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Quimper : Manifestation contre la mosquée turque
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La Novorossiya martyrisée élit ce dimanche ses représentants politiques. Vidéo accablante
La campagne électorale dans le Donbass
Elle s’est terminée hier soir pour des élections qui auront lieu demain dimanche 2 novembre 2014. Il s’agit pour les Novorusses d’élire les représentants de la Novorossiya qui a fait sécession d’avec l’Ukraine, suite au coup d’Etat de Kiev d’avril 2014 qui privait les habitants de l’Est, entre autre, de la reconnaissance de leur langue, le russe. S’en est suivi l’agression militaire brutale des autorités de Kiev.
La Novorossiya n’a pas pour le moment de représentants démocratiquement élus. Les frontières du nouvel Etat doivent s’établir sur la ligne de front qui sépare les deux parties belligérantes conformément aux accords de Minsk.
A Donetsk, le poste de président de la république est brigué par Alexandre Zakhartchenko, Iouri Sivokonenko et Alexandre Kofman. A Lougansk ce poste sera disputé par le président sortant Igor Plotnitski, Oleg Akimov, Larissa Aïrapetian et Viktor Penner. Les Novorusses doivent également élire leurs parlementaires. Les deux républiques ont conclu, début septembre, un accord d’union.La Russie reconnait et appuie le bienfondé de ces élections, contrairement aux avis de Ban Ki Moon, le secrétaire général de l’ONU, de l’UE et des USA qui lui ont demandé de ne pas les reconnaître. Cela n’empêche nullement l’affluence des observateurs sur place:
« 51 observateurs étrangers sont déjà enregistrés pour les élections. Il y a des observateurs en provenance de Russie, de Serbie, du Monténégro. A notre surprise, il y a beaucoup d’observateurs de l’Union européenne, il y a même un député européen. Parmi les observateurs, il y a aussi des Américains », a annoncé vendredi, Roman Liaguine, le chef de la Commission électorale centrale (CEC).
Les bruits en provenance de Kiev s’intensifient pour alerter les autorités novorusses sur d’éventuels sabotages durant le déroulement du scrutin. Alertes analysées sur place comme des provocations pour empêcher les élections. Le vice premier ministre de Donetsk, Alexandr Pourguine déclarait hier vendredi au cours d’une conférence de presse:
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A Bagnolet, la gauche fête officiellement le soulèvement du FLN, jour de deuil pour la France…
La municipalité socialiste de Bagnolet, soutenue par toute la gauche unie pour une fois, fête le soixantième anniversaire des assassinats qui ont commencé la guerre d’Algérie le 1er novembre 1954, ce qu’on a surnommé la Toussaint rouge. Avec une exposition intitulée « Algérie, un peuple, ses résistants ». Cette provocation marque l’abaissement de l’esprit public et bafoue la Nation.
La gauche unie, enfin
L’exposition, qui se poursuit jusqu’au 7 novembre, se double d’une soirée cinéma très spéciale le 3, destinée à glorifier le soulèvement algérien. Pour cette initiative, la municipalité socialiste a reçu le soutien des Verts, des Radicaux de gauche, du Parti de gauche et même du PC. Une gauche unie dont rêverait François Hollande, comme elle l’était sous Giscard, et comme elle ne le fut jamais durant la guerre d’Algérie, heureusement pour l’honneur de certains socialistes et radicaux.Le bilan de la guerre d’Algérie
Cette gauche unie se veut laïque et antiraciste. Peut-être a-t-elle oublié que le congrès de la Soummam, qui a donné son véritable élan au soulèvement algérien, se tint sous la coupe des oulemas, et que depuis, l’Algérie française laïque et multicommunautaire a été remplacée par une dictature militaire d’où les Européens ont été chassés, où les Kabyles sont brimés, dictature marquée par les poussées sanglantes du FIS, du GIA et d’autres mouvements islamistes extrêmes ? La charia s’est d’ailleurs largement installée dans les faits et partiellement dans le droit.http://www.contre-info.com/
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Offensive LGBT dans les entreprises françaises
Quelques extraits d'un article du blog Le Rouge et le Noir :
"Alors que le coming-out du PDG d’Apple qui déclare être « Fier d’être gay » semble enchanter la presse, il est opportun de revenir sur l’offensive actuelle, y compris en France, du lobby LGBT pour introduire son idéologie dans le monde du travail.
