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lobby - Page 1791

  • Le Grand remplacement en débat au sein du Front national ?

    Pour le journal Le Point, si Marine Le Pen a déclaré percevoir une “vision complotiste” dans l’idée du Grand remplacement, c’est notamment pour afficher “son refus de se radicaliser davantage sur l’islamisme et l’immigration”.

    La journaliste du Point donne son avis le Grand remplacement : Le “grand remplacement” ? Il s’agit de la disparition en France du peuple blanc, européen et de tradition catholique au profit de populations noires, arabes et musulmanes, une théorie élaborée par le penseur d’extrême droite Renaud Camus. “Pire que la guerre de Cent Ans, cette crise (le grand remplacement) est la plus terrible que notre peuple ait eu à affronter”, répète Camus en accusant pêle-mêle les juges, les journalistes, les hommes politiques d’appartenir au camp des “remplacistes”.

    Un certain nombre de responsables du FN ont été interrogés :

    “Certes, il n’y a pas de plan établi, mais le phénomène du grand remplacement existe. Et, contrairement à ce que pense Marine Le Pen, ce terme n’est pas malheureux. C’est le résultat que nous constatons chaque jour de nos yeux”, explique au Point.fr le député européen Bruno Gollnisch. Quant à Nicolas Bay, il propose d’inverser les flux migratoires “en mettant fin au renouvellement automatique des titres de séjour, en s’appuyant sur la binationalité ou la naturalisation récente de certains criminels pour les déchoir de la nationalité française, en supprimant les incitations à l’immigration” (interview accordée au journal Présent en octobre). Un dirigeant frontiste décrypte : “Le grand remplacement offre deux lectures possibles : 1/ une théorie factuelle, celle du changement de population ; 2/ un complot : certaines forces agissent de façon délibérée pour mettre en oeuvre ce changement de population. Nous retenons la première.”

    http://fr.novopress.info/177945/grand-remplacement-en-debat-au-sein-du-front-national/

  • Sos racisme, Licra, Sarkozy…Tout faux!

    Un nouveau scandale comme la médiacratie les aime. Non pas celui du militant antinational  Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT – voir notre article en date du 30 octobre-  dont on apprend, suite aux nouvelles révélations hier du Canard enchaîné , que  son luxueux appartement de fonction dans le quartier  le plus huppé de Vincennes, rénové à grands frais (130 000 euros)  grâce  aux cotisations des adhérents floués de la CGT,  avait déjà fait l’objet d’une rénovation avant sa location. Non pas celui qui concernerait aussi le secrétaire d’État chargé de la Famille et des Personnes âgées, la socialiste Laurence Rossignol, qui selon l’UFC que choisir et comme le relaye le site 24heures actu,  aurait  bénéficié pendant 18 ans d’un emploi qualifié de fictif  au sein de la LMDE, la mutuelle des étudiants. Une longue période pendant laquelle  «les enquêteurs n’ont quasiment pas réussi à trouver de trace de travail de (Mme Rossignol). Elle est créditée comme rédactrice en chef pour quelques brochures, mais je sais qu’elle ne les a pas écrites parce que c’est moi et des collègues qui les avons faites. Elle venait très rarement. Son bureau, pas très loin du mien, était toujours fermé. Les syndicats ont d’ailleurs fini par s’émouvoir de cette situation quand on a commencé à parler de suppressions de postes à la LMDE. La question s’est réglée car elle a démissionné quand elle est devenue sénatrice,  a déclaré un ancien salarié de la LMDE, dont les propos ont été confirmés par un autre ancien cadre (…). Fidèle à son idéologie socialisante, le seul travail qui restera de ces 18 années rémunérées par l’argent des étudiants est une plaquette sur les diverses sexualités… ».

