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lobby - Page 1769

  • Non, le Grand Remplacement n’est pas une « vision complotiste » !

    Entretien avec Renaud Camus

    Marine Le Pen, dans une interview au JDD parue ce dimanche, estime que « le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste ». Fait-elle, selon vous, une interprétation erronée de votre analyse ?

    Totalement erronée, en l’occurrence ; et ce n’est pas « selon moi », parce que mon analyse, je la connais, et il n’y est nulle part question du moindre complot. J’ai beaucoup de respect pour Marine Le Pen, j’admire son courage, sa détermination, son patriotisme et son sens politique mais, sur ce point particulier, c’est son sens politique qui lui joue des tours. Elle aura voulu, j’imagine, par prudence, ne pas paraître assumer un syntagme, Grand Remplacement, dont elle a craint qu’il ne parût trop radical. Hélas, ce n’est pas l’expression Grand Remplacement qui est radicale, c’est la sinistre réalité de ce qu’elle désigne. Le Grand Remplacement n’est pas une théorie, ce n’est pas un concept, à peine une notion, moins encore un fantasme, comme dit la presse remplaciste, ou une « vision complotiste ». Plût au ciel que ce fût tout cela, et rien d’autre ! C’est ce que nos yeux constatent tous les jours et que les sociologues de cour s’acharnent à nier : le simple fait que dans nos rues, nos rames de métro, nos écoles, nos écoles maternelles et nos maternités surtout, sur des pans entiers du territoire, il y avait un peuple et que, à sa place, il y en a un ou plusieurs autres.

    Accuser tel ou tel d’entretenir une « théorie du complot » ou une « vision complotiste », c’est un vieux procédé rhétorique de journalistes qui ne connaissent pas leur dossier pour déconsidérer des thèses qu’ils veulent étouffer. Je regrette de voir Marine Le Pen y avoir recours, comme si elle voulait se concilier les remplacistes : une tâche impossible. Je n’ai jamais parlé de complot. On me reproche au contraire, en général, d’être flou sur les causes du Grand Remplacement. Et là c’est moi qui suis prudent, car j’essaie d’unir, pas de diviser. En fait je crois à un faisceau convergent d’intérêts et d’interdits qui, tous, tendent à la fabrique de l’homme remplaçable, interchangeable à merci. Mais si je ne devais nommer qu’une seule cause elle me vaudrait un point Godwin, car je dirais : Hitler. À force d’opérer et de réopérer l’Europe du cancer hitlérien, on lui a enlevé la plupart des organes indispensables à sa survie.

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  • La quinzaine de la propagande à Bordeaux

    Lu ici :

    "La création de « l’Observatoire bordelais de l’Egalité » ne suffisait pas à Alain Juppé. Il faut désormais tenter d’éveiller la conscience des bordelais à cette thématique. Le maire de Bordeaux a donc décidé d’organiser, du mercredi 12 au jeudi 27 novembre 2014, « la quinzaine de l’égalité, la diversité et la citoyenneté ».

    Dans cette première édition qui « mêlera tables rondes, expositions, manifestations culturelles et sportives », les bordelais pourront assister à de nombreux évènements : La traditionnelle exposition sur les « arrestations, internements et déportations » (conçue pour le Consistoire de la Gironde), des conférences de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) dont un film sur son ancien président (Jean Pierre-Bloch) projeté au sein de la mairie et un débat sur l’esclavage conduit par Louis-Georges Tin, du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) ainsi que bien d’autres « œuvres de culpabilisation » comme le décrivait récemment l’écrivain Eric Zemmour.

    Mais les électeurs de droite n’ont pas fini d’être surpris par un programme que l’on croirait concocté par Bertrand Delanoë. Une conférence sur la « Transphobie » sera organisée dans les salons de la mairie par l’enseignant Stéphanie Nicot, homme qui a transformé son état civil (né Stéphane). Une autre sur le thème « Homosexualités et spiritualités », avec pour intervenant Jean-Christophe Testu, président du centre LGBT « le Girofard », et un concert d’un collectif de Roms (Chakaraka). Les bordelais pourront également se rendre à l’exposition « Moving beyond borders » organisée par un collectif d’associations proches de l’extrême-gauche et dénonçant le contrôle de l’immigration, ou encore venir écouter « des artistes du Jamel Comedy Club ».

