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lobby - Page 1774

  • LMPT était devant le Sénat contre la GPA

     

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    La Manif Pour Tous, qui estime que la Circulaire Taubira est un passeport pour la GPA, dénonce une décision politique et idéologique contraire à l’intérêt de l’enfant et à la dignité de la femme et étudie d’ores et déjà les conditions du recours à venir devant le Comité des Droits de l’Enfant de l’ONU basé à Genève (Committe on the Right of the Childs).

    Et pour le député Poisson :

    "Cette décision est aberrante, et profondément révélatrice de l’hypocrisie absolue de ce gouvernement. En somme, la GPA est interdite, mais rien n’est fait pour l’entraver, bien au contraire ! En fin de compte, la question est simple : cette pratique est-elle ou non ignoble ? Devons-nous ou non consacrer toutes nos forces à l’interdiction, au découragement de cette pratique qui est une manifestation barbare ? Pour ma part, j’estime qu’il faut l'interdiction stricte de cette pratique sur le territoire national. Cela veut dire que les personnes qui sont allées à l'étranger, qui ont recouru à une mère porteuse, c'est à dire qui ont instrumentalisé le corps d'une autre personne pour atteindre leurs objectifs, doivent tirer les conséquences de leur responsabilité. Elles doivent s'établir à l'étranger si elles le souhaitent."

    Michel Janva

  • South Stream bloqué, la « claque » des USA à l’Europe,

     « La Russie pour le moment est obligée de se retirer du projet South Stream, à cause du manque de volonté de l’Union européenne de le soutenir et du fait qu’elle n’a toujours pas reçu l’autorisation par la Bulgarie de faire passer le gazoduc sur son propre territoire ».

    Voilà comment le président russe Vladimir Poutine a annoncé l’arrêt du projet South Stream, le gazoduc qui aurait dû amener le gaz russe dans l’Union européenne à travers un corridor énergétique méridional, sans passer par l’Ukraine. De cette façon, écrit l’Ansa (principale agence de presse italienne, ndt), Moscou « donne une claque à l’Europe ». En réalité c’est Washington qui donne une autre forte claque à l’Europe, en bloquant un projet de 16 milliards d’euros qui aurait pu être de grande importance économique pour les pays de l’UE, en commençant par l’Italie où aurait dû être construit le terminal du gazoduc.

    Pour comprendre ce qui s’est passé, il faut reprendre l’histoire du South Stream. Le projet naît de l’accord de partenariat stratégique, stipulé par la compagnie publique russe Gazprom et par l’italienne Eni en novembre 2006, pendant le gouvernement Prodi II. En juin 2007 le ministre pour le développement économique, Pierluigi Bersani, signe avec le ministre russe de l’industrie et de l’énergie le mémorandum d’entente pour la réalisation du South Stream. Le projet prévoit que le gazoduc sera composé d’un tronçon sous-marin de 930 Km à travers la Mer Noire (en eaux territoriales russes, bulgares et turques) et par un tronçon sur terre à travers Bulgarie, Serbie, Hongrie, Slovénie et Italie jusqu’à Tarvisio (Province d’Udine). En 2012 entrent aussi dans la société par actions qui finance la réalisation du tronçon sous-marin la société allemande Wintershall et la française Edf à hauteur de 15% chacune, alors qu’Eni (qui a cédé 30%) détient 20% et Gazprom 50% des actions. La construction du gazoduc commence en décembre 2012, avec l’objectif de lancer la fourniture de gaz pour 2015. En mars 2014, Saipem (Eni) s’adjudique un contrat de 2 milliards d’euros pour la construction de la première ligne du gazoduc sous-marin.

