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lobby - Page 1787

  • Soumettre l’enfant à la toute-puissance de l’École est une forme de totalitarisme !

    Votre souhait de soumettre l’enfant à la toute-puissance de l’école n’est rien d’autre que ce qu’ont fait tous les totalitarismes.   

    Monsieur Denoel, jetez le masque ! Votre article intitulé « Du rôle de la famille dans l’éducation » comporte la définition même du totalitarisme. Étant capable d’écrire, et de vous faire publier sur un site dont la règle est la liberté d’expression, vous avez sans aucun doute la capacité d’aboutir à la même conclusion.

    Votre pensée semble – autant qu’on puisse en juger en un court article – assez relativiste. En clair, vous déniez à quiconque le droit d’inculquer à nos enfants des principes, et semblez considérer que tout enseignement relève de la propagande (l’histoire de France), de la caporalisation (le respect envers l’instituteur) et de l’embrigadement (l’enseignement catholique et la Manif pour tous). Et, comme tout relativisme, le vôtre se mort la queue très rapidement. Toujours cette vieille question qu’on a presque honte de poser : « Est-il vrai que la vérité n’existe pas ? »

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  • Vidéo – Sanctions européennes contre la Russie : qui commande en Europe ?

    Quand Joe Biden, le vice-président des USA, avoue sans détour que le Président des USA est le véritable décideur dans l’Union Européenne!

    Cette vidéo dévoile aussi le dessous de cartes économiques. Quels sont les intérêts privés sous-jacents qui font monter les enchères à propos de l’Ukraine ?

    Version anglaise sous-titrée en français 

     

    http://medias-presse.info/video-sanction-europeennes-contre-la-russie-qui-commande-a-qui-profite-le-crime/16343

  • Le faux concept liberticide d'islamophobie

    On recevait ce matin des nouvelles, ou plus exactement on découvrait que nous demeurons sans nouvelles de 219 parmi les 276 lycéennes enlevées au Nigeria le 14 avril. En juin les autorités du pays nous ont invités à nous féliciter que 57 étaient parvenues à s'enfuir. Restent donc les autres : plus de 200.

    Responsable du rapt, le citoyen Aboubakar Shekau, chef de l'organisation terroriste Boko Haram, se présente comme un musulman fanatique. En août s'est rallié au néo califat. Or, un adepte de cette religion est supposé ne jamais mentir, – sauf, dans certaines circonstances difficiles, aux infidèles. On peut donc prendre ses affirmations au pied de la lettre. Il promettait de vendre ses petites captives comme épouses ou comme esclaves, ce qui semble dans son langage existentiel vouloir dire à peu près la même chose.

    Pour dire vrai nous savons, ou nous croyons savoir, depuis la lecture de "Coke en stock", jamais démenti depuis 1957 et pas encore censuré, l'essentiel de l'esclavagisme dans les régions du Sahel, celles où précisément s'affrontent les deux Afriques. (1)⇓

    Ah comme il peut paraître commode d'évacuer le débat au nom de la lutte contre l'islamophobie, dont on cherche à faire un délit.

    Pour beaucoup d'Occidentaux la question de l'islamisme et la distinction pudique entre celui-ci, ses déviations radicales ou terroristes, le retour sans honte à l'esclavagisme, et ce que nous appelons la religion mahométane, ne sont certes apparues que tardivement.

    On peut retenir la date tournant de 2001.

    C'est alors que l'engouement pour l'achat d'un exemplaire d'un Coran, lecture vite refermée, se développe chez beaucoup de bien pensants et de faux lettrés. Inutile de dire qu'en quelques années la connaissance du sujet ne s'est pas vraiment approfondie.

    Par exemple il a fallu attendre le milieu de la guerre américaine d'Irak pour que nos dirigeants et nos "informateurs" commencent à se préoccuper de la coupure, pourtant plus que millénaire, entre Chiites et Sunnites. Certains aspects de la guerre Irak-Iran qui avait fait, de 1980 à 1988, soit 15 à 20 ans plus tôt, entre 500 000 et 1 200 000, fourchette bien large des estimations les plus courantes, ne s'expliquent que par ce schisme meurtrier remontant aux premiers califes et peut-être même à la vie de Mahomet.