     Non,  le scandale qui a agité le microcosme ces dernières heures , et sur lequel les officines dites antiracistes se sont jetées avec délectation –Licra, SOS racisme,  il faut bien qu’elles justifient leur financement avec l’argent de nos impôts-, ce sont les propos de l’entraîneur de l’équipe des Girondins de Bordeaux, l’ex joueur de  l’équipe  de France Willy Sagnol.

     Invité au quotidien Sud-Ouest et interrogé sur son souhait de limiter son  recours aux joueurs africains parce que déclare-t-il «  une fois tous les deux ans (ils)  se barrent pendant deux mois», M. Sagnol a déclaré :  «l’avantage du joueur typique africain,  c’est un joueur pas cher quand on le prend, prêt au combat généralement, qu’on peut qualifier de puissant sur un terrain. Mais le foot ce n’est pas que ça. Le foot c’est aussi de la technique, de l’intelligence, de la discipline. Il faut de tout. Des nordiques aussi, c’est bien les nordiques, ils ont une bonne mentalité. C’est un mélange, une équipe de foot, c’est comme la vie, c’est comme la France, c’est un mélange. On a des défenseurs, des attaquants, des milieux, des rapides, des grands, des petits, des techniques…».

     Des propos immédiatement interprétés par les professionnels de l’antiracisme comme une déclaration racisto-racialiste, comme une volonté de dénier toute intelligence aux joueurs africains… alors même que M. Sagnol a confié le capitanat de son équipe à l’Africain Lamine Sané, membre de  l’équipe du Sénégal.

     Pourtant,  il est difficile de comparer Willy Sagnol  avec le calamiteux Léon Blum déclarant qu’il était du devoir des «races supérieures d’imposer la civilisation aux autres races »; ou avec le très sectaire Jules Ferry qui clamait pareillement que « le devoir des peuples civilisés (est) de mettre dans leurs rapports avec les peuples barbares plus grande longanimité, celle d’une race supérieure qui ne conquiert pas pour son plaisir ».

     La Licra a cependant annoncé son souhait de «mettre un terme à son partenariat avec les Girondins et (qu’elle) envisage un dépôt de plainte ». SOS racisme a exigé   « que les instances - FFF, LFP et ministère des Sports – prennent des sanctions immédiates à la hauteur de la gravité de tels propos» et dit  « étudier la possibilité de déposer une plainte dans les jours qui viennent ». Et ce, pour des propos qui « renvoient à une expression décomplexée du racisme anti-noir », « l’association crasse des Noirs et des Nordiques respectivement aux registres du physique et de l’intelligence ». Est-il besoin de préciser que ce  mauvais sketch de diversion, grotesque,  lasse les Français et accélère  le discrédit qui frappe la nébuleuse antiraciste?

     Pointer des différences,  réelles ou supposées, entre les performances statistiques moyennes de telles ou telles ethnies, et même si ce n’est  pas ce qu’a voulu dire M. Sagnol, voilà en effet le crime des crimes. D’autant plus que le 16 mai 2013, le racisme a été officiellement aboli en France. Souvenez-vous,  conformément  à l’engagement du candidat François Hollande, et sur proposition du Front de Gauche à l’Assemblée,  le mot «race »  a été supprimé  de notre législation… afin de contribuer à éradiquer le «racisme». Comment se fait-il  que personne n’ait eu cette lumineuse idée avant ? Faut-il que nous soyons bêtes…

     Heureusement, grâce à la gauche bien pensante, oscillant perpétuellement  entre pensée magique et déni du réel aux relents totalitaires à la Lyssenko, c’est  en cassant le thermomètre que l’on fait baisser la fièvre, c’est en supprimant un mot que disparaît la réalité qu’il recouvre ! Emerveillez-vous braves gens ! 

     Autre sujet d’étonnement (?), les «bons mots» du conférencier-candidat à la présidence Nicolas Sarkozy  sur les « cons de l’UMP », ses adversaires et concurrents politiques rapportés dans le un livre de Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel,  Ça reste entre nous, hein?,   publié mercredi.

