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lobby - Page 1690

  • "Ne dites pas que l’islam n’a rien à voir avec cela"

    Ibrahim Issa est un journaliste égyptien indépendant. A la télévision le 3 février, il dénonçait le mensonge du padamalgam :

    "Chaque fois que l’EI commet des actes de barbarie, tels que décapiter, égorger ou brûler vive une personne, comme ils l’ont fait aujourd’hui, différents cheikhs déclarent – lorsqu’ils prennent la peine de s’exprimer – que cela n’a rien à voir avec l’islam, que l’islam n’est pas en cause, etc. Pourtant lorsque les membres de l’EI massacrent, assassinent, violent, immolent et commettent tous ces crimes barbares, ils affirment se fonder sur la charia. Ils déclarent que leurs actes sont fondés sur un certain hadith, sur un chapitre du Coran, sur une affirmation d’Ibn Taymiyyah ou sur une source historique. Il faut dire la vérité : tout ce que dit l’EI est exact. Cela ne devrait surprendre personne, et personne ne devrait être choqué par ce que je vais dire. Toutes les preuves et les références que l’EI apporte pour justifier ses crimes, sa barbarie et sa violence horrifiante, criminelle et condamnable…

    Toutes les preuves et les références qu’apporte l’EI, affirmant qu’elles peuvent être trouvées dans les livres d’histoire, de jurisprudence et de droit, s’y trouvent effectivement, et celui qui dira le contraire commet un mensonge. Lorsqu’ils tuent quelqu’un en le qualifiant d’infidèle, lorsqu’ils violent une femme, qu’ils tuent des prisonniers et qu’ils massacrent et décapitent des gens, ils disent que le Prophète Mohammed leur a ordonné ! Dans quel contexte ? Quelle interprétation ? C’est une tout autre histoire. Aucun des [cheikhs d’Al-Ahzar] qui prétendent être modérés et qui ont demandé au président Al-Sisi de modifier le discours religieux n’ont eu le courage – pas une once de courage – de reconnaître que ces choses se trouvent effectivement [dans les sources islamiques] et qu’elles sont [moralement] erronées. Lorsqu’on prétend qu’un certain Compagnon du Prophète a fait ceci ou cela, vous devez répondre qu’il était moralement dans l’erreur. J’aimerais bien voir un seul cheikh d’Al-Ahzar avoir le courage de reconnaître qu’Abou Bakr a brûlé vif un homme. C’est vrai. Il a brûlé Fuja’ah [Al-Sulami]. C’est un épisode historique bien connu.

    Abou Bakr était-il moralement dans l’erreur lorsqu’il a brûlé vif cet homme ? Personne n’ose le dire. Aussi nous sommes dans un cercle vicieux, et on peut s’attendre à de nouvelles barbaries, cartoute cette barbarie est sacrée. Elle est sacrée. Cette barbarie se drape dans la religion. Elle est immergée dans la religion. Elle se fonde uniquement sur la religion. Votre mission [de chefs religieux] est d’affirmer que si cela fait partie de notre religion, alors c’est que l’interprétation est fausse. Ne dites pas que l’islam n’a rien à voir avec cela."

    Michel Janva

  • Devine qui vient dîner ce soir

    Récompense hautement méritée,  le compositeur français Alexandre Desplat a été primé dimanche pour la musique de The Grand Budapest Hotel ainsi que notre compatriote Mathilde Bonnefoy, lauréat du meilleur documentaire avec Citizenfour (que nous  n’avons pas vu)  lors de  la très hollywoodienne cérémonie des Oscars qui s’est déroulée dimanche. Après la polémique sur l’absence d’afro-américains parmi les  « nominés », cette soirée  a été l’occasion d’adresser à la « planète »  un discours répétitif, martelé,  sur les valeurs du camp du bien, peu ou prou celles de la gauche californienne. Un  véritable déluge de moraline politiquement correct, de messages gauchisants, d’ hymnes à la gloire des minorités et à la lutte contre l’intolérance. Dans le même ordre d’idée, c’est le très boursouflé, pompier, grandiloquent et vraiment médiocre film   Birdman,  produit, écrit et réalisé par le  Mexicain Alejandro Inarritu qui a raflé la mise avec quatre Oscars -meilleur film meilleur scénario, meilleur réalisateur et meilleur directeur de la photographie. Autre cérémonie, se déroulant à Paris celle-là, décernant bons points et consignes à la classe politicienne, le dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) se déroulait hier soir. 

