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lobby - Page 1775

  • Rome : un diplomate américain appelle à un « pacte mondial des religions »

    Vu sur Reinformation.tv :

    Jerry Chite, diplomate américain au Bureau des conflits et des opérations de stabilisation a estimé que les chefs religieux devaient s’atteler à juguler les violences dues aux fanatiques. Il réitère ainsi son appel à « un pacte mondial des religions » lancé en grande pompe le 22 février dernier à Rome avec des autorités religieuses parmi lesquelles le cardinal Kasper, mais apparemment resté inaudible.

    Après avoir rappelé que les gouvernements et les organisations de la société civile ont un rôle important à jouer dans tout processus de paix, Jerry White a affirmé que les chefs religieux possédaient la clé pour lutter contre l’alarmante augmentation des violences religieuses :

    Du Parlement mondial des religions au Pacte mondial des religions

    « Il suffit d’ouvrir un journal pour constater que le vocabulaire religieux est employé tous les jours pour justifier la violence… La religion devrait donc faire partie de la solution (…) Depuis le Parlement Mondial des Religions en 1893, beaucoup d’initiatives interreligieuses ont vu le jour au fil des années… Le contexte est différent, avec l’actuelle prolifération des violences perpétrées explicitement au nom de Dieu. Nous sommes dans une situation d’urgence. Nous devons aller au-delà des conférences interreligieuses et nous demander à quoi ressemblerait une fatwa interreligieuse contre la violence. Pouvons-nous aller au-delà de la simple prière pour la paix ? » a-t-il lancé.

    La rhétorique usée d’un diplomate américain à Rome


    Il tend ainsi à la fois à enrôler les religions dans un combat politique et à soumettre les dites religions. Sa rhétorique, parfaitement usée, veut donner à croire au grand public que toutes les religions engendrent la même violence, pour mener en fin de processus, et par le biais de la sacro-sainte tolérance, à un syncrétisme déiste d’inspiration franc-maçonne.

    On notera pour le fun le courage d’un personnage qui prône une action commune des religions bien tranquille à Rome, loin de ceux qui, précisément, tuent « au nom de Dieu »…

    http://www.contre-info.com/rome-un-diplomate-americain-appelle-a-un-pacte-mondial-des-religions#more-35199

  • « Cette vidéo sans le FN était une erreur regrettable »

    Entretien avec Ludovine de La Rochère

    Ludovine de la Rochère est présidente de la Manif pour tous.

    Le 5 octobre dernier, la Manif pour tous passait une vidéo dans laquelle s’exprimait un élu PS, des élus UMP… Pas un seul du FN, de l’UDI ou de DLR, partis parmi lesquels se trouvent pourtant des opposants à la loi Taubira… Pourquoi ce choix ?

    Il ne s’agit pas d’un choix mais d’une erreur regrettable. Les jours et heures qui précèdent ces grands événements de la Manif pour tous sont extrêmement chargés pour tous les bénévoles qui donnent leur temps sans compter depuis maintenant deux ans… Aucun politique n’était présent sur notre estrade, il y a simplement eu une erreur de vidéo, très regrettable puisque celle qui était initialement prévue comptait des élus de DLR, de l’UDI et du FN évidemment.

    Pour Marion Maréchal-Le Pen, présente depuis le début des manifestations, c’était apparemment la fois de trop…

    Elle était en colère à cause de cette vidéo et je la comprends parfaitement. Pour le reste, le FN a toujours été le bienvenu dans nos manifestations, au sein du cortège d’élus, et continuera à l’être. Contrairement à d’autres événements citoyens de ces dernières années, nous avons laissé sa place au Front national. Nous défendons des idées et les générations futures et tous les élus qui partagent ce combat sont bien entendu invités à se joindre à nous, ceux du FN comme les autres !

    Lire la suite 

  • Le "plug anal" de McCarthy place Vendôme : un accident industriel ?

    Et si l’installation de Paul McCarthy avait été la "provocation" de trop, celle risquant de mettre à nu les ressorts du système économique de l’art contemporain : une coterie de riches, de critiques et de fonctionnaires de la Culture s’accaparant l’espace public pour décréter "œuvres" des signes qui servent de plus en plus la rente financière et sa défiscalisation massive ?

    Que se passe-t-il ? Si le sabotage du « plug anal » géant de Paul MacCarthy - lui-même géant de la création contemporaine - érigé place Vendôme pour l’ouverture de la Foire internationale d’art contemporain (Fiac) a produit l’habituel concert de basse-cour des coucous suisses piaillant par réflexe « Réacs ! Réacs ! Réacs ! », de grandes voix ont significativement divergé. A commencer par celle de l’un des commissaires politiques les plus écoutés du marché de l’art contemporain, le critique Philippe Dagen. Cette fois-ci, au lieu de hurler avec les idiots utiles de l’avant-gardisme chic et de la provocation toc, il a condamné dans sa chronique du Monde une opération relevant selon lui du « vulgaire » et de la « trivialité » : « Il y a mieux à faire que gonfler un phallus couleur sapin dans les beaux quartiers de Paris ».