     Ici, l’ex président bling-bling ne revient pas sur sa profession de foi de  juillet 2006 lorsqu’il affirmait «que les Français attendent(…)  une France où l’expression Français de souche aura disparu». Changement de registre. Cet ouvrage est présenté comme  une  synthèse de conversations  tenues pendant  deux ans et demi  par le chef de l’Etat avec les deux journalistes, dans ses bureaux parisiens de la rue de Miromesnil.  On y découvre les réflexions d’un homme  singulièrement blessé, aigri et vipérin.  Une sorte de sous-Guy Bedos.

    On ne retiendra de ce livre que les formules assassines  colportées dans les médias, Sarkozy le sait. Est-ce le seul biais qu’il a trouvé  pour  surfer sur le ras-le-bol des Français vis-à-vis de cette classe politique dont il tente de s’abstraire ? Le seul moyen pour persuader ses « soutiens » de la nécessité d’achever l’UMP, ce ramassis d’incompétents velléitaires et ingrats ?  

     A dire vrai, en portant sur la place publique cette compilation de vacheries, il confirme ce que les Français avaient découvert avec son arrivée à l’Elysée.  A  savoir le manque de hauteur, d’élégance , de stature du personnage pour incarner la fonction présidentielle, qu’il reproche aujourd’hui au « mangeur de frites mal fagotté » François Hollande. Arborer une Rolex, enchaîner les conférences à 100 000 euros ne sont pas forcément des marques de bon goût. Et  les vannes de comique  fatigué ne suffisent pas pour  « faire peuple » et se le mettre dans la poche. Tout cela sent l’artifice, le coup de com mal ficelé, la grosse ficelle. Certes,  quand on compte une NKM dans son équipe de campagne…

     Sur le site Polemia, Michel Geoffroy notait  lundi que cette droite là dont M. Sarkozy se veut le champion,  «reste tétanisée à l’idée de  pactiser  avec les idées du diable populiste, même si elles deviennent majoritaires dans l’opinion – alors que la gauche est très douée pour se réclamer en permanence de la justice sociale ou de ses  valeurs immortelles , tout en menant une politique totalement contraire ».

     Une « droite qui ne sait pas que l’histoire ne repasse pas les plats, nous donne (…)  à choisir entre Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et François Fillon. Un beau trio en vérité : un ancien président sanctionné par les électeurs de droite en 2012, un Premier ministre qui n’a réussi aucune réforme quand il était à Matignon et un autre Premier ministre qui promet de faire preuve demain de l’autorité dont il a toujours manqué ».

     « Comme dans les bandes dessinées de Lucky Luke, il y a toujours à la fin de l’histoire trois vieux vautours déplumés qui se querellent en regardant les trains passer ». Comme  Marine Le Pen, Bruno Gollnisch invite les Français à  y monter et à nous confier l’aiguillage.

    http://gollnisch.com/2014/11/06/sos-racisme-licra-sarkozy-tout-faux

  • Pourquoi anarchistes et antifas ne sont-ils pas dissous ?

    Au lendemain de la mort de Clément Méric, Valls avait dissout l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes sans même attendre le verdict de la justice.   

    Je viens de regarder de nombreuses vidéos YouTube dont celles de l’excellente agence de reportages Line Press sur les manifestations pour Rémi Fraisse de Rennes, Nantes, Albi, Paris avec un petit rappel des manifs LMPT de l’an dernier. Et je suis effaré de la différence de traitement que la force policière a utilisée face aux manifestants.

    Rappelez-vous les aérosols de gaz à bout portant sur les familles le 26 mai à l’Étoile. Et, en un an, plus de 1.200 interpellations et gardes à vue des Veilleurs et participants aux marches de la Manif pour tous. C’était la manière de l’État socialiste de se venger de l’immense succès de ces rassemblements en exigeant la plus grande sévérité de ses CRS, gendarmes, policiers et autres hommes de la BAC. Avec des comparutions immédiates devant les tribunaux et même deux mois de prison ferme pour le jeune étudiant Nicolas Buss.