    Les travaux de Henry Corbin sont publiés en France à la veille de la révolution islamique en Iran. Le premier Tome de son grand œuvre "en Islam iranien" fut imprimé à Paris en 1978. Cette année-là l'ayatollah Khomeiny tissait sa toile à Neauphle-le-Château, sans que nos décideurs lui fassent ombrage. Observons dès lors le décalage total entre le travail savant d'un grand spécialiste et la prise de décisions des gouvernants.

    À l'inverse en effet on peut dire que la recherche sur le sujet n'a jamais été interrompue dans les cercles mieux informés, de toutes tendances, aussi bien chez les catholiques, les chrétiens en général, avec des nuances non négligeables, que chez les rationalistes ou les marxistes, tous éloignés de l'islam pour des raisons très différentes. Il va de soi que l'intérêt des milieux féministes, laïques, policiers, militaires ou judiciaires les recoupe désormais tout en se retranchant trop souvent dans leur spécialité respective. Mais paradoxalement c'est peut-être à partir de leurs approches conflictuelles et concrètes que l'angle d'observation s'élargira.

    Dans un cas comme dans l’autre la question préalable, l'accusation inventée d'islamophobie, qu'on n'opposait ni à Voltaire ni à Montesquieu, est devenue objection paralysante de toute réflexion. Au lieu de professer, comme l'Angleterre d'autrefois, qu'on peut tout acheter aux cannibales excepté la viande, on a convaincu les cercles qui se veulent responsables qu'on doit importer à la fois le pétrole et les modes de pensée des émirs de l'orient.

    L'ignorance de l'Histoire peut sembler stupéfiante. On pourra s'étonner qu'un spécialiste reconnu comme Olivier Roy puisse déclarer que "l’islam politique consiste à construire cette religion comme une idéologie politique"(2)⇓

    Mais justement ! cette "religion" a toujours été construite de la sorte. Le nouveau petit livre de Henri Lammens que nous publions le souligne encore. (3)⇓

    On doit donc se prononcer résolument pour une approche libre et, n'en déplaise aux bons esprits, plus ou moins généraliste de l'islam.

    Elle doit donc se développer librement c'est-à-dire sans préjugé, et surtout pas sur un terrain affectif qui serait supposé arbitrer entre "philie" et "phobie". C'est la vérité qui nous rendra libre, et c'est la liberté qui nous permettra d'aller à sa recherche.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    1.  L'album "Coke en stock" a été publié par Hergé en 1958. On peut encore se le procurer dans toutes les (bonnes) librairies et tous les supermarchés. Les abonnés du journal Tintin avaient pu le lire en feuilleton pendant toute l'année 1957. 
    2.  cf. Libération 4 octobre 2104.
    3.  Il y a maintenant un quart de siècle je découvrais que tout ce que je croyais savoir, jusque-là, sur l'islam était entaché de conformisme et de lecture du Monde. Je suis aujourd'hui reconnaissant au vieil ami qui me fit connaître alors l'œuvre de Henri Lammens que les Éditions du Trident réimpriment ces jours-ci.
  • La gauche morale : hégémonique et minoritaire

    A l'occasion de la sortie du dernier numéro de Causeur intitulé «Gauche : mourir dans la dignité ?», Elisabeth Lévy a accordé un long entretien à FigaroVox. Extraits :

    "Certes, il existe toujours un camp politique qui s'appelle «la gauche», quoi qu'il ne soit pas très en forme. Mais il est intellectuellement et idéologiquement moribond: quel référent peut bien désigner un signifiant revendiqué par Najat Vallaud-Belkacem et Jean-Pierre Chevènement, Bernard-Henri Lévy et Emmanuel Todd, Jean-Luc Mélenchon et Michel Sapin ? Le mot «gauche» est devenu une sorte de mantra, un totem qu'on s'arrache en jouant à «plus à gauche que moi tu meurs», d'où la traque permanente des imposteurs et hérétiques qui trahissent la «vraie gauche». Mais le mot «chien» ne mord pas et le mot «gauche» ne crée pas de justice. [...]