    Entre temps, cependant, éclate la crise ukrainienne et les Etats-Unis font pression sur les alliés européens pour qu’ils réduisent les importations de gaz et de pétrole russes. Premier objectif étasunien : empêcher la réalisation du South Stream. A cet effet Washington exerce une pression croissante sur le gouvernement bulgare pour qu’il bloque les travaux du gazoduc. D’abord il le critique pour avoir confié la construction du tronçon bulgare du gazoduc à un consortium dont fait partie la société russe Stroytransgaz, sujette à des sanctions étasuniennes. Puis l’ambassadrice US à Sofia, Marcie Ries, avertit les hommes d’affaires bulgares d’éviter de travailler avec des sociétés sujettes à des sanctions de la part des USA. Un grand coup de main est donné à Washington par le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, qui annonce l’ouverture d’une procédure Ue contre la Bulgarie pour de présumées irrégularités dans les appels d’offre du South Stream. Le moment décisif est celui où, en juin dernier, arrive à Sofia le sénateur étasunien John McCain, qui rencontre le premier ministre bulgare Plamen Oresharski en lui transmettant les ordres de Washington. Immédiatement après Oresharski annonce le blocus des travaux du South Stream, dans lequel Gazprom a déjà investi 4,5 milliards de dollars.

    En même temps la compagnie étasunienne Chevron commence les perforations en Pologne, Roumanie et Ukraine pour extraire les gaz de schiste bitumineux, par la technique de fracturation hydraulique : on injecte dans les strates rocheuses profondes des jets d’eau et de solvants chimiques à haute pression. Cette technique est extrêmement dangereuse pour l’environnement et la santé, à cause surtout de la pollution des nappes phréatiques. Le projet de Washington de remplacer le gaz naturel russe, importé par l’Ue, par celui extrait des schistes bitumineux en Europe et aux Etats-Unis, est un véritable bluff, à la fois par ses coûts élevés et par les dommages environnementaux et sanitaires de cette technique d’extraction. Et, en effet, en Pologne et en Roumanie plusieurs communautés locales se rebellent.

    A la suite du blocus de South Stream, a annoncé Poutine, la Russie est obligée de « réorienter ses fournitures de gaz ». Celles destinées à la Turquie vont augmenter, à travers le gazoduc Blue Stream. Et vont augmenter surtout celles vers la Chine. Gazprom lui fournira, d’ici 2018, 38 milliards de mètres cubes de gaz par an, c’est-à-dire environ un quart de celui qu’elle fournit aujourd’hui à l’Europe. Se servant aussi d’investissements chinois prévus pour 20 milliards de dollars, Moscou projette de potentialiser l’oléoduc entre la Sibérie orientale et le Pacifique, en l’accompagnant d’un gazoduc de 4000 Km pour approvisionner la Chine. Pékin est aussi intéressé pour des investissements en Crimée, notamment pour la production et l’exportation de gaz naturel liquéfié.

    Les perdants sont les pays de l’Ue : la Bulgarie, par exemple, devra renoncer à des droits de transit de l’ordre de 500 millions de dollars annuels. En Italie, à peine annoncée l’arrêt du projet South Stream, l’action Saipem en bourse a subi, à la suite des ventes, une chute continue, descendant au niveau le plus bas des six dernières années. Avec le blocus de South Stream, Saipem perd, outre le contrat pour la construction de la première ligne du gazoduc sous-marin, un autre contrat pour les travaux de support de la seconde ligne, pour une valeur totale de 2,4 milliards d’euros, auxquels se seraient ajoutés d’autres contrats si le projet avait été poursuivi.

    On prévoit de lourdes répercussions sur l’emploi. A la suite de l’effacement du projet South Stream seront annulées ou re-dimensionnées les nouvelles embauches que Saipem prévoyait pour augmenter ses propres effectifs en Italie. On n’exclut pas non plus une coupe dans les effectifs actuels. L’effacement du projet South Stream assène donc un coup dur non seulement à Saipem mais à d’autres secteurs de l’industrie et des services, au moment critique où chute la production et, en conséquence, l’emploi. Il suffit de penser que le terminal de Tarvisio, prévu dans le projet originaire, aurait pu être le hub de distribution du gaz russe et donc source de fortes recettes et augmentation de l’embauche.

    Tout cela est à présent devenu vain. Tandis que tirent avantage de cet arrêt du South Stream les compagnies étasuniennes comme Chevron, engagées à remplacer le gaz russe fourni à l’UE.

    Il ne reste qu’à remercier « l’ami américain ».