    Mais combien d’interpellés — d’ailleurs aussitôt relâchés — pour les manifestations des commandos gauchistes ? Toujours le minimum alors qu’il s’agit de véritables guérillas, avec de vrais combattants masqués. À Nantes, regardez ce jeune cagoulé (je croyais qu’il y avait une loi interdisant de dissimuler son visage dans l’espace public) qui n’hésite pas à s’approcher d’un petit groupe de gardes mobiles et à frapper à plusieurs reprises sur leurs boucliers, sans qu’ils ne fassent un pas vers lui pour lui passer les menottes. Idem pour ces jeunes qui projettent violemment un panneau de stationnement sur ce même groupe de gendarmes sans autre réaction qu’un pas en arrière !

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  • Le directeur général de l’OMS s’en prend aux entreprises pharmaceutiques

    Le docteur Margaret Chan, à la tête de l’Organisation mondiale de la santé, dénonce l’avidité des grands groupes pharmaceutiques, responsable selon elle du retard dans l’apparition d’un traitement contre le virus Ebola. Elle explique ainsi qu'« une industrie guidée par le profit n’investit pas dans des produits pour des marchés non solvables. L’OMS essaye depuis très longtemps d’attirer l’attention sur cette question. Maintenant chacun le voit par lui-même. » Les premiers tests de vaccins devraient se dérouler en décembre.

    L’OMS comptabilise au 31 octobre 13.567 cas d’Ebola, dont 4.951 mortels. Pour le docteur Chan, c’est la crise sanitaire la plus grave des temps modernes. Les Etats-Unis ont déclaré en septembre que le virus Ebola constituait une menace pour la sécurité internationale, tandis que la France en est toujours aux recommandations.

    Radio Courtoisie : Bulletin de réinfo du 4 novembre.

     http://www.oragesdacier.info/

     

  • Le GIEC, allié utile du mondialisme

    « La science a parlé. Il n’y a aucune ambiguïté sur son message. Les gouvernements doivent agir. Le temps joue contre nous. » Tout est dit, ou presque, dans cette objurgation de portée mondiale puisque émanant de Ban Ki-moon lui-même, soit le secrétaire général des Nations unies.

    Une sentence valant sermon, dans une tonalité délibérément apocalyptique, dans le but d’affoler les populations, à l’approche de l’Armageddon climato-atmosphérique. Un coup de semonce verbale qui renseigne sur la valeur intrinsèque du message comme sur celle des oiseaux de mauvais augure qui l’ont inspiré.

    Ces derniers proviennent de l’inoxydable GIEC ou « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ». Le but de cette officine ? « Présenter au monde l’état actuel des connaissances scientifiques sur les changements climatiques et leur incidence potentielle sur l’environnement et la sphère socio-économique. » En d’autres termes, révéler, urbi et orbi, La Vérité messianique sur ce que nous devons obligatoirement penser des aléas et autres évolutions climatiques. [...]

    Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Ce grand remplacement qui s’impose

    Le ras le bol : les agriculteurs manifestent aujourd’hui un peu partout en France contre les taxes, les impôts, les directives étatiques et /ou  bruxelloises qui les étranglent, mais aussi contre la concurrence déloyale des produits des pays du  sud acheminés et consommés en France. Une zone euro qui est encore  la zone économique de plus faible croissance au monde, selon les prévisions économiques d’automne,  publiées mardi par la Commission européenne. Elle ne devrait pas dépasser 0,8% cette année et 1,1% en 2015. Le chômage devrait se situer à  un  taux à 11,6% cette année, 11,3% l’année prochaine. Même l’Allemagne, pour laquelle l’euro est pourtant taillé sur mesure,  a revu à la baisse ses prévisions de croissance à 1,3% cette année, 1,1% en 2015. Le miracle italien qui nous avait été vendu par tous les médias, en la personne du très euromondialiste Premier ministre Matteo Renzi, n’a pas eu lieu. La troisième économie de l’UE devrait rester en récession cette année pour la troisième année consécutive (-0,4%). La France s’enfonce dans la crise  ave une croissance de 0,3% cette année (1% prévu au printemps), 0,7% en 2015 (contre 1,5% prévu précédemment). Les deux phénomènes ne sont certainement pas sans lien,  à cet écroulement économique de la France  correspond un effacement  de son peuple  sous l’effet de l’immigration massive, au nom d’un multiculturalisme qui prend le visage d’une véritable  tiers-mondisation.

