Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1788

  • Gilbert Collard : la loi Taubira devra être abrogée pour mettre un terme au fric-frac de la famille

    De Gilbert Collard, Député du Gard :

    "Le 22 septembre 2014, la Cour de cassation, notre plus haute juridiction, a, dans sa solennité, désormais avant-gardiste, émis un avis péremptoire au terme duquel l’épouse d’une femme inséminée à l’étranger par le « don » d’un donneur anonyme peut adopter l’enfant en France !

    Elle décide donc, allant plus loin que le Législateur, malgré les décisions contraires de plusieurs juridictions, que l’enfant conçu selon une loi étrangère peut être adopté par la femme de la mère, en contravention à la loi française…Il est tout de même incroyable que la gardienne des lois autorise la fraude à la loi.

    Les hypocrites diront qu’il ne s’agit là que d’un avis que la Cour de cassation peut émettre depuis une loi de 1991 et que les juridictions pourraient s’en affranchir. La bonne blague !La Cour a toujours le dernier mot, à quoi bon s’opposer à un avis qui a valeur d’ultimatum ? Il annonce les arrêts de rigueur qui frapperont les récalcitrants !

    Cet avis aux amateurs d’un droit de la famille classique a la gueule d’un arrêt posant un principe quicomble une lacune volontaire de la loi sur le mariage pour tous, lacune politique visant à ne point donner du grain à moudre aux opposants.En un mot, la Cour de cassation fait le sale boulot d’un Législateur qui n’a pas voulu assumer jusqu’au bout les conséquences d’une loi contraire à l’évidence biologique.

    Les réactions ravies du ministre de la Justice en sont l’aveu :« Cet avis met fin à plusieurs mois d’insécurité juridique pour les familles homoparentales. »« L’adoption est désormais clairement ouverte, sous toutes ses formes, à tous les couples mariés conformément à la loi du 17 mai 2013. »Tout est dit ! Tout est fait ! Le législateur en trouille avec l’opinion publique n’a pas osé étendre la procréation médicalement assistée aux couples homos, laissant la Cour de cassation, sous couvert d’un avis qui a force de loi, mais qui s’appelle un avis, la pilule -si j’ose dire en ce domaine- passe mieux, accomplir la basse besogne.

    En même temps, la France était condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme, au nom du droit de l’enfant au respect de sa vie privée, pour avoir refusé qu’un contrat de mère porteuse licite dans le pays porteur, produise ses effets en France en matière de filiation… Comme quoi la destruction de la famille passe par la fenêtre quand on fait semblant de lui fermer la porte.

    Désormais, soyons clair, la marchandisation de l’être humain, au seul bénéfice des égoïsmes procréateurs à tout prix, et il est élevé, est permise sans aucune considération de l’intérêt de l’enfant du siècle de fous qui nous guette. Le respect de tous ne doit-il pas commencer par la réaffirmation que la vie n’est pas un produit achetable, un jeu d’ego en mal de bébé trans-frontière, une explosion exploitable des repères ?

    Il n’y a qu’une réponse : cette loi réactionnaire, qui nous renvoie à la chute de l’Empire romain où les locations de ventre existaient, devra être abrogée pour mettre un terme au fric-frac de la famille !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les filles de l’État islamique… maintenant, elles veulent rentrer à la maison !

    Elles s’appellent Sabina et Samra. Elles ont 15 et 17 ans. Leur passeport est autrichien. Elles sont parties « faire le djihad » en Syrie. Ce qui, dans les faits, s’est traduit par un mariage et une grossesse. Et maintenant, guess what? elles veulent rentrer à la maison. Pas si vite !

    On connaît, grâce au témoignage de la petite Assia en France, les techniques de dissimulation enseignées aux petites : ne rien dire aux parents, avoir deux comptes Facebook – l’un innocent et l’autre de propagande islamique – et même, si les choses se corsent, prétendre que « c’est fini, j’ai compris, c’était une erreur, je me suis fait manipuler » pour pouvoir agir plus avant clandestinement.

    Ces informations sur la perversité extrême des agents traitants (qui sont des femmes lorsque la cible est une jeune fille) doivent nous alerter sur toute demande de retour. C’est ainsi que le problème se pose désormais à l’Autriche, suite à la demande de Sabina et Samra de revenir au bercail avec, dans le ventre, le fruit du djihad.