    Manlio Dinucci 3/12/2014

    Sources :

    -Edition de mercredi 3 décembre de il manifesto sous le titre South Stream, USA e getta
    Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
    -Avenir en face.blogspot.fr

    http://www.polemia.com/south-stream-bloque-la-claque-des-usa-a-leurope/

  • [Tribune libre] Chers babtous, redevenons maîtres chez nous ! – par Stella Costanzo

    Dimanche 23 novembre, il est 17h quand un CRS et sa femme sont en voiture. Victimes de la mauvaise conduite d’un automobiliste, ils vont être pris à partie par ce dernier et son passager, qui vont leur faire vivre un véritable calvaire. Descendus de leurs voitures, la situation va vite, comme toujours, dégénérer : insultes, coups de poing et de pieds pleuvent sur le CRS. Sa femme, qui tente de s’interposer, va alors goûter aux joies du multiculturalisme : « Sale française ! Sale race ! », lui lancent-ils. Aussi choquant que ce fait – pas si divers – puisse paraître, il est pourtant loin d’être isolé et… anodin.

    Mars 2014, Reims : un garçon se promène et se fait traiter de« Sale Blanc ! », avant d’être roué de coups ; juin 2014, Ormesson : un père de famille policier et sa femme sont tabassés à coup de« Sales Blancs ! »… sans oublier ce désormais célèbre mais néanmoins sordide viol qui a eu lieu à Évry, où une mineure a été torturée puis battue jusqu’au sang parce qu’elle est« blanche », qu’elle« mange du porc »et que « toutes les Françaises sont des putes ».Inutile de préciser l’origine des criminels qui ont été inculpés pour viol, et pour racisme… un racisme qui n’est pourtant pas reconnu malgré l’extrême et progressive récurrence des faits, et même déclaré comme une« imposture » par Sihem Souid, chargée de mission au ministère de notre très chère Taubira. Tout un symbole.

    Journalistes, politiques, et associations prétendument antiracistes sont restés bruyamment muets suite à cette horrible affaire : l’omerta et la négation sont de mise lorsque les victimes ne sont pas d’origine immigrée. Dominique Sopo, président de SOS Racisme, soutenait même au micro de RMC en 2011 :« Le racisme antiblanc est une notion qui a été forgée par l’extrême droite et le FN depuis des années ». Étrange de rendre coupable l’extrême-droite quand le racisme antiblanc n’est le fait que de la diversité, des« chances pour la France ». Un phénomène bien ancré dans la réalité, et dans les centaines de clips de rap qui appellent à la haine du Blanc, du « babtou » bien trop souvent. Tout aussi réel quand même un élu de la Nation ose se lamenter, à plusieurs reprises, de voir« trop de Blancs »au Sénat. SOS Racisme ne représente décidément plus personne, et surtout pas les Blancs, puisque 84% des Français reconnaissaient l’existence du racisme antiblanc (enquête Fondapol, novembre 2014) et trouvaient même qu’il se développe selon 56% d’entre eux (sondage TNS-Sofres, septembre 2012).

    Le racisme antiblanc, tout comme la natalité extra-européenne, est aujourd’hui en pleine expansion en France et en Europe. La société multiculturelle, jadis présentée comme le remède à tous nos maux, est en fait la principale coupable de cette barbarie francophobe. Les tensions communautaires sur notre sol ne sont dûes qu’à la pluralité ethnique engendrée par 40 années d’immigration massive. On peut souvent entendre que les sociétés multiculturelles sont multiracistes : le racisme antiblanc en est bien la preuve. Pour lutter efficacement contre ce tabou, les sanctions judiciaires, quand elles sont données, restent profondément insuffisantes étant donné que ces agressions puisent leurs racines dans ce terreau multiethnique. Cette violence à l’égard des Blancs, des autochtones, est l’énième confirmation que le vivre-ensemble ne peut fonctionner. Par conséquent, la seule solution pacifique pour mettre fin à ce drame est la remigration, soit le retour au pays.

    Pour la paix civile, il est temps de renvoyer chez elles les personnes qui ont pour unique moteur la haine de la France et des Français. Chers babtous, redevenons maîtres chez nous !

