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lobby - Page 1853

  • A quoi sert encore la conférence sociale ?

    Quatre syndicats ont marqué de leur absence cette nouvelle conférence sociale, que certains appellent la grand-messe de François Hollande. La FSU, la CGT, FO et Solidaires ont décidé de quitter les uns après les autres cette conférence sociale, insatisfaits de l’action du gouvernement qu’ils accusent de trop favoriser le patronat et notamment le Medef. Thierry Lepaon (CGT) et Jean-Claude Mailly (FO) ont accusé Manuel Valls d’avoir cédé aux demandes du patronat sans consulter les syndicats, notamment sur la pénibilité ou le code du Travail. Mardi matin c’était au tour de la FSU, premier syndicat de l’Éducation, de claquer la porte.  Seuls quatre syndicats réformistes (CFDT, CFTC, CFE-CGC, Unsa) ont été présents jusqu’au bout. Pierre Gattaz, président du Medef, s’est déclaré satisfait.

    Manuel Valls n’a pas apprécié cette attitude des syndicats: « un refus prolongé serait une posture incompréhensible. » Il s’est voulu toutefois confiant: « Je n’ai pas entendu l’annonce d’un retrait de toute négociation, de tout échange avec l’État, même si j’ai entendu une critique globale du pacte de responsabilité et de la politique du gouvernement. » Mais beaucoup ne sont pas dupes, le dialogue social est une posture du gouvernement qui ne renonce pas à mettre ses propositions en place mais sur le fond, il n’a jamais vraiment lieu. Pour certains, il est impossible pour le  gouvernement de négocier avec des syndicats, déconnectés des réalités. Quant à la CGT, elle pense que le gouvernement est en complet décalage avec les Français. On pourrait donner raison aux deux.

    http://medias-presse.info/a-quoi-sert-encore-la-conference-sociale/12586

  • George Soros et la drogue : les secrets de Judapest – par Laurent Glauzy (3/5)

    [première partie ici]

    Mao Tsé-toung, le pédo-criminel, maître à penser de Soros

    Soros aurait une ruse hors du commun, obsédé non seulement par l’appât du gain, mais aussi par le profond désir de pouvoir modeler le monde à son gré. Le directeur du très louche Carnegie Endowment for International Peace, Morton Abramowitz, expose : « Soros est, aux États-Unis, le seul à pouvoir mettre en pratique sa politique étrangère. »

    Dans son livre paru en 2005, On Globalisation (Sur la mondialisation), le « messie » milliardaire indique qu’il veut « devenir la conscience du monde ». Soros se passionne pour le pédophile et sanguinaire Mao Tsé-toung, premier président de la République populaire de Chine de 1954 à 1959.

     

    Juif et adolescent dans la Hongrie des lois raciales, il réussit à se cacher, grâce aux contacts du riche père Tivadar, dans la famille d’un cadre du ministère de l’Agriculture, sous le pseudonyme de Sandor Kiss. Quand les communistes arrivent à Budapest, Soros se réfugie à Londres chez des parents. Il étudie à la London School of Economics, institut avec lequel il maintient encore aujourd’hui d’excellents rapports. Dans la biographieSoros, the Life and Time of a Messianic Billionnaire (Soros, la vie et l’époque d’un milliardaire messianique), l’auteur Michael T. Kaufman soutient que l’étudiant György fut fortement attiré par le communisme. Harold Laski, un enseignant charismatique, affirme qu’il opéra une réconciliation entre marxisme et démocratie.

    En 1956, Soros débuta son travail de trader à la City. Il travaille alors à la F.M. Mayer, une agence de change de troisième ordre qui, néanmoins, lui permet d’accumuler les moyens financiers nécessaires à son débarquement à Wall Street, où, selon la version officielle, il amasse une fortune colossale. Soros doit surtout sa fortune au fait qu’il appartient au rang des familles Illuminati, au Comité des 300 (dynasties dirigeant le monde), comme le confirme le Dr John Coleman, ancien officier du MI-6, auteur de plusieurs ouvrages démasquant la réalité d’un complot sataniste. En effet, la fortune de Soros ne devrait rien à une supposée réussite ou à quelques placements judicieux.