    Lire la suite

  • Et pendant que Zemmour cartonne, Libé et Noah galèrent !!!

    Les bonnes nouvelles sont rares et il faut les savourer…

    D’abord le succès incroyable que rencontre le livre d’Eric Zemmour,« Le Suicide Français »déjà vendu à plus de 5.000 exemplaires par jour depuis le début de sa commercialisation, mais également son succès sur les plateaux télévisions. Il est partout décrié et critiqué mais s’il est aussi invité c’est bien parce que ça marche ! Partout où il passe, Éric Zemmour bat des records d’audience à la télévision. Dans On n’est pas couché samedi 4 octobre, il a tout simplement permis à Laurent Ruquier, Aymeric Caron et Léa Salamé de réaliser leur meilleure performance de la saison et la seconde depuis deux ans.

    Rien de bien nouveau dans le discours d’Eric Zemmour mais une assurance pour porter la voix des Français que nul autre n’a su avoir sur les plateaux télés et dans le monde médiatique dont la première règle est la pensée unique…

    La nouvelle est bonne, mais deux autres viennent encore la renforcer !

    Tout d’abord l’état du quotidien Libération en plein plan social drastique. « Depuis lundi, il y a presque un pot de départ par jour, et on voit les bureaux se vider un par un », raconte un journaliste qui semble regretter ce qui risque de faire sourire beaucoup de Français ! Depuis le 1er octobre, une vingtaine de journalistes ont choisi de quitter le quotidien sur les trente-deux candidats au départ (tous métiers confondus). Parmi les partants, quelques « grandes plumes » du quotidien … « C’est une histoire qui se finit, commente un journaliste. L’ambiance est très pesante, comme dans une fin de règne. »

    Comment ne pas se réjouir que ce journal vecteur de la pensée unique mesure enfin très concrètement sa trahison du peuple Français ?

    La deuxième nouvelle est aussi amusante que réjouissante. Il s’agit de l’inénarrable autant qu’insupportable Yannick Noah.

    Le pauvre garçon a affirmé qu’il devait sans doute payer ses engagements politiques, expliquant n’avoir jamais eu autant de mal à vendre ses place de concert…  Sa tournée commence la semaine prochaine en France métropolitaine mais le chanteur n’est pas serein : après le bide qu’a fait son album, certaines dates de concerts sont annulées, fautes de spectateurs !

    Il est certain qu’à force de donner des leçons de morale toute la journée sans n’être personne pour le faire, à force d’accuser les Français de tous les maux, à force de cracher sur le choix politique d’une bonne partie d’entre eux, on finit par se mettre les gens à dos…  Là encore, impossible de ne pas sourire, et de ne pas savourer cette claque symbolique que tant d’entre nous ont eu envie de lui donner si souvent…

    Une page se tourne, la réalité devient trop évidente pour tous les Français méprisés par ces chiens de garde de la bien-pensance…Toutes les idéologies ont une fin, il semblerait que celle de l’antiracisme et de la glorification du multiculturalisme commence à prendre l’eau !

    Il faut avouer qu’il était largement temps… Espérons qu’il ne soit pas trop tard !

    http://www.contre-info.com/et-pendant-que-zemmour-cartonne-libe-et-noah-galerent#more-34963

  • La dictature socialiste a encore frappé

    Alors que le président actuel est à bout de souffle, battant tous les records d’impopularité (baissant encore de 2 points dans le dernier sondage), alors que le gouvernement est incapable de résoudre les problèmes d’importance auxquels la France est confrontée (chômage de masse, délinquance et criminalité qui explosent, immigration-invasion,…), ce régime n’a de cesse de combattre ses opposants pour intimider et faire en sorte qu’aucune voix dissidente ne se fasse entendre.

    Ainsi, la liste des personnes qui se trouvent devant un tribunal pour simplement s’être opposé à ce régime s’est encore allongée. C’est ainsi que le courageux David Van Hemelryck et deux de ses camarades passaient devant le tribunal pour « manifestation interdite ». Alors que les gauchistes sont coutumiers de ce fait en toute impunité, quand il s’agit de la véritable dissidence, les choses se passent autrement : En effet, le parquet a requis de la prison contre ces 3 protagonistes à cause des incidents survenus lors du passage de Hollande lors de la cérémonie du 11 novembre 2013 et pour le déploiement, le 30 novembre, d’une banderole « Hollande-démission.fr » sur le trocadéro.