    La surprenante mise en garde de Philippe Dagen est en fait un signal d’alarme lancé à un monde dont lui-même fait partie : la bulle spéculative de l’art contemporain qui s’emballe depuis quelques années. Il prévient qu’elle pourrait exploser et le pot aux roses être découvert à cause d’erreurs comme celle qui a fait « pschitt ! » place Vendôme. Les komsomols à front bas de l’art contemporain se réjouissent du scandale McCarthy - selon eux une réussite totale : l’artiste est un héros d’avoir été agressé physiquement par un dangereux crétin et sa baudruche est grandie d’avoir été dégonflée. Mais Philippe Dagen, lui, a compris autre chose. Et il sermonne le Comité Vendôme (qui réunit les enseignes de luxe de la célèbre place), les organisateurs de la Fiac et la Mairie de Paris pour avoir mis en scène cet « enculoir » (selon la traduction de Delfeil de Ton dans L’Obs) rebaptisé « Tree » pour les petits enfants et les grands journalistes faux-culs. Attention, leur fait comprendre la vigie culturelle du Monde, le choix de ce spécialiste des « provocations pornographiques et scatologiques » risque de mettre à nu les ressorts du système économique de l’art contemporain : une coterie de riches, de critiques et de fonctionnaires de la Culture s’accaparant l’espace public pour décréter « œuvres » des signes qui servent de plus en plus la rente financière et sa défiscalisation massive. Un secteur en plein essor.

    L’art dit contemporain suscite en effet aujourd’hui plus de commentaires dans les pages « Finances » et « Argent » des journaux que dans la rubrique « Culture ». Le Monde Eco Entreprise nous apprend que « 76% des collectionneurs l’achètent pour faire un investissement » : pour les très riches à la recherche de bons placements, « l’art est aujourd’hui le plus porteur. Selon Artprice, son indice a augmenté depuis 2012 de 12 % quand celui de l’or baissait de 49 % et les prix immobiliers de 3 % ». Ce marché, qui a augmenté de 40 % en un an et de 1 000 % sur dix ans, vient d’être rassuré par le gouvernement anti-passéiste de Manuel Valls qui assomme les retraités et les familles mais a maintenu pour les riches l’exonération des œuvres d’art de l’impôt sur la fortune.[....]

    La suite sur Marianne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-plug-anal-de-McCarthy-place

  • Attali justifie la colonisation musulmane

    Attali justifie la colonisation musulmane de la France en jouant sur la peur d'une guerre civile.

     Oracle de "la France d'après", il fut dès l'élection de Nicolas Sarkozy convoqué au chevet de la république pour contribuer à réformer la France, le tout sans une once de légitimité démocratique. Nous remontons cette note d'octobre 2007 parallèlement à son retour en force dans les médias, qu'il subjugue par son art de la prospective...dont les prédictions ont toutes échouées depuis 30 ans.              

       "Alors que le rapport Attali vient d'être jugé "plutot raisonnable" par Nicolas Sarkozy, malgré sa proposition phare de "relance de l'immigration" (comme si elle avait été arrêtée) inspirée de son livre L'avenir du travail sorti en 2007proposant l'arrivée de 2 millions d'immigrés annuellement pour mener la France à 187 millions d'habitants en 2040 (alors qu'il suffit de sauver le régime des retraites par la capitalisation privée), je publie de nouveau les citations de l'illuminé mondialiste, glanées ça et là, en rajoutant celle-ci : « La logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide[…]L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement. »L’homme nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005.

    Deux vieilles interviews de Jacques Attali, une de mai 1992, l’autre de mars 1997, éclairent sur sa vision de la colonisation islamique de l’Europe contemporaine. 

        « La France doit-elle se contenter d’accepter sur son sol les travailleurs européens ou assumer sa dimension musulmane ? Là est sans doute la principale question masquée par ce débat (ndlr : sur l’immigration), le vrai choix géopolitique. Si la France et l’Europe décidaient de s’affirmer comme un club chrétien, elles devraient se préparer à l’affrontement avec un milliard d’hommes, à une véritable « guerre de civilisations ». Avec en prime, en France, une guerre civile » Jacques Attali, Le Monde du 19 mars 1997

        L’Algérie, le Maroc, la Tunisie ainsi que les pays de la péninsule arabique et du monde asiatique ont décidé- il y a 30 ans déjà -de s'affirmer en tant que club musulman exclusif par la création de l’OCI. Est-ce pour autant que  800 millions de chrétiens à travers le monde ont décidé de leur déclarer la guerre ?Absurde.

