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lobby - Page 1772

  • Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le film "Intouchables", témoigne contre l’euthanasie

    Un rapport a été remis au président de la République par deux députés en préparation d’une loi sur la fin de vie.

    Alors que les députés Alain Claeys (PS) et Jean Leonetti (UMP) ont remis au président de la République, vendredi 12 décembre, un rapport préparant l’élaboration d’une nouvelle loi sur la fin de vie, les opposants à l’euthanasie se font entendre. Philippe Pozzo di Borgo, tétraplégique depuis plus de vingt ans et dont l’histoire a inspiré le scénario du film Intouchables, livre, dans Le Parisien, un plaidoyer pour "aider à vivre, pas à mourir".

    "Pour l’avoir vécu, le grand handicapé, souvent souffrant, peut connaître des périodes d’abattement, de découragement, de grande solitude", confesse Philippe Pozzo di Borgo, paralysé à la suite d’un accident. Mais pour lui, "la facilité serait de proposer [à la personne handicapée] une fin de vie qu’elle ne pourrait pas refuser dans sa situation de vulnérabilité."

    La loi Leonetti a "fonctionné"

    L’homme d’affaires estime que la loi Leonetti, qui régit aujourd’hui la fin de vie en France, "a fonctionné", si l’on exclut "quelques cas très extrêmes et surmédiatisés".

    Philippe Pozzo di Borgo est le parrain d’un collectif anti-euthanasie, Soulager mais pas tuer. Formé fin novembre, il rassemble, selon Le Parisien, des handicapés, des acteurs des soins palliatifs, mais aussi l’Alliance Vita, un mouvement catholique qui s’était mobilisé contre le mariage pour tous.

    S’il ne parle pas d’euthanasie, le rapport remis vendredi à François Hollande évoque pour la première fois la possibilité "d’une sédation profonde et terminale jusqu’au décès" pour certains malades incurables qui en feraient la demande

    Vu sur Francetvinfo

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Philippe-Pozzo-di-Borgo-qui-a

  • Radio Courtoisie : « Mirko Beljanski et sa lutte contre le cancer » (Audio)

    Le dimanche 14 décembre 2014, dans l’émission “Le Libre journal des auditeurs et des musiciens” sur Radio Courtoisie, Didier Rochard recevait Monique Beljanski, veuve du scientifique Mirko Beljanski, afin de revenir sur les découvertes et les persécutions connues par le couple, à la suite de la mise sur le marché de produits naturels contre le cancer.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • La majorité des Français rejettent désormais le droit de vote des étrangers

    La gauche veut remplacer l’électorat qu’elle a perdu à force de mensonges… Mauvaise nouvelle pour elle : les Français tiennent encore à leur pays !

    Il y a quelques années, Coluche faisait rire en déclarant que  » si voter changeait quelque chose, il y a bien longtemps que ce serait interdit ». Ce trait d’humour est devenu, peu à peu, une certitude pour bon nombre de Français qui ne se déplacent même plus pour aller voter, à cause de décennies entières de mensonges politiciens.

    Les autres ont récemment poussé sur le devant de la scène le parti de Marine Le Pen. Le Front national est devenu le repère (contesté ou plébiscité) du jeu politique, la question identitaire étant sans conteste la motivation majeure de ses électeurs…

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  • Guerre des crèches : la "greffe d'une métaphysique laïque sur la nation ne prend pas"

    La chronique de Guillaume de Prémare sur Radio Espérance :

    "A quelques semaines de Noël, voici la France en pleine guerre des crèches. Est-ce le retour de la guerre de 1905 ? Je ne crois pas : l'Etat n'a aujourd'hui aucune envie de rallumer la guerre religieuse. Oh, il y a bien la hargne des vieux bouffeurs de curés, grisons et têtes chenues, vieux cons, quoi... mais je crois que l'affaire des crèches traduit une chose plus profonde. Je crois que nous assistons à une crise du fait religieux comme processus culturel. A mon avis,deux vieilles utopies jacobines sont en train de tomber : celle d'un espace public vierge de références religieuses, y compris traditionnelles et culturelles, et celle d'une communauté nationale unie autour d'une métaphysique laïque.

    Le premier point est assez simple : la religion, c'est-à-dire l'adhésion à une fois pratiquée en communauté selon certains rites, produit des phénomènes sociaux et culturels - c'est ce que l'on nomme le fait religieux. Oh, on peut sauter comme un cabri en criant "sphère privée", "sphère privée" - le fait religieux est là, dans l'espace public, irrépressible, têtu.