    Poème pédocriminel de Mao

    « Snow (1930)
    Softly over the fields, and in deep drifts
    The fine, clean snow buries the bosom of china
    In a coat of fine and uniform whiteness
    Just as I, when I retire to my room at night,
    Do to a tranny peasant hooker from Tudong Province
    I look upon the snow on a chilly winter’s night
    From my lonely room in the Forbidden City
    Each snowflake fits with its brothers and sisters
    Coating the streets of wondrous Beijing

    While I jack off to bestiality
    I knew a girl once, with skin like this snow
    Her eyes shone like a December moon
    But I, in the heat of my boyish desires
    And condemned her to die for not blowing me

    [Pendant que je devenais bestial, je connus une fille avec la peau comme la neige, ses yeux brillaient comme une lune de décembre. Mais dans la chaleur de mes désirs de garçon, je la condamnais à mort parce qu’elle refusa me faire une fellation.] »

    (source : Encyclopedia)

    [A SUIVRE...]

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/george-soros-et-la-drogue-les-secrets-de-judapest-par-laurent-glauzy-35#more-33566

  • L’Algérie défilera le 14 juillet !

    Après des semaines de rumeurs imprécises, de démentis et d’hésitations, c’est officiel, Alger a accepté de défiler le 14 Juillet et participera donc aux cérémonies à Paris a annoncé son chef de la diplomatie, Ramtane Lamamra.

    « L’Algérie participera, dans le même format et dans les mêmes conditions que 80 autres nations dont des citoyens sont tombés sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, à la manifestation prévue à Paris à cet effet », a dit le ministre.  « Le peuple algérien assume toute son Histoire et honore ses propres contributions à la liberté à travers le monde », a-t-il ajouté.

    Une présence qui engendre des polémiques en France comme en Algérie. Simplement parce que non, l’armée algérienne défilant sur les Champs Elysées ne se lit pas comme la participation de « 80 autres nations ».

    Il s’agit d’abord de l’armée de tous ces ressortissants qui confient haïr la France tout en y habitant. Mais ce sera aussi le drapeau du FLN, inchangé depuis, qui défilera sur les Champs Elysées alors même que la France n’a pas été capable de se souvenir, le 5 juillet, des massacrés d’Oran.

    C’est aussi un hymne national qui prend directement la France à partie, comme aucun autre hymne dans le monde ne le fait, et qui révèle que l’esprit de contre-colonisation est toujours vif :

    Ô France ! le temps des palabres est révolu
    Nous l’avons clos comme on ferme un livre
    Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
    Prépare toi ! voici notre réponse
    Le verdict, Notre Révolution le rendra
    Car Nous avons décidé que l’Algérie vivra
    Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !

    Le ministre Français des Affaires étrangères Laurent Fabius avait pourtant estimé le 20 juin dernier, répondant déjà aux polémiques naissantes, que la présence de soldats algériens lors des cérémonies du 14 juillet sur les Champs-Elysées n’avait « rien de choquant », puisqu’il s’agit de commémorer tous les sacrifices qui ont été faits durant la Première Guerre mondiale. Intéressant de lire à ce sujet l’entretien de Jean-Dominique Merchet qui remet largement les choses à leur place quant à ces« sacrifices ».

    En France, un collectif baptisé « Non au défilé des troupes algériennes le 14 juillet 2014″  s’est constitué pour protester contre cette présence.
    En Algérie, la puissante organisation des moudjahidines (ONM, anciens combattants) s’est opposée publiquement à la présence de militaires algériens au défilé à Paris.

    M. Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, a par ailleurs indiqué que l’Algérie condamnait « fermement » la « profanation » en France du drapeau algérien le 30 juin avant le match Algérie-Allemagne en huitième de finale de la Coupe du Monde de football au Brésil. Les autorités algériennes souhaitent que l’enquête ouverte à ce sujet « aboutisse afin que l’auteur de ce crime subisse la rigueur de la loi ». 