         Attali, le 12 mai 1992 dans Le Monde, lors de la commémoration de la victoire de 1492 sur la colonisation islamique en Espagne, se félicitait qu’enfin, après cinq siècles, l’Europe s’ouvre à nouveaux aux zélateurs d’Allah :

    « En 1492, l’Europe s’est fermée à l’est ( ndlr :comprendre au sud-est) et tournée vers l’ouest en essayant d’expulser d’elle tout ce qui n’était pas chrétien. Aujourd’hui, assez largement, le contraire se prépare. Une parenthèse de cinq siècles se ferme. L’Europe occidentale s’ouvre à son passé »

       En bon mondialiste favorable à la « gouvernance mondiale », le sans-patrie fustigeait les frontières dans le même article :

        « En 1492, comme aujourd’hui, le problème politique majeur est celui de la frontière, le choix entre nation et unité. On parle partout de marché et de démocratie comme si c’était des évidences parallèles, sans voir que l’économie de marché n’a pas besoin de frontières- la frontière interdit le développement de l’économie de marché et condamne au dirigisme économique- (…) Pour que la démocratie ne soit pas un frein au développement, elle doit être sans frontières, sinon on aura la frontière sans la démocratie »

        On ne voit pas bien en quoi des frontières servant de filtre pour les personnes empêcheraient les biens de circuler. Sur la question de la démocratie qui réussit sans frontières, découpler la liberté des peuples à disposer d'eux même d'une souveraineté nationale s'exprimant dans un Etat-nation délimité géographiquement et un positionnement assez délirant. Mais on comprendra mieux en sachant que dans la démocratie universelle d'Attali, droit d'ingérence ( il rejoint en cela Kouchner) et exportation de celle-ci "à l'américaine" vont de paire.

    Sur son blog, réagissant à la mini-polémique sur les prénoms exotiques des enfants Dati et Sarkozy ( respectivement Zora et Solal ), Jacques Attali  commit un billet sur cette question et ce qu'elle révèlerait de l'état moral d'un pays. Il oppose une assimilation stérile à une intégration enrichissante: 
« Quand une nation décline, se rétrécit et se recroqueville, elle assimile ( note de l'Obs-i: alors que la France n'a jamais été aussi puissante que dans les périodes où elle a assimilé les étrangers !) ; et le nombre de prénoms qu’elle emploie est de plus en plus réduit, signe de son uniformisation. Au contraire, quand une nation est vivante, dynamique, ouverte, en croissance, elle intègre ; et elle utilise alors de plus en plus de prénoms différents, dont elle se nourrit pour augmenter sa diversité. L’assimilation appauvrit. L’intégration enrichit."

       Aussi, Attali, pour remédier à la « haine de l’étranger » (comprendre le refus de l’africanisation et de l’islamisation d’une Europe chrétienne depuis 1500 ans) a sa solution : le droit de vote des étrangers ! Voilà les propos de l’illuminé  :

      «  Partout en Europe, surgit la haine de l’étranger, de l’autre, responsable de nos malheurs…il faudra donc entrer dans les détails, penser et décrire les institutions concrètes en organisant, par exemple, le droit de vote des non-citoyens ( ndlr : le droit de vote des étrangers légaux ou non) ou le droit d’ingérence, ou le droit de vote des générations ultérieures »

     

    « le droit de vote des générations ultérieures » vous avez bien lu ! Pratique, le Système choisirait les tendances de vote des français du futur pour contrecarrer les mal votants du présent. Il suffisait d'y penser.

    http://www.islamisation.fr/archive/2014/10/11/l-odieux-chantage-a-l-invasion-de-jacques-attali.html

  • Éric de Montgolfier : la désillusion d'un juge

    L'ancien procureur de la République, jeune retraité d'une longue carrière dans la magistrature, dénonce l'arrogance des élites dans son nouveau livre.

    Tous les juges ne sont pas des petits pois. Esprit libre pour certains, donneur de leçons pour d'autres, Éric de Montgolfier ne cherche en tout cas pas à être aimé. Celui qui s'est fait connaître en dénonçant le pouvoir de la franc-maçonnerie s'attaque maintenant à l'arrogance des élites. L'ancien procureur de la République est à la retraite depuis juin 2013. Il raconte les coulisses d'une longue carrière dans un ouvrage au nom qui claque comme une gifle : Une morale pour les aigles, une autre pour les pigeons*. Entretien.

    Le Point.fr : Dans votre livre, vous vous demandez s'il n'y a véritablement rien à espérer des hommes lorsque leurs intérêts sont en cause. Avez-vous trouvé la réponse ?