    Même si la décision du tribunal ne sera rendue qu’en décembre, tout nous laisse penser que David Van Hemelryck et ses deux camarades rejoindront la liste qui devient longue des condamnés de la dictature socialiste : Outre la dissolution de mouvements nationalistes sans réelle raison (l’oeuvre française et les jeunesses nationalistes), tout le monde se rappelle de la condamnation et de l’emprisonnement de Nicolas Bernard-Buss pour simplement avoir manifesté -lui aussi dans une manif non déclarée- contre le « mariage » homosexuel, ou bien encore la condamnation à 9 mois de prison ferme d’Anne-Sophie Leclere pour une simple caricature de Christiane Taubira. Plus récemment, c’est Hervé Ryssen qui a été doublement condamné à de la prison ferme, dans un cas pour une blague de potache sur Bertrand Delanoë, et, dans le deuxième cas, pour port d’une bombe lacrymogène. Rappelons également toutes les arrestations et gardes à vue arbitraires lors de la manif pour tous (arrestations qui ont même concerné des prêtres en soutane…), les interdictions de spectacle d’un saltimbanque qui ne cherche que l’humour comme Dieudonné, les condamnations à des amendes prohibitives de publications réellement dissidentes, tels Minute ou Rivarol, dont tout le monde sait qu’elles ne cherchent qu’à ruiner ces revues et ainsi les faire taire. Le tout, rappelons le, dans un laxisme ahurissant quand il s’agit de juger de vrais délinquants ou de vrais criminels.

    Nous voyons que ce régime, à l’agonie, ne supporte plus aucune opposition et qu’ainsi, l’étau de la dictature socialiste se resserre de plus en plus.

    http://www.contre-info.com/la-dictature-socialiste-a-encore-frappe

  • Les franco-sceptiques acceptent mal les critiques de l'UE

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "« Le projet de budget de la France est assez loin de l'objectif, à la fois en terme de déficit et de mesures effectives, concernant le déficit structurel et le nombre et la qualité des réformes qui doivent être réalisées… On leur a donné deux ans et la question est : comment ont-ils utilisé ce temps ? Pour être tout à fait franc, je crois qu'ils ne l’ont pas utilisé. »

    Le propos est de Jeroen Dijsselbloem, ministre des Finances des Pays-Bas et actuel président de l’Eurogroupe.

    Michel Sapin a répondu :

    « Monsieur Dijsselbloem n'est pas l'Europe. Monsieur Dijsselbloem ne représente pas l'Europe. »

    Et Manuel Valls :

    « Il faut respecter la France, c'est un grand pays. Je n'accepte pas de leçons de bonne gestion. Je demande à chacun beaucoup de sang-froid, beaucoup de respect, surtout de la part de partenaires européens. »

    Mais Jeroen Dijsselbloem, qui « représente l’Europe » dans la mesure où il est le président du club des pays qui ont la monnaie unique, ne fait que dire tout haut ce que les experts de la Commission européenne disent tout bas – pas si bas que cela, d’ailleurs.

    On remarque que pour défendre leur gestion désastreuse nos politiques jouent sur le sentiment de l’honneur national bafoué, alors que lorsqu’il faut faire accepter de nouvelles pertes de souveraineté ils expliquent qu’il faut dépasser le cadre national. Ainsi quand on met davantage encore la France sous la coupe de Bruxelles (notamment en permettant à l’exécutif européen de contrôler les budgets nationaux), on nous explique que l’union fait la force et que la France est un trop petit pays pour jouer seule dans la compétition mondiale, mais quand ce même exécutif européen menace de nous sanctionner avec les sanctions que nous lui avons octroyées, tout à coup la France devient un grand pays auquel on ne fait pas la leçon… C’est pitoyable."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Djihadistes “français” partis en Syrie : le pire reste à venir

    Quand on apprend que onze membres d’une même famille ont récemment quitté Nice pour faire le djihad en Syrie, cela pose de réelles questions sur le fameux modèle du Vivre ensemble vanté par ceux qui nous gouvernent.