    Stella Costanzo, militante à Génération Identitaire, @JeuneAthena

    http://fr.novopress.info/179764/chers-babtous-redevenons-maitres-chez-nous-par-stella-costanzo/#more-179764

  • Délinquance et « victimation » : manipulations médiatiques et statistiques

    « Tout va très bien, madame la marquise… tout va très bien » : les médias à l’unisson se sont félicités de la publication du dernier rapport de victimation de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénale (ONDRP).

     

    Et pour cause ! Tous n’ont que deux sources qu’ils recopient gentiment : l’AFP et le chargé de communication de l’observatoire, Cyril Rizk, un attaché administratif, ancien communicant de la mairie socialiste de Poitiers.

    Et l’article de l’AFP est truffé d’approximations et d’erreurs.

    L’une est de grande taille : tous les médias, à la suite de l’AFP, ont parlé de chiffres de 2014, sous-entendant que la situation ne s’est pas dégradée avec les socialistes. Or, l’enquête a été conduite début 2013 et porte sur les années 2011 et 2012…

    Si stabilisation il y a eu, elle est donc antérieure à l’avènement de François Hollande, Valls et Taubira.

    Au demeurant, cette stabilisation est douteuse. Il faut lire la page 62 du rapport intitulé « point méthodologique » : on y apprend que le nombre de « répondants » a baissé, tombant à 14.500 au lieu de 17.000 les années précédentes. Parce que le « taux de collecte », c’est-à-dire le nombre de gens qui acceptent de répondre par rapport au nombre de logements de l’échantillon, a nettement baissé. Et curieusement, c’est en Île-de–France, où la délinquance est élevée, que le taux chute inexplicablement de 65 % de répondants à 35 %.

    Sans importance, bien sûr, car aucun « journaliste » ne s’est reporté à la source originale (62 pages, plus de 50 tableaux). Et, d’ailleurs, le lien numérique vers celle-ci n’est indiqué nulle part [PDF].

    C’est vrai, c’est dangereux, Internet : les Français pourraient y découvrir des choses qu’il convient de leur cacher. Par exemple, que le nombre de ceux (sous réserve de la validité statistique) qui sont victimes de violences hors de chez eux s’élève en 2011/2012 à 1.626.000. S’il y a une « accalmie », elle est à un niveau élevé : 12,3 % de la population des plus de 14 ans.

    À la lecture du rapport, les Français auraient pu découvrir que beaucoup d’évolutions dont on leur a parlé ne sont pas « statistiquement significatives ». En revanche, la progression du « sentiment d’insécurité dans les quartiers et les villages » progresse bel et bien de manière statistiquement significative selon les auteurs : 22,1 %, en augmentation de 11 % par rapport à 2007. Or, le sentiment d’insécurité, c’est ce qui limite la liberté d’aller et venir et donc le risque d’être agressé à l’extérieur de chez soi…

    L’analyse des chiffres montre aussi la très grande faiblesse des infractions les plus médiatisées : ainsi les injures à caractère « raciste, antisémite, xénophobe ou homophobe » (hou, hou comme c’est vilain !) ne représentent que moins d’une injure sur cinq… et stagnent malgré leur médiatisation frénétique.

    Bref, dans cette affaire comme dans d’autres, les « experts » gouvernementaux ont montré tout leur art de l’enfumage : échantillon biaisé, étude opportunément synthétisée et commentée de manière orientée, temps d’avance donnée à l’AFP et non-médiatisation du lien numérique.

    Quant aux « journalistes » des médias de l’oligarchie, ils ont montré toute l’étendue de leur talent : la paresse au service de la propagande.

    Jean-Yves Le Gallou

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuElkluyFEOfGSIYJr.shtml

  • 25 janvier : marcher pour réaffirmer le droit à la vie

    Julie Graziani, porte-parole du collectif Ensemble pour le bien commun, de «Familles plumées» et de la Marche pour la Vie, signe une tribune dans le Figarovox incitant à participer à la prochaine Marche pour la vie du 25 janvier :

    M"Notre civilisation judéo chrétienne, humaniste, laïque et républicaine peut s'enorgueillir d'avoir inlassablement promu la protection du faible contre le fort, du pauvre contre le puissant. La solidarité avec les plus vulnérables est un devoir qui est au cœur de notre pacte social et, au-delà, de notre qualité d'être humain.