    Éric de Montgolfier : Je crois que les appétits parlent toujours plus fort que les consciences. Il y a statistiquement peu de personnes prêtes à sacrifier quelque chose qui les avantage. Par exemple, on ne peut pas demander à un ministre membre d'un parti de mettre quelqu'un de son parti en difficulté. La principale qualité de la justice, c'est son humanité. C'est aussi ce qui fait son imperfection. Elle est piégée entre sa nature humaine et la volonté des politiques qui cherchent à en faire un outil servile. La neutralité n'est réclamée que lorsqu'il s'agit d'adversaire. Un jour que je donnais une conférence publique à Saint-Raphaël, je suis accueilli chaleureusement par un des adjoints au maire. Je monte à la tribune et fais mon intervention dans laquelle je dis ce que je pense des élus. En redescendant de l'estrade, le type me dit : "Dites donc, vous n'êtes pas tenu à une obligation de réserve ?" Amusant, non ? À la vérité, j'ai servi la justice pendant quarante ans, et accomplir mon devoir n'a pas soulagé ma conscience. J'aurais aimé quitter l'institution une fois qu'elle serait devenue ce que je rêvais de voir. Hélas, après quarante ans de carrière, je ne suis pas parvenu à avoir une image de l'homme plus valorisante... La justice, je ne l'aime pas pour ce qu'ils en ont fait, mais pour ce que je voudrais qu'elle soit.

    Comment expliquez-vous l'inflation de condamnations d'élus ?

    Longtemps, l'impunité a favorisé la corruption des élus et, maintenant, se faire condamner est devenu un label, que les juges distribuent à tour de bras. Dans les années soixante-dix, il y a eu une volonté de rééquilibrer la justice. Jusqu'ici, ceux qui détenaient le pouvoir étaient libres de leurs mouvements. Historiquement, ils avaient pris de mauvaises habitudes. Fouquet a été puni par où il avait péché. Regardez Richelieu, Mazarin et Jacques Coeur... Nous sommes un pays qui est resté très latin, dans lequel la corruption est un phénomène naturel. Il y en a beaucoup moins qu'il ne pourrait y en avoir. Il existe pourtant le fameux article 40 du code de procédure pénale qui dispose que "toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs".

    Or, le problème des procureurs est précisément que l'information ne leur parvient pas. Bien sûr, nous avons parfois des courriers anonymes, ce qui n'est pas toujours reluisant. Mais c'est comme ça que j'ai découvert un jour que des fonctionnaires de la PAF (Police aux frontières, NDLR) faisaient passer des immigrés clandestins directement dans une machine à rayon X pour les bagages. Lorsque j'en ai parlé aux services de l'État concernés, j'ai découvert qu'on "n'avait pas cru utile" de me déranger pour ça. La justice est sous-informée et les préfets manquent à leurs obligations en conservant des informations dont on pourrait avoir l'utilité, sur des prises illégales d'intérêt par exemple. Il me vient une autre anecdote qui illustre bien le débat moral qui peut freiner l'information : dans les années quatre-vingt-dix, Toyota s'installe à Valencienne, zone sinistrée par le chômage. L'entreprise japonaise achète un terrain et, lors des premiers travaux, on retrouve des vestiges. Cela aurait normalement dû déclencher des recherches archéologiques qui auraient retardé le chantier. Si on me le disait, cela retardait, voire compromettait, la construction de l'usine, et remettait en cause le retour de l'emploi de centaines de personnes... Je l'ai su plus tard par des canaux moins officiels !

    Pourquoi avez-vous fait ce choix - étrange - de juger ?

    J'avais un père chef d'entreprise qui me racontait des affaires de corruption avec une grande décontraction. Il présidait un comité interprofessionnel du logement et dépendait à ce titre des permis de construire délivrés à l'époque par la DDE. Je me souviens qu'un jour, il avait appelé le directeur. Lorsque mon père lui a demandé s'il partait en vacances, le directeur avait répondu : "C'est impossible, au prix où sont les pneus." Mon père lui avait tout simplement fait porter un train de pneus. J'étais adolescent, cela m'avait secoué.

    Selon vous, les élites vivent déconnectées de la réalité ?