    Si je m'intéresse à ce que vous appelez la «gauche morale», c'est parce que son pouvoir culturel, et plus encore médiatique, est sans commune mesure avec son poids réel. Le peuple de gauche ou ce qu'il en reste n'aime pas plus que celui de droite les fanfreluches sociétales qui enchantent le bobo de gauche et de droite - qui est conforté par les protestations des ploucs.Hégémonique et minoritaire : la gauche morale a accouché de la gauche rebelle, mot remis au goût du par cesRendez-vous de l'Histoire de Blois. La rébellion, c'est précisément ce qui reste de la révolution à l'âge de l'individu et de Canal +. Ce qui donne le sentiment de vivre dans un asile de fous, c'est qu'aujourd'hui, le rebelle est au pouvoir. Plus il est minoritaire, plus il se sent légitime pour décider ce qu'il convient de penser, plus il est hargneux avec ceux qui ne pensent pas comme lui. Ce rebelle dominant, oxymore qui rappelle les «anarchistes couronnés» d'Antonin Artaud ou les délicieux «mutins de Panurge» de Philippe Muray (upgradés ensuite en «matons de Panurge) - résume le mensonge dans lequel la gauche est engluée : elle cumule les gratifications de la subversion et le confort de l'institution. Ainsi parvient-elle, en dépit de son discrédit croissant, à rester l'arbitre des élégances morales, décider de quels sujets on peut parler et qui peut en parler. Hégémonique et minoritaire, cela finit par poser un problème démocratique, non ? [...]

    En réalité,la gauche d'aujourd'hui n'aime pas les pauvres, elle aime l'Autre, et elle l'aime d'autant mieux qu'elle le croise peu.Résultat: abandon de la nation, abandon du peuple. [...]

    [J]e ne me détermine certainement pas sur les programmes économiques que séparent surtout des différences rhétoriques- même si la rhétorique de gauche («mon ennemi c'est la finance», «qu'ils s'en aillent tous») m'exaspère particulièrement. Mais je ne me sens pas particulièrement «de droite». Tout d'abord, on ne peut pas dire que la santé doctrinale, intellectuelle et politique de la droite soit plus brillante que celle de la gauche. Et elle est, comme elle, un foutoir idéologique. Cependant, il y a une différence fondamentale. Dans le fond, être de gauche, c'est avoir raison. Pour des raisons essentiellement historiques, la droite ne prétend pas incarner le Bien, au contraire, elle a en quelque sorte intégré son infériorité morale. Aussi, quelles que soient ses tares et ses turpitudes, la droite est-elle - spontanément plus pluraliste, moins sectaire, moins fanatique que la gauche."

    Michel Janva

  • Du Grand Remplacement au grand retour : Assises de la Remigration le 15 novembre 2014 à Paris

    Toujours en pointe quand il s’agit d’être un éveilleur de peuple, notamment pour lutter contre le Grand Remplacement qui touche notre peuple, le Bloc identitaire organise les Assises de la Remigration le 15 novembre prochain à Paris (les noms des intervenants et le lieu des Assises seront indiqués prochainement). Le Bloc identitaire a annoncé ces Assises de la Remigration via un communiqué :

    Le Bloc Identitaire a depuis longtemps fait le constat du Grand Remplacement et de ses terribles conséquences – économiques, sociales, culturelles, sanitaires, sécuritaires – pour notre pays. La lutte contre cette terrible substitution de population que subit notre pays, expression concrète de la disparition de notre identité, est même au cœur de notre engagement.

    (…)

    Loin des positionnements, oscillant souvent entre douce utopie et vile lâcheté, prônant l’assimilation massive comme réponse à l’immigration massive ou encore la « réconciliation » avec des immigrés ou descendants d’immigrés qui détestent la France et les Français, le Bloc Identitaire estime qu’une remigration, concertée et planifiée, c’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une grande partie des immigrés et descendants d’immigrés, est la seule option à même de garantir un avenir pacifié à notre pays et de préserver son identité.