     C’est une des (mini) polémiques du moment, le site du JDD revient sur une  phrase de Marine Le Pen dans son dernier   entretien accordé à ce journal.  S’arrêtant sur la formule de l’écrivain Renaud Camus qui est entrée « chez nous »  dans le langage courant, celle du « grand remplacement », la présidente du FN estime que  cette « théorie »  relève du «complotisme». Beaucoup se sont émus de ce jugement, craignant que le FN recule sur la question de l’arrêt de l’immigration et/ou ne prenne pas (plus) la mesure du torrent migratoire auquel sont confrontés les Français.

     Directeur de cabinet de Marine, Philippe Martel a très justement tenu à préciser que  la présidente du FN « ne dit pas qu’il n’y a pas de grand remplacement!». « Quand je dis que le grand remplacement n’est pas une théorie mais un phénomène démographique, poursuit-il, je suis complètement d’accord avec (Marine)  Je ne pense pas que les pauvres hères qui se noient en essayant de rejoindre Lampedusa aient un complot dans la tête, mais ils arrivent, c’est un fait. »

     Et réfutant les données de l’Insee et d’autres « chercheurs » qui à l’aide d’études orientées,  partielles, partiales ou bidonnées,  reprises dans les médias et qui tendent de persuader les Français que l’immigration extra européenne est faible,  stable et mesurée ,  Philippe Martel constate avec bon sens : « Moi, tous les matins je prends le métro, le RER et ensuite le bus, c’est mieux que l’Insee…»

    Français qui sont aussi en phase avec Marine quand elle constatait le mois dernier sur France Inter que «la réalité c’est que notre pays vit une immigration massive. A partir du moment où on met en place le multiculturalisme, on ne permet pas à deux sociétés de vivre. On prend le risque de la confrontation des cultures».  «Les sociétés multiculturelles sont des sociétés multiconflictuelles, toute l’histoire nous le dit. La culture de la France est la culture de la France et il faut s’y fondre. Il faut éradiquer de notre territoire l’Islam politique».

     A contrario,  ce sont les  mauvais  réflexes de «repli » et d’ « égoïsme»  de nos compatriotes que les grands prêtres de l’idéologie dominante veulent éradiquer. Le Bulletin d’André Noël  constate ainsi que  l’arrivée en France du site américain  Netflix a suscité l’émoi du gouvernement et du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA).

     Ce site, qui permet  de visionner films et séries télévisées sortis il y a au moins trois ans, s’est dans un premier temps attiré les foudres du ministre de « la Culture» , Fleur Pellerin, qui « voulait que le siège de l’entreprise fût en France ou, tout au moins, qu’elle y paie ses impôts. Or, la firme américaine a choisi le Luxembourg, à la fiscalité plus douce. La France n’y peut rien puisque ses dirigeants, aujourd’hui comme hier, ont opté pour la liberté d’installation  dans l’Union européenne »…

     « Toutefois la plus importante des doléances est d’une autre nature. Ce que déplorent nos autorités, c’est qu’à travers ces nouveaux services, le citoyen puisse avoir des programmes télévisés à la carte et ainsi échapper à l’idéologie dominante, au  politiquement correct. »