    Cette solidarité inclut bien évidemment les soins et l'attention que nous devons aux personnes en fin de vie pour les accompagner vers leur mort en soulageant leurs souffrances physiques et psychiques.

    Allons-nous perdre le sens de cette humanité élémentaire au gré d'odieuses tractations politiciennes et d'une propagande massive de la bien mal nommée «Association pour le droit de mourir dans la Dignité»? Cette semaine, pour satisfaire les revendications des radicaux de gauche qui ne se sont ralliés à la majorité qu'à cette condition, un nième rapport utile au Président de la République et au Premier Ministre pour une modification législative sur la fin de vie est rendu public.

    Quelles que soient les circonvolutions employées ou termes utilisés (fin de vie, sédation profonde, terminale, etc.) des communications récentes indiquent que ce rapport s'inscrit dans la logique des documents publiés sur le même enjeu depuis 2012:on veut amener l'opinion publique à accepter l'autorisation de tuer des personnes fragilisées par l'âge, le handicap ou la maladie. Autrement dit à accepter l'euthanasie.

    Avec des mots simples, libres des arguties du rapport Léonetti-Claeys et des fausses évidences des promoteurs de l'euthanasie,nous réaffirmons que le droit à la vie est un droit fondamental, inconditionnel, ouvert à tous les êtres humains sans distinction liée à l'âge, à l'état de santé ou au stade de développement.Toute exception apportée à ce principe, même sur le mode du régime dérogatoire, ouvre une brèche qui n'aura de cesse que de s'élargir. Il suffit de voir ce qu'est devenu l'avortement autorisé à titre d'exception en 1975 et présenté aujourd'hui par certains comme un droit fondamental.Regardons aussi l'exemple de la Belgique, à nos portes, où tous les incurables sont désormais menacés d'euthanasie, jusqu'aux enfants et aux handicapés.

    Les deux arguments des promoteurs de l'euthanasie ne résistent pas à l'examen:

    ●  Obéir à la volonté de mourir du malade? Mais accepter que les directives anticipées deviennent «opposables» c'est admettre que le médecin pourrait agir, sous contrainte, contre l'intérêt des malades. Ce serait briser une relation de confiance, nier toute réflexion éthique, bouleverser la vocation du médecin.

    ●  Soulager la souffrance? Les soins palliatifs permettent d'apaiser toutes les souffrances physiques et psychiques et accompagnent le malade vers une mort douce sans la provoquer directement. Cette performance jamais atteinte dans l'histoire de l'humanité rend passéiste et arriérée la tentation de l'euthanasie.

    Le scandale est que les soins palliatifs ne soient pas encore accessibles à tous. Ce sera encore pire si l'euthanasie est autorisée ; cette solution étant à l'évidence moins coûteuse il est évident qu'elle sera privilégiée par les pouvoirs publics au détriment d'une véritable politique de solidarité pour le financement de la dépendance et de la fin de vie.

    Quel choix alors pour les familles qui n'auront pas les moyens de financer les soins de confort pour leurs proches en fin de vie? Ils devront recourir à l'euthanasie, faute de meilleure solution, et c'est ainsi que se développera dans notre pays la plus effrayante des inégalités, l'inégalité devant la mort.

    Le 25 janvier la Marche Pour la Vie intègrera dans ses revendications le refus de l'euthanasie. Nous marcherons pour demander que la solidarité nationale prenne en charge le financement des soins de santé adaptés à ce qu'exige l'état du malade jusqu'à survenance de sa mort naturelle et sans intention de la donner."

    Michel Janva

  • Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

    Avec plus d'un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

    Dans son rapport trimestriel présenté au Conseil de sécurité, il y a quelques jours, le secrétaire général de l'Onu, le très docile pro-américain Ban Ki-moon, a révélé un secret de polichinelle, qu'ilBan Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda n'était plus en mesure de protéger tant il frôlait le scandale. Le rapport reconnait que les «Israéliens» entretiennent des rapports avec les «rebelles syriens» depuis plus de 18 mois, facilitant le traitement médical des combattants blessés. Le document souligne que l'entité sioniste a soigné plus de 1000 combattants syriens.