    Au début du mois d’octobre, Alain Juppé déclarait sur son site internet qu’il fallait « éviter les controverses ou les clivages inutiles qui ne répondent à aucune préoccupation prioritaire des Français »…"

    Michel Janva

  • La Hongrie menace de quitter l’UE

     

    Un nouveau scandale a éclaté cette semaine dans la noble famille européenne. La Hongrie a menacé de se retirer de l’UE. Le président du parlement hongrois Laszlo Kövér a fait comprendre que si Bruxelles dictait à la Hongrie la façon de gouverner le pays, elle pourrait quitter l’UE.

     

    La question des sanctions antirusses et la demande de réformes intérieures adressée par l’UE à la Hongrie, poussent de plus en plus souvent les politiques de Budapest à réagir très vivement. Si auparavant, ces réactions ne concernaient que des politiques bruxellois concrets, il s’agit cette fois de l’ensemble de l’UE. Les conflits opposant Bruxelles à Budapest éclatent de plus en plus souvent depuis quelques années et portent la plupart du temps sur la politique intérieure appliquée par la Hongrie qui refuse de réduire son programme social et n’est pas prête à adapter son système politique aux normes de l’UE.

    Iouri Bondarenko, directeur du Centre russo-polonais « Dialogue et Concorde », estime que le « divorce » que la Hongrie est en train de consommer avec l’UE et l’OTAN, coule de source :

    « Je crois que la Hongrie finira par se retirer de l’UE de son plein gré ou y sera contrainte. Je ne peux rien dire au sujet de sa participation à l’OTAN parce que cela dépend de l’évolution de la situation en Ukraine mais son retrait de l’Alliance n’est pas à exclure non plus. C’est que la classe politique hongroise est déterminée à défendre les intérêts nationaux qui vont à l’encontre de ceux de Bruxelles. »

    Ces derniers temps, Bruxelles critique de plus en plus vivement Budapest au sujet de sa position concertant les sanctions antirusses. La politique menée par l’UE est qualifiée de contreproductive en Hongrie qui refuse de s’y joindre. Selon Laszlo Kövér, « si Bruxelles nous dicte comment gouverner le pays, il s’assimilera à Moscou avant la chute du régime en 1989 ». Fait paradoxal, Budapest estime actuellement que les relations avec Moscou sont plus prometteuses que celles qu’il entretient avec Bruxelles. Kövér avait également souligné que le fait même d’être membre de l’UE et de l’OTAN n’était pas un problème pour la Hongrie mais que par contre « l’attitude spéciale » de Bruxelles envers ses affaires intérieures devenait de plus en plus importune au fil des ans. [....]

    La suite sur La Voix de la Russie

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Hongrie-menace-de-quitter-l-UE

  • EELV, Rémi Fraisse : Non à l’insurrection light !

    EELV ? Des traitres à la cause écologiste

    Depuis quelques jours nous voyons les pleureuses politico-gaucho-écolos mettre à l’index les forces de l’ordre, sur toutes les radios et télévisions de France. Odieux et abject.

    Ces escrocs de la cause écologiste ont laissé leurs troupes, zadistes ou issus d’autres organisations anarchistes, faire la sale besogne, affronter les casques à boulon, balancer des pétards incendiaires, pour recevoir en échange lacrymos et grenades offensives dans la tronche. Mais bien évidement, ces respectables représentants du mouvement écologiste, députés, anciens ministres et verbeux qui monopolisent les médias, les Placé, les Duflot, les Mamère, eux ne mettront pas leurs misérables abatis en première ligne. Ils sont au-dessus de la mêlée et depuis les palaces parisiens et les bureaux du Sénat, se contentent de souffler sur les braises afin de déstabiliser et se venger d’un gouvernement traitre à leurs yeux. On est ici dans la tambouille politicienne et la lutte d’influence entre gauche libérale et extrême-gauche.