    Silence assourdissant en revanche du côté de nos « élites » sur les centaines de drapeaux Français brûlés par ces Algériens qui répètent en insultant la France, qu’ils sont là pour « se venger »…

    L’Algérie avait déjà pris les Champs-Elysées pendant la Coupe du Monde par la biais de ses ressortissants sans un mot de la part des autorités françaises… Etant donné les multiples dégradations durant ce mondial, les affronts quotidiens que font les ressortissants algériens à la France sur son propre sol, et l’histoire commune des deux pays, cette invitation ressemble fort à une trahison.

    http://www.contre-info.com/lalgerie-defilera-le-14-juillet

  • Sens Commun dans le viseur de la direction provisoire de l'UMP

    Lu ici :

    "Sens commun, un mouvement d'anciens de la Manif pour tous au sein de l'UMP, est aussi dans le viseur de la direction provisoire. En cause : cet accord convenu à l'automne 2013 entre Sens commun et l'ex-patron du parti Jean-François Copé autorisant chaque adhérent de Sens commun à obtenir de facto une carte de l'UMP. "Cet accord passé est anormal. Pour adhérer à l'UMP, on doit y adhérer directement. On n'a pas à rougir d'appartenir à ce parti", explique une source haut placée."

    Cette direction provisoire ferait mieux d'y réfléchir à 2 fois. En effet,

    • les 2 tiers des électeurs de droite sont contre la dénaturation du mariage
    • les 3 quarts sont contre l'adoption par un couple de même sexe (donc, de facto, contre la loi Taubira)
    Un million de Français ont manifesté à plusieurs reprises contre cette loi. Il n'y avait que quelques milliers de personnes à la dernière gay pride parisienne. Le calcul est donc vite fait... sauf par la direction "provisoire" de l'UMP.

    Michel Janva

     
  • Sens Commun dans le viseur de la direction provisoire de l'UMP

    Lu ici :

    "Sens commun, un mouvement d'anciens de la Manif pour tous au sein de l'UMP, est aussi dans le viseur de la direction provisoire. En cause : cet accord convenu à l'automne 2013 entre Sens commun et l'ex-patron du parti Jean-François Copé autorisant chaque adhérent de Sens commun à obtenir de facto une carte de l'UMP. "Cet accord passé est anormal. Pour adhérer à l'UMP, on doit y adhérer directement. On n'a pas à rougir d'appartenir à ce parti", explique une source haut placée."

    Cette direction provisoire ferait mieux d'y réfléchir à 2 fois. En effet,

    • les 2 tiers des électeurs de droite sont contre la dénaturation du mariage
    • les 3 quarts sont contre l'adoption par un couple de même sexe (donc, de facto, contre la loi Taubira)
    Un million de Français ont manifesté à plusieurs reprises contre cette loi. Il n'y avait que quelques milliers de personnes à la dernière gay pride parisienne. Le calcul est donc vite fait... sauf par la direction "provisoire" de l'UMP.

    Michel Janva

     
  • Drépanocytose : la carte de France du Grand Remplacement mise à jour

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    La drépanocytose est une maladie génétique qui ne concerne quasi-exclusivement que les populations extra-européennes : elle ne touche essentiellement que les personnes originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord. (source

    Les chiffres (officiels) du dépistage permettent de dévoiler une partie des fameuses « statistiques ethniques » toujours interdites en France. En effet, du fait des particularités ethniques de la maladie, le dépistage en France métropolitaine ne concerne que les enfants à risque en raison de l’origine de leurs parents (il est par exemple systématique chez tous les enfants naissant en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à la Réunion, à Mayotte). 

    Les données disponibles permettent ainsi d’appréhender dans toute son ampleur la réalité de la substitution démographique actuellement en cours (c’est aussi la raison pour laquelle certaines associations demandent un dépistage universel (aussi inutile que coûteux) afin d’éviter « la stigmatisation » [voir cet article] (la drépanocytose est parfois appelée « la maladie des Noirs » [source]). 

    Nous disposons à ce jour de trois séries de chiffres : 2005 -2010-2012. Deux cartes ont été publiées pour 2005 et 2010. Nous n’avons les chiffres de 2012 par région que sous forme de liste. 

    Fdesouche a regroupé ces trois séries en une seule carte, que nous présentons ci-dessus. 

    Comment comprendre la carte : en Ile-de-France, en 2012, 65,5 des nouveaux-nés ont été dépistés, car considérés comme « à risque ». Signification : en 2012, en Ile-de-France, 65,5% des nouveaux-nés avaient un ou deux parents « originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord ». Ce chiffre s’élevait à 60 % en 2010 et à 54% en 2005. 

    Note : les chiffres de Paca / Corse et Pays-de-Loire /Poitou-Charente restent ambigus en raison du regroupement de zones

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Politisation de la justice : qui sont les « collabos » ?