    Dans une tribune parue sur FigaroVox, Hugues Moutouh craint que la vague de départs «sans précédent» que connaît aujourd’hui la France précède une vague de retour potentiellement terroriste. Cette inquiétude n’est d’ailleurs pas sans rappeler la campagne militante lancée – voici quelques mois – par le Bloc identitaire et intitulée “Aujourd’hui, djihadistes en Syrie. Demain, terroristes en France !

    Les jeunes qui répondent à l’appel des djihadistes sont certes des victimes, des personnes fragiles, mais ils peuvent très vite se transformer en bourreaux. Mais sur ces sujets sensibles il est préférable d’éviter de mettre de l’huile sur le feu. Rien ne sert de faire peur. Il faut être vigilant sans céder à la panique. La vérité est que la situation aujourd’hui est globalement maîtrisée, mais que le pire est encore à venir. Nous sommes dans une phase qui presente finalement peu de risques à très court terme puisque les apprentis djihadistes français quittent la France. Dans quelques mois, lorsque l’intervention militaire occidentale aura produit tous ses effets, nous serons confrontés à une nouvelle phase beaucoup plus dangereuse pour la sécurité de nos concitoyens. Les combattants défaits chercheront alors à rentrer chez eux.

    http://fr.novopress.info/176559/djihadistes-francais-partis-en-syrie-pire-reste-venir/

  • Ce sac plastique qui cache le vote d'un piège énergétique

    Dans la nuit de vendredi et samedi, nos députés ont courageusement veillé jusqu'à l'aube pour abolir le sac plastique et la vaisselle jetable en plastique (les bébés restant, eux, toujours jetables). Cette décision, qui restera gravée dans la mémoire de tout amateur de pique-nique, a fait la une des journaux, alors que

    "l'essentiel fut voté dans un grand silence d'indifférence, sans l'ombre d'un débat pour l'avenir de notre pays. L'article 1er du projet de loi adopté dès le vendredi matin ne concerne que notre facture d'électricité, notre indépendance énergétique, et notre excellence industrielle. C'est tout. Ce que cet article pose, c'est l'équation à résoudre concernant le mix énergétique, mais il se garde bien de la résoudre. Ainsi,

    • la part du nucléaire dans la production d'électricité devra être réduite de 75 à 50% à l'horizon 2025 ;
    • la consommation énergétique diminuer de moitié en 2050 par rapport à 2012 ;
    • figurent la baisse des émissions de gaz à effet de serre de 40% entre 1990 et 2030, et leur division par 4 en 2050 ;
    • enfin, la part des énergies renouvelables doit être portée à 23% en 2020 et 32% en 2030, et la consommation des énergies fossiles diminuer de 30% en 2030.

    Bon courage ! Ne serait-ce que pour réduire les émissions de gaz à effet de serre tout en diminuant la part du nucléaire, cela me parait être un certain challenge à résoudre. Si on met tous les autres pourcentages dans le shaker, j'ai du mal à voir ce qui va pouvoir en sortir en terme de programmes d'équipements pour la France : 3 millions de chômeurs juchés sur des vélos pour alimenter les ampoules de nos guirlandes de Noël ? Aucun débat sur les impacts liés au coût de l'électricité et sur ses conséquences pour les ménages et notre industrie. Le sac plastique cachait donc une forêt de pourcentages alignés sous forme d'une équation impossible à résoudre, une équation qui n'est que l'expression de la plus pure utopie."

    Louise Tudy

  • La rancœur légitime des travailleurs précaires ou "Petits blancs"

    Estelle estime avoir perdu sa jeunesse dans la banlieue d’Amiens. Jolie trentenaire, elle s’est récemment installée en centre-ville. Elle y gagne sa vie comme professeur vacataire d’anglais, ce qui représente un progrès notable dans sa famille, bien que le statut reste précaire. Ce qui lui tient à cœur, cependant, est la formation d’artisan pâtissier à laquelle elle s’est inscrite en parallèle, afin de retrouver, dit-elle, le sens d’une certaine authenticité, d’une certaine tradition du savoir-faire français – une France qu’elle vomit, cependant, dans sa version contemporaine. 