    Nous voyons ainsi régulièrement des affrontements se produire dans nos villes, entre militants écolos tendance Black Box et forces de l’ordre tendance tonfa, pour la défense de la noble cause du tyrrhenaria ceratina, du zingel aspe ou pour lutter contre les gros zavions au-dessus de Notre-Dame-des-Landes (on pourra d’ailleurs se demander quel est donc l’empreinte écologique de tous ces cocktails Molotov lancés par les Bové-Panzergrenadier…). A part quelques abribus brisés et des façades de banques vandalisées, franchement, ça reste bon-enfant. Puis un jour, comme ce 18 octobre dernier, arrive un de ces évènements tant attendu par la clique d’EELV pour légitimer leurs tristes desseins : le sacrifice d’un petit soldat.

    Les voilà enfin rassurés nos boutefeux. Ils ont enfin leur Malik Oussekine. A minima, ce projet de barrage va être interrompu, une crise gouvernementale majeure pointe peut-être même à l’horizon.

    Ce qui n’a pas réussi à Notre-Dame-des-Landes aura réussi à Sivens. Le gouvernement tombera peut-être à cause de ce drame. Ou pas. Sinon, il faudra remettre ça et renvoyer les poilus dans les tranchées, hein les gars ? A la ferme des 1000 vaches ? A la ZAD du bois du Tronçay ? Peu importe le lieu ou le motif, ils ne cherchent que le sang, le sang qui fait vaciller les gouvernements. Pas leur sang bien sûr, mais celui de la piétaille des ZAD et des groupuscules gauchistes qui ne se rendent même pas compte qu’ils sont les jouets d’une œuvre diabolique. Jean-Baptiste Baudin est mort lui en 1851 sur la barricade de la rue Sainte-Marguerite pour 25 francs par jour. A quoi seriez-vous prêts pour 12 000€ par mois, monsieur Placé ? Autres temps, autres mœurs. [....]

    La suite sur le blog de notre ami Soudarded

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?EELV-Remi-Fraisse-Non-a-l

  • Un leader du lobby gay condamné pour pédophilie en Suède

    Lu sur Media-presse-info :

    "Stefan Johansson, ancien président de la Fédération suédoise pour l’égalité sexuelle (RFSL) de Halland, a été condamné le 24 octobre à cinq ans de prison pour viol, proxénétisme et exploitation sexuelle d’enfants.

    Selon la presse locale, Johansson, 44 ans, donnait alcool et drogues à des mineurs en échange de relations sexuelles. Il aurait aussi détourné 3000 $ donnés pour des recherches sur le sida.

    Dans un message diffusé sur son profil Facebook le 18 juillet 2013, Johansson invitait à l’événement « Journée d’Education» organisée le 29 mai 2013 à propos des personnes «LGBT  avec expérience dans la vente ou la location de services sexuels» et spécialisée dans  «les jeunes qui se prostituent sur ​​Internet « .

    La RFSL, dont Stefan Johansson fut un dirigeant, a été fondée en 1950 et dépasse les 6.000 membres. Depuis 2007, elle est reconnue par les Nations Unies comme ONG avec statut consultatif.

    Cette organisation a été l’un des principaux promoteurs de la légalisation du « mariage » homosexuel en Suède, en 2009. Elle entretient des relations avec le Groupe de travail pédophilie qui promeut la légalisation de relations sexuelles entre adultes et mineurs. Cette organisation du lobby LGBT est le représentant suédois de l’Association internationale des lesbiennes, gays, bisexuels, trans et intersexes (ILGA), qui avait également compté autrefois parmi ses associations adhérentes une organisation hollandaise de promotion de la pédophilie.

    En plus de cinq ans de prison, le tribunal a condamné Johansson à payer  60 000€ ."

    On remarquera que les Nations unies ne rechignent pas à prendre ce genre d'organisation comme élément consultatif... 