    Hier, suite à la plainte déposée par le mouvement guyanais Walwari fondé en 1993 par la militante indépendantiste Christiane Taubira, le procureur du  tribunal correctionnel de Cayenne , « à l’issue de l’audition de trois témoins et des six avocats deWalwari, a requis la condamnation de Anne-Sophie Leclere à quatre mois de prison ferme. Une peine assortie d’une inéligibilité de cinq ans et d’une amende de 5 000 euros » (France-Guyane).  Rappelons-le, Mme Leclere, résidant dans le département des Ardennes, a été exclu du FN en décembre dernier pour ses propos et son photomontage racistes sur Mme Taubira . Le Front National avait fait une requête en récusation à l’encontre du juge Stéphane Rémy qui présidait cette audience à Cayenne, ce dernier étant membre du syndicat de la magistrature, connu pour ses prises de positon d’extrême gauche et son militantisme anti-FN. Le premier président de la cour d’appel de Guyane avait rejeté cette demande….Sans y voir, bien sûr, une relation de cause à effet, notons que le FN avait obtenu en mars dernier que Madame Françoise Martres, présidente du syndicat de la magistrature, soit mise en examen par Madame Zimmermann juge d’instruction à Paris, pour l’infraction d’injure à l’égard du Front National suite à l’affaire du « mur des cons » figurant dans les locaux du SM. Sur celui-ci, certaines personnalités apparaissaient affublées de la flamme du Front National et une affichette ainsi libellée: « amuse-toi à coller une petite flamme sur le front des cons fascistes » figurait  parmi les photographies.

     Guillaume Faye le souligne comme beaucoup d’autres dans un article  publié le 7 juillet  sur son blog J’ai tout compris, « l’existence d’un syndicat ouvertement politisé (le Syndicat de la magistrature) qui transgresse le champ professionnel du syndicalisme, comme l’enseignement à couleur idéologique soixante-huitarde dispensé à l’ENM (École nationale de la magistrature) pèsent lourdement sur l’impartialité d’une partie du corps juridictionnel– pas de son ensemble, évidemment ».

     S’arrêtant sur l’affaire Sarkozy pour évoquer plus largement les dérives de la justice, Guillaume Faye  note que si « la politisation de la justice (ou plutôt des juges) a toujours existé » celle-ci  s’exerçait  «  dans le respect des textes de lois. Les lois ont certes une certaine élasticité, mais là, on ne respecte plus les textes ni les habitudes judiciaires : (…) Parmi tous les commentaires de droite (ses rivaux)  ou de gauche (ses ennemis) sur les déclarations médiatiques de Nicolas Sarkozy contre les juges qui le poursuivent, le plus inquiétant est cette idée, parfaitement totalitaire :  on n’a pas le droit de critiquer la justice.  Mais bien sûr que si, on en a le droit ! Non seulement la justice de son propre pays, dans son ensemble, mais les juges individuellement ! Où sont les textes de loi qui l’interdisent ? ».

     « La justice n’est pas un pouvoir, c’est une autorité  souligne encore M Faye. Le seul pouvoir, c’est la représentation nationale issue du suffrage universel, qui se divise en deux : le pouvoir parlementaire législatif et le pouvoir présidentiel (et gouvernemental) exécutif. Pour que la justice fût un pouvoir, il faudrait l’élection des juges. Cette sacralisation de la justice a des effets pervers, car elle tend au gouvernement de juges non élus qui peuvent transgresser la loi en toute impunité. Les procès staliniens, iniques, se fondaient sur des décisions judiciaires, apparemment indépendantes de celles du Parti communiste et de l’État ».

     «Il existe une très grave dérive de la Justice en France (…) : les juges ont tendance à se croire autonomes, hors de contrôle. Ils interprètent la loi, donc la violent, dans un sens (laxisme)  ou dans un autre (acharnement répressif) en fonction de leurs convictions politiques ou idéologiques ».