     La trentième édition de cette soirée s’est faite   en présence de 700 invités parmi  lesquels de très nombreux  habitués des lieux   et dirigeants de l’UMPS comme François Hollande, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls, Alain Juppé,  une douzaine de  ministres socialistes en exercice… Occasion de délivrer « un message d’espoir » a-t-il été précisé, le Crif  a également décerné trois prix :  au Malien Lassana Bathily naturalisé après avoir aidé des juifs à se cacher lors de la prise d’otages du supermarché casher à Paris, au  film d’Alexandre Arcady  sur le calvaire horrible  d’Ilan Halimi et enfin   au documentaire Les  héritiers   sur l’enseignement de la «shoah » dans une classe d’un   lycée pluriel…

    Devant ce lobby communautaire,  François Hollande, invité d’honneur, a tenu  le discours  habituel   sur  « les juifs (qui)  sont chez eux en France, ce sont les antisémites qui n’ont pas leur place dans la République », dénonçant   «l’antisémitisme »  qui « comme une lèpre revient toujours quand les civilisations croient s’en être débarrassé ». «L’antisémitisme a des racines anciennes qui plongent dans toute l’histoire de l’extrême droite française qui ne s’en est pas affranchie » a-t-il déclaré tout en évoquant  une nouveau surgeon de celui-ci, qui se nourrit « de la haine d’Israël », déplorant parallèlement la montée en  puissance « des actes anti musulmans».

    Le président de la République a annoncé  que le Premier ministre allait exposer dans les jours prochains un plan pour lutter contre l’antisémitisme,  qu’un «projet de loi sur le renseignement était en cours d’élaboration,   ainsi qu’un   fichier commun (PNR)  pour « contrôler les passagers aériens qui se rendent dans des zones dangereuses ». Mais sans  remettre en cause l’espace Schengen : « Pour lutter contre le terrorisme, il ne faut pas moins d’Europe, il en faut plus… ».

    Comme le président du Crif,  Roger Cukierman  notamment  l’avait exigé, François Hollande a appelé de ses vœux   un « meilleur contrôle d’internet »,  et a estimé  que « l’antisémitisme », le « racisme » et « l’homophobie »  devraient relever du  droit pénal commun et non plus comme c’est encore le cas aujourd’hui du  droit de la presse.

    Un raout précédé par une double polémique engendrée par les propos de M.  Cukierman lors de son passage au micro de Jean-Pierre Elkabach sur Europe 1 le matin même. Dans le climat  actuel de violences et d’inquiétudes qui pèse particulièrement sur les Français de confession juive, le patron du Crif  a rappelé que  « toutes les violences aujourd’hui, et il faut dire les choses, sont commises par des jeunes musulmans. Bien sûr, c’est une toute petite minorité de la communauté, et les musulmans en sont les premières victimes… ».

     Toutes les violences non, car la mouvance d’extrême gauche en porte  sa part, mais il est certain  que les violences antisémites sont bien cantonnées dans un segment bien identifié de la population,  qu’il y a bien évidemment de grands points communs dans les parcours d’un Mérah, d’un Nemmouche, d’un Coulibaly, d’un el-Hussein,  des frères Kouachi…  Les  propos du président du Crif ont provoqué la colère des représentants du culte  musulman  qui ont  décidé de boycotter le dîner. Ce fut le cas du  président de l’Union des mosquées de France, Mohammed Mossaoui, du   Conseil français du culte musulman (CFCM)  présidé par Dalil Boubakeur qui,  via un communiqué,  a  précisé qu’il ne pouvait  « accepter que la composante musulmane de France soit aujourd’hui l’objet d’attaques aussi graves qu’infondées».