     «Le président du CSA,  Olivier Schrameck, nommé à ce poste par François Hollande et ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin, déplorant l’arrivée de Netflix, a publié un communiqué dans lequel on peut lire : « « La télévision sur mesure fait peser une menace sur le modèle que nous défendons : celui d’un audiovisuel qui soit un lien social favorisant la diversité culturelle et le pluralisme politique. (…) ». Bref, il  « craint une télévision qui devienne un  bien de consommation taillé en fonction de votre personnalité supputée , aboutissant, assure-t-il, à un  enfermement  (bigre !) dans un  prolongement de l’espace privé  et non plus une télévision  fenêtre qui vous confronte à des réalités nouvelles  précisant que  les opérateurs comme Netflix ont une logique individuelle, différente de la nôtre, collective ».

     La  « vraie crainte » de M. Schrameck ? Vous l’avez compris,  « que nous échappions aux quotas ethniques, ce qu’il appelle la  diversité culturelle  de même qu’aux  réalités nouvelles,  c’est-à-dire, films, pièces, spectacles d’avant-garde de metteurs en scène subventionnés, généralement provocateurs. Il veut que nous soyons  confrontés à ces spectacles, qu’ils nous plaisent ou non. La logique individuelle  dans laquelle il accuse Netflix de vouloir nous enfermer, est en réalité la logique de la liberté : celle de choisir ce que l’on veut voir et ne pas voir ! La logique collective  à laquelle il veut nous soumettre, c’est celle de la culture officielle, la culture d’Etat qui promeut le politiquement correct !».

     Pour le président du CSA « il faut également que nous regardions des films français, même s’ils sont mauvais ; cela fait partie de notre politique culturelle  qui établit des quotas à respecter : 40 % d’œuvres françaises et 60 % d’européennes ».

     Ce vœu, assure Bruno Gollnisch, pourrait être totalement légitime dans une  optique de résistance culturelle à la déferlante hollywoodienne. Encore faudrait-il que  les œuvres en question ne soient  pas seulement «françaises» ou «européennes» de nom,  mais de qualité,   porteuses de sens, de  valeurs positives. A cette aune,  il est souvent préférable de regarder un film africain, chinois ou indien, lesquels  réservent parfois de jolies surprises, qu’une daube atroce financée par « notre» Commission d’avance sur recettes.

     Le site Breizh Info le résumait à sa manière : « si les Français portent moins d’intérêt au cinéma et aux productions françaises peut-être faudrait-il avant tout s’interroger sur le contenu et la qualité de ces productions ? Du fiasco du film culpabilisant Samba à l’arrêt anticipée de la pièce de théâtre surmédiatisée de Bernard Henry Levy Hôtel Europe  en passant par le livre d’Eric Zemmour Le suicide Français devenu à contrario un best-seller, c’est désormais un océan qui semble séparer une majorité des Français de ses dirigeants ».

     Or, plus la rupture entre le peuple et la caste au pouvoir grandit, plus la tentation de reprise en main totalitaire est forte. Le Bulletin d’André Noël le dit aussi : « Finalement, l’idéal du socialiste Schrameck, c’est la télé sous De Gaulle, celle que Mitterrand combattait – mais  aussi les nationaux – quand il n’y avait qu’une seule chaîne et que le ministre de l’Information en personne dictait le menu  du journal télévisé… ».

     En attendant le déluge,  le commissaire politique Schrameck, nous l’évoquions sur ce blogue l’année dernière,  touche touche un salaire de 100.500 euros par an, salaire… qui a été doublé puisque en 2012 , l’indemnité du président du CSA était de 55.300 euros. Un bonheur n’arrivant jamais seul, cette grande conscience de gauche  fit aussi partie l’année dernière d’ une « Commission de rénovation et de déontologie de la vie publique » -ça ne s’invente pas !!!-, plus connue sous le nom de Commission Jospin, l’ex Premier ministre en  étant le président.