« En Europe, les entreprises veulent montrer leur ouverture en se positionnant en faveur des droits des homosexuels » déclare Le Monde. « Neuf entreprises françaises (Accenture, Alcatel-Lucent, Casino, Eau de Paris, IBM, Orange, Randstad, l’agence régionale de santé d’Ile-de-France et Veolia Eau) ont ainsi signé une charte d’engagement pour lutter contre les discriminations envers les lesbiennes, gays, bisexuels ou transgenres (LGBT). »[...]
[...] Le militantisme LGBT semble passer à la vitesse supérieure depuis plusieurs mois. On apprenait ainsi début octobre que BNP Paribas se classe au troisième rang mondial des entreprises les plus inclusives pour les LGBT. Ce classement des entreprises a été établi « à partir de la politique de communication et d’inclusion, sur la présence d’un réseau de collaborateurs/trices LGBT, sur leur soutien et leur engagement auprès de leurs employé.e.s LGBT ainsi que sur leur façon de recueillir des données à ce sujet sur le lieu de travail. » BNP Paribas s’est ainsi illustrée pour avoir remis à chaque salarié, avec sa fiche de paie, une brochure faisant explicitement mention des discriminations en raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre."[...]
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De quoi Manuel Valls est-il le nom ?
Derrière le matamore, un bourgeois veule et fraudeur ! Derrière le socialiste, Augusto Pinochet !
Il revient donc à cet apparatchik pur sucre du PS, éternel planqué du monde du travail, d’achever la précarisation du monde du travail français (contrat unique après la loi dite de « sécurisation de l’emploi ») conformément aux vœux de Wall Street et de Goldman Sachs.
Mais de quoi, au juste, Manuel Valls est-il le nom ? Fantoche botulien de l’antiracisme, Manuel Valls, en bon Tartuffe, manifeste lors d’une visite d’Évry un racisme décomplexé (qu’on peut voir sur YouTube).
Fils de famille au parcours académique médiocre (une licence d’histoire obtenue à l’âge de 24 ans), il est toutefois expert en optimisation fiscale : l’excellent ouvrage (jamais recensé par les médias mainstream) d’Emmanuel Ratier nous révèle son ascendance bourgeoise, fils d’un artiste catalan en cour sous le franquisme et d’une banquière suisse.
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Sarkozy : après le "mini-traité" le "mini-mariage" ?
Lu dans Les 4 Vérités :
"Je m’étonne que tout le monde s’intéresse encore au programme de Nicolas Sarkozy et que tant de personnalités à droite cherchent à peser sur les orientations de sa campagne. L’expérience nous a pourtant démontré, pour lui comme d’ailleurs pour beaucoup d’autres, que ce qu’il dira pour être élu n’aura qu’un seul but : être élu. Cela n’aura aucune incidence sur ce qu’il fera ensuite et qui seul nous importe. Ne lui demandez pas trop tôt de prendre des positions tranchées. Il se réserve de le faire plus tard, à quelques mois, voire à quelques semaines de l’échéance, c’est-à-dire lorsqu’il pourra apprécier ce que sera l’opinion des électeurs le jour où ils mettront leur bulletin dans l’urne. Ce moment approche, mais il n’est pas encore arrivé ; les Français sont si changeants ! On comprend ainsi sa réticence vis-à-vis des primaires. Elles l’obligeront à se dévoiler prématurément. Et, si près du scrutin, il ne pourra ensuite se déjuger sans dommage.
S’il était un véritable homme d’État, ayant une claire vision de la société, de la France et du monde, animé de solides convictions, il aurait, de son exil politique, joué les oracles, tracé la voie, arbitré les grands débats nationaux. Sa voix aurait porté, il se serait élevé, bien plus qu’en distillant de petites confidences assassines sur tel ou tel. Mais il aurait risqué de n’être pas, le moment venu, en phase avec les Français. Ce qui compte pour lui, répétons-le, c’est, le jour de l’élection, de pouvoir dire aux électeurs, avec l’accent de la plus authentique sincérité, ce qu’ils souhaitent entendre, tout ce qu’ils souhaitent, rien que ce qu’ils souhaitent. En attendant, il amuse la galerie. Et, si la question est trop brûlante, les citoyens trop divisés sur le sujet, il usera de son extraordinaire habilité verbale. Il biaisera.