    Si ce boycott enterre encore un peu plus l’esprit du 11 janvier –il est vrai que nos compatriotes ou résidents musulmans étaient très massivement absents des manifestations-, l’imam de Drancy, le très controversé  Hassen Chalghoumi  était lui  présent hier  au dîner du Crif. Un imam certes,  que ne fait pas vraiment l’unanimité dans sa communauté. Le site musulman oumma.com  rappelait d’ailleurs  incidemment que  « la réception officielle, organisée par les francs-maçons du Grand Orient de France pour accueillir l’imam Chalghoumi, a provoqué des remous à l’intérieur de l’obédience ».

    « Décrit comme un  imam  autoproclamé, et qui n’a rien de la culture générale et religieuse nécessaire à l’emploi, Chalghoumi est qualifié par ses adversaires d’imam d’Israël . Le fait que le G.O se soit prêté à une opération visant à crédibiliser ce religieux qui croyait que  Charlie , celui de l’hebdo, était un homme, a provoqué un vif mécontentement auprès de certains frères qui accusent les responsables de l’Ordre d’obéir aux ordres du CRIF ».

    Autre reproche fait à Roger Cukierman à l’occasion de cet entretien,   sa sortie (faussement) aimable sur Marine consistant  à la  mettre en porte-à-faux avec le Mouvement qu’elle préside. Dans ce même entretien sur Europe 1, il affirme ainsi   «  qu’on est tous conscient dans le monde juif que derrière Marine Le Pen, qui est irréprochable personnellement, il y a tous les négationnistes, tous les vichystes, tous les pétainistes ». « Le Front National est un parti pour lequel je ne voterai jamais, mais c’est un parti qui aujourd’hui ne commet pas de violence ».

    Cette distinction assez maligne a cependant  fait vivement réagir  l’avocat de la mémoire  Serge Klarsfeld : « Mme Le Pen n’a pas rompu avec son père. Elle dirige le Front National qui porte le passif des prises de position antisémites du père qui est président d’honneur du Front National ».

    Recadré, M. Cukierman a donc précisé quelques heures plus tard que « Madame Le Pen n’est pas fréquentable parce qu’elle ne s’est pas désolidarisée des propos de son père ». « Je ne voterai jamais pour le FN ». « Nous n’inviterons pas (le FN) au dîner du Crif ».  «La phrase de Roger Cukierman était mal formulée, j’ai fait les observations qu’il fallait. Il a révisé sa position » a approuvé M. Klarsfeld…

    Certes, le président du Crif  n’en est pas à sa première formulation maladroite. Sans subir  à l’époque les foudres de Serge Klarsfeld,  il avait déclaré en 2002 au quotidien israélien Haaretz,  au lendemain de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle, que  «le score de Le Pen sert à réduire l’antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles »…

    Roger  Cukierman défend  ce qu’il estime être les intérêts de la structure qu’il préside et de l’Etat d’Israël, et c’est évidemment  son droit le plus strict.  Formation politique  cohérente, Marine ou encore Bruno Gollnisch l’ont  déjà précisé,   le FN quand bien même serait-il  invité,  ne se rendrait pas   au dîner du Crif  au nom du  refus du  communautarisme.  Or,  le Crif en représente  un exemple archétypal. Avec un succès aussi remarquable que sidérant  puisque c’est  l’ensemble de la classe politicienne –à l’exception notable d’un  François Bayrou, d’un Jean-Luc Mélenchon –  qui se presse aux manifestations d’un Crif,   lequel  représente à peu prés  un sixième des 600 000 ou des 700 000  juifs de France,  soit environ 0,6% de la population française…

    Dans l’Obs, le sociologue Samuel Ghiles-Meilhac, spécialiste du Proche-Orient et de la communauté juive française,  faisait part à ce sujet d’un trouble de plus en plus répandu, que l’on est en tout cas  en droit de partager : «Je suis gêné par l’attitude des pouvoirs publics, qui n’expliquent pas clairement pourquoi ils se rendent à ce dîner (du Crif, NDLR). Cet événement a une dimension compliquée à concilier avec les discours de janvier sur le pays uni, qui rejette tous les communautarismes ». C’est le moins que l’on  puisse dire.

