer Internet, l’apprivoiser, le soumettre, le maîtriser… Il s’agit de questions qui ne relèvent pas seulement d’un vocabulaire mais qui en appellent plusieurs autres.

    La première d’entre elles est la suivante : quelles limites poser à la liberté d’expression ? Car c’est bien de cela qu’il s’agit, tant Internet est devenu l’un des principaux vecteurs par lesquels se manifeste désormais aujourd’hui cette liberté d’expression : la presse n’est plus en effet un vecteur de liberté parce qu’elle dépend des revenus publicitaires et qu’elle est l’apanage de quelques oligarques, et la télévision n’a jamais été préoccupée par la liberté. Quant aux radios libres, l’épopée des années 1980 a pris fin avec la création des autorités de régulation mises en place par le pouvoir socialiste.

    Selon Jean-Yves Le Gallou, deux conceptions s’opposent par rapport à l’exercice de la liberté d’expression :

    • celle d’une liberté absolue qui implique de condamner les différentes lois françaises, restrictives, dites Pleven, Gayssot, Taubira, Perben, de la même manière que la loi russe réprimant la propagande homosexuelle devant les mineurs ;

    Il faut remarquer que les lois françaises prévoient des peines nettement plus lourdes que la loi russe et surtout que les premières visent non seulement les dires mais aussi les intentions prêtées à leurs auteurs ce qui relève davantage de l’anathème que de la justice.

    • les nécessaires limites imposées dans un souci de maintenir un consensus social qui mènent à l’établissement d’interdits.

    Ces interdits sont alors relatifs car ils dépendent de circonstances historiques et géographiques.

    « Faut-il domestiquer Internet ? » appelle une deuxième question. Peut-on domestiquer Internet ?

    La mise au pas des médias traditionnels a pu s’effectuer relativement aisément, et ce d’autant plus qu’ils obéissent à des modèles économiques les rendant plus que vulnérables vis-à-vis des centres de pouvoir politiques et financiers. Les mésaventures arrivées à la revue trimestrielle Médias, dirigée par Robert Ménard et Emmanuelle Duverger, sont emblématiques de cette servitude : en deux ans, le magazine a enregistré une baisse de 80% de ses recettes publicitaires et a cessé d’exister en juillet 2012, prix à payer pour avoir osé être une voix par trop dissidente et libre dans un environnement où seul le politiquement correct a droit de cité.

    Il en va tout autrement d’Internet dont la perception par les utilisateurs et le fonctionnement sont les meilleures garanties d’une indépendance difficile à mettre à bas.

    Selon la Quadrature du Net, association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet, « la censure du Net progresse dangereusement, à mesure qu’un nombre croissant de gouvernements démocratiques envisagent ou mettent en œuvre des mécanismes bloquant l’accès à certains sites, parfois sans aucun contrôle de l’autorité judiciaire. Mis en place au nom de la régulation des contenus “violents ” ou à caractère pédopornographique, ou du contrôle des jeux en ligne, ces dispositifs sont à la fois inefficaces et disproportionnés. En effet, le blocage de sites Internet est par na nature imprécis, faisant courir le risque de “censure collatérale” ou de sur-blocage de sites parfaitement légitimes. »

    Techniquement, il est très difficile de mettre au pas Internet

    Certes, il existe des lois, et ces dernières s’appliquent sur Internet comme partout ailleurs. Mais dans la course à la technologie, technologie que les utilisateurs à même de faire rapidement progresser, le pouvoir politique aura toujours un temps de retard. A peine un projet de loi est-il abordé que des internautes ont déjà trouvé la parade et la communiquent aux autres comme une traînée de poudre. Promulguée dans le meilleur des cas quelques semaines plus tard, la loi est déjà périmée.

    Les difficultés rencontrées par la HADOPI (Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet) sont plus que symboliques de cette course de vitesse perdue d’avance pour l’administration ; sans les énumérer toutes, citons l’incertitude de l’identification de l’utilisateur ; l’inadaptation des sanctions prononcées contre ce dernier avec une coupure d’Internet qu’il est très aisé de contourner ; des sanctions inadaptées aux personnes morales et aux mineurs, etc. Si, en l’espace de cinq ans, HADOPI s’est adaptée, elle n’en reste pas moins à la traîne.

    Même la Chine avec son « Bouclier d’Or », ensemble de lois visant à interdire l’accès à certains contenus en ligne, ne parvient pas à rendre son réseau totalement imperméable à la libre circulation de l’information. Rappelons-nous le parcours de la Flamme olympique à Paris en 2008 perturbé par des manifestations de soutien au Tibet. Bien que censurées en Chine, les images ont été rapidement diffusées par des internautes chinois, provoquant un tollé rapidement suivi d’un interdit frappant les produits français.

    Le contrôle technique d’Internet relève donc d’un fantasme.

    Enfin, s’il s’agit de mettre à bas des sites dissidents par la pression financière, là encore, c’est raté. Le modèle économique communautaire de la plupart des voix libres ou dissidentes sur Internet les rend étanches à toute forme de pression budgétaire. Par ailleurs, la possibilité d’héberger leurs données dans des pays où la législation française ou européenne ne s’applique pas en fait des cibles inattaquables.

    Donc. Que faire ?

    Manifestement la maîtrise d’internet par différents biais en vue de contrôler ou de restreindre la liberté d’expression apparaît comme une chimère. La maîtrise d’Internet par les différents pouvoirs n’apparaît donc ni souhaitable, ni même réalisable. S’accommoder d’un véritable outil au service de la liberté d’expression reste la seule alternative.

    Le Club de l’Horloge, 25/02/2015

    http://www.polemia.com/la-liberte-dexpression-a-lere-de-la-communication-numerique-faut-il-domestiquer-internet/

  • Propagande anti‑FN de Manuel Valls au Salon de l’agriculture

    Lors de sa visite lundi au rendez‑vous agricole parisien, le Premier ministre a affirmé aux exposants qu’un vote en faveur du Front National reviendrait à “détruire le modèle européen qui a soutenu l’agriculture française”.

    Pendant six heures lundi, Manuel Valls a arpenté à son tour les allées du Salon de l’agriculture. Le Premier ministre a écouté les doléances de la profession liées notamment à l’embargo russe et à la contrainte des normes environnementales. A un mois des élections départementales, Manuel Valls a aussi fait de la politique. Il a tenté de convaincre le monde rural que le bon choix n’était pas le vote en faveur du Front National. Manuel Valls a ajouté que “le recul de la démagogie et du populisme”était possible “par une action précise, concrète, par des soutiens, des aides, par la préparation de l’avenir”. Il n’est pas certain que la priorité de l’agriculture française se trouve dans un tel discours.

    http://fr.novopress.info/