     «L’idée même d’ indépendance de la justice est perverse affirme encore l’essayiste. Les juges n’ont pas à être  indépendants ou alors ils deviennent dictateurs. L’appareil judiciaire doit se soumettre absolument aux lois votées par le peuple et le Parlement et ne pas les interpréter à sa guise. De même, les procureurs, les juges du parquet, qui requièrent, ont à tenir compte des instructions du pouvoir élu qui les a nommés.  Un justiceindépendante signifie un corps de fonctionnaires qui échappe à tout contrôle et finit par agiren fonction de ses intérêts propres (corporatisme) ou d’une idéologie (politisation) ; dans les deux cas, il y a rupture de l’impartialité et sortie de l’ État de droit ».

     Pour ce qui est du SM, de nombreux médias, et notamment dernièrement  Valeurs actuelles etMinute, ont pointé la collusion de fait de ce syndicat avec le pouvoir socialiste. En mars 2013,  Nicole Maestracci, figure du syndicat de la magistrature, a été nommée au Conseil constitutionnel par François Hollande. En juin de l’année dernière, ce sont notamment  Pierre Delmas-Goyon et Didier Marshall, tous deux membres du SM, à qui le ministère de la Justice a confié le soin d’un rapport sur les juges et les juridictions du XXIe siècle. Quant à  la suppression des peines plancher une des « mesures fortes » portée par Christiane Taubira, il s’agit d’une vieille  revendication de ce syndicat.

     Fin juin, sur le site Atlantico, le journaliste Benoit Rayski, rappelant l’épisode du « mur des cons », indiquait à ses lecteurs que c’était à juste titre que le Trésorier et  l’avocat du FNWallerand de Saint-Just avait demandé la récusation d’un juge de Créteil, Matthieu Bonduelle, membre du SM, au motif que « le magistrat est  juge et partie ». «Il doit en effet s’occuper de la plainte en diffamation déposée contre un (…) élu FN par un (…) élu UMP ». « Il est possible, en tout cas souhaitable, que Me Wallerand de Saint-Just obtienne satisfaction. Le bon sens plaide en sa faveur (…) ».

     M. Rayski souligne encore que Christiane Taubira «a dans son cabinet une chargée de mission nommée Sihem Souid. Celle-ci a, il y a quelques jours, envoyé des tweets hystériques et infâmes concernant le juge Bilger, dont Mme Taubira n’est pas la tasse de thé. C’était assez gracieux. Réac ! Facho ! Fils de collabo ! A notre connaissance, Melle Souid fait toujours partie du cabinet de la Garde des Sceaux ».

     Mais il est vrai, constate encore Bruno Gollnisch que Sihem Souid à toutes les « qualités » de la  « collabo » rêvée aux yeux du ministre de la « justice ». Nous le rappelions sur ce blog, Mlle Souid, fonctionnaire et journaliste gravitant dans l’orbite du PS, fut l’auteure en 2010 d’un livre très controversé, « Omerta dans la Police », dans lequel elle dénonçait le racisme qui régnerait en son sein. Sihem Souid fut  sanctionnée en 2011 «pour avoir participé au Jury des Ya bon Awards ! et se (vengea) en accusant des policiers de viols, avant d’être elle-même  accusée de vol… . Le CV adéquat pour travailler auprès du ministre de la Justice? »

    http://gollnisch.com/2014/07/09/politisation-justice-les-collabos/

  • Robert Ménard et Elie Aboud unis pour l'honneur des Pieds-noirs

    Lu dans Minute :

    "Robert Ménard n’a pas cédé, Elie Aboud non plus. A eux deux, ils ont représenté, en mars dernier, 81,62 % des électeurs biterrois! La gauche locale peut toujours s’époumoner, elle n’existe plus. Début juin, le communiste Aimé Couquet, « leader isolé d’une opposition atone face à Ménard » comme le décrit cruellement « Le Monde », a écrit à Robert Ménard pour exiger qu’il fasse enlever du cimetière la plaque rendant hommage à quatre fusillés de l’OAS: Jean Bastien-Thiry, Roger Degueldre, Albert Dovecar et Claude Piegts. « N’oubliez jamais leur sacrifice » y lit-on. Apposée en 2003 sur la stèle érigée par l’Anfanoma [Association nationale des Français d’Afrique du Nord, d’Outre-Mer et de leurs amis] à la mémoire des Français tombés en Algérie pour la France, cette stèle rend la gauche hystérique depuis qu’elle l’a découverte, en 2008. [...]