    http://gollnisch.com/2015/02/24/devine-qui-vient-diner-ce-soir/

  • Des loups solitaires...pas si solitaires que ça

    Farhad Khosrokhavar, directeur de recherche à l'EHESS et auteur de La Radicalisation répond à l'Express :

    "Je dirais qu'il y a deux types de loups solitaires: d'abord celui qui s'autoradicalise, sur Internet par exemple, et agit parfaitement seul.Mais c'est plutôt rare, notamment dans le djihad. Ensuite, on a celui qui passe à l'acte violemment mais qui est intégré dans un ou plusieurs réseaux, qui peuvent parfois même venir en aide techniquement. C'est le cas de Mohamed Merah ou Mehdi Nemmouche en Belgique. Ces gens-là ne sont pas des loups solitaires dans leur radicalisation, seulement dans l'action

    Lorsqu'on parle de loups solitaires, on peut aussi penser à ceux qui s'appuient sur des liens très proches, de parenté par exemple. Dans le cas des frères Kouachi, le frère cadet, Chérif, a joué un rôle moteur tandis que son aîné a suivi. C'est lui qui a mis le duo en relation avec Amedy Coulibaly "

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tu ne feras point d’amalgame !

    J'ai ajouté au Décalogue un onzième commandement :Tu ne feras pas d’amalgame, et mets un point d’honneur à l’observer.

    Mais malgré tous les efforts pour dissocier, éviter, détourner, euphémiser… « ça s’amalgame »quand, chaque jour, pleuvent les nouvelles (merci Internet, empêcheur de s’abriter en rond) – décapitations, crucifixions, bûchers, viols, esclavage, attentats, meurtres, insultes, manifestes, et débarquements de masse, submersion désormais revendiquée ; quand toutes les dénégations des bien-pensants sont balayées par la vague du réel, quand les charlots de chez Charlie, ouvrant les yeux, voient le diable à leur porte.

    Pour le dire autrement, c’est comme l’image dans le tapis qui prend forme malgré ceux qui s’efforcent de défaire, la nuit, les amalgames qui se sont tissés la veille, et dont le dessin est de plus en plus visible.

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  • Des poursuites contre Charlie Hebdo ?

    Communiqué de l'AGRIF :

    Agrif"À la « une » de Charlie, feuille grassement subventionnée avec l’impôt de tous et largement publicitée médiatiquement, Marine Le Pen, Sarkozy et le pape sont débilement mais grossièrement insultés par un dessin les caricaturant en animaux canins.

    Si (...) la justice est dans notre pays égale pour tous, nul doute que le Parquet va immédiatement diligenter les poursuites qui s’imposent.

    On sait en effet que pour une analogie animalière sans doute regrettable avec madame Taubira pour cible, l’hebdomadaire satirique Minute a été très lourdement condamné en première instance. Plus lourdement encore, une habitante des Ardennes a été condamnée en Guyane sans pouvoir se défendre, traînée en justice dans le département de madame Taubira pour un délit d’injure dans le même registre. Elle a été condamnée à 9 mois de prison et 50 000 € d’amende, peine évidemment totalement disproportionnée au délit d’une injure, fût-elle en effet de très mauvais goût. Mais après les assassinats perpétrés contre Charlie, Christiane Taubira n’a-t-elle pas déclaré qu’en France, pays de Voltaire, on avait le droit de tout caricaturer ? Madame Taubira ne peut d’ailleurs ignorer que Voltaire avait été encore plus abominablement antisémite qu’anticatholique et antimusulman.

    On n’ose évidemment pas imaginer que l’injure satirique serait plus grave selon la couleur de la peau des personnes ciblées et le choix de l’animal « caricaturant ».

    (...) On attend donc vis-à-vis de Charlie comme vis-à-vis de Minute l’application du principe d’égalité judiciaire. Ou alors la liberté d’expression serait-elle désormais chasse gardée pour des privilégiés du nouvel ordre moral de la République ?"