    Une bonne partie, oui. Lorsque j'étais en poste à Chambéry, un soir, le représentant de la chambre départementale des huissiers de justice m'appelle et m'explique que l'un de ses confrères a été mis en joue par un fermier alors qu'il venait pour saisir sa dernière vache. Je vais donc sur place et, en arrivant, je vois une Porsche. Je demande à qui elle appartient et on me répond que c'est celle de l'huissier ! Si ça, ce n'est pas un signe de l'arrogance du pouvoir... À Nice, cela m'a toujours frappé, on ne se cache pas. Il y a un restaurant qui jouit d'une grâce extraordinaire : sa terrasse, c'est le trottoir, à tel point que c'est la chaussée qui est devenue piétonne. Cela n'est pas normal. Peut-être que comme Sarkozy et beaucoup d'élus y viennent, le restaurateur s'est senti protégé ? Cela me choque. Tout ce qui est inégalité arrogante est une attaque contre la justice. Et elle nous met mal à l'aise, nous, les juges. Il faudrait que l'on apprenne la déontologie à l'école de la magistrature. Dans Le palais indiscret, Jean-Paul Lacroix raconte cette petite anecdote : le tribunal doit juger une voyante. L'oeil goguenard, le président l'interroge : "Puisque vous lisez l'avenir, dites-moi à quoi le tribunal va vous condamner." Elle répondit : "Le tribunal va me relaxer, car je ne connais pas un magistrat digne de se moquer de celui qu'il va condamner." La liberté de parole du magistrat ne doit pas le dispenser d'exemplarité.

    Qu'est-ce qu'un intouchable ?

    Il y en a beaucoup, du moins le croient-ils. J'ai reçu un courrier d'un parlementaire, ancien magistrat, qui m'écrivait pour "interpeller mon attention" sur la situation d'une de ses connaissances qui s'était rendue coupable de je ne sais quelle infraction... Il attendait que je classe l'affaire. Je lui ai fait une autre faveur : j'ai accéléré la procédure pour la faire comparaître plus vite devant le tribunal ! Autre exemple, je vois un jour arriver dans mon bureau un gros entrepreneur du coin. Il me dit "je sais que vous admirez beaucoup ma maison qui a une vue imprenable", ce que je confirme. Il poursuit : "Il faudra que je vous invite à dîner avec votre épouse." Puis il en arrive au véritable motif de sa visite : il s'était fait arrêter pour excès de vitesse et venait me "demander conseil". Je lui ai donc conseillé de payer son amende, par chèque. Croyez-moi, j'attends toujours mon invitation à dîner !

    Il m'est aussi arrivé d'avoir des amendes. Un jour, je m'étais garé sur une place réservée aux handicapés, je n'avais pas vu la signalisation. J'ai commencé à discuter avec l'agent. Le fonctionnaire me répond : "Adressez-vous au procureur." Il se trouve que j'étais le procureur. Eh bien, j'ai payé mon amende, comme la loi me le demandait.

    Que faut-il changer ?

    Je pense qu'il faut renoncer au modèle d'école de la magistrature. Il a vécu. L'égalité du concours est fictive : la plupart de ceux qui le réussissent sont passés par une prépa payante. Il faudrait aussi un Conseil supérieur de la magistrature (CSM) rénové et doté de moyens réels. Ceux que j'appelle "les soutiers de la magistrature" sont bien peu représentés, alors que les corps d'élite sont, eux, surreprésentés. Par ailleurs, au nom de quoi le président de l'Assemblée nationale, celui du Sénat, ainsi que le bâtonnier peuvent-ils nommer des personnalités ? Il y a peu de respect pour cette trilogie chère à Montesquieu, qui pourtant a plus de sens que jamais. La démocratie ne peut être efficace qu'avec fermeté. La justice ne pourra pas continuer comme cela.

    Retrouvez les chroniques d'Éric de Montgolfier sur Le Point.fr

    * Une morale pour les aigles, une autre pour les pigeons, par Éric de Montgolfier, paru chez Michel Lafon, 296 pages, 19 euros.

  • Le Grand Orient de France veut lutter contre l’« antimaçonnisme »

    Samedi soir, le Grand Orient de France (GODF) lançait à Lille une campagne publique contre« la dangereuse résurgence de l’antimaçonnisme » qui se déclinera en conférences tenues dans huit villes françaises.

    Le Grande Maître du GODF, Daniel Keller a été très clair : « l’antimaçonnisme est aujourd’hui avec l’antisémitisme et l’homophobie l’un des trois symptômes de la crise de la République » avant d’expliquer les motivations de cette campagne :« nous avons décidé de prendre l’antimaçonnisme à bras le corps, d’abord pour le démystifier et puis pour montrer en quoi il était une menace pour les fondements de la République »… Selon le troisième intervenant de cette première conférence tenue à Lille, le journaliste Jiri Pragman, « 2014 n’est certes pas 1934 ou 1940, mais il y a une résurgence de l’antimaçonnisme », venant des milieux catholiques hostiles au mariage pour tous, des évangélistes, des musulmans et plus généralement d’internet et des réseaux sociaux »

     Que veulent-ils dire ? Que l’ « antimaçonnisme » va devenir un délit, comme le sont devenus l’antisémitisme ou l’homophobie, trop souvent vus là où ils n’existent pas ? Qu’il va bientôt devenir impossible de clamer ouvertement son opposition à la Franc-maçonnerie ? Qu’une chasse va être ouverte pour protéger la franc-maçonnerie et la République ?