     Une Commission Jospin (son président étant rémunéré à hauteur de  122 000 euros) , dans laquelle siègeait  quinze membres, dont M. Schrameck et Roselyne Bachelot (rémunérée à hauteur de 90 000 euros, 80 000 euros pour les autres membres), qui indemnise 34 consultants (35 000 euros pour leurs conseils),dont Sylviane Agacinski épouse de M. Jospin et Pierre Bachelot, fils de Mme Bachelot, qui a coûté  2 444 000 euros aux contribuables . Pourquoi se gêner,  ce sont les Français qui payent !

     Encore un ruineux  et scandaleux programme de la production UMPS, un type d’ astuce pour  régaler les copains,  assure Bruno Gollnisch,  auquel le FN s’engage à  mettre fin quand il  sera au pouvoir …ce grand remplacement  politique qui s’impose !

    http://gollnisch.com/2014/11/05/ce-grand-remplacement-simpose/

  • Crise financière : quand le FMI fait son mea culpa…

    Le FMI bat sa coulpe. Les remèdes préconisés en 2010 par l’institution monétaire pour relancer l’activité après la crise financière ont été “loin d’être efficaces” et ont focalisé trop tôt sur des mesures d’austérité budgétaire, selon un audit interne publié mardi 4 novembre.

    “Le cocktail de mesures (promu par le Fonds) a été loin d’être efficace dans le soutien à la reprise et a contribué à la volatilité des flux de capitaux sur les marchés émergents“, écrit le bureau d’évaluation indépendant (IEO) du Fonds monétaire international.

    Selon ce rapport à la tonalité très critique, le Fonds a certes d’abord apporté une réponse appropriée à la récession mondiale de 2008-2009 en appelant à une relance budgétaire massive dans les pays riches.

    “Mais son appel en 2010-2011 à un basculement vers la consolidation budgétaire (réduction des déficits, ndlr) dans quelques-unes des plus grandes économies était prématuré“, a écrit l’IEO.

    L’audit note également que le Fonds a alors appelé les grandes banques centrales à adopter des politiques monétaires extrêmement accommodantes, mêlant taux d’intérêts bas et rachats d’actifs, afin de soutenir l’activité.

    Ce mélange n’était pas “approprié“, la relance monétaire étant “relativement inapte” à doper la demande après une crise financière, assure l’audit interne, qui note que le Fonds n’a pas prêté assez tôt attention aux effets néfastes de ces politiques sur les pays émergents (volatilité financière, chute des devises…).

    Pour l’avenir, le rapport affirme également que le mécanisme censé permettre au FMI de détecter les nouveaux risques financiers est devenu “trop complexe“.

    “La quantité d’analyses est très difficile à absorber, pour les dirigeants politiques comme pour les équipes du FMI“, assure l’audit.

    En réponse, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a salué un rapport “équilibré” tout en ssurant ne “pas partager” le diagnostic sur le remède anti-crise du FMI.

    “Je crois profondément que conseiller aux économies ayant un fardeau croissant de dette de s’orienter vers une consolidation budgétaire était la bonne décision à prendre“, déclare-t-elle dans un communiqué distinct.

    Challenges

    http://fortune.fdesouche.com/360969-crise-financiere-quand-le-fmi-fait-son-mea-culpa

  • A ceux qui prétendent qu'il est impossible d'abroger la loi Taubira

    Extrait de la chronique de Pierre-Oivier Arduin, dans la Nef :