    Cent cinquante pieds-noirs étaient présents ainsi… que la fanfare des pompiers – qui ont joué La Marseillaise et Les Africains – et des policiers en uniforme, alignés de part et d’autre de la stèle! Et c’est ensemble que le maire et le député, ceints de leur écharpe tricolore, ont déposé une gerbe devant la stèle. Alain Algudo, président des associations de rapatriés du Grand Biterrois, dit avoir « vécu un rêve éveillé. » Et dans son discours, Robert Ménard, dont le père fut membre de l’OAS et « qui, ce jour là, a échappé à la mort de justesse » ainsi qu’il l’a confié, très ému, n’a pas cherché la réconciliation avec l’Algérie, mais plutôt la réconciliation de la France avec son histoire, parlant, à propos des criminels algériens du 5 juillet 1962 à Oran, de « joie sauvage des instincts primitifs » et d‘« enivrement de la vengeance aveugle et du meurtre collectif ». Le maire de Béziers a également eu cette phrase, à propos de l’Algérie: « C’est la France qui a donné une existence à ce qui n’était qu’une juxtaposition de tribus vaguement gouvernées par les Turcs. »

    Elie Aboud n’a pas bronché quand Robert Ménard a asséné: « Le 5 juillet 1962 est un jour de deuil. C’est aussi un jour de honte pour tous ceux qui ont couvert ces assassinats de leur silence », ajoutant: « Pour les pieds noirs, c’est la triple peine. Egorgés par les tueurs du FLN. Chassés de leur sol natal. Condamnés à perpétuité par la bien-pensance de la gauche et la lâcheté de la droite. » Elie Aboud n’a pas tourné les talons quand Robert Ménard a accusé directement la politique gaulliste d’abandon et d’indifférence: « Nous sommes ici pour dire que, oui, les Français d’Algérie ont, eux aussi, un droit à la mémoire. Que leurs souffrances sont d’autant plus insupportables qu’elles leur ont été infligées à cause de la passivité de leur propre Etat, de leur propre gouvernement. » Robert Ménard a failli ne pas pouvoir prononcer la fin de son discours: « C’est en pensant à leur histoire, c’est en songeant à leurs sacrifices et à leur exemple, que je conclurai par le seul cri digne d’un Français, digne de l’histoire de l’Algérie française, de son oeuvre et de ses morts: Vive la France! » Le maire de Béziers était en larmes."

    Michel Janva

  • Lugan censuré par l’Elysée

    Le 24 juin 2014, à la demande des Armées, je devais présenter "L’interaction religieuse, culturelle, historique et géopolitique entre les cinq pays de l’Afrique du Nord et ceux de la bande sahélo-tchadienne" aux Attachés de Défense français en poste dans la quinzaine de pays concernés, plus le Nigeria.

    Le but de cette intervention très spécialisée était de donner à nos AD une nécessaire vision globale ainsi que des clés de lecture dépassant les frontières de leurs affectations respectives. Quelques jours avant la date prévue, un ordre comminatoire téléphoné depuis l’Elysée contraignit les organisateurs à décommander la prestation bénévole qui m’avait été demandée dans l’urgence et pour laquelle, compte tenu de l’actualité et des enjeux, j’avais annulé des engagements prévus de longue date.

    Alors que la complexité des situations locales et régionales nécessite une connaissance de plus en plus "pointue", non idéologique et basée sur le réel, la présidence de la République, avec un sectarisme d’un autre temps, a donc privé les Attachés de Défense français d’une expertise à la fois internationalement reconnue et nécessaire à la bonne compréhension des zones dans lesquelles ils servent...

    J’ai attendu des explications. Comme elles ne sont pas venues j’ai donc décidé de publier ce communiqué afin que le public sache que des héritiers de la "section des piques" gravitent dans l’entourage immédiat du chef de l’Etat d’où ils lancent les "colonnes infernales" de la pensée sur les esprits libres. Le prochain numéro de l’Afrique Réelle que les abonnés recevront au début du mois d’août contiendra le texte de mon intervention censurée qui sera naturellement amputé des éléments confidentiels que je réservais à l’auditoire spécifique auquel elle était destinée. Les "tchékistes" de l’Elysée le découvriront en primeur puisque la présidence de la République est abonnée à l’Afrique Réelle et qu’elle reçoit mes communiqués...

    Ce communiqué est destiné à être repris et largement diffusé

    Vu sur le blog de Bernard Lugan