    Le texte présenté par Ban Ki-moon se base essentiellement sur les rapports fournis par les contingents de l'Undof, déployés sur le terrain dans le Golan occupé. Ces rapports font état d'une «coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda», grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».

    Les rapports des Casques bleus précisent que «soldats israéliens ont été observés permettant à des personnes de passer de la ligne ‘Bravo' -du côté syrien- à la ligne ‘Alpha' du côté israélien, ainsi que des discussions entre des membres de l'opposition armée et des militaires de Tsahal à travers la ligne de cessez-le à proximité de la position 85 des Nations unies».

    Le rapport trimestriel de l'Onu ne nous apprend rien de nouveau. Mais il a l'avantage d'inscrire dans la documentation officielle de l'organisation internationale ce que les analystes savaient depuis longtemps, et que nous avions évoqué à plusieurs reprises sur notre site.

    Coopération dans le renseignement

    En réalité, la coopération entre «Israël» et les groupes terroristes va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés, et qui ont déjà coûté au contribuable «israélien» plus de 14 millions de dollars, selon l'édition de dimanche dernier du quotidien Maariv.

    L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables sur l'assistance militaire directe apportée parUne coopération qui va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés les «Israéliens» aux groupes extrémistes lors de leur offensive de l'été dernier à Quneitra. Cette aide a permis aux terroristes de prendre, entre autres, les collines stratégiques appelées al-Touloul al-Homr, où l'armée syrienne disposait de matériel de guerre électronique sophistiqué lui permettant de surveiller les réseaux de télécommunication de l'armée «israélienne». Cette aide s'est manifestée par un bombardement à l'artillerie et des raids aériens contre des positions de l'armée syrienne, afin d'ouvrir la voie aux combattants extrémistes. «Israël» est même allé plus loin en abattant, à l'aide d'un missile Patriot, un chasseur syrien au-dessus du Golan, au plus fort de l'attaque terroriste.

    Des sources bien informées en Syrie et à Beyrouth font également état d'une coopération étroite entre les groupes terroristes d'un côté, le Mossad et les autres agences du renseignement «israélien», de l'autre, pour la collecte et le transfert d'informations au sujet des programmes d‘armement et de recherche en Syrie. C'est grâce à cette coopération que l'entité sioniste est parvenue à éliminer plusieurs savants syriens ces trois dernières années. L'opération la plus récente remonte au 10 novembre dernier, lorsque cinq ingénieurs travaillant dans l'énergie nucléaire au Centre de recherches scientifiques à la périphérie de Barzé, dans le nord de Damas, ont été tués dans l'attaque de leur bus par des terroristes.

    En juillet 2013, six fonctionnaires de ce même centre avaient trouvé la mort dans une attaque au mortier menée par les «rebelles». Le 24 août 2012, Nabil Zoughaib, considéré comme l'artisan du programme balistique syrien, a été assassiné par des inconnus. Un an plus tôt, Aws Abdel Karim Khalil, physicien nucléaire et professeur à l'Université al-Baas, à Homs, avait subi le même sort. Et la liste est longue.

    «Israël» viole la résolution 2178

    «Israël» se trouve donc en porte-à-faux avec la fameuse «légalité internationale». En effet, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté, le 24 septembre dernier, à l'unanimité de ses 15 membres, la résolution 2178, imposant des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra.

    Dans cette résolution, les membres du Conseil se disent très préoccupés par le fait qu'une partie du territoire d'Irak et de Syrie est «sous le contrôle de l'Etat islamique et du Front el-Nosra» et que leur présence, leur idéologie extrémiste violente et leurs agissements sont préjudiciables à la stabilité de ces deux pays et de la région.

    Le Conseil de sécurité se déclare disposé à inscrire sur la liste de sanctions les individus, groupes, entreprises ou entités qui apportent leur appui à l'un ou à l'autre de ces deux groupes terroristes.

    Le Conseil prie instamment tous les Etats de coopérer aux efforts faits pour trouver et traduire en justice les individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, y compris l'EI et le Front el-Nosra, «qui perpètrent, organisent et commanditent des actes terroristes.»

    Le Conseil de sécurité demande aussi à tous les Etats membres de prendre des mesures nationales pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui rejoignent les rangs de l'EI et du Front el-Nosra.