     

    Il devient de plus en plus clair que cette « république » qu’ils invoquent sans cesse pour bâillonner toute opposition est une véritable menace pour la liberté des Français. Et puisque le Grand Maître du GODF affirme lui-même que la franc-maçonnerie en est un fondement, nous continuerons à nous opposer à ces minorités totalitaires qui tentent par tous les moyens d’imposer leur culture de mort.

    Rappelons en effet que Daniel Keller se prononçait il y a quelques jours en faveur de l’euthanasie et qu’il était reçu le 8 octobre dernier à l’Assemblée Nationale pour donner son avis sur le sujet… En quel honneur ? La question reste sans réponse… Mais il est certain en revanche que les Francs-Maçons ont toujours soutenu tous les maux imposés à la France depuis des décennies…

    PS : l’organisation Renouveau français a sorti récemment cet autocollant percutant, que l’on peut commander en ligne ici ou ici :

  • Les folies du pédagogisme totalitaire

     « Mais que dire du jargon utilisé par les technos de l’Educ’ nat’ dans les centres de formation des jeunes professeurs en instance de titularisation ? »

    Le 12 octobre, l’écrivain Christian Combaz épinglait ici même le ministre Fleur Pellerin et la novlangue des technocrates de la Culture (1) dont il citait quelques formules alambiquées telle « Développer les moyens dédiés à l’éducation artistique et culturelle, à l’accès à la culture et à la démocratisation culturelle grâce notamment aux politiques transversales de médiation et au plan de développement de l’éducation artistique et culturelle ». Mais que dire du jargon utilisé par les technos de l’Educ’ nat’ dans les centres de formation des jeunes professeurs en instance de titularisation ?


    A cet égard, le témoignage d’Emmanuelle Delacomptée, qui, d’une plume allègre, relate dans Molière à la campagne (2) sa première année d’enseignement en Normandie, est proprement hallucinant.

    Novterminologie : lancer du « référentiel bondissant » par le « segment mobile »

    Passons sur les « géniteurs d’apprenants » (les parents d’élèves) et les « séquences » qui ont remplacé les cours d’antan, termes relativement traduisibles. Mais sait-on que les « lectures cursives » sont les lectures à faire à la maison ? qu’un « référentiel bondissant » est un ballon et un « référentiel bondissant oblique » un ballon de rugby (oblong serait plus indiqué) tandis que le bras est un « segment mobile » ? Et malheur au petit prof qui oublie cette novterminologie : « Il s’agit d’être précis dans son discours », lui rétorque le formateur, qui rappelle « qu’on ne dit plus grammaire mais “discours raisonné de la langue”, ni discours indirect mais “paroles rapportées indirectement” ou, à la rigueur, “énoncé coupé”, par opposition à “énoncé ancré” ». Bien entendu, les compléments ne sont plus d’objet indirect ni même circonstanciels comme naguère mais « non essentiels » et les professeurs de français d’un même établissement sont sommés de se « réunir à chaque rentrée pour harmoniser [leur] terminologie ».

    Mais pourquoi, s’interrogent les profanes, celle-ci change-t-elle donc sans cesse ? Réponse péremptoire : « Si la terminologie change, c’est qu’elle s’améliore.»

    Jordan, Douglas, Kristoffer, Kévin, Kelly dans la jungle

    Ce qui ne s’améliore pas, en revanche et malheureusement, c’est le niveau des élèves. Dans la région rurale où Emmanuelle Delacomptée a obtenu son premier poste, il n’y a que des Souchiens. Mais ils sont en général aussi illettrés (il faut lire quelquefois à voix haute pour comprendre leur prose, ils pensent que midi est un verbe, etc.) et aussi déculturés que les gamins des cités. Prénommés Jordan, Douglas, Kristoffer, Kévin, Kelly ou Jeffrey, ces potaches de quatrième sont coiffés de casquette à l’envers, vêtus du pantalon baggy emprunté aux taulards des pénitenciers américains et de maillots aux inscriptions également américaines. Via la télévision, les radios jeunes et Youtube, la mondialisation a étendu ses ravages et ils connaissent mieux les stars hip-hop qu’Harpagon – qu’ils prononcent Harpageon et considèrent d’ailleurs comme un bouffon, ainsi que les autres personnages de Molière, qui écrit « des trucs de ouf » des plus ennuyeux. Par ses allusions sexuelles, la lecture d’une nouvelle (imposée) de Maupassant provoque quasiment une émeute.