    Le second point est plus complexe. Ferdinand Buisson avait compris qu'il n'y aurait pas de communauté républicaine sans religion laïque. Il savait qu'aucune réalité politique ne s'incarne sur la durée sans transcendance ni métaphysique politique. D'une certaine manière, il faut un Dieu à la nation. Le problème est que la tentative historique d'une greffe d'une métaphysique laïque sur la nation ne prend pas. Pas davantage hier sous la Révolution qu'aujourd'hui en république post-révolutionnaire. Cette greffe ne prend pas car elle est inapte à opérer une incarnation populaire. Et elle prend d'autant moins aujourd'hui que l'identité historique traditionnelle de la France est de retour. C'est un fait. Le besoin d'identité revient par la grande porte de l'histoire et la mystique laïque s'épuise à tenter d'y répondre. Elle s'en aperçoit, se crispe, serre les mâchoires à la manière de Valls et sombre dans la vaine incantation répétant comme un manthra son credo auquel plus grand monde ne croit.

    Il est intéressant que ce profond besoin d'identité englobe de plus en plus le fait religieux. Ici le religieux devient un élément d'identité. Les catholiques peuvent certes s'en réjouir : après tout, n'y a-t-il pas un terreau culturel propice pour semer la foi ? Cependant, les catholiques ne peuvent vivre leur religion comme une simple composante d'une identité, comme un fait religieux principalement culturel. La religion des catholiques suppose une foi dans le Christ ressuscité. Cette foi, partagée à travers tant de cultures, de peuples et de nations ne fournit pas d'identité en elle-même, sinon celle de la personne du Christ. Si cette foi est surnaturelle, si elle est tendue vers la recherche de Dieu, elle produira naturellement une culture populaire authentique qui sera le terreau pour une nouvelle moisson chrétienne. Voilà pourquoiles catholiques ne peuvent regarder la guerre des crèches avec le même oeil que les autres : ils savent que sous l'écume des passions, il y a Dieu qui travaille la matière de l'histoire et qui appelle."

    Louise Tudy

  • La gauche, l'affaire Lepaon et la faillite des élites

    A son arrivée au pouvoir, François Hollande avait fait de "la République exemplaire" le leitmotiv de son quinquennat. Deux ans et demi plus tard, la gauche alimente la chronique des affaires, accréditant auprès de l'opinion l'idée d'une faillite générale des élites.

    Dernier épisode en date, la mise en cause du numéro un de la CGT, Thierry Lepaon, pour son train de vie, est venue s'ajouter à la récente démission de Kader Arif de son poste de secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et à celle de Faouzi Lamdaoui, conseiller de François Hollande à l'Elysée. "C'est gênant, cela donne le sentiment d'une litanie, d'un feuilleton", estime le politologue Frédéric Dabi (Ifop).

    "Lepaon avait, à raison, admonesté tel ou tel patron voyou. Mais, maintenant avec cette mise en cause, il alimente le refrain "faites ce que je dis, pas ce que je fais" et accrédite l'idée d'une faillite des élites. C'est la loi d'airain", ajoute-t-il.

    Jean-Daniel Levy (Harris-Interactiv) partage cette analyse sur une coupure entre la minorité dirigeante et la majorité dirigée. "Un responsable politique ou syndical a vocation à faire don de soi à la collectivité. Personne ne pense qu'ils doivent vivre comme tout un chacun, mais tous attendent d'eux une probité importante", explique-t-il.

    Pour inédits qu'ils soient, les démêlés du numéro un de la CGT n'auront pas "un grand impact" en eux-mêmes sur l'opinion publique, selon les analystes interrogés par l'AFP.

    En revanche, tous notent leur effet cumulatif néfaste sur la gauche, après les épisodes de Jérôme Cahuzac, Thomas Thévenoud, Aquilino Morelle (conseiller politique du chef de l'Etat contraint à la démission, ndlr), Kader Arif et Faouzi Lamdaoui. Et cela même si ces affaires sont de nature différente et ne préjugent pas la culpabilité des uns ou des autres.

    "La gauche ne peut plus se parer de vertu. Tout cela PARTICIPE d'un climat général. Et dans ces temps de crise, cela devient insupportable pour l'opinion", fait valoir Stéphane Rozès, président de Cap (Conseils, analyses et perspectives). Pour lui, le résultat sera, en termes électoraux, une abstention plus grande ou un vote en faveur du Front national.