Gageons, par exemple, que sa position sur le mariage des homosexuels est définitive, parce que les opinions, à droite et au centre, sont partagées sur l’opportunité de son abolition pure et simple. Cette position rappelle furieusement celle qu’il prit en 2007 à propos de la Constitution européenne : il promit de la « renégocier », pas de l’enterrer, ce que, pourtant, un référendum avait fait. De même, aujourd’hui, il évoque une « réécriture » de la loi Taubira. Nous aurons donc, s’il est élu, un « mini-mariage » des homosexuels, comme nous avons eu un « mini-traité », celui de Lisbonne, c’est-à-dire le même, sans changement, à quelques virgules près. Sans le nom peut-être ? C’est tout ce que nous pouvons espérer. Pourquoi diable veut-on faire dire aux candidats ce qu’ils ne veulent pas dire ? Si, déjà, ils ne tiennent pas les promesses qu’ils font spontanément, qu’en sera-t-il de celles qu’on leur aura arrachées ? Exiger de Nicolas Sarkozy tel ou tel engagement qu’il nous plairait d’entendre et que, probablement, il prendra si les sondages l’y poussent avec insistance, ce n’est pas autre chose que le supplier de nous faire cocus. Est-ce cela que nous voulons ?"
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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La vidéo de l’aveu! – Les Français vont payer la facture de l’Ukraine!
Français et Allemands, à vos porte-feuilles! La France est grande, elle est généreuse sur le dos des contribuables!
Alors que l’oligarque Arseni Iartsienouk, inféodé à Washington, vient d’être reconduit à son poste de Premier Ministre par Pietro Porochenko qui remporte les élections en Ukraine d’une très courte tête devant lui, ce n’est pas Washington qui paiera la note de gaz d’une Ukraine corrompue jusqu’à la moelle, mais bien les Français et les Allemands!
Les Ukrainiens vont donc se chauffer sur notre compte! C’est peut-être ce que voulait dire Ségolène Royale lorsqu’elle déclarait que les augmentations de la facture EDF ne concernaient pas la transition vers les énergies renouvelables… Mais alors que concerne-t-elle cette augmentation de 2,5% (ENOOORME!)?Parmi les gabegies, le cadeau que nos gouvernants viennent de faire à l’Ukraine pour les beaux yeux de Washington, est-il compris dans la note ? Il faut craindre que non! Nous ne sommes pas au bout des augmentations!
Vidéo fort éloquente de ce qui nous est soigneusement caché, de l’aveu même de Iartseniouk et du ministre des affaires étrangères de Russie: Sergeï Lavrov, avec une petite entrée en matière par un journaliste allemand! A vos porte-feuilles!
E.D.
http://www.medias-presse.info/les-francais-vont-payer-la-facture-de-lukraine/17357
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Traité transatlantique : c’est plus grave encore que ce qu’on pensait
Secrets and lies, c’est le titre d’un admirable film de Mike Leigh. Secrets et mensonges, c’est aussi la pratique constante des responsables européens et de la plupart de nos dirigeants en France lorsqu’ils évoquent leur projet de Traité transatlantique ou Tafta.
On savait déjà bien des choses sur les méga-risques liés à ce méga-traité négocié dans l’opacité la plus totale. Je les avais explicitées notamment dans ce billet d’avril dernier : Le grand marché transatlantique en deux pages.
Le secret favorise le mensonge et le mensonge a besoin du secret. Mais peu à peu, nous aussi nous découvrons le pot aux roses. Et il s’avère pire que ce que j’écrivais il y a six mois. Je m’appuie en partie sur un texte de Raoul-Marc Jennar de septembre 2014 dont le titre est : « Le GMT/TAFTA : pas amendable ! ». Je commence par quelques-uns des mensonges, avant d’en venir au pire.
Mensonges : Des exemples parmi d’autres
On nous a dit par exemple que, grâce à l’intervention française, la défense et la culture ont été exclues du champ de la négociation. Pour la défense, l’argument est stupide : en vertu de l’article 20 du GATT, les industries d’armement et les questions de défense sont exclues du champ d’application de TOUT TRAITE DE CE TYPE, ce qui est rappelé à l’article 12 du mandat de négociation. La France n’y est pour rien.
S’agissant de « la culture », seul l’audiovisuel (art. 21 du mandat) est exclu, et seulement provisoirement car l’article 42 permet à la Commission D’INTRODUIRE ULTERIEUREMENT DEVANT LE CONSEIL DES MINISTRES TOUT SUJET N’AYANT PAS FAIT L’OBJET DU MANDAT ! Quant aux théâtres, opéras, bibliothèques, musées, archives… ils tombent bien sous le coup du mandat actuel.