    Que cela soit dans la rue à travers actions, manifestations, et campagnes militantes, ou sur le terrain intellectuel avec la production des « 26 mesures pour la remigration » ou encore de nombreux entretiens et interventions médiatiques, les identitaires ont largement travaillé à la conscientisation de nos compatriotes mais aussi à la popularisation de cette solution et son entrée dans le débat public. Il est désormais temps de franchir une nouvelle étape, de fédérer les énergies afin d’imposer la remigration comme le corollaire logique, évident, du refus de l’immigration.

    Vous pensez que la remigration est impossible ? Vous pensez qu’il n’y a jamais eu de remigration dans l’histoire ? Vous pensez encore que les djihadistes et les 16% de « Français » qui les soutiennent ou les supporteurs violents de l’équipe d’Algérie pourront faire demain de bons citoyens ? Laissez-nous vous convaincre de l’inverse ! Vous pensez tout au contraire que les sociétés multiraciales finissent toujours en sociétés multiracistes et nous mènent à la guerre civile ? Vous pensez que la seule solution pour éviter cela est de favoriser et d’organiser le grand retour ? Alors venez renforcer vos arguments et travaillez avec nous à rendre possible ce qui vous apparaît nécessaire !

    http://fr.novopress.info/176701/du-grand-remplacement-au-grand-retour-assises-remigration-15-novembre-2014-paris/

  • Islamisme et liberté religieuse

    En main une imposante base de donnée publiée à Washington. Ordinairement de bon aloi, les rapports du Pew Forum permettent de faire le point sur divers problèmes mondiaux dans une optique plutôt libérale conservatrice en général. Ils nous disent beaucoup à la fois sur les faits et plus encore sur les idées reçues en occident.

    Le document que nous citons ici est consacré aux "Musulmans du monde, religion, politique et société". Publié en avril 2013, il se présente comme un assez fort volume de 226 pages. On y trouve un certain nombre de conclusions peu surprenantes. Par exemple, on y découvre que "dans leur ensemble les femmes musulmanes sont plus attachées aux droits des femmes que les hommes". (page 42)

    Notre étonnement grandit lorsque nous lisons que "dans leur ensemble les musulmans soutiennent largement l'idée de liberté religieuse. Parmi les musulmans qui disent que les gens sont libres de pratiquer leur foi, les trois quarts ou plus dans chaque pays disent que c'est une bonne chose". (page 63)

    Si l'on se base sur une telle évaluation, on sera par conséquent porté à considérer, en toute bonne foi, que, dans leur grande majorité les mahométans opinent en faveur de la liberté de religion pour les autres.

    Et ceci inclinerait certains habiles à croire que leurs interlocuteurs pourraient, pourquoi pas, se mobiliser pour la défendre.

    Ceci prend un tour plus préoccupant dès lors que l'on s'engage contre l'islamisme extrême du néo Califat. Celui-ci s'est affirmé en mai 2014 à Mossoul. Il s'est illustré depuis lors dans des assassinats d'otages innocents.

    Notons à cet égard que ces crimes ont été honteusement étiquetés par les moyens de désinformations français : on les entend présentés comme des "exécutions", ce mot supposant dans notre langue une notion de culpabilité et de décision de justice…

    On pourrait commencer par remarquer que la manière dont ont répondu "dans leur ensemble" les personnes interrogées a quelque chose de conventionnel. De plus, pour oser dire dans le cadre d'un sondage que l'on récuse le droit élémentaire des autres il faut une bonne dose d'arrogance, et de franchise...

    Mais avant tout il conviendrait de s'entendre sur ce que l'on appelle, au XXIe siècle en occident, la liberté religieuse...

    Les musulmans considèrent celle-ci comme établie dès lors qu'ils laissent aux dhimmis la liberté de culte dans des églises ou des synagogues, et que l'on ne les détruit pas. Ils peuvent se rendre aux offices, on ne les emprisonnera pas.

    Cette liberté-là est reconnue en gros dans la pratique, en temps ordinaire. Elle ne se verrait donc contestée "que" par 25 % environ des musulmans du monde entier.

    Mais, d'autre part, tous les autres aspects de la liberté religieuse se trouvent, même dans les périodes de cohabitation calme, systématiquement bafoués.

    Citons d'abord le droit de changer de religion. C'est peut-être le point essentiel.