    Néanmoins, sur ce dernier point, il estime que les affaires touchant l'UMP et le PS ne sont "pas la dynamique essentielle" du vote en faveur de Marine Le Pen. "La dynamique en faveur du FN, dit-il, est de nature politique reposant sur l'idée de s'opposer à une mise du pays sous contrainte extérieure".

    - 'Un voile noir' -

    Frédéric Dabi juge, pour sa part, que cette litanie mortifère d'affaires touchant la gauche, au moment où l'UMP en a elle aussi son lot, "favorise le vote en faveur du FN, des partis anti-système".

    "75% des Français considèrent les responsables politiques comme corrompus, mais finalement ils s'en accommodent", relève Jean-Daniel Levy, qui y voit pour preuve, par exemple, la réélection de Patrick Balkany (UMP) à Levallois-Perret. Il note qu'entre 2012 et 2014, "les traits d'image de Nicolas Sarkozy n'ont pratiquement pas bougé auprès des sympathisants UMP, hormis sur un point, l'honnêteté". L'ex chef de l'Etat, qui "est pourtant cité dans 11 procédures judiciaires, a été élu président de l'UMP", ajoute-t-il.

    Dans les années 90, moult affaires avaient émaillé la fin du deuxième septennat de François Mitterrand: financement occulte du PS, suicide de l'ex Premier ministre Pierre Bérégovoy, suicide d'un conseiller à l'intérieur même de l'Elysée, délits d'initiés, écoutes, etc. Mais, pour Stéphane Rozès, la défaite cinglante du PS aux législatives de 1993 s'explique davantage par "l'incapacité du pouvoir face à la montée du chômage" que par les affaires qui "ne faisaient alors qu'émerger".

    Quel sera l'impact sur François Hollande? Pour Jean-Daniel Levy, le chef de l'Etat "est encore un peu protégé". "Son rapport à l'argent n'est pas une critique qui émerge. Il est perçu comme un homme honnête, indépendant par rapport à l'argent".

    Pour l'avenir, et notamment son souhait de se représenter à la présidentielle de 2017, Frédéric Dabi est prudent. Il considère que le "feuilleton des affaires renvoie François Hollande à son anaphore "Moi, président..." qui sera alors utilisée comme un boomerang par ses adversaires". "C'est un voile noir sur un des leviers de sa victoire à la présidentielle de 2012", et cela met à bas "la République exemplaire" qu'il avait promise.

    Sylvie Maligorne

    Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuElupypuFuQwkuFiu.shtml

  • « L’uniformisation des médias »

    Armel Joubert des Ouches est allé à la rencontre du journaliste Eric Zemmour à l’occasion d’une conférence que ce dernier a donnée à Rennes mardi 9 décembre. Le journaliste et chroniqueur a été interrogé sur son dernier livre a succès « Le suicide français » paru chez Albin Michel. Le chroniqueur de RTL a évoqué notamment ce qu’il appelle « l’uniformisation des médias ». Son livre, véritable phénomène de librairie – il s’en vendrait plus de 5000 exemplaires chaque jour – démontre s’il en était besoin, de quelle manière la France a perdu, depuis la signature du traité de Maastricht en 1992, toute identité culturelle, toute souveraineté au profit d’une Europe devenue tentaculaire. Cette Europe s’est appuyée sur le vieux rêve de nombre de personnalités politiques françaises : « le modèle américain ». Eric Zemmour répond sans détour aux questions de Réinformation Tv.

  • « L’uniformisation des médias »

    Armel Joubert des Ouches est allé à la rencontre du journaliste Eric Zemmour à l’occasion d’une conférence que ce dernier a donnée à Rennes mardi 9 décembre. Le journaliste et chroniqueur a été interrogé sur son dernier livre a succès « Le suicide français » paru chez Albin Michel. Le chroniqueur de RTL a évoqué notamment ce qu’il appelle « l’uniformisation des médias ». Son livre, véritable phénomène de librairie – il s’en vendrait plus de 5000 exemplaires chaque jour – démontre s’il en était besoin, de quelle manière la France a perdu, depuis la signature du traité de Maastricht en 1992, toute identité culturelle, toute souveraineté au profit d’une Europe devenue tentaculaire. Cette Europe s’est appuyée sur le vieux rêve de nombre de personnalités politiques françaises : « le modèle américain ». Eric Zemmour répond sans détour aux questions de Réinformation Tv.