         Il a fallu quinze ans pour que la rancœur fleurisse dans ses discours. Le métier d’enseignant y est sans doute pour quelque chose : il lui a offert le spectacle d’une autorité en berne et d’une déliquescence des « valeurs qui ont toujours fait la France ». Travailler en lycée n’a fait que raviver les blessures d’enfance. « Pays de merde... Je vais me barrer d’ici, partir en Australie grâce à ma formation de pâtissière. Ils en recherchent des comme moi, là-bas. La France a pourri de l’intérieur. Rien que des Noirs et des Arabes. Quand j’étais petite, je vivais en HLM et le chemin vers le collège tournait au cauchemar. Les Arabes nous insultaient, nous crachaient au visage. Ils nous traitaient de porcs, mais c’est eux les porcs, toujours à traîner et à tout casser. Ils ne vivent que pour la violence. Ils nous haïssent et nous font du mal dès qu’ils en ont l’occasion. 

         « Moi, j’étais gentille. A l’école, ils foutaient le souk. Ça leur va bien, ce mot. Les profs tenaient pas les classes, ils leur passaient tout. Les victimes, c’était nous. C’est pas des victimes les Arabes. Ils sont très contents comme ça. Quand on les connaît, on sait. Je comprenais pas à l’époque, j’étais pas encore politisée. J’avais juste la haine de l’Arabe qui grandissait en moi. C’est plus tard, quand j’ai vu les nouvelles aux infos : j’ai compris le décalage entre ce que je vivais et la manière dont on parlait de ces gens-là, et ça m’a fait mal. Les médias cherchent toujours des excuses aux Arabes. La colonisation, le racisme, le chômage... Blablabla. Moi, j’avais pas d’argent et je voulais m’en sortir. Mais la pauvreté, c’était pas un problème. On restait dignes. Le seul problème, c’était les Arabes. Et encore, j’ai eu de la chance. J’aurais pu me faire violer. C’est pas les occasions qui manquaient. Ça a été tangent. Je suis blonde, pour eux je suis l’ennemie. Ce que je ressens aujourd’hui, c’est comme si j’avais été vraiment violée. La menace et la haine, ça te bousille. La seule chose qui me libèrerait, c’est de les voir tous crever. 

         « Les Noirs, c’est venu plus tard. Il y en avait pas au lycée. Je les ai vus dans les rues d’Amiens quand je suis arrivée en centre-ville. Je peux pas les supporter. Ils servent à rien, ils apportent que de la merde, et ils peuvent devenir violents, eux aussi. Il faut les éviter. Pour une fille, c’est pas bon de les croiser la nuit. Mais ce que je peux encore moins supporter, c’est les putes à boukaks... Ces blondasses qui se font sauter par des nègres. Je dis blondasses, ça veut dire Blanches dans ma tête. Ça leur donne de l’importance, ça, de coucher avec les Noirs, mais c’est rien que des putes. Moins que des putes même. Elles trahissent leur race, elles aiment se soumettre aux muscles, aux odeurs. Le jour où il y aura la guerre civile, c’est elles qu’on tuera les premières. 

         « Pendant quelques années, j’ai milité à l’extrême droite. Ça m’a fait du bien de fréquenter des gens comme moi. Je n’étais pas seule, je n’étais pas malade. J’ai mis des mots sur ma souffrance. Ma haine s’est rationalisée. Ça ne l’a pas éteinte, ça l’a cadrée. J’ai compris qu’elle était justifiée. J’ai raison de ressentir ce que je ressens, c’est naturel de vouloir rejeter ceux qui vous font du mal. J’ai participé à plusieurs réseaux de réflexion, nationalistes ou autres. Parfois proches du Front national, mais pas toujours. Plus radicaux, parfois. Ou alors fondés sur l’échange culturel. J’allais souvent faire des rencontres à Paris, suivre des conférences avec débats. A Amiens, c’est impossible d’afficher mes idées. On est très peu dans mon genre, et les autres sont lobotomisés par les médias. Ils se font cracher dessus et ils disent merci. Je me faisais insulter. C’est très étriqué, Amiens. J’avais besoin de Paris, de son anonymat, de gens qui réfléchissent. 