    Au demeurant, quand elle n’est pas plongée dans les bras de Morphée, la classe est généralement une jungle et les sorties scolaires sont une épreuve redoutable pour les accompagnants (au cours de l’une d’elles, le brise-glace d’un bus est volé pour « casser la voiture à Le Pen »). Pour y remédier, les formateurs initient les apprentis-profs à l’art de la vocalise, censé les aider à « affirmer leur autorité » et à « se faire respecter », et leur dispensent de judicieux conseils du genre : « C’est vous le pilote, ne laissez pas l’automobile quitter la route, restez fermes et souples à la fois. Il est important de conserver cette image à l’esprit. Quand vous êtes débordés en classe, n’oubliez pas que vous êtes des pilotes ! »

    Peillon et les « ayatollahs de la Nouvelle Pédagogie »

    Mais la voiture folle, n’est-ce pas celle du ministère ?

    Vincent Peillon Ancien ministre de l' Education nationaleVincent Peillon
    Ancien ministre de l’Education nationale

    Le 21 octobre, sur le site Le Point.fr, l’agrégé et normalien Jean-Paul Brighelli, ancien gauchiste depuis longtemps révulsé par le pédagogiquement correct contre lequel il a multiplié les essais, dont le célèbre La Fabrique du crétin ou la mort programmée de l’école (éd. Jean-Paul Gourewitch 2005), dénonçait les ESPE, Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation, « dernier legs, avec les rythmes scolaires, de l’ère Peillon » (3). Les ESPE sont le dernier avatar des Instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) institués par la loi Jospin après 1989 et déjà dotés « de crédits (considérables) destinés à la formation des enseignants, et de créations de postes nombreuses, dans des disciplines (Sciences de l’éducation et Didactique) qui permettaient de recruter nombre de bras cassés, pendant que d’autres universités, à l’écart de ces temples du pédagogisme triomphant et du Nouveau Vocabulaire orwellien […], la “pensée Meirieu” ayant remplacé la pensée tout court, devaient déjà se débrouiller avec des budgets en peau de chagrin ».

    Avec les ESPE, toutefois, est franchi un nouvel échelon dans la dictature pédagogique. En effet, « les nouveaux professeurs des écoles ou des collèges doivent depuis 2008 être titulaires d’un master (d’où le nom de “mastérisation” donné à la réforme) ». Mais, depuis l’instauration des ESPE, a été institué le master MEEF : Métiers de l’enseignement et de la formation, composé à « 50% de Sciences de l’éducation, de théories pédagogiques fumeuses, de temps perdu et de parlotes inutiles, contre 50% de formation disciplinaire, assurée en université ». Or, les nouveaux profs-stagiaires qui, souvent, ont déjà leur master dans la discipline qui leur importe, sont, accuse Brighelli, « pourtant sommés par les ESPE et les directives comminatoires de Simone Bonnafous, à la tête de la direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle, de s’inscrire en master MEEF, sous peine de ne pas être titularisés : parce que la titularisation des nouveaux enseignants, autrefois assurée par les inspecteurs, a été confiée intégralement aux ayatollahs de la Nouvelle Pédagogie ».

    Si, encore, les « nouvelles structures totalitaires voulues par Vincent Peillon » avaient été conçues pour sauver l’Ecole ruinée autant par d’incessantes et insanes réformes et la massification découlant du refus de toute sélection que par le boulet d’une immigration désormais trop nombreuse pour être intégrable ! Mais leur seule raison d’être est, au contraire, la préservation de la caste qui a justement mené au désastre, et la perpétuation de celui-ci. Qu’importent l’illettrisme et l’inculture des nouvelles générations si celles-ci savent tout, tout, tout sur le « Zizi sexuel », exposition drainant des classes entières à la Cité des Sciences de La Villette (4) malgré l’opposition des familles !

    Claude Lorne, 22/10/2014

    Notes :

    (1) Fleur Pellerin et la novlangue des technocrates de la culture
    (2) Editions J. C. Lattès 2014, 265 pages.
    (3) http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/devenir-enseignant-le-grand-n-importe-quoi-21-10-2014-1874352_1886.php
    (4) Une pétition, déjà signée par près de 50.000 personnes, a été lancée par SOS-Education.

    Voir http://petitions.soseducation.org/non-au-zizi-sexuel/index.php

  • Euthanasie : le prix à payer pour la survie de la majorité ?

    En échange de son soutien au gouvernement, le PRG aurait obtenu de Manuel Valls l’assurance qu’un texte sur la fin de vie serait déposé au parlement. Damien Le Guay s’indigne d’un tel « marchandage » sur une question aussi fondamentale.

    Est-il possible d’imaginer que le sort des 550 000 personnes qui, chaque année, en France, sont en fin de vie, soit suspendu à des tractations politiciennes entre le Premier ministre et « l’illustre » M Baylet -furieux de n’avoir pas retrouvé son siège de sénateur ? Non. Peux-on concevoir que la question de l’euthanasie soit mise dans la balance pour que les radicaux de gauche « daignent » rester au gouvernement ? Non plus. Est-il pensable que certains puissent vouloir forcer le travail de la commission Léonetti-Claeys, mise en place en juin, pour aller au-delà des conclusions qu’elle devait rendre en décembre ? Encore moins. Non. Tout cela est impensable. Mais qui peut le dire ! Sait-on jamais !