    Philippe Carhon

  • La NSA et le FBI en guerre, contre les téléphones inviolables

    Lundi, lors d’un colloque d’experts en cybersécurité réunis à Washington, le directeur de la NSA, l’amiral Mike Rogers a réitéré l’alerte lancée par son homologue du FBI en octobre. Il a martelé qu’il fallait à tout prix éviter la commercialisation de téléphones inviolables par les grands groupes comme Apple ou Google. Pour appuyer son argument, il a invoqué les risques criminels et terroristes qui, selon lui, seraient décuplés par le renforcement de la sécurité personnelle des téléphones.

    De quels enjeux parle‑t‑on exactement ?

    Il s’agit ici de la commercialisation de téléphones portables cryptés auxquels seuls les propriétaires pourraient avoir accès. Toutes les données personnelles, courriels, textos, photos, seraient ainsi contrôlées uniquement par leurs propriétaires directs. Ces questions préoccupent les usagers qui aujourd’hui sont toujours à la recherche d’une solution de cryptage plus efficace pour leurs données. Ces préoccupations sont une réponse directe aux scandales qui ont secoué les Etats‑Unis et le monde entier après les révélations d’Edward Snowden, ancien analyste de la NSA, qui a dévoilé l’ampleur du filet de surveillance et des techniques de l’agence gouvernementale étatsunienne. Des révélations qui se poursuivent, puisque vendredi dernier le journaliste Glenn Greenwald a révélé que la NSA avait monté un programme permettant de voler les clefs de cryptage des cartes SIM produites par les grands de cette industrie. Malgré cette dernière révélation, le patron de la NSA a donc appelé à empêcher le cryptage des téléphones et a exhorté les fabricants à prévoir une « porte dérobée » dans leurs programmes pour des questions « De sécurité nationale ».

    Ce problème dépasse le cadre de la téléphonie

     

    En effet, la régulation et la surveillance gouvernementale étatsunienne dépassent de loin le secteur de la téléphonie pour toucher plus largement tout le secteur informatique. La semaine dernière, une entreprise russe de sécurité informatique nommée Kaspersky a publié un rapport sur les virus et logiciels espions employés par la NSA. Ce qu’ils ont découvert dépasse l’entendement. Des virus, des outils de piratage, des logiciels espions et autres logiciels malveillants ont été développés par les agences gouvernementales étatsuniennes et servent à surveiller illégalement de nombreuses cibles dans le monde, dont des grandes entreprises dans le domaine des télécoms et de l’aérospatiale ou encore des gouvernements. On peut donc comprendre la réticence de la NSA quant à l’augmentation de la sécurité informatique, et cette opposition farouche devrait servir de piqûre de rappel pour tous ceux qui utilisent régulièrement des outils informatiques connectés.

    http://fr.novopress.info/182902/nsa-fbi-en-guerre-contre-les-telephones-inviolables/#more-182902

  • TVL : Samuel Pruvot: "Hollande à l'égard des cathos, entre indifférence et détestation"

  • Hongrei : Viktor Orban ne perd pas sa majorité

    Le Monde exulte car le Premier ministre hongrois, qui bénéficiait des deux tiers des sièges au Parlement vient d'en perdre un lors d'une élection partielle. Il n'a donc plus les deux tiers des sièges. Et Le Monde de dénoncer les erreurs de Viktor Orban, à savoir son rapprochement avec Poutine, sa loi sur les médias...

    Orban a tout de même une solide majorité absolue, bien plus absolue que les socialistes français... comme l'écrit Yves Daoudal :

    "Outre le fait qu’on ne fait pas tous les jours des réformes constitutionnelles nécessitant les deux tiers des suffrages (et celles que voulait faire Orban ont été faites, et rien ne dit qu’il n’aurait pas le renfort d’un député qui ne fait pas partie du Fidesz), j’en connais qui seraient heureux d’avoir à l’Assemblée une majorité des deux tiers moins un…"

    Michel Janva