    La doctrine islamique en matière d'apostasie n'est pas formulée par le Coran. On entend parfois citer, de façon totalement tronquée et détournée, un passage de la Sourate 2, verset 256 : "pas de contrainte en religion". Le contexte de ce bout de phrase dément de façon radicale l'interprétation que l'on imagine. Rien dans le livre saint des mahométans, rien dans la Sîra retraçant la vie du beau modèle ne plaide en fait pour une telle tolérance.

    Ce qui prévaut aujourd'hui encore est apparu au IXe siècle, soit 200 ans après la mort de Mahomet, et dans un seul hadith. Or, aucune puissance islamique ne le remet vraiment en cause. Et pourtant il ne repose que sur un seul témoignage : "celui qui change de religion tue-le" ! Ce hadith est accepté dans les 57 législations des 57 pays de la conférence islamique. Il est reçu sous des formes différentes, mais, dans la pratique, on ne condamne jamais le musulman extrémiste qui obéit et assassine l'apostat.

    Évoquons aussi au titre de la liberté d'expression le droit d'exprimer des critiques contre la religion : face à l'islam la controverse devient très vite blasphème. (1)⇓

    Toute propagation de leur foi est également interdite aux dhimmis. Or, on doit rappeler ici qu'une certaine forme de prosélytisme est un devoir pour un chrétien. (2)⇓

    Ne parlons même pas d'autres aspects, dans le mariage par ex., d'une conception libérale de la pratique religieuse.

    Ne parlons même pas du droit de construire des lieux de cultes.

    Se laisser prendre à la conception que l'islam considère de sa "liberté religieuse" me semble donc une faute majeure commises par les Occidentaux.

    JG Malliarakis
    Apostilles

    1.  Même l'évocation de certains aspects de sa biographie la plus officielle, vus sous l'angle de nos critères occidentaux, peut être considérée comme outrageante pour le Beau Modèle, qui devient "insolite" à nos yeux quand nous lisons, par exemple, que Aïcha avait 6 ou 7 ans quand elle s’est mariée à Mahomet et 9 ans lorsque le mariage fut consommé.
    2.  On se base ici sur la conclusion de l'évangile selon saint Mathieu "Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit"… Mt 28,18 -- ce qui peut hélas s'interpréter de manière différente selon les intérêts des États -- Une partie non négligeable des missions occidentales en orient s'est investie dans la conversion de non-musulmans, coptes, arméniens, assyriens, mais aussi juifs etc. Cela était tout à fait permis sous le régime ottoman, et cela a produit des églises dissidentes minoritaires. Mais sur la conversion des mahométans, seules de rares communautés, controversées à ce titre, s'y risquent vraiment.

    http://www.insolent.fr/2014/10/islamisme-et-liberte-religieuse.html

  • Un califat en Europe à deux heures de Paris ? La menace existe!

    C’est ce qui se profile à l’horizon si les mondialistes de l’OTAN continuent de jouer avec le feu en compagnie de leurs alliés sunnites du Moyen-Orient. Après le drapeau noir de l’Etat Islamique hissé théoriquement au Vatican, les Balkans risquent de s’enflammer.

    L’association Solidarité-Kosovo rapporte aujourd’hui un type d’événement qui menace de s’étendre à l’ensemble de l’Europe:

    Belgrade, lundi 13 octobre – Les trente moines de Visoki Dečani sont sous le choc depuis la découverte hier matin de graffitis et d’inscriptions en arabe et anglais annonçant l’arrivée de l’État islamique et du califat au Kosovo. Depuis samedi soir, la muraille en construction destinée protéger les moines et le monastère est recouverte de plusieurs inscriptions et sigles dont celui de l’« ISIS », l’État islamique en Irak et en Syrie et de l’ « UÇK », considérée autrefois par la communauté internationale comme une organisation terroriste albanaise.
    « Caliphate is coming – Le califat arrive » un graffiti devenu slogan
    Dépêché sur le terrain en urgence, le Lieutenant Angelo Minelli, commandant de la KFOR locale, la force armée de l’OTAN a assisté hier à une scène troublante. Alors qu’il constatait l’infraction en compagnie de l’higoumène Sava Janjić, sa visite fut chahutée par un groupe de jeunes Albanais, ameuté par les radios locales qui relayaient en boucle le motif de sa venue au monastère de Dečani. Se positionnant à tout juste quelques mètres du religieux et du militaire, une dizaine de jeunes hommes est venue crier à visage découvert et à pleins poumons les slogans tagués la veille au soir sur les façades du monastère. Une horde de soutien confirmant un peu plus l’hypothèse d’un acte de vandalisme réfléchi et délibéré.