    Le Conseil de sécurité rappelle également, qu'en vertu d'une précédente résolution adoptée cette année, tous les Etats doivent prévenir et réprimer le financement des actes de terrorisme et doivent veiller à ce qu'aucuns fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques ne soient mis directement ou indirectement à la disposition de ces deux groupes extrémistes.

    On voit bien qu'en apportant un soutien au Front al-Nosra et en coopérant avec lui -de l'aveu même de Ban Ki-moon-, «Israël» est en train de violer la plupart des dispositions de la résolution 2178. Y aura-t-il quelqu'un qui osera lui demander des comptes ?

    Samer R. Zoughaib

    Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFEVkAVFmJieEKs.shtml

  • [Chez nos confrères] Kiosque Infos Sida, l’association qui suce vos impôts

     (via Contribuables Associés)
    La semaine dernière, à l’Université Paris III-Sorbonne-Nouvelle, étaient distribués des tracts intitulés « Tu suces ? » aux étudiants. L’association qui les a édités,Kiosque Infos Sida, est officiellement vouée à la prévention du VIH, et reçoit à ce titre de grasses subventions. Mais l’usage qui est fait de votre argent est tout autre…

    La prévention du sida, en principe, consiste à expliquer aux personnes les plus susceptibles de contracter le VIH qu’elles doivent éviter les pratiques à risques afin de se prémunir elles-mêmes, et de prémunir les autres.

    Si l’on s’en tient aux professions de foi de l’association Kiosque Infos Sida, c’est ce qui est fait par l’association, avec notamment un centre de dépistage du VIH et, officiellement du moins, des actions de prévention.

    Mais dès que l’on se penche sur les brochures éditées par l’association à destination des jeunes, on se rend compte que l’objet de l’association est tout autre. Il s’agit tout bonnement de faire la promotion de la sexualité sans entraves (entre « hommes qui aiment les hommes ») sous couvert d’encadrement des pratiques à risques.

    La semaine dernière, l’association distribuait des tracts à Censier, le campus de l’Université Paris III-Sorbonne Nouvelle. Intitulée carrément « Tu suces ? », cette série de trois dépliants peut difficilement être classée dans le matériel de prévention des MST. (Attention images et mots réservés à un public averti, note de Novopress, comme l’image en Une)

    >> Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/179737/chez-confreres-kiosque-infos-sida-lassociation-suce-vos-impots/

  • Polémique sur les crèches : une preuve de la révolution conservatrice

    Ivan Rioufol se réjouit de la polémique sur les crèches :

    "[...] Ici comme ailleurs, la France millénaire relève la tête et s'oppose à ceux qui agressent sa mémoire. Voilà une excellente nouvelle.

    «Touche pas à ma crèche!» pourrait être le mot d'ordre d'une opinion attachée aux racines chrétiennes de la nation, en dépit de la propagande sur le «vivre ensemble» qui invite le pays hôte à faire table rase de son passé. Les bras de fer engagés par la municipalité de Béziers et le département de la Vendée dépassent l'anecdote. Ils sont symboliques d'un sursaut identitaire né de trop d'abandons. Alors que le «Joyeux Noël» a été remplacé par d'anodines «Joyeuses Fêtes», alors que des sapins dans des écoles sont régulièrement contestés par les intégrismes laïque et islamique, alors que la République rougit d'affirmer l'hégémonie de sa culture de peur d'importuner les minorités, alors que la pensée progressiste interdit de s'attacher au passé, ces reculades trouvent enfin leur limite. Non, les Français ne veulent pas disparaître. Mais qui en doutait?

    Cette défense de la crèche, symbolique de la civilisation occidentale, rend mutiques les défenseurs du métissage et de la société multiculturelle, habitués à tenir la dragée haute.L'heureuse surprise a été d'entendre nombre de personnalités de gauche, y compris des bouffeurs de curés, s'apitoyer sur le sort fait à l'Enfant Jésus par l'intransigeance préfectorale et le fanatisme anticatholique. S'il fallait encore une preuve de la révolution conservatrice qui parcourt à bas bruit la société, en voilà une belle! Il y a peu, cet unanimisme autour de la préservation d'une telle coutume aurait été impensable. Il est vrai que deux mille ans de christianisme ne s'effacent pas en quarante ans d'acharnements à enseigner l'oubli. La France malmenée n'a pas été rendue amnésique.