    Aymeric Patricot, Les Petits Blancs

    http://www.oragesdacier.info/2014/10/la-rancur-legitime-des-travailleurs.html

  • Immigration : l'exode s'accélère

    Pas moins de 100 000 étrangers en situation irrégulière sont passés en France, à la fin du mois, via la frontière italienne. De 67 000 demandeurs d'asile en France l'an dernier, ce chiffre pourrait bien avoisiner cette année les 80 000 cette année.

    Michel Janva

  • Et bientôt la pédophilie

    "La pédophilie, comprise dans le sens de l’attraction sexuelle persistante pour les enfants, est un désordre, non un crime, et mérite des protections spéciales."Voilà la teneur du récent article paru dans le New York Times par un professeur de droit, Margo Kaplan, qui soutient que la marque d’infamie avec laquelle on étiquette les adultes sexuellement attirés par les enfants les empêche de chercher l’aide psychologique nécessaire. Kaplan démontre que les pédophiles devraient être protégés par la même loi anti discriminatoire que celle imposant des normes pour accommoder les handicapés. Il s’agit de l’Acte pour les Américains Handicapés et l’Acte pour la Réhabilitation, interdisant la « discrimination contre des individus autrement qualifiés mais souffrant d’handicaps mentaux, dans les domaines de l’emploi, l’éducation et les soins médicaux. » Le Congrès s’est explicitement opposé à cet amalgame.

    Il y aurait 1% de la population mâle souffrant d’attirance pour la pédophilie, du fait de leur « maladie mentale », et laissés pour compte par nos systèmes légaux ; d’où les abus d’enfants, que la loi n’a pas cherché à éviter…

    « Il est temps de revisiter ces exclusions de catégories. Sans protection légale, un pédophile ne peut pas prendre le risque de demander un traitement et de dévoiler son état à qui que ce soit pour être aidé. S’il est reconnu à une session de thérapie de groupe, demande des médicaments, un rendez-vous avec un psychiatre, ou bien s’il demande que son interaction avec les enfants soit limitée, il pourrait perdre son emploi et sa réputation professionnelle. Isoler des individus de métiers appropriés et les priver de traitement ne fait qu’augmenter le risque de crimes commis. »

    Kaplan définit la pédophilie comme une « mis-conception », s’en référant aux bonnes intentions de ces hommes dans un forum internet « Pédophiles vertueux », où ils se soutiennent les uns les autres pour ne pas tomber. Des recherches scientifiques sur les cerveaux des agresseurs sexuels semblent montrer une structure neurologique différente de celle d’hommes sains, qui empêcherait au cerveau d’identifier quel stimuli doit ou non provoquer une réponse sexuelle. Les IRM indiquent un nombre moindre de réseaux de neurones, et semble-t-il les pédophiles ont trois fois plus de chance d’être gauchers ou ambidextres, ce qui prouve bien une cause neurologique…

    Keith Ablow, psychiatre, nie le stigmate infamant dont souffriraient les pédophiles. Au contraire, il soutient qu’une honte bien ordonnée est utile, que le besoin de dissimuler ses pulsions mauvaises, le fait de se sentir coupable, de tâcher de les maîtriser, d’aller en prison pour ses crimes, tout ceci répond à une stratégie légale et de santé publique pour empêcher la pédophilie. « Etre rejeté devrait être un bon avertissement qu’il est temps de se faire aider et de s’écarter des tentations. » Ablow ajoute « Kaplan a raison de dire que la pédophilie est un désordre - en sont la preuve les pédophiles abusés sexuellement dans leur enfance – mais Kaplan a tord de suggérer que, comme c’est désordre, on devrait le protéger par une loi. »

    «Les pédophiles ne sont pas plus dignes de la protection handicapés que les autres malades sexuels qui violent les femmes adultes ou ont des relations sexuelles avec des animaux. Pouvez-vous imaginer une culture où les hommes – pas les femmes – exigeraient qu’étant donné leurs désirs sauvages de violer des femmes, ils méritent d’être escortés jusqu’à leurs véhicules dans les parkings sombres en rentrant tard du travail ? »

    La pédophilie devient progressivement normalisée comme toute autre « orientation sexuelle » incomprise. La terminologie « orientation sexuelle » versus « intérêt sexuel » demeure débattue. Le danger est lorsque les entreprises n’auront pas le droit de « discriminer » ce comportement.

    Le Salon Beige