On nous dit : « il n’est pas question d’appliquer les normes environnementales ou agricoles américaines en France ». Mais le mandat de négociation exige (art. 25) que « les mesures de chaque côté se fondent sur la science et sur les normes internationales d’évaluation scientifique des risques ». C’est précisément l’argument américain : il faut des preuves scientifiques (et surtout pas cet horrible principe de précaution) pour imposer des interdictions en matière sanitaire ou phytosanitaire. Or, les dirigeants américains considèrent qu’il n’y a pas de justification scientifique pour interdire les OGM, le bœuf aux hormones, le poulet chloré, le porc à la ractopamine…
Nos élus nous ont dit : « nous exercerons notre devoir de vigilance et notre pouvoir d’influence tout au long des négociations ». Or, les Parlements nationaux sont exclus de toute information ou association à la négociation ! Et la Commission européenne informe avec réticence et parcimonie un nombre limité de parlementaires européens.
C’est pire que ce qu’on croyait
On observe à gauche la tendance suivante : si nous parvenons à bloquer ce qu’il y a de plus indéfendable, nous pourrions signer un accord amendé, réduit et acceptable. Ils pensent principalement à cet abcès de fixation en effet purulent qu’est le mécanisme privé de « règlement des différends », lequel, selon le mandat de négociation, se substituerait aux juridictions officielles pour juger d’un conflit entre firmes privées et pouvoirs publics. Ils pensent aussi aux services publics ou à la préservation de certaines normes sociales, environnementales, sanitaires et techniques en vigueur en France ou en Europe. Ils constatent que, déjà, la question du règlement des différends semble devoir être refusée par l’Allemagne voire par de nombreux élus étatsuniens et qu’elle a donc du plomb dans l’aile.
Pourtant, je crois sincèrement, comme Raoul-Marc Jennar, que, s’agissant de ce traité, entrer dans la voie des amendements, c’est tomber dans un piège. Un piège fort bien représenté par les articles 43 et 45 du mandat européen de négociation (j’y ajoute l’article 42, que j’ai cité plus haut).
Car avant le mécanisme de règlement des différends figurant à l’article 45, les rédacteurs ont prévu le piège de l’article 43 que voici : « L’Accord mettra en place UNE STRUCTURE INSTITUTIONNELLE en vue de garantir un suivi efficace des engagements découlant de l’Accord ainsi que pour promouvoir la réalisation progressive de la compatibilité des régimes réglementaires ». Jennar en propose l’interprétation suivante, que je crois réaliste dans l’état actuel des informations disponibles :
« Cette « structure institutionnelle » qui chapeautera donc les deux entités (UE et Etats-Unis) pour veiller au respect du traité, aura également pour tâche de « promouvoir la réalisation progressive de la compatibilité des régimes réglementaires ».
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Sécu : quand on est tout seul, on est toujours le meilleur
L’article de Christophe Servan sur les Français qui quittent la Sécurité sociale mérite de larges commentaires.
1) Ils ne seraient que 472 selon les chiffres de cet organisme ; mais pour le fréquenter professionnellement depuis des décennies, je suis bien placé pour savoir qu’il est aussi expert en manipulation de chiffres que le ministère de l’Intérieur pour la Manif pour tous, par exemple…
2) Les contestataires ne sont pas « farouchement pro-européens et partisans d’un libéralisme extrême », mais simplement des gens désireux de jouir d’une liberté reconnue dans la majorité des pays civilisés, et tirer des textes européens le peu qu’ils ont de bon.
3) La controverse n’est nullement tranchée, et « l’obligation de s’affilier » n’est contestée par personne, pas plus que celle d’assurer sa voiture…
4) Conséquemment, il n’est nullement « normal dans un État de droit » d’engager contre eux des poursuites judiciaires, d’autant que les tribunaux des affaires de Sécurité sociale sont évidemment juges et parties. Curieusement, on vient de voter le durcissement de la loi punissant ceux qui inciteraient à l’évasion, alors que la loi ancienne n’a jamais été appliquée à personne.
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Une élue PS à soutenir
En août, Sabrina Hout, maire adjointe à la Famille à Marseille, a refusé de célébrer une union entre deux femmes. Un simple conseiller municipal, sans pouvoirs légaux, l'avait remplacée. Le mariage devrait être annulé et l'adjointe au maire a été contrainte de démissionner.
Le parquet de Marseille pourrait se contenter d'un simple rappel à la loi à l'ex-élue.
De leur côté, les deux femmes souhaitent «aller jusqu'au bout» de la procédure judiciaire et veulent que l'élue paye pour cette faute.
Le totalitarisme LGBT ne supporte pas l'objection de conscience.
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