    Le Premier ministre, le 16 octobre, à fait parvenir une longue lettre à Jean-Michel Baylet pour lui dire, entre autre, que sur « la fin de vie », « le gouvernement veut avancer sur cette question », qu’il « faudra aller au-delà » de la loi Léonetti, qu’il y « aura une loi » bientôt pour « aboutir à une nouvelle étape ». Pourquoi tant de sous-entendus quand on sait que les radicaux de gauche sont fraternellement favorables à l’euthanasie et proche de l’ADMD ? S’agit-il de les réconforter pour mieux les décevoir, ou de les rassurer sans pour autant le dire ouvertement ? Est-ce à dire que l’euthanasie, qui n’est pas au programme de la commission Léonetti-Clayes, pourrait être réintroduite in fine ? Sommes-nous dans le petit jeu des palinodies politiciennes, des faux-semblants, des arrangements d’état-major politique ? On a du mal à le penser tant le Premier Ministre insiste sur l’idée d’une république exemplaire, d’un sérieux du politique, d’une démocratie à la recherche d’un consensus. Mais sait-on jamais ! [....]

    Damien Le Guay

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Euthanasie-le-prix-a-payer-pour-la

  • Lunel – Djihad : nos régions ont du talent (Présent 8217)

    Lunel, terreau du djihadisme français ? Cœur d’une filière de recrutement de moudjahidines ? Et demain Clairac et Saint-Marcel et Plougastel, Eguisheim et Morlaàs ? Nos petits patelins typiques ont radicalement viré de type.

    Une du numéro 8217 de "Présent"

    Une du numéro 8217 de “Présent”

    Quatre jeunes habitants de Lunel dans l’Hérault (25.000 âmes, à l’est de Montpellier) partis rejoindre les rangs des djihadistes en Syrie, ont été tués le week-end dernier lors de combats. L’un des quatre était converti à l’islam, les trois autres de confession musulmane ancienne. Ils étaient accompagnés de leurs compagnes et de leurs bébés. L’une des femmes concernées se dit aujourd’hui désireuse de revenir en France, « après tant de drames »… Merci bien !

    L’enquête évoque l’existence d’une « filière de recrutement » à Lunel

    Selon des informations diffusées par BFMTV (à prendre avec prudence car de nombreux jeunes islamistes se vantent sur internet d’alimenterBFMTV en fausses informations) les services de police seraient à la recherche d’un homme d’origine syrienne, vu à plusieurs reprises ces derniers temps à Lunel. Il pourrait être le recruteur et l’organisateur des départs vers son pays pour le compte du Front Al Nosra, succursale d’al Qaïda en Syrie, engagé dans la guerre contre le régime de Damas. Selon ces mêmes informations, les quatre djihadistes auraient quitté Lunel par la route pour Barcelone d’où ils auraient embarqué sur des vols à destination de la Turquie, avant de passer clandestinement en Syrie. Ils auraient été accueillis dans un camp d’entraînement d’Al Nosra situé dans un petit village entre la frontière Turque et Alep, par un recruteur venu du Gard.

    « Mes frères »

    A Lunel où vit une importante communauté maghrébine, les voisins des quatre disparus sont … admiratifs. « C’est mes frères qui sont morts, point, y a rien à dire », lance agacé un « jeune » à un journaliste. Un joint à la bouche et un verre de thé à la menthe à la main. Un cousin des deux frères qui ont trouvé la mort raconte que ces garçons étaient « des personnes normales comme moi, des gens respectables »« C’est à cause d’Internet, des vidéos sur Youtube, ils étaient sur Facebook. Ce n’est pas la mosquée. Ils ont eu une vision différente peut-être ».

     

    « Mes frères »« Des personnes comme moi ». Combien sont-ils comme eux ? Accueillis par la France ou nés en France, éduqués, soignés, logés, élevés en France. Combien sont-il à vouloir mourir ou massacrer pour Allah ? La France fournit actuellement le plus gros contingent de djihadistes européens au Moyen-Orient avec plus d’un millier de recrues. Plus éloquent que toutes les démonstrations sur la réussite de cette « intégration » et de cette « assimilation » que l’on continue de nous vendre et de nous vanter.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/177304/lunel-djihad-nos-regions-ont-du-talent-present-8217/#more-177304

  • Nous n'intéressons pas NVB

    NVB persiste, signe, nie une fois de plus que la théorie du genre n'existe pas, avoue que "les détracteurs des ABCD de l'égalité ne l'intéressent pas", et prend vraiment les Français pour des imbéciles.

     

    Marie Bethanie