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  • Attali au Congrès juif mondial : « Notre rôle est d’aider à la création d’une bourgeoisie musulmane »

    La pensée de beaucoup de juifs sur les musulmans de France est résumé par Jacques Attali dans cette citation. Parce que la France accueille la plus grande communauté juive et la plus grande communauté musulmane en occident, notre pays devient un laboratoire d’expérimentation pour ces ordures. 

    « Si la France ne réussit pas à organiser une cohabitation pacifique entre juifs et musulmans, celle-ci ne réussira nulle part ailleurs dans le monde. Nous avons les plus grandes communautés juives et musulmanes dans le monde occidental.

    C’est notre devoir, en Europe et principalement en France, de réussir cette coopération pacifique. Et cela peut marcher.

    J’ai fondé une société de micro-finance et nous travaillons dans les banlieues où nous aidons des musulmans pauvres.

    Nous y avons trouvé des gens formidables. Il y a des gens formidables dans la communauté musulmane.

    Deux problèmes : premièrement, il n’y a pas de leader. Il n’y a pas de David de Rothschild, il n’y a pas de Roger Cukierman.

    Je dirais, à propos, que c’est notre rôle, partout dans le monde où il y a une communauté musulmane, d’aider à la création d’une bourgeoisie musulmane.

    La clé pour un monde musulman pacifique, c’est une bourgeoisie musulmane.

    C’est notre rôle de les aider.

     

    Nous avons besoin de musulmans riches. Nous avons besoin de familles fortunées et nous avons besoin qu’elles financent leurs propres organisations. Pouvez-vous imaginer qu’il y ait un seul lycée musulman en France ? (…)

    Je veux souligner ceci : il est beaucoup plus difficile aujourd’hui d’être musulman que juif en France. Si vous avez un nom juif, vous pouvez presque aller partout. Si vous avez un nom musulman, vous trouvez presque toutes les portes fermées. Et c’est aussi notre rôle de les aider, de les sortir de la frustration. »

    http://www.contre-info.com/attali-au-congres-juif-mondial-notre-role-est-daider-a-la-creation-dune-bourgeoisie-musulmane

  • Les maladresses du Monde contre Zemmour

    L'Observatoire de l'islamisation démonte les grosses ficelles employées par le Monde pour tenter de contredire Eric Zemmour :

    "On lit :

    "En 1982, on comptait 4 millions d'immigrés (nés étrangers dans un pays étranger), et 3,5 millions d'étrangers (vivant en France sans avoir la nationalité française) pour 55 millions d'habitants. En 2011, on compte 5,4 millions d'immigrés et 3,7 millions d'étrangers pour 65 millions d'habitants."

    Le Monde omet sciemment de préciser que par définition, tous les étrangers naturalisés français depuis 1982 sortent de la catégorie "étrangers". Juste un chiffre du  Haut Conseil à l’intégration : entre 1990 et 2005, 1 500 000 étrangers ont été naturalisés français, soit plus qu’au cours des deux siècles précédents !

    Autre affirmation farfelue du Monde :"Aujourd'hui, le « regroupement familial » n'est pas une cause d'immigration de masse ou de délivrance de titres de séjour"

    Pourtant, le regroupement familial est la cause de 51% des délivrances de titre long séjour de 10 ans renouvelables.Sur les 185.000 titres de séjour délivrés en 2005 aux extra-européens, 94.500 l'ont été au titre du regroupement familial et seulement 13.000, soit 7%, au titre de l'immigration économique. Notre chiffre est de 2005, nous allons chercher les plus récents, mais l'ordre d'idée est là.