    "Est-il possible de revenir en arrière ? Les déclarations en cascade de personnalités politiques de droite qui souhaitent se contenter de retoucher la loi Taubira ne sont que promesses dilatoires ou poudre aux yeux. Plus personne ne peut ignorer que mariage et filiation sont intrinsèquement liés et que la seule façon de sortir de cette descente aux enfers est d’abroger la loi du 17 mai 2013. Des juristes de renom ont commencé à y réfléchir car l’affaire ne sera pas simple, il faut en être conscient. Bien sûr, ce qu’une loi a fait, une autre peut le défaire ; encore faut-il que le Conseil constitutionnel accepte la « rupture d’égalité » qui en résultera inévitablement entre les couples de personnes homosexuelles mariées et ayant adopté et celles qui seraient désormais privées de ces « droits ». Pour autant le professeur de droit public Guillaume Drago, spécialiste du contentieux constitutionnel, juge avec d’autres que l’abrogation est juridiquement envisageable. L’argument massue brandi par ceux qui estiment le projet irréalisable est de dire que la CEDH, encore elle, viendrait immanquablement jouer les trouble-fête en sanctionnant tôt ou tard la France : rompre l’égalité de droits des « couples » homosexuels serait jugé discriminatoire à Strasbourg. L’intrusion incessante des magistrats européens dans les divers enjeux éthiques relevant de la souveraineté nationale (obligation aujourd’hui de légitimer a posteriori le recours à la GPA avec les arrêts du 26 juin, demain la contrainte éventuelle de retirer l’alimentation artificielle de Vincent Lambert ou après-demain l’interdiction d’abroger la loi Taubira) doit désormais poser la question de la sortie provisoire de la France de la Convention européenne des droits de l’homme."

    Louise Tudy

  • La désinformation publicitaire

    Des Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy analyse le dernier ouvrage de Jean-Yves Le Gallou, La désinformation publicitaire. Extrait :

    "On peut dire tout le mal qu’on souhaite de la presse anglosaxonne (et il y a beaucoup à dire en la matière !), mais celle-ci vit principalement de ses lecteurs. La presse française, elle, vit principalement de la publicité. Au premier abord, cela peut sembler assez insignifiant. Mais c’est fondamental. Car la publicité impose subtilement une idéologie qui n’est pas forcément (qui est même assez rarement) l’idéologie du lecteur. [...]

    Comment la publicité impose-t-elle une idéologie ? Tout simplement en exigeant qu’un encart publicitaire ne côtoie pas un article « négatif » (par exemple, en refusant qu’un encart côtoie un article sur la corruption des « élites », sur la destruction de la famille ou sur l’immigration). Ce que les annonceurs veulent, comme l’avait naguère dit Patrick Le Lay, alors homme fort de TF1, c’est « du temps de cerveau disponible ». Moins les médias « prennent la tête » du lecteur, mieux cela vaut.Finalement, d’encart publicitaire en encart publicitaire, il n’y a plus de place pour dire la vérité. Dans ce contexte, il est logique que la presse non conformiste reçoive fort peu de recettes publicitaires. À terme, le média tout entier (cela vaut pour la télévision et la radio comme pour la presse) n’est plus qu’un support publicitaire, les articles ou reportages n’étant qu’une façon de préparer le « consommateur » à… consommerprécisément, ce qui est évidemment le but de la publicité.

    DConnaître cette réalité, c’est déjà y résister, dit très bien Jean-Yves Le Gallou. Mais nous pouvons – et devons – faire davantage. Il faut dénoncer les bobards publicitaires, comme tous les bobards médiatiques, partout où on les trouve (ils sont nombreux, tant la description du monde enchanteur de la « mondialisation heureuse » correspond peu à la réalité). Il faut aussi éviter, autant que possible, de « consommer » de la publicité. Plus généralement, le refus de la consommation compulsive que veulent nous imposer les publicitaires est, en soi, un acte de résistance au système. Il faut, bien sûr, protéger les enfants – qui sont les plus vulnérables – de l’influence publicitaire. Mais, nous ne pouvons pas nous contenter d’une action défensive. Nous disposons désormais d’armes puissantes pour réinformer – en particulier, avec internet. Servons-nous en au maximum. Soutenons autant que possible (d’abord en lisant et en diffusant, mais aussi, quand nous le pouvons, financièrement) les médias de ce qu’on appelle maintenant la « réinfosphère ». La grosse presse agonise actuellement. La réinfosphère, elle, est en plein développement. Voilà une bonne raison d’espérer !"

    Michel Janva