    Les idéologues, qui pensent imposer et généraliser la visibilité musulmane en imposant le multiculturalisme, se trompent. Tout indique que les Français n'acceptent pas cette société relativiste et interchangeable qui leur a été infligée subrepticement ces trente dernières années..."

    Michel Janva

  • Mères porteuses : La Manif Pour Tous porte plainte contre X

    Après des mois de mobilisation contre la pratique indigne de la GPA (Gestation Pour Autrui) qui asservit la femme et considère l’enfant comme une marchandise, La Manif Pour Tous passe à l’offensive sur le terrain judiciaire.Une plainte contre X a été déposée ce 10 décembre au TGI de Paris.

    En effet, une société américaine, spécialisée dans la mise en œuvre de Gestations Pour Autrui et la commercialisation d’ovocytes, avait à nouveau prévu toute la semaine à Paris des réunions d’information. Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, dénonce :

    « Il s’agit de démarchage commercial. Cette agence propose ses services dans le monde entier, et intervient régulièrement en France, dans la plus grande illégalité et en totale impunité ».

    Cette société dispose ainsi d’un site entièrement rédigé en français, permettant de consulter les propositions, leurs conditions et coûts, de procéder à toutes les démarches utiles, de signer et mettre en œuvre le contrat de mère porteuse.Cette agence a annoncé sur son site qu’elle prévoyait une tournée d’information, c’est-à-dire de démarchage commercial, en Europe en décembre 2014. Plusieurs réunions étaient prévues entre le 7 et le 13 décembre dans un grand hôtel luxueux du centre de Paris. Albéric Dumont, coordinateur général de La Manif Pour Tous, explique :

    « Nous avons initié des démarches avec la préfecture de police en vue de manifester devant l’hôtel tout au long de la semaine ». « Nous avons également pris contact avec la direction de l’hôtel qui nous a déclaré ne pas être au courant et ne pas cautionner de telles activités ».

    Quelques heures plus tard, le site de l’agence annonçait l’annulation des réunions d’information. Ludovine de La Rochère ajoute :

    « Contrairement aux engagements de Manuel Valls, le gouvernement n’est pas opposé au fait que des femmes soient utilisées et des enfants vendus puisqu’il tolère ces démarchages. C’est pourquoi, au-delà des manifestations, nous avons décidé de poursuivre notre action sur le plan judiciaire avec le dépôt de cette plainte contre X auprès du Procureur de la République. ».

    Michel Janva

  • L’euro, monnaie de singe

    Messieurs Draghi et Juncker veulent sauver, coûte que coûte, un euro né d’une volonté politique impériale et non d’une nécessité économique.

     

    Le président de la BCE, Mario Draghi, aimerait bien jouer au père Noël. Mais chacun sait qu’il y a cadeaux et cadeaux empoisonnés. Regardons-y de plus près. Messieurs Draghi et Juncker veulent sauver, coûte que coûte, un euro né d’une volonté politique impériale et non d’une nécessité économique.

    Aujourd’hui, l’euro est un échec, car les économies nationales n’étant toujours pas homogènes – et elles ne le seront pas de sitôt –, une monnaie unique et forte accentue les déséquilibres, essentiellement au profit de l’Allemagne. Pour éviter l’éclatement de la zone euro, ils seraient prêts, si l’Allemagne y consentait, à utiliser la planche à billets pour racheter 1.000 milliards de dettes souveraines et réaliser 350 milliards de grands travaux. Or, le monde pâtit déjà d’une crise de surendettement dont les tenants et les risques ont été révélés lors de la crise financière de 2008. Pour la circonscrire, les Américains avaient choisi, par réflexe de conservation de leurs acquis, la planche à billets, ce qui a eu pour effet d’abaisser tendanciellement vers zéro les taux d’intérêt de l’argent. Cet automne, les USA ont incité les Japonais à prendre le relais, l’Europe étant censée être le troisième relayeur.

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