    Marie Bethanie

  • Euthanasie : « une mauvaise réponse à une question qui ne se pose pas »

    Lu sur Gènéthique :

    "Dans une tribune proposée dans le magasine Valeurs actuelles, Damien le Gay, membre du comité scientifique de la SFAP (Société française d’accompagnement et de soins palliatifs) constate que l’accablant rapport Sicard de 2012 sur la fin de vie n’a été suivi d’aucun effet : « Les français redoutent de mourir à l’hôpital, ils craignent l’indignité constatée et sont certains qu’ils n’auront alors plus leur mot à dire. Ils souhaitent plus de confort, plus d’écoute, plus de soins palliatifs. Et comme tout se fait attendre toujours et encore, ils disent vouloir l’euthanasie – de guerre lasse, sans enthousiasme, résignés qu’ils sont. Plutôt que d'entendre les doléances, on ne retient que la mauvaise solution. »"

    Michel Janva

  • Ukraine : l’Europe à la remorque des Américains

    Le comportement chaotique et ambigu de la diplomatie des membres de l’Union européenne traduit l’absence totale de vision géopolitique de celle-ci.   

    Le conflit qui se déroule depuis plusieurs mois en Ukraine est une parfaite illustration d’une constante de la géopolitique anglo-saxonne : s’opposer par tous les moyens à la constitution d’un bloc continental euro-russe.

    Cette stratégie très ancienne – elle remonte, en effet, au XVIIIe siècle, a été théorisée dès 1904 par H.J. Mackinder et complétée, beaucoup plus tard, par N. Spykman – s’est manifestée dans la politique de « containment » (« endiguement »), définie pendant la guerre froide par John Foster Dulles et appliquée sans interruption depuis lors. Elle est sous-jacente dans la pensée de Zbigniew Brzeziński telle qu’elle est exprimée dans Le Grand Échiquier. C’est elle qui inspire également le récent article de George Soros publié dans la presse européenne le 24 octobre dernier et qui présente l’Union européenne, selon ses propres termes, comme « de facto en guerre ». L’arrimage de l’Ukraine à l’Occident, son intégration dans l’OTAN et dans l’Union européenne sont alors conçus comme des moyens de déstabilisation et, à terme, de dislocation de la Russie.

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  • "BHL, dégage" !

    Après l'échec de sa pièce, BHL subit un comité d'accueil musclé à l'aéroport de Tunis. Serait-il sur une pente descendante ? Peut-être serait-il temps pour lui de prendre sa retraite...

     

    Marie Bethanie

  • -Télé censure Bernard Lugan pour ne pas dévoiler les mensonges sur l’Afrique

    En décembre 2011, dans le cadre de son émission quotidienne Ménard sans interdit, Robert Ménard enregistre un entretien avec l’africaniste Bernard Lugan à l’occasion de la parution de son essai Décolonisez l’Afrique. Au dernier moment, l’émission est déprogrammée à la demande d’Albert Ripamonti, directeur d’i-Télé. Ici, la censure se fait brutale et sans gants. Il est en effet aujourd’hui interdit de dire sur une télévision française que « les Africains ne sont pas des Européens pauvres à la peau noire », que « la repentance européenne, plus la victimisation africaine, débouchent sur une Afrique immobile », que « l’ingérence humanitaire est un impérialisme hypocrite » ou que « le Printemps arabe fut un miroir aux alouettes ». Il est vrai que dans le bêlement généralisé consécutif au « Printemps arabe », Bernard Lugan fut l’un des rares analystes à avoir douté que les soulèvements donneraient naissance à des démocraties à l’anglaise... Crime impardonnable ! Et tant pis si, dès l’été, les islamistes s’installaient partout au pouvoir... 

         Il y a de la pensée magique dans la doxa politiquement correcte. Un spécialiste a beau avoir des idées et des arguments en béton, s’il ne cadre pas avec la « réalité » telle qu’on veut la voir dans les rédactions, tant pis pour lui. Et tant pis pour le spectateur ! 

    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique

    http://www.oragesdacier.info/