    Samuel Laurent qui "décode" tous les sujets pour Le Monde, multi expert de l'écologie à l'économie en passant par l'immigration devrait lire et, rêvons, citer les spécialistes :`

    Pour François Héran, directeur de l'Institut National d'Etudes Démographiques « l'immigration sans le vouloir, sera en première ligne de la croissance de la population française». Le démographe récuse l'idée que « l'immigration pourrait devenir secondaire dans la croissance de la population française, par exemple en privilégiant une immigration choisie au lieu d'une immigration subie. Cela ne marche pas, car l'immigration familiale, l'immigration d'asile restent très importantes, qui accompagnent l'immigration de travail même sélectionnée

    Concernant les mariages entre les détenteurs de nationalité française et les étrangers, que Zemmour arrondit à 30%, il est de 28% selon  le rapport remis au Parlement en 2006 par le Secrétariat général du comité interministériel de contrôle de l’immigration dirigé par Patrick Stéfanini, rapportant que : « Au total les mariages mixtes – entre Français et étrangers – célébrés en France et à l’étranger ont été au nombre de 90.700 en 2005, dont environ 42.500  en France et 48.200 à l’étrangerreprésentant 28% des mariages célébrés ou transcrits dans notre état-civil »

    Mais selon Le Monde, là aussi, Zemmour mentirait...

    Les enquêtes annuelles de l’Insee citées par Le Monde  évaluant le solde migratoire ont montré leurs limites en exposant des incohérences reprises sans recul par la presse souvent séduite par ses estimations modestes et rassurantes. Le solde calcule la différence entre les départs de France, généralement des actifs diplômés (entre 60 000 et 80 000 par an selonLe Monde!), et les arrivées constituées d’immigrés extra européens dont les deux tiers ont un niveau scolaire de troisième ou inférieur…Ainsi présente-t-on aux français un solde rassurant à première vue, les départs de français qualifiées retranchés masquant autant d’arrivées d’extra-européens sous qualifiés!

    Dans son "Premier cliché démenti par les fait"le Monde fait référence à l'affirmation selon laquelle l'immigration aurait explosé ces dernières années. Un cliché, vraiment ?

    En septembre 2014 Michèle Tribalat était interrogée dans Le Figaro et énonçait ces chiffres effarants : « Entre 1999 et 2011, c'est-à-dire en 12 ans, la population d'origine étrangère sur deux générations a augmenté de 2,4 millions (de 9,8 millions à 12,3 millions), dont un peu moins de la moitié seulement est composée d'immigrés, les autres (d'origine étrangère) étant nés en France. 2,4 millions, cela correspond à un taux d'accroissement de 25 % en douze ans. C'est plus, en valeur absolue, que l'accroissement du reste de la population qui s'est fait, sur la période, au rythme de 4,4 %. » [...]

    Michel Janva

  • Frontières passoires : les flics se rebiffent !

    La raison d’être d’une nation et d’un État consiste aussi à veiller sur ses ancestrales frontières.   

    C’est qu’on en apprend, des choses, dans la presse ; même dans Le Figaro, c’est dire… Sur l’immigration, par exemple, sujet délicat entre tous pour cette vénérable institution quotidienne. En effet, si les lecteurs du Figaro la maudissent, cette même immigration, les actionnaires du même journal la chérissent. Logique, puisque dans l’actuel économie mondialisée où les frontières ont été abolies pour la libre circulation des capitaux, des marchandises et des hommes, l’immigré est proie de choix, permettant de tirer les salaires vers le bas, sachant que le coût de ce même salaire demeure la dernière variable d’ajustement dans cette course folle à la compétitivité.

    Mais le Diable peut aussi porter pierre. Le Figaro, donc. Avec, ce lundi, le passionnant témoignage d’un banal « flic de base » de la PAF. Soit le locdu censé veiller sur nos frontières ; on se demande bien comment et avec quels moyens, d’ailleurs. Mais tel est justement le sujet de ce papier, issu de « documents » qui auraient dû demeurer « confidentiels » et produits lors d’une « réunion exceptionnelle » tenue à la préfecture des Alpes-Maritimes, consacrée au « phénomène migratoire érythréen ». Pour les plus distraits de nos lecteurs, l’Érythrée, c’est une région située quelque part en Éthiopie et jusque-là peu connue pour être grande exportatrice d’immigrés. Ce rapport n’en a justement que plus de saveur.

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