  • Front National : confier la culture à un militant homosexualiste, c’est rééditer les années Jack Lang

    Une excellente tribune de Jacques de Guillebon sur Nouvelles de France

    Marine Le Pen vient de commettre une grave erreur stratégique, si la nomination de Sébastien Chenu comme président du Collectif Culture du Rassemblement Bleu Marine est confirmée. Le pedigree du transfuge de l’UMP plaide en effet en faveur de la thèse maintenant courante d’une filière gay au sein du Front national et de ses partis affiliés.

    Cofondateur de Gaylib, Chenu s’est illustré par la publication d’une tribune favorable au mariage pour les couples homosexuels lorsqu’il était encore membre du parti de Nicolas Sarkozy et a été présenté par L’Express comme celui « qui gère les réseaux homos » de NKM durant la campagne municipale pour Paris. Que la politique française actuelle soit influencée par de puissantes coteries d’homosexuels, militants ou non d’ailleurs, qui ont tendance à se coopter les uns les autres comme le fait toute communauté, ou ce qui se considère comme telle, c’est un secret de Polichinelle. Secret seulement pour cette raison que personne n’ose le dire, apeurés que nous sommes par l’accusation d’homophobie, cette maladie introuvable. On attend encore l’enfant qui osera dire que le roi est nu. Le Front national n’échappe pas à cette règle, et l’on pourrait même dire qu’il est devenu l’avant-garde de cette mode. Il y a peu, l’on pouvait encore se moquer comme de sa première chemise que l’on dise d’untel qu’il en est. Cela ne revêtait nulle importance dans la conduite des affaires publiques. Mais la démocratie représentative a toujours été le jouet des groupes de pression, l’essentiel, ou le moindre mal, étant qu’elles parviennent à s’équilibrer et que l’Auvergnat ne domine le Corse, ni le protestant la féministe. […]

    La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Front-National-confier-la-culture

  • Avortement, euthanasie : mêmes combats de la culture de mort, mêmes opposants

    Jacqueline Jencquel est membre de l'ADMD et milite pour l'euthanasie. Partisane également de l'avortement, elle place ces deux atteintes au respect de la Vie au rang de libertés individuelles en les nommant IVG et IVV (Interruption Volontaire de Vie) :

    "Il y a 40 ans, jour pour jour, que Simone Weil (sic) a défendu devant une assemblée composée uniquement d’ hommes la loi qui porte aujourd’ hui son nom.

    Aujourd’ hui, nous essayons de faire accepter une loi semblable : interruption volontaire de vie… Nous avons les mêmes opposants que jadis… Ceux qui pensent que la vie ne nous appartient pas, tout comme ceux qui pensaient que le corps d’une femme ne lui appartient pas(...)

    Dans les deux cas, IVG et IVV, il s’ agit de libertés individuelles et ce ne sont pas les autres qui peuvent décider pour nous. Notre corps est à nous , notre vie et notre mort aussi.

    "En ce 40ème anniversaire de la loi Veil, l'avortement vient d'être érigé par l'Assemblée Nationale en "droit fondamental". Si vous ne souhaitez pas qu'il en advienne de même pour l'euthanasie et si vous souhaitez affirmer votre opposition à l'avortement et à la loi Veil qui "a initié un mouvement de déshumanisation" et entraîné "un dérèglement bioéthique en cascade", alors venez nombreux à la Marche pour la Vie le 25 janvier 2015.

     Lancement-site

    Philippe Carhon

  • Agression de Créteil : nouvel exploit des journalistes de propagande

    Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs ? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés ?

     

    Je ne sais pas ce qu’il faut penser des journalistes ; je ne sais pas s’il faut les plaindre ou les admirer. À quelle sévère gymnastique ne doivent-ils pas s’astreindre lorsque surgit la déplaisante réalité ! À quelle espèce de torture ne sont-ils pas forcés de soumettre les mots pour leur faire dire une autre réalité ! C’est un art subtil qui consiste à rapporter tout en dissimulant, à imposer sa vision tout en revendiquant l’« objectivité ».

    À Créteil, un couple juif est séquestré à son domicile par trois hommes. La femme est violée et l’appartement cambriolé. Qui sont les agresseurs ? La question est sensible, d’autant plus que, d’après le témoignage des victimes, le caractère antisémite de l’agression semble avéré. Quand les journalistes, de surcroît, découvrent les prénoms des délinquants, le traitement de l’information devient pour eux un exercice infiniment délicat.

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